@article{morvan_re-tracer_2021, title = {Re-tracer les invisibilités coloniales. {L}’art de {Brook} {Andrew} en {France}}, volume = {153}, issn = {0300-953X}, url = {https://www.cairn.info/revue-journal-de-la-societe-des-oceanistes-2021-2-page-353.htm}, abstract = {Artiste conceptuel, Brook Andrew remet en question les r\&\#233;cits coloniaux \&\#224; la lumi\&\#232;re de ses ascendances wiradjuri (nation aborig\&\#232;ne du sud-est de l\&\#8217;Australie) et celtes. Il intervient depuis plus de vingt ans dans les institutions mus\&\#233;ales d'Australie et d'Europe, en d\&\#233;tournant les collections et les archives pour faire \&\#233;merger des r\&\#233;cits alternatifs qu\&\#8217;il d\&\#233;crit comme des histoires cach\&\#233;es (hidden history) \&\#224; visibiliser. \&\#192; partir d\&\#8217;une analyse de quatre de ses expositions mont\&\#233;es en France entre 2013 et 2016, l'article propose d\&\#8217;interroger les processus de d\&\#233;construction des savoirs historiques au c\&\#339;ur de sa d\&\#233;marche artistique reconnue internationalement. Il replace la pratique d'Andrew dans l'histoire r\&\#233;cente des expositions d\&\#8217;art contemporain extra-europ\&\#233;ens en France et des recherches artistiques autours des objets ethnographiques. Les perceptions conflictuelles du pass\&\#233; sont analys\&\#233;es comme des assemblages trans-m\&\#233;moriels qui d\&\#233;passent l\&\#8217;opposition entre colonisateurs et colonis\&\#233;s et \&\#233;clairent notre post-colonialit\&\#233; contemporaine.}, language = {fr}, number = {2}, urldate = {2022-04-16}, journal = {Journal de la Societe des Oceanistes}, author = {Morvan, Arnaud and Glowczewski, Barbara}, year = {2021}, note = {Bibliographie\_available: 0 Cairndomain: www.cairn.info Cite Par\_available: 0 Publisher: Société des océanistes}, keywords = {Archives coloniales, Art, Exposition, Histoire, Musée}, pages = {353--367}, } @misc{le_cube_archives_2021, type = {art}, title = {Archive(s) {Sensible}(s)}, url = {https://lecube-art.com/exposition/archives-sensibles/}, abstract = {Au départ de cette exposition une définition. Celle du philosophe français Jacques Derrida: l’archive est un « objet social qui façonne le présent, le passé et le futur ». Le concept d’Archive(s) Sensible(s) s’intéresse à des archives relevant de mémoires intimes, familiales, domestiques, individuelles ou collectives et qui, en ce sens, se confrontent à des vécus émotionnels comme sources du savoir. Archive(s) sensible(s) s’articule autour de cette idée et propose au visiteur avant tout une expérience et une réflexion sur le monde sensible. L’exposition se structure autour de trois axes, trois notions induites par cette archive sensible. La première questionne l’archive comme forme de mémoire et la sélection sous-jacente que cela implique : qu’est ce qui fait archive et qu’est ce qui ne fait pas archive? C’est dans son absence que la notion d’archive a, bien souvent, une portée majeure. Comment se constitue la mémoire à travers l’absence d’archive ? L’exposition s’intéressera aux écritures d’une histoire sans archive: à travers la destruction ou la privation d’archives, c’est une mémoire à part entière qui se trouve niée, remise en question. Comment s’écrit une histoire sans archive, dans la destruction (durant les périodes historiques de domination telles que la colonisation ou le fascisme) ou dans la privation d’archives ? C’est précisément la question que pose la photographe tunisienne Héla Ammar à travers la série Tawasol. Tawasol, qui signifie en arabe à la fois correspondance mais également transmission, s’articule comme une correspondance reconstruite ou imaginée et s’intéresse aux interactions et aux déformations et à ce qu’elles comprennent comme failles de la mémoire collective et individuelle. Car, pour la photographe, c’est précisément dans ces failles, à travers ces fragments sensibles, que se construit la mémoire individuelle et l’imaginaire collectif. L’archive sensible, qui relève de la mémoire, devient ainsi un véritable outil de résistance aux cadres de domination. L’archive sensible, ni physique ni document, est trace, empreinte intangible mais transmissible. Il s’agit d’indices de quelque chose qui a eu lieu. Indices sensoriels, mémoriels, individuels et collectifs liés à l’émotion, et qui constituent une forme d’archive au potentiel politique. Des oeuvres de Héla Ammar, Mustapha Azeroual, M’Barek Bouhchichi, Abdessamad El Montassir, Haythem Zakaria, Laura Scemama}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-28}, journal = {Le Cube}, author = {Le Cube}, year = {2021}, keywords = {Archives sensibles, Art, Exposition, Mémoire}, } @article{layerle_les_2021, title = {Les {Horizons} perdus de {Michèle} {Firk} : un film documentaire en devenir}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, shorttitle = {Les {Horizons} perdus de {Michèle} {Firk}}, url = {https://journals.openedition.org/afas/6329}, doi = {10.4000/afas.6329}, abstract = {L’itinéraire de Michèle Firk (1937-1968), qui fut journaliste, critique de cinéma et militante engagée pendant la guerre d’Algérie, puis dans les mouvements de luttes de libération en Amérique latine, est au cœur d’un projet de film documentaire mené par deux historiens. Ces derniers reviennent d’abord sur leur long travail d’enquête préparatoire : collecte de documents (sonores et visuels), captation d’entretiens filmés… Puis, ils s’interrogent sur les enjeux et difficultés liés à la conservation et à la valorisation des heures de rushes dont ils disposent désormais.}, language = {fr}, number = {47}, urldate = {2022-04-04}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Layerle, Sébastien and Moine, Caroline and Olmos, Rosa}, year = {2021}, note = {ISBN: 9791097301149 Number: 47 Publisher: Association française des archives orales sonores et audiovisuelles}, keywords = {20e siècle, Algérie, Amérique latine, Conservation, Cuba, Documentaire, Décolonisation, Film, Guatemala, Valorisation}, pages = {42--53}, } @article{jedlowski_les_2021, title = {Les archives des présences africaines en {France}}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1142-852X}, url = {https://journals.openedition.org/hommesmigrations/12363}, abstract = {En février 2020, une table ronde organisée par la Chaire Diasporas africaines de Sciences Po Bordeaux et de l’université Bordeaux Montaigne, en partenariat avec la bibliothèque municipale Mériadeck, s’est intéressée aux archives des présences africaines en France. Des chercheurs ayant travaillé sur ces archives en France et dans d’autres pays européens ont échangé avec des responsables de fonds spécialisés sur ces thématiques. Il s’agissait de réfléchir à la nature de ces différentes archives disponibles en France, ainsi qu’aux défis méthodologiques liés à leur exploitation.}, language = {fr}, number = {1332}, urldate = {2021-08-04}, journal = {Hommes \& migrations. Revue française de référence sur les dynamiques migratoires}, author = {Jedlowski, Alessandro}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782919040544 Number: 1332 Publisher: EPPD - Cité nationale de l'histoire de l'immigration}, keywords = {Afrique, Archives, Exploitation, France, Recherche}, pages = {226--229}, } @misc{fournier_qui_2021, title = {Qui héritera des archives coloniales de l’{Algérie} ?}, url = {https://www.lamarseillaise.fr/france/qui-heritera-des-archives-coloniales-de-l-algerie-LB5939094}, abstract = {Durant le processus d’indépendance de l’Algérie débuté avec le référendum de 1961, puis les Accords d’Évian, le gouvernement français a rapatrié des centaines de tonnes d’archives, dites « de souveraineté », provenant du gouvernement général d’Algérie, des préfectures et des sous-préfectures, des rapports administratifs, de police, des notes de renseignement, etc. Tandis que les archives dites « de gestion », sont laissées en Algérie au bénéfice du nouvel État Algérien. Quatre ans plus tard, en 1966, le premier bâtiment des archives nationales d’Outre-Mer est inauguré à Aix-en-Provence. C’est le premier service d’archives nationales décentralisé en France, il a pour objectif de conserver l’ensemble des documents portant sur les anciennes colonies françaises.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-28}, journal = {www.lamarseillaise.fr}, author = {Fournier, Sylvain}, year = {2021}, keywords = {Algérie, Archives coloniales, France, Histoire, Restitution}, } @misc{dion_archives_2021, title = {Archives nationales d'outre-mer: mode d'emploi}, shorttitle = {Archives nationales d'outre-mer}, url = {https://www.decitre.fr/livres/archives-nationales-d-outre-mer-mode-d-emploi-9782350773766.html}, abstract = {Les Archives nationales d'outre-mer (ANOM), héritières de trois siècles d'histoire, conservent les archives des ministères en charge du XVIIe au XXesiècle de l'empire colonial français, celles transférées en partie des anciennes colonies et de l'Algérie lors de leurs indépendances (à l'exception des protectorats du Maroc et de la Tunisie, du mandat français en Syrie et au Liban), des archives privées relatives à l'outremer français, une cartothèque, une iconothèque et une bibliothèque spécialisées. Qui imaginerait trouver, derrière les beaux murs des ANOM à Aix-en-Provence, le carnet d'Alfred Dreyfus au bagne de Guyane, le traité de paix de 1701 entre la France et les nations indiennes, le brouillon de la minute du décret d'abolition de l'esclavage de 1848, ou quelque 120 000 dossiers de condamnés aux bagnes de Guyane et de Nouvelle-Calédonie ? Au-delà des archives des grands noms de la colonisation, on trouve aux ANOM l'histoire des hommes et des femmes qui ont vécu outre-mer, une histoire riche en émotions et un passé difficile et douloureux encore aujourd'hui. Les documents conservés permettent de répondre parfois à l'attente de très nombreux citoyens en quête de leur passé, de leur famille. Les 7 000 courriers annuels reçus de plusieurs continents concernent des demandes d'état civil, d'attestations de carrière, des états de services militaires... Un peu plus de cinquante ans après leur création, les ANOM sont de plus en plus engagées dans le champ de la mémoire partagée, car les archives qu'elles conservent sont un patrimoine commun à la France et à ses anciennes possessions outre-mer. Ce guide permettra ainsi à chacun de découvrir bien des histoires familiales d'outre-mer.}, language = {français}, publisher = {Archives \& culture}, author = {Dion, Isabelle Auteur and Roy, Eve Auteur and Vencatasin, Marie-Catherine Auteur}, year = {2021}, note = {ISSN: 2116-2050}, keywords = {Archives nationales, France, Généalogie, Histoire}, } @article{de_largy_healy_introduction_2021, series = {La nouvelle vie numérique des archives et collections ethnographiques}, title = {Introduction. {La} nouvelle vie numérique des archives et collections ethnographiques : {Partage}, regards croisés, restitution et question éthiques}, shorttitle = {Introduction. {La} nouvelle vie numérique des archives et collections ethnographiques}, url = {https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03509363}, abstract = {Qu’est-ce que le numérique fait aux archives et aux collections ethnographiques ? Sur de nombreux terrains où la question de la restitution des collections matérielles et documentaires se pose depuis trente ans comme une responsabilité éthique pour les chercheurs, les conservateurs et leurs institutions respectives, le recours aux nouvelles technologies a non seulement offert une alternative au retour physique des objets demandé par les communautés, mais aussi ouvert des possibilités de collaborations inédites entre les différents acteurs mis en relation par les objets, les sons, les images ou les textes. En réponse aux préconisations des pouvoirs publics et aux revendications de nombreux groupes autochtones, la numérisation permet ainsi de développer de nouvelles politiques d’accès aux collections et d’en développer les usages ou les valorisations, par des chercheurs ou étudiants, par les descendants des personnes représentées et par des artistes. Les collaborations sur des projets de restitution, que cela soit par la médiation de sites internet, de plateformes numériques ou d’archives communautaires, ouvrent de nouveaux horizons pour les processus locaux de revitalisation de langues et de pratiques culturelles menacées, mais aussi pour la création de nouveaux discours et de savoirs autour des matériaux restitués. Le dossier composé de huit articles et d’une introduction générale écrite à six mains interroge à travers une diversité assumée de perspectives (ethnologues, conservateurs, responsables d’institutions patrimoniales, artistes, archivistes) les effets du numérique dans les usages des archives et des collections ethnographiques, depuis les enjeux entourant l’accès aux données par différents acteurs jusqu’aux nombreuses pratiques créatives qui en découlent, dans les institutions et au sein de différentes communautés d’utilisateurs. Les auteurs ont été encouragés à s’appuyer sur leur propre expérience de valorisation numérique pour analyser la réception de ces réalisations et examiner les usages qui en sont faits par les chercheurs, les artistes, le grand public ainsi que par les descendants des groupes concernés par les enquêtes. Au regard des injonctions de valorisation de la recherche et des archives qui nous sont faites en tant qu’anthropologues, le numérique n’apparaît-il pas trop souvent comme une panacée et ne reste-t-il pas un outil dont l’application, en particulier dans le domaine des archives ethnographiques, comporte de nombreuses difficultés, et appelle des formes spécifiques de médiation ?}, number = {51}, urldate = {2022-04-14}, journal = {Ateliers d'anthropologie}, author = {De Largy Healy, Jessica and Blanchy, Sophie and Mouton, Marie-Dominique}, year = {2021}, note = {Publisher: Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative - Université Paris Nanterre}, keywords = {Archives, Collection, Ethnographie, Numérique}, } @book{de_largy_healy_introduction_2021, title = {Introduction. {La} nouvelle vie numérique des archives et collections ethnographiques}, url = {https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03268878}, abstract = {Qu’est-ce que le numérique fait aux archives et aux collections ethnographiques ? Sur de nombreux terrains où la question de la restitution des collections matérielles et documentaires se pose depuis trente ans comme une responsabilité éthique pour les chercheurs, les conservateurs et leurs institutions respectives, le recours aux nouvelles technologies a non seulement offert une alternative au retour physique des objets demandé par les communautés, mais aussi ouvert des possibilités de collaborations inédites entre les différents acteurs mis en relation par les objets, les sons, les images ou les textes. En réponse aux préconisations des pouvoirs publics et aux revendications de nombreux groupes autochtones, la numérisation permet ainsi de développer de nouvelles politiques d’accès aux collections et d’en développer les usages ou les valorisations, par des chercheurs ou étudiants, par les descendants des personnes représentées et par des artistes. Les collaborations sur des projets de restitution, que cela soit par la médiation de sites internet, de plateformes numériques ou d’archives communautaires, ouvrent de nouveaux horizons pour les processus locaux de revitalisation de langues et de pratiques culturelles menacées, mais aussi pour la création de nouveaux discours et de savoirs autour des matériaux restitués. Le dossier composé de huit articles et d’une introduction générale écrite à six mains interroge à travers une diversité assumée de perspectives (ethnologues, conservateurs, responsables d’institutions patrimoniales, artistes, archivistes) les effets du numérique dans les usages des archives et des collections ethnographiques, depuis les enjeux entourant l’accès aux données par différents acteurs jusqu’aux nombreuses pratiques créatives qui en découlent, dans les institutions et au sein de différentes communautés d’utilisateurs. Les auteurs ont été encouragés à s’appuyer sur leur propre expérience de valorisation numérique pour analyser la réception de ces réalisations et examiner les usages qui en sont faits par les chercheurs, les artistes, le grand public ainsi que par les descendants des groupes concernés par les enquêtes. Au regard des injonctions de valorisation de la recherche et des archives qui nous sont faites en tant qu’anthropologues, le numérique n’apparaît-il pas trop souvent comme une panacée et ne reste-t-il pas un outil dont l’application, en particulier dans le domaine des archives ethnographiques, comporte de nombreuses difficultés, et appelle des formes spécifiques de médiation ?}, language = {fr}, urldate = {2022-04-12}, publisher = {Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative - Université Paris Nanterre}, author = {De Largy Healy, Jessica and Blanchy, Sophie and Mouton, Marie-Dominique}, year = {2021}, keywords = {Archives de chercheurs, Archives ethnographiques, Art, Collections, Musée, Numérique, Restitution, Réappropriation}, } @misc{archives_de_letat_belgique_archives_2021, title = {Archives, mémoires et identités métisses {Un} regard sur le projet de recherche « {Résolution}-{Métis} » en cours aux {Archives} de l'État.}, url = {https://www.expometis.arch.be/introduction}, abstract = {L'exposition virtuelle « Archives, mémoires et identités métisses » dresse un état des lieux de la recherche et présente plusieurs sources d'archives disponibles en la matière. L'équipe de chercheurs souhaite ainsi contribuer à une meilleure connaissance d’un pan douloureux et méconnu de l’histoire coloniale et post-coloniale. Le 29 mars 2018, la Chambre des représentants adoptait à l’unanimité une résolution relative à la ségrégation subie par les métis issus de la colonisation belge en Afrique. L’adoption de cette résolution était l’aboutissement d’un long combat mené par les métis et leurs ayants-droit. Le 4 avril 2019, dans un discours devant la Chambre des représentants, le Premier ministre présentait au nom du gouvernement fédéral belge ses « excuses aux métis issus de la colonisation belge et à leurs familles pour les injustices et les souffrances qu'ils ont subies». Il souhaitait également « exprimer toute notre compassion envers les mamans africaines dont les enfants ont été arrachés ». Les articles 6 et 7 de la résolution de 2018 ont donné naissance au projet de recherche Résolution-Métis, mis en oeuvre aux Archives de l'État afin de faire toute la lumière sur les histoires individuelles et collectives des métis nés dans le contexte de la colonisation belge et les pratiques de ségrégation dont ils ont été victimes. Loin de proposer un historique complet de la question, cette exposition virtuelle offre un regard, en toute transparence, sur la recherche en cours et participe modestement à une meilleure connaissance (et reconnaissance) de cette question complexe et douloureuse. Une frise chronologique reprend quelques dates clé de l'histoire des métis. Cinq thèmes sont également abordés : les origines, les déplacements, les identités en errance, les reconnaissances et les arts mémoriels.À partir de quelques documents d’archives, cette exposition met en lumière la manière dont l’équipe du projet travaille, mais aussi la diversité des parcours des métis et les zones d’ombre et silences qui entourent encore de nombreux aspects de leur histoire tourmentée.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-16}, journal = {Expo-Virtuelle}, author = {Archives de l'État (Belgique)}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, Archives coloniales, Belgique, Diffusion, Exploitation, Histoire, Mémoire, Valorisation}, } @misc{archives_de_letat_belgique_africarch_2021, title = {{AfricArch} - {Archives} africaines du {SPF} {Affaires} étrangères}, url = {https://www.youtube.com/playlist?list=PLWJZokYytbf3cMGxyOylCseXbTWaxkUU5}, abstract = {LES ARCHIVES RELATIVES À LA COLONISATION CONSERVÉES AUX ARCHIVES DE L'ÉTAT Le transfert de 9,5 km d'Archives africaines du SPF Affaires étrangères vers les Archives de l'État bat son plein. Afin d'assurer ce déménagement et la gigantesque opération d'archivage qui l'accompagne, la cellule AfricArch a été créée au sein du dépôt des Archives générales du Royaume Dépôt Joseph Cuvelier. L'archiviste général du Royaume Karel Velle a donné le coup d'envoi d'une série de vidéos sur ces archives relatives à la colonisation belge et sur la décolonisation du traitement de ces documents. Dans les semaines à venir, le flambeau sera transmis à plusieurs archivistes de la cellule AfricArch. 7 vidéos.}, urldate = {2022-04-18}, author = {Archives de l'État (Belgique)}, year = {2021}, keywords = {20e siècle, Accès aux archives, Afrique, Archives coloniales, Belgique}, } @misc{xenos_deterrer_2020, title = {Déterrer l’histoire des {Afro}-{Albertains}, une archive à la fois}, url = {https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1542220/bashir-mohamed-histoire-noirs-alberta-archive}, abstract = {L’histoire de la communauté descendante d'Afrique en Alberta ne date pas d’hier et pourtant, peu d’Albertains la connaissent. C’est pourquoi l’activiste et historien à ses heures, Bashir Mohamed, en fait son cheval de bataille depuis quelques années. Nous avons créé cette image du Canada, meilleure que celle des États-Unis, avec l’idée que nous n’avons pas ces problèmes [de discrimination], mais lorsque les gens le réalisent, ils sont choqués et ne veulent pas gérer ça, explique-t-il.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-28}, journal = {Radio-Canada.ca}, author = {Xenos, Sarah}, year = {2020}, note = {Publisher: Radio-Canada.ca}, keywords = {Canada, Histoire, Minorités visibles}, } @article{chamelot__2020, title = {« {Se} priver d’archi­ves, c’est se priver de mémoire » : la dua­lité cen­tral/local du fonds de l’{Afrique} occi­den­tale fran­çaise ({AOF})}, url = {https://www.archivistes.org/La-Francophonie-des-archives-Expertise-cooperation-partage}, abstract = {Le fonds Afrique occi­den­tale fran­çaise (AOF) cons­ti­tue l’excep­tion à la règle de par­tage entre « archi­ves de sou­ve­rai­neté » et « archi­ves de ges­tion » appli­quée dans les autres colo­nies ou ex-colo­nies fran­çai­ses aux indé­pen­dan­ces. Si cette règle de par­tage émerge expli­ci­te­ment au moment des indé­pen­dan­ces, elle est liée à une pro­blé­ma­ti­que spé­ci­fi­que aux fonds colo­niaux des gou­ver­ne­ments géné­raux, à la fois admi­nis­tra­tions cen­tra­les et loca­les. Cette dua­lité, par consé­quent également portée par les fonds, reflète une réa­lité poli­ti­que et admi­nis­tra­tive de l’empire colo­nial fran­çais clivé autour de deux régi­mes anta­go­nis­tes, et contri­buera, avec d’autres fac­teurs, à la com­plexe et chao­ti­que tra­jec­toire des archi­ves en AOF. Jacques Charpy sera le pre­mier, dans les années 1950, à clas­ser ces fonds et à les rendre acces­si­bles en met­tant en œuvre une appro­che archi­vis­ti­que réa­liste et prag­ma­ti­que. Resté sur le ter­ri­toire séné­ga­lais, le fonds AOF attire désor­mais chaque année de nom­breux cher­cheurs aux Archives natio­na­les du Sénégal et reste l’occa­sion d’ini­tia­ti­ves conjoin­tes avec la France.}, number = {256}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Chamelot, Fabienne}, year = {2020}, note = {Number: 256}, } @article{mallet_les_2019, title = {Les déro­ga­tions géné­ra­les : mesu­res à étendre ou mesu­res excep­tion­nel­les ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Les déro­ga­tions géné­ra­les sont un outil de trans­pa­rence démo­cra­ti­que. Mises en avant par les poli­ti­ques, les his­to­riens et les dif­fé­rents rap­ports sur la com­mu­ni­ca­tion des archi­ves, elles sont pré­sen­tées comme un levier indis­pen­sa­ble, qu’il est néces­saire de déve­lop­per. Pourtant, elles sont très peu uti­li­sées ; seuls vingt arrê­tés ont été pro­mul­gués entre 1979 et 2018 (date de rédac­tion de l’arti­cle). Parmi ces quel­ques textes, les deux tiers envi­ron ouvrent des fonds rela­tifs à la Seconde Guerre mon­diale. Il est en effet dif­fi­cile d’iden­ti­fier de grands ensem­bles de docu­ments dont l’ouver­ture ne serait pas sus­cep­ti­ble de porter une atteinte exces­sive aux inté­rêts pro­té­gés par la loi, condi­tion indis­pen­sa­ble du Code du patri­moine à toute ouver­ture par déro­ga­tion, qu’elle soit géné­rale ou indi­vi­duelle. Au final, elles sont pro­ba­ble­ment appe­lées à rester excep­tion­nel­les, ce qui est loin d’être néga­tif. En effet, cela signi­fie que seuls quel­ques fonds sont suf­fi­sam­ment deman­dés pour faire l’objet d’une telle pro­cé­dure, et que le besoin de cette pro­cé­dure excep­tion­nelle reste limité. Cela ne signi­fie pas pour autant qu’aucune piste ne soit envi­sa­gée actuel­le­ment pour l’ouver­ture de nou­veaux fonds : ainsi, le pré­si­dent de la République a annoncé l’ouver­ture par déro­ga­tion géné­rale des archi­ves rela­ti­ves aux dis­pa­rus de la guerre d’Algérie.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Mallet, Jeanne}, year = {2019}, } @article{frogner_qui_2019, title = {Qui sont ces enfants perdus ? {Origine} et conception du registre des noms des enfants {Autochtones} décédés dans le système des pensionnats du {Canada}, selon le {Centre} national pour la vérité et réconciliation}, volume = {48}, url = {http://archivistes.qc.ca/cora/article_un.php?article_id=663}, abstract = {Le Centre national pour la vérité et réconciliation (CNVR) poursuit les actions entreprises par le groupe de travail de la Commission de vérité et réconciliation sur les enfants disparus et les cimetières anonymes des pensionnats indiens qui ont été en activité au Canada pendant plus de 100 ans. Le Centre enquête sur le destin des enfants placés dans ces écoles et qui ont disparu.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Frogner, Raymond and Foisy-Geoffroy, Dominique}, year = {2019}, pages = {149--159}, } @phdthesis{kane_diffusion_2018, address = {Villeneuve d'Ascq, France}, title = {La diffusion des archives coloniales : du parcours identitaire, mémoriel aux perceptions émotionelles chez les descendants de colonisés en {AOF}}, url = {http://www.theses.fr/2018LIL3H047}, abstract = {Depuis plusieurs années, les structures du patrimoine sont entrées de plein pied dans l’ère du numérique. Elles rejoignent de plus en plus les perspectives des humanités numériques orientées vers la démocratisation du savoir et le renouveau des recherches en Sciences Humaines et Sociales (SHS). Les principes de la démocratisation visant un rapprochement du patrimoine écrit au numérique semblent faire émerger de nouveaux points de réflexions tels que les conséquences de la diffusion des sources pour les besoins de la recherche. Si ces aspects ne sont pas à l’origine d’oppositions dans le domaine des bibliothèques, dans le cas des Archives,ils suscitent un tout autre rapport notamment du point de vue des droits de l’homme et des principes d’accès aux sources, notamment la diffusion. Les multiples avantages du numérique,naguère connus, vantés et recommandés par les politiques actuelles ont élagué des questions centrales à la sensibilité humaine et aux perceptions sociales. Certes, l’honorabilité des pratiques de globalisation associée au principe « d’accès universel au savoir » tel que pensé par Paul Otlet ont des enjeux mémoriels. Toutefois les polémiques liées aux discours sur la colonisation ont laissé place à des critiques sur les idéaux de la « culture pour tous » tout en suggérant une reconfiguration anthropologique de ce qui fonde l’ipséité des sources. Ce faisant,l’archive coloniale devient un réservoir de polémiques et de manifestations d’émotions, enrichie par des expériences personnelles et des situations sociales problématiques. Ces difficultés sont circonstanciées par la dimension émotive du document très peu considérée par les institutions patrimoniales, et les techniques de spectacularisations proposées par les professionnels de l'information. La caractéristique émotive attachée au document est suggérée par le fait que les émotions sont « des qualités d’une expérience complexe qui progresse et évolue, et sont liées à un drame »(Dewey, 2005). L’émotion patrimoniale, en considérant la typologie des documents de la période coloniale, dont il est ici question, répond à une « configuration émotionnelle ».Elle est caractérisée par des émotions collectives où se mêlent imaginaire et vécu. Dès lors,cette thèse tente de démontrer comment le contenu informationnel du document d’archive peut influer sur les perceptions émotionnelles des descendants de colonisé en AOF (AfriqueOccidentale Française) ? Comment se noue, à travers ce contenu, des imaginaires collectifs attachés à l’histoire coloniale ? Et comment se conjuguent principes des droits de l’homme et mise à disposition des sources (droit à l’information) la mise à disposition des sources quand celle-ci réveille réminiscences et souffrances.}, school = {Lille 3}, author = {Kane, Aminata}, year = {2018}, } @article{lespes_les_2017, title = {‪{Les} usages de l’art colonial dans les expositions coloniales : le cas du pavillon marocain‪}, volume = {25}, issn = {1767-7114}, url = {https://www.cairn.info/revue-marges-2017-2-page-146a.htm}, abstract = {Cet article a pour objectif de montrer comment l’art colonial, ici dans le sens de l’art plastique réalisé par des artistes occidentaux d’après leur voyage dans les colonies, est utilisé par les commissaires des expositions coloniales. À travers l’exemple du pavillon marocain des expositions marseillaise de 1922 et parisienne de 1931, nous verrons que les organisateurs ont recours aux toiles, dioramas et panoramas pour leur caractère informatif, distrayant et illusionniste.}, language = {Fr}, number = {2}, journal = {Marges}, author = {Lespes, Marlène}, year = {2017}, pages = {146a--160a}, } @article{auzel_mise_2013, title = {La mise en ligne du {Guide} des sources sur la traite négrière (2008-2011)}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/10263}, doi = {10.4000/insitu.10263}, abstract = {Le Guide des sources étant paru en 2007 sur papier, le ministère de la Culture et de la Communication a réfléchi aussitôt à le mettre sous forme numérique : dès janvier 2008. Cette éventualité est aussitôt adoptée par les Archives de France qui confient le projet à Pauline Moirez, conservatrice au département des publics. Pour cette opération, le ministère assurait un financement à hauteur de 10 000 €. Ce qui fut décidé en 2008, ce fut non pas de faire un site de plus au sein du ministère, m...}, language = {fr}, number = {20}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Auzel, Jean-Baptiste}, month = feb, year = {2013}, } @phdthesis{dieye_valorisation_2013, address = {Montpellier}, title = {Valorisation et médiation numérique du patrimoine documentaire colonial et de l'esclavage}, abstract = {La question de la préservation et de la pérennisation du patrimoine documentaire des archives et des bibliothèques a toujours été au centre des préoccupations et des débats des professionnels en information-documention et intéresse maintenant de plus en plus les usagers. Ceci est lié à l’importance que nos sociétés attachent à l’histoire et à la mémoire. Ce retour vers le passé n’est souvent possible que si la preuve qui l’incarne (en l’occurrence les archives) est bien conservée et valorisée. La numérisation a ouvert de nouvelles perspectives pour la sauvegarde du patrimoine, surtout dans le contexte des pays du Sud où les conditions de conservation font défaut en raison d’un climat tropical défavorable et de moyens infrastructurels et matériels qui manquent souvent. Les solutions offertes par la numérisation pour la sauvegarde, la pérennisation et l’accès au patrimoine documentaire sont certes satisfaisantes, mais ne donnent pas toutes les garanties surtout quand il s’agit des documents historiques fragiles et précieux comme les fonds d’archives de l’esclavage et de la colonisation. [etc.]}, school = {Université de Montpellier 3}, author = {Dieye, Mor}, year = {2013}, }