@techreport{demers_rapport_2014, address = {Ontario, Ottawa}, title = {Rapport du groupe d’experts sur {L}’avenir au présent : {Les} bibliothèques, les centres d’archives et la mémoire publique au canada}, abstract = {Au printemps 2013, la Société Royale du Canada a réuni ce groupe d’experts sur l’état et l’avenir des bibliothèques et des centres d’archives au Canada. Nous avons dû tenir compte, lors de la réalisation de ce projet, du devoir commun de ces institutions : comme le souligne la SRC dans son mandat, « elles recueillent, conservent et diffusent le savoir et donnent accès à l’information et aux ressources intellectuelles, favorisant ainsi l’engagement civique. » En reconnaissant qu’elles « relèvent activement les défis des technologies numériques en pleine expansion, des pratiques culturelles en évolution et des attentes de la société », le groupe d’experts devra : - « Enquêter sur les services fournis aux Canadiens, y compris les Canadiens autochtones et les nouveaux Canadiens, par les bibliothèques et les centres d’archives. - Comprendre ce que la société canadienne attend des bibliothèques et des centres d’archives au 21e siècle. - Identifier les changements nécessaires sur le plan des ressources, des structures et des compétences pour que les bibliothèques et les centres d’archives rendent aux Canadiens les services dont ils ont besoin au 21e siècle. - Écouter et interroger les différentes voix qui contribuent à la construction de la communauté et de la mémoire. - Démontrer à quel point le monde du savoir est et continuera d’être révolutionné par les technologies numériques. - Conceptualiser l’intégration de l’espace physique et du numérique dans les bibliothèques et les centres d’archives. » L’objet de notre mission est donc vaste et présente deux aspects paradoxaux : alors que les chercheurs soulèvent qu’une crise se profile dans le milieu des institutions de mémoire, due à la dissipation et à la sous-estimation des ressources culturelles nationales, nous en sommes à repenser les bibliothèques et les centres d’archives afin d’en placer l’importance et l’implication au centre des possibilités, des communautés et des expériences humaines. L’importance de transmettre et de résoudre cette difficulté – qui inspire à la fois inquiétude et motivation – représente l’esprit de ce rapport. http://rsc-src.ca/sites/default/files/pdf/L\%26A\_Report\_FR\_FINAL\_Web.pdf}, urldate = {2018-01-03}, institution = {La Société royale du Canada}, author = {Demers, Patricia (présidente) and Beaudry, Guylaine and Bjornson, Pamela and Carroll, Michael and Couture, Carol and Gray, Charlotte and Hare, Judith and Ingles, Ernie and Ketelaar, Eric and McMaster, Gerald and Roberts, Ken}, year = {2014}, pages = {264}, } @article{association_des_archivistes_du_quebec_memoire_2007, title = {Mémoire de l'{Association} des archivistes du {Québec}. {Les} archives, un patrimoine clé pour la culture. (avant-propos de {Diane} {Baillargeon})}, volume = {39}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/cora/afficheFic.php?fic=vol39_2/39_2_memoire.pdf&usager_id=}, abstract = {Dans ce mémoire, produit dans le cadre de la consultation sur la révision de la Loi sur les biens culturels, l'Association des archivistes du Québec (AAQ) propose une série de recommandations dans le but de faire reconnaître les archives comme bien culturel à part entière. Le mémoire souligne le rôle essentiel des archives pour la constitution du patrimoine culturel, à titre de composante de ce patrimoine et de matériau servant à mettre en contexte et à comprendre tous les autres types de patrimoine. Plus précisément, le mémoire propose entre autres que la valeur d'intelligibilité soit reconnue comme critère d'évaluation de manière à assurer la protection du patrimoine virtuel. L'AAQ recommande aussi que les éléments du patrimoine associés à un bien classé ou cité, notamment les archives, fassent l'objet d'un statut intermédiaire de reconnaissance. Elle accueille aussi favorablement l'attribution des nouvelles responsabilités qui seraient dévolues au futur Conseil du patrimoine culturel et recommande qu'au moins un archiviste soit membre de ce Conseil. Le mémoire propose aussi une série de recommandations visant à assurer aux citoyens (individuels et corporatifs) des avantages fiscaux en maintenant la fonction de certification de la valeur des dons aux institutions muséales et aux centres d'archives agréées. L'AAQ propose aussi diverses mesures de financement pour le patrimoine archivistique, par exemple : le soutien du milieu associatif archivistique ; le financement d'équipes d'experts en patrimoine archivistique ; l'achat de fonds ou de documents d'archives ; le remboursement de taxes sur l'achat de fournitures et d'équipement spécialisé de conservation ; un programme de financement adéquat pour le traitement, la conservation et l'accessibilité des fonds d'archives ainsi qu'une politique pour assurer la conservation au Québec des archives des entreprises dissoutes ou acquises par des intérêts étrangers.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Association des archivistes du Québec}, year = {2007}, pages = {155--168}, }