@misc{dion_archives_2021, title = {Archives nationales d'outre-mer: mode d'emploi}, shorttitle = {Archives nationales d'outre-mer}, url = {https://www.decitre.fr/livres/archives-nationales-d-outre-mer-mode-d-emploi-9782350773766.html}, abstract = {Les Archives nationales d'outre-mer (ANOM), héritières de trois siècles d'histoire, conservent les archives des ministères en charge du XVIIe au XXesiècle de l'empire colonial français, celles transférées en partie des anciennes colonies et de l'Algérie lors de leurs indépendances (à l'exception des protectorats du Maroc et de la Tunisie, du mandat français en Syrie et au Liban), des archives privées relatives à l'outremer français, une cartothèque, une iconothèque et une bibliothèque spécialisées. Qui imaginerait trouver, derrière les beaux murs des ANOM à Aix-en-Provence, le carnet d'Alfred Dreyfus au bagne de Guyane, le traité de paix de 1701 entre la France et les nations indiennes, le brouillon de la minute du décret d'abolition de l'esclavage de 1848, ou quelque 120 000 dossiers de condamnés aux bagnes de Guyane et de Nouvelle-Calédonie ? Au-delà des archives des grands noms de la colonisation, on trouve aux ANOM l'histoire des hommes et des femmes qui ont vécu outre-mer, une histoire riche en émotions et un passé difficile et douloureux encore aujourd'hui. Les documents conservés permettent de répondre parfois à l'attente de très nombreux citoyens en quête de leur passé, de leur famille. Les 7 000 courriers annuels reçus de plusieurs continents concernent des demandes d'état civil, d'attestations de carrière, des états de services militaires... Un peu plus de cinquante ans après leur création, les ANOM sont de plus en plus engagées dans le champ de la mémoire partagée, car les archives qu'elles conservent sont un patrimoine commun à la France et à ses anciennes possessions outre-mer. Ce guide permettra ainsi à chacun de découvrir bien des histoires familiales d'outre-mer.}, language = {français}, publisher = {Archives \& culture}, author = {Dion, Isabelle Auteur and Roy, Eve Auteur and Vencatasin, Marie-Catherine Auteur}, year = {2021}, note = {ISSN: 2116-2050}, keywords = {Archives nationales, France, Généalogie, Histoire}, } @misc{cicr_decouvrez_2021, type = {{CROSS}-{Files} est le blog officiel des archives publiques (y.c. ses archives audiovisuelles) et de la bibliothèque du {CICR}.}, title = {Découvrez la stratégie du {CICR} sur ses archives, records et collections de bibliothèque}, url = {https://blogs.icrc.org/cross-files/fr/decouvrez-la-strategie-du-cicr-br-sur-ses-archives-i-records-i-br-et-collections-de-bibliotheque/}, abstract = {Les fonds d’archives et les collections de la bibliothèque du CICR contiennent des millions de documents dont les plus anciens remontent à 1863. Ils représentent un héritage inestimable qui retrace toute l’histoire de l’action du CICR et du développement du droit international humanitaire en faveur de la protection des personnes affectées par les conflits. Mais ces fonds et collections représentent bien plus que l’histoire d’une institution et du droit international. Les consulter, c’est plonger au cœur de certains des moments les plus sombres des 150 dernières années. Ces millions de sources racontent autant d’histoires de souffrance, d’épreuve, de deuil, de disparition, de décès, de massacre, mais aussi de résilience, d’espoir, de survie et de persévérance. Dans certains cas, elles sont la seule preuve de la souffrance, voire de l’existence d’une personne.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-20}, journal = {Cross-Files {\textbar} ICRC Archives, audiovisual and library}, author = {CICR}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, Collection d’archives, Fonds, International, Numérisation, Valorisation}, } @article{yoakim_wikipedia_2019, title = {Wikipédia, {Wikimedia} {Commons} et {Wikisource}, un eldorado de visibilité}, volume = {48}, issn = {0044-9423, 2369-9256}, url = {https://www.erudit.org/en/journals/archives/1900-v1-n1-archives05126/1067524ar/abstract/}, doi = {https://doi.org/10.7202/1067524ar}, abstract = {Bien que fréquemment décriée pour son contenu, l’encyclopédie libre Wikipédia ne cesse de croître et d’être utilisée par des millions d’individus dans le monde entier. Au total, ce sont plus de 500 millions de visiteurs qui consultent mensuellement une partie des 30 millions d’articles rédigés dans 290 langues. Ces articles sont alors souvent illustrés par des documents d’archives. À titre d’exemple, un ensemble de photographies de militaires diffusé par les National Archives and Records Administration des États-Unis a été visionné des millions de fois. Cependant, le monde wiki est aussi une communauté qui n’est pas toujours encline à saisir la richesse et la pertinence des documents se trouvant dans les services et les centres d’archives du monde entier. L’exploitation de l’encyclopédie libre et celle des autres « projets » de la Wikimedia Foundation demandent des connaissances et le développement d’une stratégie de diffusion des documents. Sans grande réflexion effectuée en amont, le risque de voir son travail être incompris ou directement supprimé par la communauté wikipédienne est grand. Cet article vise donc à présenter les principes de base permettant à un service ou à un centre d’archives de songer à une exploitation adéquate de l’univers wiki.}, language = {fr}, number = {2}, urldate = {2020-11-04}, journal = {Archives}, author = {Yoakim, William}, year = {2019}, note = {Publisher: Association des archivistes du Québec (AAQ)}, pages = {41--81}, } @techreport{unesco_rapport_2019, address = {Paris, France}, title = {Rapport de synthèse sur l’application de la {Recommandation} concernant la préservation et l’accessibilité du patrimoine documentaire, y compris le patrimoine numérique (2015)}, url = {https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000370303_fre}, abstract = {Source : Résolution 38 C/55 et décision 206 EX/25.VI Contexte : En application de la résolution 38 C/97 et de la décision 206 EX/25.VII, la Directrice générale transmet à la Conférence générale, à sa 40e session, le quatrième rapport de synthèse sur l’application de la Recommandation sur la promotion et l’usage du multilinguisme et l’accès universel au cyberespace (2003), accompagné des observations formulées à ce sujet par le Conseil exécutif à sa 206e session. Objet : Conformément à la résolution 38 C/55 et à la décision 206 EX/25.VI, la Directrice générale soumet à la Conférence générale, à sa 40e session, le premier rapport de synthèse sur l’application de la Recommandation concernant la préservation et l’accessibilité du patrimoine documentaire, y compris le patrimoine numérique (2015), accompagné des commentaires formulés à ce sujet par le Conseil exécutif à sa 206e session.}, number = {40 C/39}, institution = {UNESCO}, author = {{UNESCO}}, year = {2019}, } @article{crivello_lemergence_2013, title = {L’émergence et l’élaboration d’un patrimoine télévisuel en {Méditerranée}}, volume = {1}, issn = {9782859447458}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0097}, doi = {10.3917/sr.035.0097}, abstract = {Des dispositifs internationaux tels que le Partenariat euroméditerranéen (PEM) ou l’Union pour la Méditerranée (UPM) ont cherché à défier les affrontements potentiels en Méditerranée. Par ailleurs, le rôle des médias et des réseaux sociaux n’a cessé de démontrer leur importance dans cette configuration, à la lumière, notamment, des récentes « révolutions arabes ». Dans ce contexte, deux projets de sauvegarde et de diffusion des archives audiovisuelles des télévisions nationales de la Méditerranée ont vu le jour grâce au PEM. Le projet Cap-Med (2000-2005) a permis de sauver les archives télévisuelles de douze pays méditerranéens menacées de disparition en raison de la dégradation des supports. Il a été nécessaire de les numériser pour les sauvegarder et les rendre accessibles dans les milieux professionnels. Le projet MedMem. Mémoires audiovisuelles en Méditerranée (2009-2013) visait, quant à lui, à constituer un site internet gratuit et éditorialisé à partir d’une sélection d’archives télévisuelles de pays méditerranéens. Par leur démarche, ces initiatives mettent en jeu l’émergence d’un espace politique méditerranéen et la prise de conscience d’un patrimoine télévisuel dans cet espace, mais participent également à la structuration des politiques et des études dites méditerranéennes.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Crivello, Maryline}, year = {2013}, pages = {97--107}, } @techreport{conseil_international_des_archives_ica_principes_2012, title = {Principes relatifs à l’accès aux archives}, url = {http://www.ica.org/sites/default/files/ICA_Access-principles_FR.pdf}, abstract = {L’accès est le processus qui rend possible la consultation des archives parce qu’il existe d’une part une autorisation légale, d’autre part des instruments de recherche. Depuis 1994, le Conseil international des archives (ICA) a publié quatre normes de description archivistique: ISAD(G) en 1994, ISAAR(CPF) en 1996, ISDF et ISDIAH en 2008. Ces normes s’appliquent aux instruments de recherche, un des deux éléments essentiels permettant l’accès aux archives; elles ont transformé les pratiques de description. Le texte des Principes porte sur l’autre élément concernant l’accès : l’autorité légale permettant de consulter les archives. Le Conseil international des archives s’est longtemps préoccupé de la question de l’accès aux archives. A la suite des changements politiques en Europe au début des années 1990, les archivistes européens ont développé un «Plan pour une politique européenne normalisée en matière d’accès aux archives» que l’ICA a adopté comme position lors de son assemblée générale à Edimbourg en 1997. Cependant, ce plan porte presque entièrement sur l’accès aux archives des administrations publiques, et ne se prononce qu’à une reprise sur l’accès aux archives non-gouvernementales: «Il est recommandé, chaque fois que cela est possible, de faire en sorte que soient mises en place des dispositions pour l’accès aux archives privées en accord avec celles existant pour les archives publiques.»}, author = {{Conseil international des archives (ICA)} and {Comité des bonnes pratiques et des normes} and {Groupe de travail sur l’accès}}, year = {2012}, }