@misc{archives_de_letat_belgique_crime_2021, title = {Crime scènes. {Les} intérieurs de l’entre-deux-guerres vus par la photographie forensique}, url = {https://www.arch.be/index.php?l=fr&m=actualites&r=agenda&e=crime-scenes}, abstract = {Les photos de scènes de crime sont précieuses pour l'histoire de l'architecture d'intérieur. Le centre de recherche Vandenhove à Gand présente actuellement des photos de scènes de crimes qui se sont déroulés en province de Flandre orientale et d'Anvers dans les années 1920 et 1930. Ces clichés, qui proviennent de dossiers judiciaires conservés aux Archives de l'État, donnent un aperçu brut de ce que fut la vie quotidienne de personnes issues de différentes couches sociales et vivant dans divers types de logements. L'exposition aborde également la création et le fonctionnement des laboratoires judiciaires de Gand et d'Anvers ainsi que les conditions de vie et l'architecture intérieure de l'entre-deux-guerres.}, urldate = {2022-04-21}, journal = {Archives de l'État en Belgique}, author = {Archives de l'État (Belgique)}, year = {2021}, keywords = {20e siècle, Archives photographiques, Belgique, Exposition, Fonds, Justice, Valorisation}, } @article{cappronnier_les_2009, title = {Les archives d'architecture aux {Archives} nationales : la consultation des archives privées d'architectes aux {Archives} nationales, centre de {Paris}}, volume = {2009}, doi = {http://dx.doi.org/10.3828/comma.2009.1.15}, abstract = {L'usage par le public des archives privées d'architectes revět une diversité croissante résultant de la spécificité de ces archives, qui se rapportent à la fois à une production artistique et à des ouvrages répondant à de multiples fonctions et usages.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Cappronnier, Jean-Charles}, year = {2009}, pages = {147--148}, } @phdthesis{chamay_gerer_2020, address = {Suisse}, type = {Mémoire de bachelor}, title = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique: nouveaux contextes, pratiques et perspectives}, shorttitle = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique}, url = {http://doc.rero.ch/record/329809?ln=fr}, abstract = {Le TeTU, «groupe de compétences, Territoires et Tissus urbains», aujourd’hui tombé en déshérence, faute d’activités, possédait un fonds documentaire, essentiellement cartographique, issu originellement de l’activité du Centre de recherche sur la rénovation urbaine (C.R.R.), créé en 1973, institut hébergé alors par l’Université de Genève et transféré à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève (hepia) en 2011.Si cet ensemble d e ressources documentaires, fonds ou collection de documents cartographiques, devenu dès lors fonds d’archives, n’a pas de valeur à proprement parler patrimoniale, soit une importance historique ou artistique patente,–il s’agit largement de tirages, de reproductions et de copies–, il recèle un réel intérêt, car, «initié» par André Corboz (1928-2012), figure quasi «tutélaire» de l’architecture et de l’urbanisme genevois, il témoigne, de manière particulièrement homogène et exhaustive, de l’évolution des territoires et des tissus urbains genevois. Conservant ainsi, outre une réelle dimension culturelle, une indéniable valeur informative et de référence, malgré la concurrence de nouveaux logiciels de cartographie et autres systèmes d’information géographique, toujours plus performants,–mais non sans reproche–,ce fonds possède, à l’ère du tout numérique, de formidables potentialités de valorisation. Dans l’approche élaborée, approche qui se veut pragmatique, nous proposons une stratégie de mise en valeur graduelle, intégrée et à large spectre. Il s’agirait pour le TeTU d’être présent via différents «médias», numériques, tels les portails de diffusion et de valorisation, les blogues, les réseaux sociaux ou les expositions virtuelles, sans dédaigner néanmoins de recourir parfois à une médiation plus traditionnelle, en organisant ponctuellement de petites expositions physiques, des conférences ou en participant à des événements consacrés à l’urbanisme. Cela permettrait de toucher, plus largement, enseignants- chercheurs, étudiants et professionnels du bâti et des territoires, ses publics cibles. Nous appelons de même et en filigrane à la mutualisation et à la convergence, avec les archives d’architectures de Genève (Archives {\textbar} Architectures Genève)en particulier, afin de créer, au Pavillon Sicli, à Genève, un pôle dévolu aux archives d’architectures et d’urbanismes, intégrant pleinement le TeTU, pour une visibilité dédoublée. Dans le cadre de ce travail de bachelor, largement théorique, mais aux ramifications pratiques, concrètes et ancrées dans une réalité de terrain (que faire de ces fonds «académiques» dormants?), il s’est agi de mener une réflexion aboutie sur les enjeux de gestion d’un tel fonds(quelle place pour le papier face à la géomatique?)et les perspectives de valorisation d’archives cartographiques traditionnelles, issues d’un institut à vocation scientifique, à l’ère du tout numérique}, language = {fr}, school = {Haute école de gestion de Genève}, author = {Chamay, Charles-Antoine}, collaborator = {Dubosson, Françoise}, year = {2020}, keywords = {Cartographie, Valorisation}, } @article{culot_les_1990, title = {Les archives d'architecture privées du {XXe} siècle : sauvegarde et mise en valeur}, volume = {15}, journal = {Art Libraries Journal}, author = {Culot, M.}, year = {1990}, pages = {26--32}, } @misc{francearchives_mobilier_nodate, title = {Le {Mobilier} national rejoint {FranceArchives}}, url = {https://francearchives.fr/fr/actualite/432269856}, abstract = {Le Mobilier national crée et restaure des dizaines de milliers de meubles et d'objets destinés à l'ameublement et au décor des édifices publics en France et à l'étranger. Soutien des métiers d’art et de la création depuis le XVIIe siècle, il a pour mission d’assurer la conservation et la restauration de ses collections, de perpétuer et de transmettre des savoir-faire exceptionnels. Haut lieu de patrimoine, l’institution est aussi un acteur majeur de la création contemporaine et de la promotion des arts décoratifs à la française. Les manufactures de Beauvais, des Gobelins et de la Savonnerie lui ont été rattachées en 1937 ; les ateliers de dentelle d’Alençon et du Puy-en-Velay en 1975. En 2021, environ 350 agents œuvrent au sein du Mobilier national, dont 250 techniciens d’art, à Paris et en province. Rattaché au département des collections, le service de la documentation du Mobilier national regroupe l’ensemble des missions liées au patrimoine écrit : archives (550 ml), arts graphiques, bibliothèque, iconothèque, photographie, ainsi que les projets numériques de mises en valeur des collections. Les collections sont accessibles depuis avril 2020 sur le site internet MN/Lab. Vous trouverez sur FranceArchives les inventaires des archives des manufactures de tapisserie des Gobelins (1733-1955) et de Beauvais (1721-1950) et de la manufacture de tapis de la Savonnerie (1654-1889). Il s’agit de documents permettant de retracer la production de ces biens textiles, ainsi que le fonctionnement des manufactures au jour le jour. Le fonds des Gobelins est le plus volumineux (27 ml) et garde la trace des expériences menées par le laboratoire de teinture. Vous y trouverez également les archives du Garde-meuble puis du Mobilier national (1665-2019). Ces documents permettent de retracer l’entrée en possession des biens, leur gestion, leur fabrication, leur restauration, mais également leur placement chez les dépositaires et dans des expositions. Les archives du Garde-meuble jusqu’à la fin du XIXe siècle sont conservées aux Archives nationales.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-18}, journal = {FranceArchives}, author = {FranceArchives}, keywords = {Archives nationales, Collections, Fonds, France, Mobilier}, } @article{jacquot_numerisation_2020, title = {Numérisation et valorisation de maquettes anciennes de villes. {Synthèse} des projets}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/27738}, doi = {10.4000/insitu.27738}, abstract = {La maquette a été pendant longtemps le moyen de communication le plus efficace pour représenter l’architecture et la ville. Libérée des contraintes de la représentation graphique, la troisième dimension permet une lecture simplifiée de l’objet représenté. Au-delà de la question du remplacement de la maquette par des médiations numériques toujours plus réalistes et immersives, nous examinons ici les modes opératoires à l’œuvre dans les projets ainsi que les complémentarités entre maquettes physiques et numériques. Depuis une vingtaine d’années, un nombre croissant de projets mobilisent conjointement maquettes et sciences du numérique. L’archivage et la valorisation des maquettes sont des objectifs partagés par la plupart des projets, tandis qu’une minorité ambitionne la reconstitution d’environnements disparus et la création de systèmes d’information multidimensionnels permettant d’interfacer les données relatives aux maquettes. Une quarantaine de projets faisant intervenir des maquettes anciennes de villes ont été étudiés parmi lesquels le programme de numérisation de plans-reliefs du MAP (UMR « Modèles et simulations pour l’architecture et le patrimoine »). Alors que l’acquisition 3D est l’étape première de la plupart des projets étudiés – et malgré les avancées en matière de collecte de données –, les propriétés exceptionnelles des maquettes constituent un premier obstacle. À l’autre bout de la chaîne de production, le produit final (système d’information nD, copie physique, maquette augmentée, film, etc.) est également analysé pour dégager les usages et les formes de dialogue qui s’établissent entre maquette physique, modèle numérique et la connaissance relative à ces supports. Cet article synthétise les objectifs, les enjeux, les méthodes de production et de diffusion à l’œuvre dans ces approches et introduit le projet « Urbania », dernière recherche du MAP sur la numérisation de plans-reliefs.}, language = {fr}, number = {42}, urldate = {2021-04-11}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Jacquot, Kévin and Halin, Gilles and Chevrier, Christine}, year = {2020}, note = {Number: 42 Publisher: Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines}, } @misc{lamotte_sortir_2021, type = {Blogue de l'{Association} des archivistes du {Québec}}, title = {Sortir les archives des archives: les circuits historiques en contexte urbain}, shorttitle = {Sortir les archives des archives}, url = {https://archivistesqc.wordpress.com/2021/11/01/circuits-historiques/}, abstract = {Par Lauriane Lamotte, étudiante à l’EBSI Les archives dépendent encore beaucoup des musées pour être diffusées et, heureusement, ceux-ci trouvent des manières de plus en plus originales de les rendre accessibles. Dans un désir de donner le contrôle de l’apprentissage à sa clientèle et de stimuler l’intérêt de celle-ci, des parcours urbains se développent. Ces parcours permettent d’attirer une clientèle touristique différente et de sortir les archives des musées. Les archives ne sont plus statiques, mais vivantes.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-03-28}, journal = {Convergence AAQ}, author = {Lamotte, Lauriane}, year = {2021}, keywords = {Diffusion, Exploitation des archives, Histoire, Musée, Québec, Valorisation}, } @article{massiani__2021, title = {« {Danse} et {Architecture} »}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {https://journals.openedition.org/insitu/33169}, doi = {10.4000/insitu.33169}, abstract = {C’est à l’endroit de la pratique du patrimoine et autour de la question de la valorisation d’un patrimoine par une pratique artistique que le projet « Danse et Architecture » a été initié : comment aborder la mise en valeur du patrimoine d’un lycée par l’art chorégraphique in situ ? En s’inscrivant dans le patrimoine qu’est le lycée, de quelle façon le corps, en l’occurrence celui des élèves, peut-il rendre sensible son héritage ? En collaboration avec Adeline Barré, chargée des actions pédagogiques à la Maison de l’architecture et des espaces en Bretagne (MAeB), j’ai donc proposé au lycée Émile-Zola à Rennes un projet d’éducation artistique et culturel dans lequel la danse et l’architecture pouvaient être convoquées de façon interdisciplinaire. Initialement prévu pour être présenté en septembre 2020, c’est dans la perspective des Journées européennes du patrimoine 2021 qu’il s’inscrit aujourd’hui. La temporalité du projet ayant changé, ce n’est pas son processus de création que je vais présenter mais la manière dont il a été pensé. À partir des questions initialement soulevées, je tâcherai de présenter ses objectifs, les étapes de travail envisagées avec les élèves, et finalement la manière dont il pourrait s’insérer dans le dispositif « Le patrimoine de mon lycée » 2021 (délégation académique à l’Éducation artistique et à l’Action culturelle (DAAC) de l’Académie de Rennes).}, language = {fr}, number = {45}, urldate = {2022-04-13}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Massiani, Léna}, year = {2021}, note = {Number: 45 Publisher: Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines}, keywords = {Architecture, Art, Chorégraphie, Création, Exploitation des archives, Patrimoine, Valorisation}, } @phdthesis{yoakim_exploitation_2022, address = {Québec}, title = {L'exploitation des archives dans le cadre du projet de restauration de {Place} {Royale} de {Québec} (1967-1996)}, url = {http://hdl.handle.net/20.500.11794/73223}, abstract = {L'ensemble documentaire de Place Royale de Québec du fonds E6 du ministère des Affaires culturelles regroupe près de trente années d'archives (1960-1989) en provenance de différents créateurs et témoigne de façon globale du projet de restauration et de revalorisation de ce quartier historique. Cet ensemble constitue une trace de ce projet phare qui, au fil de l'évolution des contextes politique, bureaucratique, économique et culturel, mais également des réflexions concernant les choix de restauration effectués va devenir un fardeau pour le gouvernement provincial contraint de revenir aux archives pour justifier ses activités. La nature des archives ne cesse de monopoliser les discussions au sein de l'archivistique. Originellement perçues par les tenants d'une archivistique positiviste comme le reflet exact des activités d'un producteur, les archives sont progressivement pensées par les archivistes postmodernistes comme des objets sociaux et sociétaux incarnant en premier lieu la représentation que le producteur et la société ont des activités accomplies. Dernièrement, à partir de l'étude d'œuvres d'art contemporain, un nouveau courant de pensée né au Québec estime que la nature des archives ne se réduit pas à leur capacité à témoigner des activités d'un producteur, mais qu'elle s'inscrit dans le fait que les archives sont à la fois des objets physiques et construits intellectuellement. L'exploitation des archives se définit alors comme une rencontre effectuée entre un individu, ses connaissances, sa culture, son passé et un document, sa matérialité, son contenu et son historique dans un contexte donné. Grâce à l'étude des processus de production, d'utilisation, de classement et de diffusion des archives de Place Royale pour trois périodes historiques distinctes, ce travail interroge la relation des archives à leurs contextes de production et d'utilisation ainsi qu'aux personnes qui les créent, les utilisent et les conservent, selon leurs besoins. En parallèle, l'identification pour chacune de ces trois périodes historiques des différents acteurs et de leur relation aux documents qu'ils produisent, conservent et exploitent dans le cadre de leurs activités, démontre que l'exploitation des archives comme rencontre se situe à tous les niveaux du parcours documentaire et peut être étudiée dès la création des documents. L'ensemble de ces observations met alors en exergue qu'il existe une archivistique humaine forte des expériences de chacun des individus qui produisent et utilisent des documents et que l'archiviste doit prendre en considération cette réalité s'il veut pouvoir penser en profondeur ses activités et ses outils de travail.}, language = {fr-CA}, urldate = {2022-06-03}, school = {Université Laval}, author = {Yoakim, William}, year = {2022}, note = {Accepted: 2022-04-25T07:03:38Z}, }