@misc{archives_de_france_numerisation_2013, title = {Numérisation des registres de matricules militaires : {Recommandations} et aide à la rédaction des aspects techniques du cahier des charges}, abstract = {Parmi les opérations visant à commémorer le centenaire de la Première Guerre Mondiale, la numérisation des registres de matricules militaires est un axe fort de l’action des archives départementales. En numérisant les matricules militaires ainsi que les tables alphabétiques qui y sont associées, des outils de recherche sur les personnes mobilisées dans l’armée pendant cette période de conflit seront offerts. Compte tenu des nombreux renseignements civils et militaires qu’ils contiennent, ces documents présentent un intérêt à la fois pour les généalogistes, mais aussi pour les historiens, et plus largement pour le grand public intéressé par la vie des soldats partis au front. Rédigé par les Archives de France (Sous-direction de la politique interministérielle et territoriale pour les archives traditionnelles et numériques, bureau du traitement et de la conservation des archives), ce document a pour but de proposer aux services souhaitant s’engager dans la numérisation des registres de matricules militaires, ou de documents équivalents, une assistance à la rédaction d’un cahier des charges de numérisation. Il s’agit d’un cahier des charges type mais qui se concentre toutefois uniquement sur les questions matérielles et techniques (manipulation des documents, production des données) et nullement sur les clauses administratives.}, publisher = {Archives de France}, author = {{Archives de France}}, year = {2013}, } @misc{pass_les_2021, title = {Les calculs créatifs d’un gouverneur de colonie}, url = {https://ledecoublogue.com/2021/07/20/les-calculs-creatifs-dun-gouverneur-de-colonie/}, abstract = {Les Premières Nations ont joué un rôle essentiel dans la formule démographique de Musgrave, ce qui a aidé à convaincre les colons de la Colombie-Britannique à accepter leur entrée dans la Confédération du Canada. Pourtant, cette union s’est faite au détriment des peuples autochtones de la région, un fait important dont il faut se souvenir alors que nous soulignons le 150e anniversaire de la province. Cet article renferme de la terminologie et des contenus à caractère historique que certains pourraient considérer comme offensants, notamment au chapitre du langage utilisé pour désigner des groupes raciaux, ethniques et culturels. Pour en savoir plus, consultez notre Mise en garde — terminologie historique.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-20}, journal = {Le blogue de Bibliothèque et Archives Canada}, author = {Pass, Forrest}, year = {2021}, keywords = {Archives coloniales, Canada, Histoire}, } @article{prost_les_1968, title = {Les archives des services départementaux de l'{Office} national des {Anciens} {Combattants}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1968_num_61_1_2009}, number = {61}, journal = {Gazette des archives}, author = {Prost, Antoine}, year = {1968}, pages = {123--127}, } @article{jullien_les_2020, title = {Les {Archives} dépar­te­men­ta­les de la {Guadeloupe} dans le {Grand} {Mémorial}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Jullien, Benoît}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{lair_programme_2020, title = {Le {Programme} interministériel d’archivage {VITAM}}, url = {http://www.annales.org/enjeux-numeriques/2020/resumes/juin/12-en-resum-FR-AN-juin-2020.html#12FR}, abstract = {L’archivage est indispensable même dans le numérique. L’archivage public est un élément clé de la continuité de l’État. Sans archivage numérique public, nous risquons un « Alzheimer d’Etat ». Faire de l’archivage numérique nécessite de réconcilier la nanoseconde avec le siècle, le flux et la preuve. Le programme interministériel d’archivage numérique VITAM a été lancé en 2015 pour apporter une réponse aux grands acteurs de l’archivage. Au cœur du programme, se trouve le développement d’un logiciel libre d’archivage, évolutif, simple et facilement interfaçable, qui permet la gestion unitaire et sécurisée de milliards d’objets. Porté à l’origine par les ministères de la Culture, des Affaires Etrangères et des Armées, le programme a rallié de multiples utilisateurs, tant publics que privés, tous impliqués dans une approche collaborative. La première phase, 2015-2019, aura été celle des débuts, avec un produit porté par une communauté d’usage et encore voué à évoluer et s’enrichir.}, number = {1}, journal = {Enjeux numériques}, author = {Lair, Jean-Séverin}, year = {2020}, note = {Number: 1}, } @article{dagnos_numerique_2020, title = {Le numérique au service de l’exceptionnel à la bibliothèque du {Service} historique de la {Défense} : le rouleau de l’ordre de bataille de {Vélez}-{Málaga}}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, shorttitle = {Le numérique au service de l’exceptionnel à la bibliothèque du {Service} historique de la {Défense}}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/27403}, doi = {10.4000/insitu.27403}, abstract = {La bibliothèque du Service historique de la Défense, service à compétence nationale du ministère des Armées, a acquis en 2016 par voie de mécénat participatif un document exceptionnel. Entièrement manuscrit, le rouleau de l’ordre de bataille de Vélez-Málaga (vers 1715-1720) a rapidement fait l’objet d’une numérisation, tant pour des raisons de conservation que de médiation. L’imagerie numérique s’est imposée comme un moyen intéressant de médiation offrant une vraie plus-value scientifique et pédagogique à ce document si particulier. Outre sa valorisation, la numérisation du document offre des possibilités intéressantes du point de vue de la conservation, en proposant un substitut et en témoignant de l’état de conservation du rouleau. C’est enfin la recherche que sert l’imagerie numérique, en permettant un regard autre sur le document. Le croisement des informations et des données, rendu possible par le numérique, apporte également de nouvelles perspectives de recherche, même s’il faut être conscient des limites de l’imagerie numérique, quel que soit son domaine d’application. Car si l’imagerie numérique est un outil aux possibilités exceptionnelles, elle ne saurait être utilisée à bon escient sans une réflexion sur ses limites.}, language = {fr}, number = {42}, urldate = {2021-04-11}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {d’Agnos, Constance de Courrèges and Dubos, Jean-François and Legrosse, Sylvie}, year = {2020}, note = {Number: 42 Publisher: Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines}, } @article{chancerel_centenaire_2020, title = {Le cen­te­naire de la {Première} {Guerre} mon­diale au {Service} his­to­ri­que de la {Défense}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Chancerel, Pierre and Fonck, Bertrand}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{tocanne_centenaire_2020, title = {Le cen­te­naire de 1914 à l’{Assemblée} natio­nale : « par­le­men­ta­risme de guerre » et mémoire du député engagé pour la défense de la patrie}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {En 2014, l’Assemblée natio­nale a orga­nisé pour le Centenaire une expo­si­tion sur le « par­le­men­ta­risme de guerre » et la mémoire de l’enga­ge­ment des dépu­tés pour la défense de la patrie. Présentée dans les salles atte­nan­tes à l’hémi­cy­cle et acces­si­ble au public de juillet à décem­bre, celle-ci a été conçue de manière essen­tiel­le­ment chro­no­lo­gi­que pour faire appa­raî­tre l’émergence du « par­le­men­ta­risme de guerre » et le ren­for­ce­ment du contrôle par­le­men­taire, de 1915 à 1917, afin de ne pas lais­ser les seuls géné­raux régler les ques­tions d’ordre mili­taire au fur et à mesure que le conflit durait et que les par­le­men­tai­res de retour du front fai­saient part de leur expé­rience. Elle a rendu un hom­mage par­ti­cu­lier aux seize dépu­tés morts pour la patrie. De part et d’autre, deux espa­ces ont été dédiés, l’un à Jaurès, le « martyr de la paix », et l’autre à Clemenceau, le « père de la vic­toire ». Par ailleurs, pour péren­ni­ser « la mémoire de la mémoire », un dos­sier thé­ma­ti­que, tou­jours acces­si­ble en ligne, a été créé sur le site Internet de l’Assemblée natio­nale. Il pré­sente les prin­ci­paux éléments de l’expo­si­tion, ainsi que de nom­breux docu­ments numé­ri­sés, en par­te­na­riat avec le Sénat, les Archives natio­na­les et la Bibliothèque natio­nale de France.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Tocanne, Vincent and Béclère, Marc}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @misc{bryden_shc_2021, title = {La {SHC} fait part de sa préoccupation concernant les problèmes constants d'accès aux informations historiques produites par le {Service} canadien du renseignement de sécurité}, url = {https://cha-shc.ca/fr/interventions-publiques}, abstract = {Madame la Commissaire Maynard, Je vous écris au nom de la Société historique du Canada pour vous faire part de notre préoccupation concernant les problèmes constants d'accès aux informations historiques produites par le Service canadien du renseignement de sécurité. Nous comprenons que ces documents sont plus sensibles que la plupart des autres, mais nous reconnaissons également que le public a le droit et l'obligation de surveiller nos services secrets afin de préserver la démocratie à son niveau le plus fondamental. Présentement, les politiques du Canada en matière d'examen des documents historiques liés aux services de sécurité sont plus restrictives que celles de nos alliés les plus proches, elles entravent les enquêtes historiques importantes et, au final, sapent notre capacité à fonctionner en tant que démocratie. Cette question nous préoccupe depuis longtemps et nous avons déjà écrit au SCRS et à Bibliothèque et Archives Canada à plusieurs reprises. La politique actuelle comporte cinq défauts fondamentaux.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-21}, author = {Bryden, Penny}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, Canada, Droit, Sécurité}, } @article{challeat-fonck_protection_2019, title = {La pro­tec­tion du secret de la défense natio­nale aux {Archives} natio­na­les : retour d’expé­rience sur quatre années de mise en œuvre}, url = {https://www.archivistes.org/Les-Archives-nationales-une-refondation-pour-le-XXIe-siecle}, number = {254}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Challéat-Fonck, Violaine and Veyssière, Marion}, year = {2019}, note = {Number: 254}, } @article{lopes_larchiviste_2020, title = {L’archiviste, l’histoire et le secret : le cas exemplaire du secret {Défense}}, abstract = {« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration » : en 1789, en inscrivant ce principe dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la Révolution française a souhaité affirmer le principe de transparence et donc tourner le dos aux pratiques antérieures de l’Ancien Régime, notamment le secret d’État. Un des textes fondateurs est la loi du 7 messidor an 2 (25 juin 1794) qui permet aussi, par son article 37, le principe de « libre consultation » des archives : « Tout citoyen pourra demander dans tous les dépôts, aux jours et heures qui seront fixés, communication des pièces qu’ils renferment ; elle leur sera donnée sans frais et sans déplacement, et avec les précautions convenables de surveillance ». Ce dernier principe devient donc un droit citoyen. L’archiviste collecte, classe et conserve les archives pour permettre leur accès. La loi (de 1979, puis de 2008), codifiée, lui confie une double mission : « La conservation des archives est organisée dans l’intérêt public, tant pour les besoins de la gestion et de la justification des droits des personnes physiques ou morales, publiques ou privées, que pour la documentation historique de la recherche1 ». Le document d’archives est une source pour l’histoire, mais pas seulement... L’archiviste doit donc marcher sur ses deux jambes et ne pas négliger la logique de production des documents, ne serait-ce que pour enrichir la collecte de documents qui pourraient ne pas être versés, voire détruits2. Après avoir rappelé les obstacles à la communication des archives que compose le secret Défense, nous verrons les axes de mobilisation commune entre archivistes et historien·nes, notamment depuis le début de cette année 2020.}, number = {147}, journal = {Cahiers d'histoire, revue d'histoire critique}, author = {Lopes, Nathalie}, year = {2020}, note = {Number: 147}, } @phdthesis{hamel_constitution_2013, address = {Angers, France}, type = {Master {Histoire}, {Document}}, title = {De la constitution à la mise en valeur d'un fonds d'archives orales en {France} : le cas du service historique de la {Défense}}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20114933/20132MHD1747/fichier/1747F.pdf}, abstract = {Si les archives orales en France ont été beaucoup étudiées, le cas des Services historiques des Armées, futur Service historique de la Défense, reste encore un domaine où les recherches peuvent être creusées. Outre de multiples articles de vulgarisation qui ne se concentrent que sur une partie des fonds, seul un mémoire de Jean-François Nativité a étudié la question des archives orales de la Gendarmerie nationale en 2004, dans un objectif de valorisation du fonds : les archives orales de la gendarmerie nationale : descriptif, traitement et mise en valeur (Mémoire de DESS métiers des archives, Université Jean Moulin-Lyon III). Le SHD constitue pourtant l’organisme qui détient le plus grand corpus de témoignages oraux en France en nombre de témoins et l’un des rares qui atteigne le seuil de 1°000 témoins. C’est au tournant des années 1970 que l’un des Services historiques des armées, celui de l’Armée de l’Air, s’intéresse au courant encore marginal en France qu’est celui des archives orales. Dans une optique principale de comblement de lacunes et de meilleure compréhension des archives, 671 témoignages de tous grades totalisant 3°000 heures sont enregistrés sur 16 thèmes, selon une solide méthode élaborée progressivement - à tel point qu’elle constitue rapidement un modèle pour le recueil de témoignages oraux – incluant la semi-directivité. Les autres Services Historiques des Armées rejoindront ce courant successivement en 1979 (pour la Marine), 1996 (pour l’Armée de Terre) et enfin 2000 (pour la Gendarmerie), de par leurs lacunes moins importantes ou encore leurs réticences à cette méthode. Si l’objectif primaire est le même (le comblement de lacunes et la meilleure compréhension des archives), ces services optent pour une méthode qui sont radicalement différentes de l’armée de l’Air : l’entretien non-directif. Par ailleurs, chacun d’entre eux ne s’intéresse principalement qu’aux hauts gradés. Ces fonds totalisent 146 témoignages à la Marine et 73 à l’armée de Terre ; ceux de la Gendarmerie ne peuvent quant à eux être quantifiés exactement du fait de leur inventorialisation encore partielle. La réforme de mutualisation du Service Historique de la Défense en 2005 réunit toutes ces sections d’archives orales en une seule, créée au sein de la Division de l’innovation technologique et des entrées par voie extraordinaire (DITEEX). Cependant, il a été nécessaire auparavant d’uniformiser des méthodes radicalement différentes utilisées dans des services dont les intitulés mêmes variaient. Désormais, c’est la méthode de l’Armée de Terre qui est appliquée et généralisée à toutes les armes existantes, tant du point de vue des thèmes choisis, de la semi-directivité que des témoins choisis. Par ailleurs, la mutualisation n'a pas signifié pour autant une mutualisation des fonds : ceux-ci se distinguent bien entre les 4 armées, avec des inventaires qui leurs sont propres.}, school = {Université Angers}, author = {Hamel, Pierre}, year = {2013}, note = {Sous la direction de Bénédicte Grailles}, keywords = {Armée de Terre, Armée de l'Air, Gendarmerie, Marine, Service historique de la Défense, archives orales}, } @article{recasens_archiver_2020, title = {Archiver la mémoire. {Les} consuls toulousains face aux événements de mai 1562}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, shorttitle = {Archiver la mémoire}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-139.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0141}, abstract = {Durant les Guerres de Religion, l’écriture des chroniques annuelles ou de certaines délibérations permettent aux édiles d’imposer une histoire et une mémoire. En contrepoint, la destruction de certains documents empêche l’expression de voix dissonantes. Dans le cadre de numéro sur la construction des archives urbaines, nous proposons de comprendre comment la gestion des écrits administratifs consulaires participe à l’élaboration d’un discours mémoriel en prenant comme principal exemple Toulouse au début des Guerres de Religion. En 1562, alors que la ville sort d’un conflit de six jours entre protestants et catholiques, nous montrerons comment les archives deviennent actrices du conflit, jusqu’à en devenir une extension : manipulées, détruites, remodelées, elles sont les preuves d’une histoire violente et héroïque. En somme, entre histoire et mémoire, de quoi les archives municipales sont-elles la trace ?}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Recasens, Maïté}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, pages = {139--156}, }