@misc{erbetta_faconner_2021, type = {Revue numérique d'histoire actuelle}, title = {Façonner {Archives}}, url = {https://entre-temps.net/rubrique/faconner/}, abstract = {L’histoire en train de s’écrire ! La question de l’écriture de l’histoire est un enjeu majeur de l’actualité de la discipline : comment travaillent les historiennes et les historiens ? Quelles sont les dernières questions qui intéressent le champ historique et quels sont les moyens déployés pour y répondre ? Entre commentaire d’archives, de corpus, entretiens, textes et vidéos, Entre-Temps vous propose, avec cette rubrique, ce qui constitue la matière première, actuelle, prise en main par les historiennes et les historiens.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-15}, journal = {Entre-Temps}, author = {Erbetta, Alejandro}, year = {2021}, keywords = {Archives privées, Argentine, Histoire, Mémoire}, } @misc{nazar_ouvrez_2021, type = {Conseil {International} des {Archives}}, title = {Ouvrez les archives : \#{UneArchiveCest} l’{Histoire}, la {Mémoire} et le {Droit}}, shorttitle = {Ouvrez les archives}, url = {https://blog-ica.org/fr/2021/09/28/ouvrez-les-archives-unearchivecest-lhistoire-la-memoire-et-le-droit/}, abstract = {Invitée à réfléchir aux attentes de la société vis-à-vis des archives et à ce que nous, archivistes, pouvons faire pour travailler avec elles sur des sujets fondamentaux pour la société, je voudrai partager avec vous cette histoire, avant de m’aventurer à donner une réponse. Le 24 mars 1976, alors qu’une vague de répression croissante avait lieu, un coup d’Etat instaura en Argentine une dictature civile et militaire. Celle-ci s’est caractérisée par un degré de violence inédit jusqu’alors. Et tout particulièrement par la mise en place d’un terrorisme d’Etat et l’institutionnalisation d’un crime politique bien spécifique : les disparitions forcées. Face à cet état de fait, une partie de la société s’est mise à dénoncer ces crimes, à réclamer de savoir où se trouvaient les personnes disparues et à exiger leur réapparition en vie. C’est dans ce contexte qu’est né le mouvement de défense des droits humains en Argentine. L’un des axes majeurs des actions menées par le mouvement pour mettre la mémoire, la vérité et la justice au centre des préoccupations, a été de réclamer la conservation et l’ouverture des documents rendant compte de l’action terroriste de l’Etat. Toutes ces années, le cri de ralliement « ouvrez les archives », lancé par Nora Cortiñas, fondatrice du mouvement des Mères de la place de Mai (Madres de Plaza de Mayo) s’est fait entendre, pour que tous sachent ce qui s’était passé et quel avait été le destin de chacun des disparus.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-07}, journal = {ICA}, author = {Nazar, Mariana}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, Archiviste, Argentine, Histoire}, } @article{ranalletti_faire_2014, title = {Faire disparaître une deuxième fois les « disparus ». {Archives} de la dictature et travail de l’historien en {Argentine}}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/489}, doi = {10.4000/elh.489}, abstract = {Ce travail se propose de présenter la découverte récente d’une documentation produite par les bourreaux de la dictature en Argentine, en mettant l’accent sur les moyens utilisés pour faire « apparaître » ces dossiers et ces photos. Suivre la chronologie de ces découvertes permet de s’interroger sur l’évolution du régime d’historicité en Argentine. Dans un deuxième temps, l’analyse porte sur les défis et conflits suscités par la récupération de cette documentation, notamment en ce qui concerne sa conservation et sa communication. En guise de conclusion, on abordera quelques questions liées au travail de l’historien avec la documentation et les archives des régimes dictatoriaux. Nous partons de l’hypothèse que les forces répressives – en tant qu’éléments d’institutions hiérarchiquement structurées – ont disposé d’un appareil bureaucratique clandestin de grande envergure, qui a produit une documentation diverse et abondante. Celle-ci reste encore en grande majorité « égarée » ou entre les mains des bourreaux et de leurs proches. L’envergure du crime et la bureaucratisation du massacre permettent de penser qu’il faut continuer à rechercher les documents, qui, contrairement à ce que prétendent les bourreaux et leurs alliés civils, n’ont pas tous disparu mais ont été mis au secret plutôt que détruits. Ces découvertes partielles interpellent le métier et le rôle de l’historien, notamment quand celui-ci est intéressé par l’histoire du temps présent.}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Ranalletti, Mario}, month = oct, year = {2014}, pages = {137--148}, }