@misc{soucy-jalbert_lavenement_2021, type = {Blogue de l'{Association} des archivistes du {Québec}}, title = {L’avènement du numérique et le cas des archives géographiques}, url = {https://archivistesqc.wordpress.com/2021/03/01/geographie/}, abstract = {Par Guyllaume Soucy-Jalbert, étudiant à l’EBSI. Depuis 1950, la révolution numérique qui a été engendrée par l’apparition du système dans lequel les inventions comme l’informatique, le transistor et Internet sont nées a considérablement transformé notre relation avec le monde (Beckouche, 2017). En effet, l’explosion des performances techniques, la disparition des frontières et la démocratisation de l’information, ont tous été des facteurs qui ont provoqué de grandes transformations dans tous nos secteurs d’activité (économie, culture, communications, etc.) et tous les aspects de la condition humaine (psychologique, cognitive, sociale, anthropologique, etc.) (Ibid, 2017). Ainsi, force est d’admettre la puissance de l’effet transformateur du numérique, l’article de Ducharme et Bouchard (2000) nous rappelle que ces bouleversements ont donné lieu à notre entrée dans un nouvel ordre social et postindustriel que nous pouvons nommer la « société de l’information ».}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-03-30}, journal = {Convergence AAQ}, author = {Soucy-Jalbert, Guyllaume}, year = {2021}, keywords = {Archives géographiques, Cartes géographiques, Conservation, Format, Internet, Littérature, Numérique}, } @misc{labrecque_les_2021, title = {Les cartes, témoins du monde}, url = {https://www.quebecscience.qc.ca/sciences/les-cartes-temoins-du-monde/}, abstract = {Les cartes anciennes sont loin d’être banales, elles racontent l’évolution de la vision du monde. Ding! Un message atterrit sur la page Facebook de Québec Science un jour de juin 2020. « Bonjour, simplement vous informer que la carte que vous montrez n’est pas correcte. Le Groenland est plus petit que l’Amérique latine. Votre carte présente une version tordue de la réalité. C’est peu scientifique de votre part ! » Le jeune homme à l’œil de lynx fait référence à une carte de l’Organisation mondiale de la santé accompagnant un article sur la COVID-19 où le Groenland paraît plus grand que l’Amérique du Sud. En réalité, il est sept fois plus petit que ce continent ! L’anecdote illustre bien le défi que plusieurs cartographes ont eu à relever au fil des siècles : comment reproduit-on la planète toute ronde sur une surface plane ? La science cartographique a pris son envol au 1er siècle. L’astronome grec Claude Ptolémée inscrit dans un volume appelé Geographia les noms et coordonnées d’au moins 8 000 lieux, qui serviront de connaissances de base aux cartographes. « Il a été le premier à utiliser des coordonnées géographiques, la longitude et la latitude, pour localiser un point dans le monde », souligne Lauren Williams, bibliothécaire aux livres rares et collections spécialisées de l’Université McGill. Le savoir de Ptolémée atteint l’Afrique et l’Asie, mais semble être tombé dans l’oubli pendant des siècles en Europe. Les connaissances du géographe refont surface en 1493 dans l’encyclopédie illustrée Chronique de Nuremberg. Celle-ci contient une carte inspirée de son travail qui montre une vision intéressante de la Terre à cette époque où le Nouveau Monde n’a pas été encore découvert. « On voit des inexactitudes telle la représentation de l’océan Indien comme une étendue d’eau fermée. Les gens pensaient qu’il était impossible de faire le tour du continent africain », indique Lauren Williams. Au Moyen Âge, les Européens croient que le monde a été formé par les trois fils de Noé après le déluge. Ceux-ci figurent d’ailleurs dans trois coins de la carte tenant la Terre dans leurs mains.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-27}, journal = {Québec Science}, author = {Labrecque, Annie}, year = {2021}, note = {Section: Sciences}, keywords = {Cartographie, Histoire}, } @misc{capecchi_strasbourg_2021, title = {Strasbourg. {Google} {Maps} : cette fonctionnalité cachée permet de voyager dans le temps}, shorttitle = {Strasbourg. {Google} {Maps}}, url = {https://actu.fr/grand-est/strasbourg_67482/strasbourg-google-maps-cette-fonctionnalite-cachee-permet-de-voyager-dans-le-temps_43540195.html}, abstract = {Une fonctionnalité de Google Maps permet d'accéder à des images d'archives de Street View dans plusieurs villes, dont Strasbourg. On vous montre comment y accéder pas à pas.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-20}, journal = {actu.fr}, author = {Capecchi, Ivan}, year = {2021}, keywords = {Archives photographiques, Données ouvertes, Géolocalisation, Histoire}, } @article{delsaut_wikimedia_2020, title = {Wikimedia {Commons}, des millions d’images en liberté}, volume = {2020}, url = {https://www.abd-bvd.be/fr/cahiers-de-la-documentation/2020-2/}, abstract = {Plus de 60 millions de médias sont consultables, modifiables et réutilisables dans Wikimedia Commons, l’un des projets de la Wikimedia Foundation. Les images représentent la part la plus importante de ces médias : plus de 57 millions de photos, de schémas, de peintures, de cartes… Chaque image est décrite et catégorisée. Les contributeurs peuvent téléverser de nouvelles photos mais aussi enrichir les descriptifs ou la classification de ces œuvres. Dans cet article, nous survolerons les droits relatifs à ces médias, le contenu du site, le travail collaboratif qui peut y être apporté. Nous verrons également comment rechercher une image et comment la réutiliser légalement.}, number = {2}, journal = {Cahiers de la Documentation}, author = {Delsaut, Guy}, year = {2020}, } @phdthesis{chamay_gerer_2020, address = {Suisse}, type = {Mémoire de bachelor}, title = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique: nouveaux contextes, pratiques et perspectives}, shorttitle = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique}, url = {http://doc.rero.ch/record/329809?ln=fr}, abstract = {Le TeTU, «groupe de compétences, Territoires et Tissus urbains», aujourd’hui tombé en déshérence, faute d’activités, possédait un fonds documentaire, essentiellement cartographique, issu originellement de l’activité du Centre de recherche sur la rénovation urbaine (C.R.R.), créé en 1973, institut hébergé alors par l’Université de Genève et transféré à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève (hepia) en 2011.Si cet ensemble d e ressources documentaires, fonds ou collection de documents cartographiques, devenu dès lors fonds d’archives, n’a pas de valeur à proprement parler patrimoniale, soit une importance historique ou artistique patente,–il s’agit largement de tirages, de reproductions et de copies–, il recèle un réel intérêt, car, «initié» par André Corboz (1928-2012), figure quasi «tutélaire» de l’architecture et de l’urbanisme genevois, il témoigne, de manière particulièrement homogène et exhaustive, de l’évolution des territoires et des tissus urbains genevois. Conservant ainsi, outre une réelle dimension culturelle, une indéniable valeur informative et de référence, malgré la concurrence de nouveaux logiciels de cartographie et autres systèmes d’information géographique, toujours plus performants,–mais non sans reproche–,ce fonds possède, à l’ère du tout numérique, de formidables potentialités de valorisation. Dans l’approche élaborée, approche qui se veut pragmatique, nous proposons une stratégie de mise en valeur graduelle, intégrée et à large spectre. Il s’agirait pour le TeTU d’être présent via différents «médias», numériques, tels les portails de diffusion et de valorisation, les blogues, les réseaux sociaux ou les expositions virtuelles, sans dédaigner néanmoins de recourir parfois à une médiation plus traditionnelle, en organisant ponctuellement de petites expositions physiques, des conférences ou en participant à des événements consacrés à l’urbanisme. Cela permettrait de toucher, plus largement, enseignants- chercheurs, étudiants et professionnels du bâti et des territoires, ses publics cibles. Nous appelons de même et en filigrane à la mutualisation et à la convergence, avec les archives d’architectures de Genève (Archives {\textbar} Architectures Genève)en particulier, afin de créer, au Pavillon Sicli, à Genève, un pôle dévolu aux archives d’architectures et d’urbanismes, intégrant pleinement le TeTU, pour une visibilité dédoublée. Dans le cadre de ce travail de bachelor, largement théorique, mais aux ramifications pratiques, concrètes et ancrées dans une réalité de terrain (que faire de ces fonds «académiques» dormants?), il s’est agi de mener une réflexion aboutie sur les enjeux de gestion d’un tel fonds(quelle place pour le papier face à la géomatique?)et les perspectives de valorisation d’archives cartographiques traditionnelles, issues d’un institut à vocation scientifique, à l’ère du tout numérique}, language = {fr}, school = {Haute école de gestion de Genève}, author = {Chamay, Charles-Antoine}, collaborator = {Dubosson, Françoise}, year = {2020}, keywords = {Cartographie, Valorisation}, } @book{mergnac_utiliser_2019, address = {Paris}, edition = {Deuxième, augmentée}, title = {Utiliser le cadastre en généalogie}, url = {https://www.archivesetculture.org/product-page/utiliser-le-cadastre-en-g%C3%A9n%C3%A9alogie}, abstract = {En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu’il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d’achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d’acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ? Le cadastre offre une vue synthétique qui s’inscrit dans la durée, à l’inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels. Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C’est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l’histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu’elle a appartenu à un aïeul. Car il vous la montre sur deux plans à plus d’un siècle d’écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications. Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d’informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d’obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d’habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille. Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.}, publisher = {Archives \& culture}, author = {Mergnac, Marie-Odile}, year = {2019}, } @misc{dunant_gonzenbach_lintegration_2014, address = {Gérone, Italie}, title = {L'’intégration des données historiques dans un système d’information du territoire ({SIT}/{GIS})}, url = {http://www.girona.cat/web/ica2014/ponents/textos/id32.pdf}, abstract = {Le système d'information du territoire (SIT), base de données géo référencée, est constitué par l'ensemble des informations intervenant dans l'organisation du territoire, qui constitue également sa mémoire. La communication mettra en évidence l’intérêt d’utiliser un média différent pour diffuser les données et images numérisées provenant des archives, les mettant ainsi à disposition de nouveaux utilisateurs. Les archives sont indispensables pour alimenter un SIT. Par exemple, une loi a imposé en 1998 aux cantons suisses d’établir un cadastre des sites pollués. Les données conservées dans les archives ont contribué à réaliser ce cadastre, intégré au SITG. Les Archives d’Etat de Genève conservent les cadastres originaux successifs de 1726 à 1855. Ces registres ont été numérisés et intégrés au SITG grâce aux procédés de géo référencement. Il est ainsi possible de consulter, par couches superposées, le cadastre historique du canton de Genève. Tout un pan de l’histoire du territoire est désormais intégré au SIT et consultable comme telle. L’implémentation de cartes numérisées dans un système d’information du territoire permet leur diffusion sur le web et leur appropriation par le grand public, contrairement à des images intégrées dans une base de données archives dont l'architecture particulière réserve souvent l'usage à un public plutôt spécialisé. Cette intégration permet également de naviguer à travers le temps et d’y poser des jalons (4D).}, author = {Dunant Gonzenbach, Anouk and Flückiger, Pierre}, year = {2014}, } @article{lannez_projet_1983, title = {Projet de fichier automatisé des cartes géologiques de la cartothèque de {BRGM}}, url = {http://www.lecfc.fr/new/articles/200-article-5.pdf}, journal = {Bulletin du Comité français de cartographie}, author = {Lannez, P.}, year = {1983}, pages = {29--35}, }