@article{lessard_lhistoire_2020, title = {L’histoire mouvementée des archives. {Du} début de la {Nouvelle}-{France} jusqu’en 1920.}, issn = {2560-788X}, url = {https://www.banq.qc.ca/a_propos_banq/publications/a_rayons_ouverts/index.html}, abstract = {Rénald Lessard, archiviste-coordonnateur, BAnQ Québec. En septembre 1760, au moment de la capitulation de Montréal, les Britanniques exigent que les autorités canadiennes leur remettent tous les plans et cartes du pays. Les archives qui pourraient être nécessaires pour le gouvernement et la défense des droits des individus resteront dans la colonie. Les autres documents peuvent être rapportés en France. En réalité, ces documents seront plutôt détruits que rapatriés.}, language = {fr}, number = {105}, urldate = {2021-03-28}, journal = {À rayons ouverts - Chroniques de BAnQ}, author = {Lessard, Rénald}, editor = {{Bibliothèque et Archives nationales du Québec}}, year = {2020}, pages = {9--11}, } @article{gendron_les_2019, title = {Les archives manuscrites avouent ! {Papier} d'écriture en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle : usages, usagers et catégories de documents}, volume = {48}, url = {https://archivistes.qc.ca/cora/article_un.php?article_id=651}, abstract = {En dépit de l'absence de production papetière en Nouvelle- France au XVIIe siècle, plusieurs sources révèlent le nombre important de documents produits sur place. Notre recherche doctorale a mis en évidence la provenance du papier d'écriture utilisé à cette époque, comme venant principalement des provinces françaises de l'Angoumois et de l'Auvergne. Notre recherche a aussi mis en évidence trois aspects interreliés au papier d'écriture, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation. Ce papier d'écriture trouve ses usages dans la transcription de toute une série d'activités propres à la colonie naissante. Des usagers multiples -- compagnies, administrations ou individus -- soutenus par leur ambition personnelle ou le "bien d'autrui" sont engagés dans des activités diverses pour la construction d'une nouvelle colonie.@ Parmi l'ensemble des activités qui sous-tendent des liens étroits entre le monde atlantique français et le papier au XVIIe siècle, sept retiennent notre attention : la gestion administrative de la métropole et sa colonie nord-américaine ; l'utilisation sous-jacente du papier comme support aux efforts missionnaires ; les procédés utilisés par la classe marchande pour conduire ses affaires ; le nécessaire qui accompagne les explorateurs, les voyageurs et les militaires en déplacement et/ou en poste dans la colonie ; l'administration des communautés religieuses ; les actes notariés qui ponctuent la vie quotidienne ; et la correspondance entre individus. Notre article illustre les caractéristiques professionnelles des personnes engagées dans ces activités, leur rapport avec les usages du papier d'écriture et les catégories de documents ainsi produits. Nos exemples sont choisis à partir du corpus de documents d'archives manuscrites provenant de centres d'archives publics et privés ainsi que des documents manuscrits de la Collection Baby de l'Université de Montréal.}, number = {1}, journal = {Archives}, author = {Gendron, Céline}, year = {2019}, note = {Number: 1}, pages = {55--87}, } @article{gendron_les_2019, title = {Les archives manuscrites avouent ! {Papier} d'écriture en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle : usages, usagers et catégories de documents}, volume = {48}, issn = {0044-9423}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1060815ar}, doi = {10.7202/1060815ar}, abstract = {En dépit de l’absence de production papetière en Nouvelle-France au XVIIe siècle, plusieurs sources révèlent le nombre important de documents produits sur place. Notre recherche doctorale a mis en évidence la provenance du papier d’écriture utilisé à cette époque, comme venant principalement des provinces françaises de l’Angoumois et de l’Auvergne. Notre recherche a aussi mis en évidence trois aspects interreliés au papier d’écriture, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation. Ce papier d’écriture trouve ses usages dans la transcription de toute une série d’activités propres à la colonie naissante. Des usagers multiples – compagnies, administrations ou individus – soutenus par leur ambition personnelle ou le « bien d’autrui » sont engagés dans des activités diverses pour la construction d’une nouvelle colonie. Parmi l’ensemble des activités qui sous-tendent des liens étroits entre le monde atlantique français et le papier au XVIIe siècle, sept retiennent notre attention : la gestion administrative de la métropole et sa colonie nord-américaine ; l’utilisation sous-jacente du papier comme support aux efforts missionnaires ; les procédés utilisés par la classe marchande pour conduire ses affaires ; le nécessaire qui accompagne les explorateurs, les voyageurs et les militaires en déplacement et/ou en poste dans la colonie ; l’administration des communautés religieuses ; les actes notariés qui ponctuent la vie quotidienne ; et la correspondance entre individus. Notre article illustre les caractéristiques professionnelles des personnes engagées dans ces activités, leur rapport avec les usages du papier d’écriture et les catégories de documents ainsi produits. Nos exemples sont choisis à partir du corpus de documents d’archives manuscrites provenant de centres d’archives publics et privés ainsi que des documents manuscrits de la Collection Baby de l’Université de Montréal.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Archives}, author = {Gendron, Céline}, year = {2019}, pages = {55--87}, } @phdthesis{gendron_papier_2017, address = {Montréal (Québec)}, type = {Thèse de doctorat ({Ph}.{D}.)}, title = {Le papier voyageur : provenance, circulation et utilisation en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle}, url = {http://hdl.handle.net/1866/20436}, abstract = {Sous l’Ancien Régime, l’administration coloniale, l’Église et le commerce ont produit une masse considérable de documents de toutes sortes : la Nouvelle-France n’a pas fait exception. Il n’y a qu’à prendre connaissance de l’abondance des actes de tous ordres que l’on retrouve dans les principales collections d’archives au Québec pour se rendre compte qu’en dépit de sa faible population, on a beaucoup écrit en Nouvelle-France même au XVIIe siècle. Quant au support nécessaire à ces écritures, le papier, la Nouvelle-France n’avait aucune industrie papetière, aucun moulin qui pouvait alimenter le marché : il a donc fallu l’importer puisqu’on ne le fabriquait pas sur place. Ces aspects n’ont jamais été étudiés jusqu’à présent. En dépit de l’absence de production papetière en Nouvelle-France à cette époque, plusieurs sources révèlent le nombre important de documents produits sur place. Notre recherche doctorale a mis en évidence la provenance du papier d’écriture utilisé au XVIIe siècle comme venant principalement des provinces françaises de l’Angoumois et de l’Auvergne. Notre corpus représente un échantillon de feuillets d’écriture originaux du XVIIe siècle provenant des centres d’archives publics, Bibliothèque et Archives du Canada (BAC) et Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) à ses centres de Québec et de Montréal. Nous nous intéressons également aux centres d’archives des communautés religieuses fondatrices, soit les Ursulines et les Augustines à Québec, les Archives de la Congrégation de Notre-Dame, les Archives des Jésuites du Canada et les archives des Sulpiciens à Montréal ainsi que les archives du Séminaire de Québec et de la collection Baby de l’Université de Montréal qui nous sert de corpus témoin. Notre recherche met l’accent sur le papier d’écriture exclusivement. Nous avons examiné et analysé les types de manuscrits suivants : des documents seigneuriaux, des lettres au sujet de la colonisation, des obligations, des contrats d’engagement, des minutes notariales, des transactions financières et commerciales, des documents judiciaires ainsi que des documents civils et militaires.Nous avons également examiné des dictionnaires, des vocabulaires, des journaux de voyageurs et des cartes. La méthodologie utilisée procède d’une approche interdisciplinaire, méthode qui emprunte au modèle historique (comparaison et discussion des sources), au modèle archivistique (typologie des documents) ainsi que des éléments de la méthode utilisée en sciences de l’information (critères de validité et de fiabilité et méthode de triangulation). Nous positionnons les mouvements de circulation du papier entre la France et la Nouvelle-France et nous nous interrogeons sur les circuits d’approvisionnement qui ont facilité son arrivée dans la vallée du Saint-Laurent. Notre recherche a aussi mis en évidence trois aspects interreliés au papier d’écriture, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation. Notre étude se termine par une réflexion sur la matérialité du support papier comme document d’archive au même titre que le contenu du document.}, school = {Université de Montréal}, author = {Gendron, Céline}, year = {2017}, } @article{argouse_archives_2009, title = {Archives notariales et témoignages de soi : sens et raison d’être du testament dans {Les} {Andes} au xviie siècle}, copyright = {L'Atelier du Centre de recherches historiques – Revue électronique du CRH est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France.}, issn = {1760-7914}, shorttitle = {Archives notariales et témoignages de soi}, url = {http://journals.openedition.org/acrh/1500}, doi = {10.4000/acrh.1500}, abstract = {Au dix-septième siècle, dans la villa de San Antonio de Cajamarca, vice-royaume du Pérou, presqu’un tiers des auteurs de documents testamentaires trouvés dans les archives départementales étaient des Indiens. Nous proposons ici deux séries de questions issues de cette proportion. La première concerne la considération des documents testamentaires parmi les sources judiciaires, étant donné qu’à première vue il s’agit plutôt de sources juridiques. La seconde série de questions porte sur l’étendue de la volonté individuelle dans le testament, compte tenu du fait qu’il est, dans une majorité de cas, oral et ensuite mis par écrit par un escribano. Les hypothèses que nous avançons perçoivent le testament écrit comme une preuve potentielle faite de plusieurs volontés, ainsi que comme expression de la volonté profondément personnelle de son auteur.}, language = {fr}, number = {05}, urldate = {2019-10-30}, journal = {L’Atelier du Centre de recherches historiques. Revue électronique du CRH}, author = {Argouse, Aude}, year = {2009}, }