@article{montazami_photo_2007, title = {Photo trouvée, image perdue. {L}’analyse iconographique a l’épreuve de l’anonymat}, copyright = {© Tous droits réservés}, issn = {1718-5556}, url = {http://journals.openedition.org/cm/162}, abstract = {À partir de la rencontre fortuite avec un corpus iconographique inattendu et problématique – une collection de photographies familiales – notre propos se veut d’abord une réflexion sur la méthode critique à adopter en vue de l’analyse. Est questionné le rapport de l’histoire aux objets qu’elle se donne à historiciser ou dialectiser entre passé et présent, et plus particulièrement, le document photographique à la fois comme « objet trouvé » et représentation. Dans le va-et-vient phénoménologique entre l’espace de la représentation – espace de lecture, d’interprétation, de la connaissance – et l’espace réel où les images circulent – espace de la perte, de l’échange, des pratiques – les choses trouvent-elles à se fixer sur un même fond expérientiel à même de renouveler nos conceptions de la photographie et le travail de mémoire qu’elle recèle ?}, language = {fr}, number = {\#2}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Conserveries mémorielles. Revue transdisciplinaire}, author = {Montazami, Morad}, month = jan, year = {2007}, } @book{treleani_quest-ce_2017, title = {Qu'est-ce que le patrimoine numérique ? {Une} sémiologie de la circulation des archives}, url = {http://www.editionsbdl.com/fr/books/quest-ce-que-le-patrimoine-numrique-une-smiologie-de-la-circulation-des-archives-/621/}, publisher = {Éditions Le bord de l'Eau}, author = {Treleani, Matteo}, year = {2017}, } @article{meunier_texte_2018, title = {Le texte numérique : enjeux herméneutiques}, volume = {12}, url = {http://www.digitalhumanities.org/dhq/vol/12/1/000362/000362.html}, abstract = {La numérisation des textes est omniprésente dans les humanités numériques. Elle semble se présenter uniquement comme une modification du support matériel : du texte sur papier au texte numérique. Mais elle fait plus que cela. La numérisation touche aussi le texte en tant qu’objet sémiotique. Or, les multiples opérations de cette technologie mettent en œuvre des décisions interprétatives qui ne sont pas sans affecter le texte sémiotique, c’est-à-dire celui qui se donne à lire et à analyser. En ce sens, la numérisation des textes n’est pas neutre. Elle est un moment important d’une herméneutique matérielle.}, number = {1}, journal = {Digital Humanities Quarterly}, author = {Meunier, Jean-Guy}, year = {2018}, } @article{bachimont_archive_2021, title = {Archive et mémoire : le numérique et les mnémophores}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, shorttitle = {Archive et mémoire}, url = {https://journals.openedition.org/signata/2980}, doi = {10.4000/signata.2980}, abstract = {Le numérique reconfigure l’organisation et le statut des archives. Plongées dans l’éternel présent de leur jouvence technologique nécessaire à leur consultation, les archives numériques ne portent potentiellement plus les marques du temps alors qu’elles montrent le passé. Elles en gagnent une appétence nouvelle, se fondant dans les usages communicationnels du moment. Mais comment alors leur donner leur sens d’archive, leur restituer leur temporalité propre ? L’enjeu est de permettre ce que nous appelons « l’empathie historique » sans tomber pour autant dans l’anachronisme psychologique. Nous argumentons ici que la médiatisation des archives audiovisuelles numériques doit permettre se sentir concerné, avec les concessions sans doute nécessaires à la technologie et l’esthétisme du moment, tout en percevant l’étrangeté des contenus et l’aspect définitivement révolu de ce passé. C’est donc une herméneutique critique particulière à construire, où la médiation doit montrer un passé que la technologie affiche dans une contemporanéité permanente et persistante.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Bachimont, Bruno}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @misc{beaudoin_statut_2021, type = {Blogue de l'{Association} des archivistes du {Québec}}, title = {Le statut d’une sonothèque}, url = {https://archivistesqc.wordpress.com/2021/04/12/sonotheque/}, abstract = {Par Catherine Beaudoin, étudiante à l’EBSI, Université de Montréal La collection de son de la sonothèque de l’ONF contient près de 87 000 sons qui sont répertoriés et indexés. On y trouve des sons provenant de librairies sonores, mais la sonothèque contient aussi des sons enregistrés au cours des tournages qui ont été produits par et pour des productions de l’ONF, depuis ses débuts. Des sonothèques de ce type sont les principales sources de sons dans lesquelles les concepteurs sonores peuvent puiser pour trouver le matériel dont ils ont besoin pour créer l’ambiance sonore des films sur lesquels ils travaillent. Quel statut accorder alors à une sonothèque telle que celle de l’ONF qui contient des sons de diverses provenances? S’agit-il d’une « collection », d’une librairie sonore ou d’archives sonores?}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-03-28}, journal = {Convergence AAQ}, author = {Beaudoin, Catherine}, year = {2021}, keywords = {Archives sonores, Collection, Patrimoine}, } @article{chabin_archives_2021, title = {Archive(s) et archivage(s)}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/2992}, doi = {10.4000/signata.2992}, abstract = {Il y a longtemps déjà que l’archive n’appartient plus aux archivistes, ni aux historiens. L’archive est passée d’un lieu restreint et feutré à l’espace web partagé. Et chaque acteur (producteur, utilisateur, intermédiateur) voit l’archive à sa façon.Les archives sont multiples : dans leur essence de traces, dans leur forme intellectuelle et matérielle, dans leur rôle (politique, économique, juridique, social), dans l’image qu’on en a et dans l’image qu’on en donne, dans le mode de production, de diffusion et de stockage.Les théories et les pratiques présentent un éventail de sens assez large que l’on peut tenter d’organiser et d’analyser pour dégager le sens même de cette diversité de sens d’archives au début du vingt-et-unième siècle.Le document d’archives, l’archive, est un objet réel, avec une existence physique et une localisation ; qu’il soit papier ou numérique, il est toujours quelque part. Mais d’où vient cet objet ? Comment est-il créé ? Peut-on parler d’archive sans parler d’archivage ?Le mot archivage, bien que récent de la langue française (milieu du xxe siècle) renvoie lui aussi à plusieurs acceptions selon le profil du locuteur. Selon les contextes, le geste de mise en archive (archivation, versement, transfert, sauvegarde, archivage…) peut apparaître comme secondaire, auxiliaire car c’est le résultat, l’objet archivé, qui seul compte ; ou bien il peut être vu comme essentiel car l’archivage embarque l’acte fort de sélection de ce qui est archivé, de choix entre ce qui va nourrir les archives et ce qui ne sera pas conservé ; mais il peut aussi être ressenti comme central quand la démarche de mémorisation est plus signifiante, au final, que ce qui est mémorisé. Cet article tente une cartographie des archives et des archivages, des objets et des gestes qui les font exister.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Chabin, Marie-Anne}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @article{darmenio_archives_2021, title = {Archives numériques et langages audiovisuels}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3025}, doi = {10.4000/signata.3025}, abstract = {L’article vise à tester une sémio-rhétorique des archives, dont les objectifs à long terme sont, notamment : 1) l’examen de l’évolution des langages audiovisuels à l’époque des fonds numériques ; 2) l’élaboration d’outils d’analyse informatique et de stratégies de valorisation des archives. Au sein de cette contribution, la question centrale sera la construction de sa base épistémologique, fondée autour du rapport entre la dimension technique et la dimension sémiotique des archives et des langages visuels. A partir d’une relecture de la théorie de l’énonciation, nous aborderons deux conceptions des formats techniques des images : les formats médiatiques qui ont accompagné l’évolution et la diversification des technologies de production, ainsi que les formats informatiques qui gèrent le codage, la conversion et la visualisation des données. En analysant ces deux conceptions, nous fournirons un aperçu de leurs relations réciproques, et un examen des stratégies de valorisation rhétorique les concernant.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {D’Armenio, Enzo}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, keywords = {Archives audiovisuelles, Cinéma, Format, Médias, Numérique}, } @article{despres-lonnet_quand_2021, title = {Quand l’archive incarne l’institution : le rôle des dossiers d’œuvre dans la fabrique documentaire de la muséalité d’un musée des {Beaux}-arts}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, shorttitle = {Quand l’archive incarne l’institution}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3151}, doi = {10.4000/signata.3151}, abstract = {Que dit l’archive muséale des missions dévolues aux musées et des façons dont elles sont exercées et perçues ? Comment les hiérarchies et les pouvoirs des différents professionnels qui ont en charge la production et la conservation des informations relatives aux œuvres s’énoncent-ils dans la matérialité des objets, dans les organisations spatiales des lieux dédiés à la gestion de la documentation, dans les discours portés sur les œuvres ou encore dans les mises en visibilité des autorités sur les savoirs ? C’est à ces questions que nous nous sommes intéressées pour tenter de comprendre en quoi les archives muséales participent à la muséalisation des objets confiés aux institutions muséales. Au terme d’une enquête sémio-pragmatique menée sur une période de trois ans au sein de différents musées de Beaux-arts, nous avons pu montrer, par la mise en regard des matérialités documentaires et des activités au cours desquelles elles sont mobilisées, la part que joue l’archive dans la fabrication discursive des œuvres, en tant que patrimoine culturel et muséal, ainsi que le rôle que joue la documentation dans la légitimité culturelle de l’institution muséale.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Després-Lonnet, Marie and Rizza, Maryse}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @article{dondero_introduction_2021, title = {Introduction}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3270}, abstract = {Ce numéro de Signata vise à poser la question de l’archive d’un point de vue sémiotique et sémio-pragmatique. On entend ici par « sémiotique » non pas une discipline unique, mais une pluralité de manières de questionner le sens, les formes et les valeurs au sein des disciplines historiques, sociologiques, philosophiques, linguistiques, médiatiques, artistiques, etc. Le but du dossier est ainsi la constitution d’une cartographie qui embrasse les différentes approches qui, dans le domaine de l’archive, peuvent faire émerger les questionnements liés au sens.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Dondero, Maria Giulia and Fickers, Andreas and Tore, Gian Maria and Treleani, Matteo}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @article{le_deuff_lopen_2021, title = {L’{Open} {Source} {Intelligence} ({OSINT}) comme prisme hyperdocumentaire}, volume = {1}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-56.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0056}, abstract = {Paul Otlet a défini l’hyperdocumentation comme un stade ultime de la documentation où tout serait potentiellement consigné et rendu consultable. L’OSINT s’inscrit dans cette relation d’accessibilité renouvelée et maximisée au point d’interroger les compétences professionnelles qu’elle permet de mobiliser et de mieux saisir les rapprochements qui s’opèrent entre le monde de la documentation, celui du journalisme et de l’investigation en général.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Le Deuff, Olivier}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Accessibilité, Données, Métadonnées}, pages = {56--62}, } @article{le_deuff_lopen_2021, title = {L’{Open} {Source} {Intelligence} ({OSINT}) : origine, définitions et portée, entre convergence professionnelle et accessibilité à l’information}, volume = {1}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-14.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0014}, abstract = {L’OSINT est un acronyme pour Open Source Intelligence. Même si une littérature scientifique et professionnelle existe autour de ce concept, il mérite qu’on s’y attarde quelque peu, pour tenter d’en décrypter le sens, surtout que sa traduction française « renseignements de sources ouvertes » exclut, d’une part, le mot intelligence et n’apporte pas, de l’autre, un éclairage précis sur les composantes de cette discipline. Certes, le concept d’intelligence pose ici problème parce qu’il désigne, en français, la faculté intellectuelle de comprendre en raisonnant, alors que le mot en anglais détermine une série de pratiques employées pour récupérer des informations, mais le mot renseignement dans la traduction française présente comme principal écueil d’être plus exclusif qu’inclusif. Il renvoie surtout aux activités des services secrets là où le mot intelligence laisse la place à des pratiques collaboratives et citoyennes, très proches de l’esprit OSINT, comme c’est le cas avec le terme Intelligence collective. La référence à l’Open Source s’avère également problématique, car elle introduit une confusion entre deux objets : les logiciels Open Source qui offrent aux usagers la possibilité d’accéder au code, de le modifier et de le distribuer librement, et les données ou l’information libre d’accès qui constituent le terreau de l’OSINT. Encore que leur disponibilité varie selon les situations et qu’elle se mesure en « degrés », entre l’information entièrement accessible et celle qui ne l’est que très partiellement…}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Le Deuff, Olivier}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Accès à l’information, Open source}, pages = {14--20}, } @article{le_deuff_chevalier_2021, title = {Le chevalier {Dupin} comme métaphore d’une {Open} {Source} {Intelligence} ({OSINT}) lucide}, volume = {1}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-40.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0040}, abstract = {Alors que l’OSINT correspond à un territoire professionnel très actuel et à une logique qui s’inscrit dans l’accessibilité des ressources sur Internet, un retour au XIXe siècle nous permet d’entrevoir une représentation avant l’heure de cette discipline au travers d’un des personnages énigmatiques d’Edgar Allan Poe : le chevalier Dupin. C’est dans Double assassinat dans la rue Morgue qu’apparait C. Augustin Dupin pour la première fois dans les romans de Poe. Le narrateur fait la connaissance dans une librairie parisienne spécialisée de cet aristocrate ruiné vivant de petites rentes. Les deux hommes sont à la recherche du même livre, une œuvre rare que l’auteur ne présentera pas aux lecteurs. De cette rencontre imprévue autour d’une recherche exigeante naîtra une complicité qui les mènera vers des enquêtes improbables où les qualités déductives de Dupin seront mises à rude épreuve. Les deux associés établissent leur quartier général dans un lieu reclus, hors du monde, que seuls quelques initiés sont amenés à visiter. Leurs enquêtes se font le plus souvent à la tombée de la nuit, Dupin préférant vivre dans l’obscurité. Il ne sort presque jamais, c’est l’information qui vient à lui. Il lui suffit alors de déployer ses méthodes déductives pour venir à bout d’une énigme faite d’éléments informationnels épars. Du point de vue de la stratégie, qui consiste à poser un regard différent sur le monde, à extraire et à analyser des données complexes, Dupin préfigure les enquêteurs OSINT dont les méthodes sont curieusement similaires…}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Le Deuff, Olivier}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Accès à l'information, Analyse, Enquête}, pages = {40--44}, } @article{le_forestier_linaccessible_2021, title = {L’inaccessible de l’accessibilité}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3002}, doi = {10.4000/signata.3002}, abstract = {À partir d’une polémique du début des années 1950 entre deux linguistes s’intéressant au vocabulaire du cinéma, cet article souhaite envisager la re-sémiotisation de toute archive numérique autant comme favorisant l’émergence d’une histoire des concepts cinématographiques que comme constituant une difficulté pour celle-ci, par l’écart entre les principes épistémologiques de cette histoire et certains usages des archives numériques induits par cette re-sémiotisation. S’appuyant sur le cas de l’histoire du concept de montage, cet article en vient à proposer une forme de sémantique historique des concepts cinématographiques, tenant compte des rapports qu’ils entretiennent avec les opérations techniques qui ont pu les déterminer, afin de retrouver la « connexité entre le faire et le dire » (R. Koselleck). Or cette connexité et sa nature demeurent globalement l’inaccessible de l’accessibilité des archives numériques. D’une part parce que celles-ci privilégient un certain type de documents et tendent à en délaisser d’autres pourtant fondamentaux pour la compréhension de cette connexité ; d’autre part parce que la re-sémiotisation de ces archives, via les procédés de recherche full text, engage une méthode, non explicitée, qui repose en un sens sur des partis pris très éloignés des principes de l’histoire des concepts.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Le Forestier, Laurent}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @article{scopsi_enjeux_2021, title = {Enjeux et principes d’un modèle descriptif des {Collectes} de mémoires}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3085}, doi = {10.4000/signata.3085}, abstract = {Les Collectes de mémoires, sont des productions publiées sur le web, composées de documents d’archives numériques ou numérisés, éditorialisés pour produire un document composite relatant un fait du passé. Elles émergent sur le web à partir de 2005, favorisées par les progrès du numériques et la mise à disposition de documents anciens par le biais des archives ouvertes, et des valorisations des corpus dans le cadre des humanités numériques. Leur multiplication témoigne des usages publics du passé et à ce titre elles sont susceptibles de devenir un objet d’étude des Memory studies. Parfois produites en dehors de tout institution, elles ne sont actuellement ni répertoriées, ni conservées. Les modèles de description documentaires (EAD, Dublin Core) ne sont pas adaptés à ces documents composites, dont la textualité réside dans les modalités de structuration d’éléments documentaires préexistants. En s’appuyant sur des exemples, cet article propose le principe et les primitives d’un modèle de description de ces documents composites, en s’appuyant sur la caractérisation de la sélection, de l’ordonnancement et de la visualisation des unités documentaires composant une Collecte de mémoires. Il conclut par l’importance d’élaborer des critères d’analyse formelle des marques d’autorité des sites afin d’en qualifier le degré de fiabilité. Ce modèle vise à mieux connaître ces formes éditoriales afin de les répertorier, et d’en conserver la structure.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Scopsi, Claire}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, } @article{thiburce_exploitation_2021, title = {Exploitation, exploration et appropriation de l’archive}, copyright = {Les contenus de la revue Signata sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.}, issn = {2032-9806}, url = {https://journals.openedition.org/signata/3040}, doi = {10.4000/signata.3040}, abstract = {Dans un dialogue entre étude sémiotique et recherche linguistique sur corpus, cet article traite la notion d’archive à l’aune de pratiques mobilisées en sciences du langage, de la constitution d’enregistrements audio(visuels) d’interactions sociales en situation naturelle jusqu’à l’implémentation et à l’exploitation des données constituées dans une plateforme numérique. Nous proposons une analyse contrastive entre l’organisation de la plateforme CLAPI (Corpus de LAngues Parlées en Interaction), une base de données de divers enregistrements documentant plusieurs types d’interaction, et l’organisation de CLAPI-FLE, son « volet enseignement ». Nous nous penchons sur les passages d’un matériau conçu pour la recherche en sciences du langage (plus précisément en linguistique interactionnelle) à un matériau redéfini et ré-encadré pour une application didactique. En pointant les nuances qui émergent entre les notions d’exploitation, d’exploration et d’appropriation de l’archive, cette étude de cas propose un regard épistémologique sur les enjeux éthiques et socio-symboliques relatifs au respect des participants aux enquêtes, à leur implication sur le terrain et au positionnement de chercheurs dans des communautés différentes.}, language = {fr}, number = {12}, urldate = {2021-10-08}, journal = {Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics}, author = {Thiburce, Julien and Ursi, Biagio}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782875622693 Number: 12 Publisher: Université de liège}, }