@book{boukara_shoah_2021, title = {La {Shoah}. {Au} cœur de l'anéantissement}, isbn = {979-10-210-4736-5}, url = {https://www.tallandier.com/livre/la-shoah/}, abstract = {L’histoire de la Shoah s’appuie sur des millions de pièces d’archives conservées aux quatre coins du monde. Chacune participe à l’écriture de cette histoire pour les générations actuelles et futures. Pour la première fois, des historiens européens ont choisi près de 300 de ces documents et les décryptent. Photographies, dessins, lettres, rapports, témoignages nous plongent au cœur de l’anéantissement et nous aident à comprendre les mécanismes du génocide et ses conséquences, comme les résistances qui lui furent opposées. Un livre patrimonial, indispensable à la transmission de la mémoire de la Shoah.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-18}, publisher = {Tallandier}, author = {Boukara, Philippe and Bruttman, Tal and Chapoutot, Johann and Kotek, Joël and Kreutzmuller, Christoph and Cywinski, Piotr}, year = {2021}, keywords = {20e siècle, Histoire}, } @book{service_interministeriel_des_archives_de_france_archives_2013, address = {Paris, France}, title = {Archives notariales. {Manuel} pratique et juridique}, isbn = {978-2-11-009428-5}, abstract = {Cet ouvrage fait la synthèse de plus de quatre-vingts ans d'intérêt des archivistes et des chercheurs pour les archives notariales. En 1928, la loi a rendu possible l'entrée massive des actes des notaires dans les services d'archives publics, avant de la rendre obligatoire en 1979. Elle a entraîné une politique active de collecte, de création d'instruments de recherches et de mise en valeur de ces documents. Ces fonds ont très vite suscité un extraordinaire engouement des chercheurs, qui y ont souvent trouvé la matière de leurs investigations dans des domaines très variés : histoire économique et sociale, histoire de l'art et de l'architecture, histoire du droit ou généalogie familiale. Cet ouvrage est le fruit collectif de la commission des archives notariales, qui est une émanation du Conseil supérieur des Archives ; il a donc comme auteurs des archivistes, des conservateurs, des chercheurs et des notaires. Il se veut un abrégé pratique destiné à tous ceux qu'intéresse cette source insurpassable de l'histoire des personnes.}, publisher = {La documentation française}, author = {{Service interministériel des Archives de France} and {Documentation française}}, editor = {Étienne, Geneviève and Limon-Bonnet, Marie-Françoise}, year = {2013}, } @book{andus_lhotellier_les_2012, address = {Coeuvres-et-Valsery}, series = {Pas à pas}, title = {Les {Archives} internationales de la danse: un projet inachevé, 1931-1952}, isbn = {978-2-84505-130-0}, abstract = {Fondées en souvenir des Ballets suédois et de Jean Börlin, par Rolf de Maré le 16 juin 1931 à Paris, et dirigées par Pierre Tugal, les Archives Internationales de la Danse (A.I.D.) se donnèrent pour objectif de centraliser tous les documents ayant trait à la danse dans tous les pays du monde, de constituer un musée de la danse, une bibliothèque, un office de documentation et de renseignements, un service d’archives, un département sociologique et ethnographique, une salle de conférences et de démonstrations ainsi qu’une salle d’expositions. L’objet de cet ouvrage est de reconstituer l’histoire de la Fondation et de proposer une analyse de ses principaux chantiers : les différents concours entre 1932 et 1947, le projet muséal ainsi que la conception du projet scientifique, en prenant, comme point de départ méthodologique, une enquête auprès des témoins de l’époque – les artistes chorégraphiques. Le retour sur les différents concours qu’organiseront sur quinze ans les A.I.D. permet de montrer comment s’est imposée, auprès d’un public que les A.I.D. entendent fédérer, la figure de Kurt Jooss au dépend de celle de Jean Börlin, dont la fondation entendait précisément entretenir le souvenir. L’analyse du projet scientifique porté par les A.I.D. fait l’objet de la troisième partie de cet ouvrage, dans laquelle est abordée la notion du terrain que constitue le voyage exploratoire aux Indes néerlandaises en 1938. Apparaissent alors nettement les limites de leur méthodologie scientifique, réponse de la fondation à ce qui est perçu comme l’absence d’un corpus intellectuel propre à la danse. L’auteure : danseuse de formation, Sanja Andus L’Hotellier est historienne de la danse. Docteure de l’Université Paris VIII-Vincennes Saint-Denis, elle a collaboré à différentes missions de recherche notamment auprès du Musée de la danse de Stockholm, du Mas de la danse, de l’IMEC et du Centre National de la Danse. Elle est actuellement chercheuse invitée au Département d’Histoire de Columbia University de New York. Ce livre propose, révisé pour la présente publication, un historique des A.I.D. dont l’auteure a présenté une thèse. Il comporte des documents icnographiques noir et blanc, et l’ensemble des Entretiens avec des artistes – danseurs et danseuses, chorégraphes – ayant participé à cette Fondation: Françoise Adret, Birgit Boman, Ivo Cramér, Geneviève Demachy-Berthéas, Dominique Dupuy, Françoise Dupuy, Bengt Häger, Maryelle Krempff, Pino Mlakar, Janine Solane, Maria Strömberg, Sonja Sundberg.}, publisher = {Ressouvenances}, author = {Andus L'Hotellier, Sanja}, year = {2012}, } @book{le_goff_les_2011, address = {Paris, France}, title = {Les archives des {ONG}, une mémoire à partager}, url = {http://www.ica.org/sites/default/files/ICA_Les-archives-des-ONG_FR.pdf}, publisher = {Conseil international des archives}, author = {Le Goff, Armelle}, year = {2011}, } @book{archives_nationales_doutre-mer_archives_nodate, series = {Archives \& {Culture}}, title = {Archives nationales d'outre-mer : mode d'emploi}, url = {https://www.archivesetculture.org/product-page/archives-nationales-d-outre-mer-mode-d-emploi}, abstract = {Les Archives nationales d’outre-mer (ANOM), héritières de trois siècles d’histoire, conservent les archives des ministères en charge du XVIIe au XXe siècle de l’empire colonial français, celles transférées en partie des anciennes colonies et de l’Algérie lors de leurs indépendances (à l’exception des protectorats du Maroc et de la Tunisie, du mandat français en Syrie et au Liban), des archives privées relatives à l’outremer français, une cartothèque, une iconothèque et une bibliothèque spécialisées. Qui imaginerait trouver, derrière les beaux murs des ANOM à Aix-en-Provence, le carnet d’Alfred Dreyfus au bagne de Guyane, le traité de paix de 1701 entre la France et les nations indiennes, le brouillon de la minute du décret d’abolition de l’esclavage de 1848, ou quelque 120 000 dossiers de condamnés aux bagnes de Guyane et de Nouvelle-Calédonie ? Au-delà des archives des grands noms de la colonisation, on trouve aux ANOM l’histoire des hommes et des femmes qui ont vécu outre-mer, une histoire riche en émotions et un passé difficile et douloureux encore aujourd’hui. Les documents conservés permettent de répondre parfois à l’attente de très nombreux citoyens en quête de leur passé, de leur famille. Les 7 000 courriers annuels reçus de plusieurs continents concernent des demandes d’état civil, d’attestations de carrière, des états de services militaires… Un peu plus de cinquante ans après leur création, les ANOM sont de plus en plus engagées dans le champ de la mémoire partagée, car les archives qu’elles conservent sont un patrimoine commun à la France et à ses anciennes possessions outre-mer. Ce guide permettra ainsi à chacun de découvrir bien des histoires familiales d’outre-mer.}, language = {fr}, urldate = {2021-02-26}, author = {Archives nationales d'outre-mer and Collectif d'archivistes des ANOM}, } @book{noauthor_archivum_nodate, address = {Paris, France}, title = {Archivum, la revue du {Conseil} international des archives, 1950-1957}, language = {Deutsch, English, Espagnol, Français, Italiano}, publisher = {Conseil international des archives}, }