@article{angoustures_cas_2019, title = {Le cas de l’{Ofpra} : les défis de l’ouver­ture d’archi­ves pro­té­gées}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {L’Office fran­çais de pro­tec­tion des réfu­giés et apa­tri­des (Ofpra), établissement public chargé de la pro­tec­tion des réfu­giés en France, a été créé par la loi du 25 juillet 1952 qui dis­pose que ses archi­ves sont « invio­la­bles ». L’Ofpra a dès lors long­temps refusé leur consul­ta­tion, sus­ci­tant des cri­ti­ques sur ces archi­ves « inter­di­tes » (Sonia Combe, 1994) tandis que l’obli­ga­tion de confi­den­tia­lité se voyait ren­for­cée par de nou­veaux textes juri­di­ques. La déci­sion d’ouvrir ses archi­ves n’a été rendue pos­si­ble que par la conjonc­tion d’excep­tions révé­lant la richesse des fonds et ren­dant néces­saire une équité entre cher­cheurs, la recher­che de solu­tions de sto­ckage et une poli­ti­que volon­ta­riste. Enfin, la conju­gai­son dif­fi­cile mais néces­saire entre trans­pa­rence et pro­tec­tion conduit les archi­vis­tes à des com­pro­mis, à un tra­vail d’inter­face ainsi qu’à devoir faire œuvre de péda­go­gie tant vis-à-vis des lec­teurs qu’en interne. Reste la ques­tion de la lisi­bi­lité des archi­ves dans un domaine admi­nis­tré au fil du temps par de nom­breu­ses ins­ti­tu­tions, y com­pris inter­na­tio­na­les et dont les minis­tè­res et ser­vi­ces de tutelle ont varié.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Angoustures, Aline and Choisnet, Adélaïde}, year = {2019}, note = {Number: 255}, } @article{association_des_professionnels_de_linformation_et_de_la_documentation_adbs_les_2003, title = {Les archives ouvertes}, volume = {34}, url = {http://droitdelaculture.over-blog.com/article-951481.html}, journal = {Actualités du droit de l'information (ADBS)}, author = {{Association des professionnels de l'information et de la documentation (ADBS)}}, year = {2003}, pages = {1--2}, } @misc{ined_socface_2021, type = {Institut national d’études démographiques}, title = {Socface, projet de recherche basé sur la transcription automatique des listes nominatives numérisées des recensements de population de 1836 à 1936.}, shorttitle = {Ined}, url = {https://socface.site.ined.fr/}, abstract = {Le projet Socface réunit archivistes, démographes, économistes, historiens et informaticiens travaillant ensemble pour mettre au point des technologies de traitement à grande échelle de vastes séries de documents historiques. Le projet mobilise la reconnaissance automatique d’écriture manuscrite pour analyser l’ensemble des listes nominatives du recensement de 1836 à 1936 (soit 20 recensements). Le projet produira une base de données de tous les individus ayant vécu en France entre 1836 et 1936 et l’utilisera pour analyser le changement social dans la longue durée, améliorant ainsi considérablement notre compréhension des structures économiques et sociales françaises. L’autre impact majeur de Socface sera l’accès aux listes nominatives pour le grand public : les informations disponibles dans les listes nominatives seront diffusées en Open Access, permettant à quiconque de parcourir librement des centaines de millions d’enregistrements.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-05}, journal = {Ined - Institut national d’études démographiques}, author = {Ined}, year = {2021}, keywords = {Analyse, Données ouvertes, France, Logiciel, Manuscrit, Océrisation, Valorisation}, } @article{masson_droit_2009, title = {Droit de l'information : {Don}’t ask, don’t tell, just do it. {La} communication scientifique directe entre légalité et prise de risque}, volume = {46}, issn = {1777-5868}, shorttitle = {Droit de l'information}, url = {https://www.cairn.info/revue-documentaliste-sciences-de-l-information-2009-2-page-24.htm}, doi = {10.3917/docsi.462.0024}, abstract = {Point de vue. Le développement récent des archives ouvertes, revues en ligne et autres modes « web 2.0 » de communication scientifique directe ne laisse pas de poser des questions nouvelles sur les droits, obligations et risques juridiques liés à ce mouvement.}, language = {Fr}, number = {2}, journal = {Documentaliste-Sciences de l'Information}, author = {Masson, Émilie and Schöpfel, Joachim and Battisti, Michèle and Vercken, Gilles}, year = {2009}, pages = {24--27}, } @article{schopfel_archives_2013, title = {Archives institutionnelles : {Observations} sur un nouveau mode d’information scientifique / {Institutional} {Repositories}: {Observations} on a {New} {Form} of {Scientific} {Information}}, volume = {37}, issn = {1920-7239}, url = {https://muse.jhu.edu/article/510865}, doi = {10.1353/ils.2013.0008}, abstract = {Les archives institutionnelles sont devenues un vecteur significatif de la communication scientifique. Aujourd’hui, quatre archives ouvertes sur cinq sont des archives institutionnelles. L’une de leurs caractéristiques réside dans leur grande diversité. Il n’existe pas un modèle unique, mais une grande variété, pas une seule procédure mais de multiples options. Notre article décrit quatre modèles de base ou « archétypes » (plateforme de publication, container, site de patrimoine, dépôt), leurs facteurs de succès et quelques perspectives d’évolution. La légitimité des institutions, leurs choix stratégiques mais aussi, leurs infrastructures numériques impactent l’avenir de ces sites. S’ils tournent le dos aux communautés scientifiques, leur destin sera celui des catalogues et autres bases de données : utiles certes, mais pas indispensables.}, number = {2}, journal = {Canadian Journal of Information and Library Science}, author = {Schöpfel, Joachim and Prost, Hélène}, year = {2013}, note = {University of Toronto Press}, pages = {122--136}, }