@book{lemay_archivistique_2021, edition = {Université de Montréal}, title = {Archivistique et numérique. {Notes} de recherche 3}, url = {http://hdl.handle.net/1866/24927}, abstract = {En lien avec le dernier objectif du projet "De la diffusion à l'exploitation", c'est-à-dire "mieux comprendre l'archivistique en contexte numérique", le troisième volet des Notes de recherche vise à analyser le discours sur la question du numérique depuis le début des années 2000. À cette fin, une banque de plus de 1000 citations provenant de quatre périodiques en archivistique (Archives, Archivaria, La Gazette des archives et Archival Science) a été créée et incluse dans les Notes. Privilégiant, comme dans le volet précédent, une approche collaborative, la professeure Anne Klein et les étudiants au doctorat Annaëlle Winand, Simon Côté-Lapointe et William Yoakim étaient à même d'intervenir dans les propos de différentes façons. Pour faire également suite aux travaux menés lors des Notes de recherche 2, des photographies ont été intégrées au contenu dans le but de réfléchir à l'exploitation des archives. Sauf une exception, elles proviennent de BAnQ numérique.}, language = {Français}, urldate = {2022-04-16}, publisher = {Université de Montréal. École de bibliothéconomie et des sciences de l'information}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne and Winand, Annaëlle and Côté-Lapointe, Simon and Yoakim, William}, year = {2021}, keywords = {Archivage, Archives, Diffusion, Document, Exploitation, Numérique}, } @book{boustany_pour_2021, address = {Villeurbanne, Rhône, France}, title = {Pour une cohabitation profitable: problématiques et enjeux des liens entre missions archives et {SCD} au sein de l'université}, shorttitle = {Pour une cohabitation profitable}, abstract = {Ce mémoire porte sur les liens entre les services communs de la documentation et les services d’archives des universités. Bibliothécaires et archivistes se côtoient depuis quelques années dans la majorité des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, et la nature de leurs relations varie de manière importante d’une institution à l’autre. Aujourd’hui se développent de nouveaux domaines de travail pour ces professionnels de la documentation, notamment dans le domaine des services aux chercheurs, ainsi que de la gestion et de la valorisation des données de la recherche. Peut-on concevoir des modalités concrètes de collaboration entre l’archiviste et le bibliothécaire, en s’appuyant sur les réflexions au sujet de la convergence des deux métiers, mais aussi sur les réalités du travail en université ? Après avoir présenté les grands enjeux liés à l’archivage en université, on cherchera à présenter des points de convergence spécifiques.}, language = {français}, author = {Boustany, Antoine and Hamard, Damien}, year = {2021}, note = {Type: Mémoire d'étude diplôme de conservateur des bibliothèques University: École nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques}, keywords = {Archivistique, Bibliothèque, Données de la recherche, Recherche, Université}, } @book{klein_archives_2019, address = {Québec, Canada}, title = {Archive(s), mémoire, art. Éléments pour une archivistique critique}, url = {https://www.pulaval.com/produit/archive-s-memoire-art-elements-pour-une-archivistique-critique}, abstract = {L’utilisation des archives hors de leur lieu traditionnel qu’est la salle de lecture et hors de l’action des archivistes impose un renouvellement de la pensée archivistique traditionnellement centrée sur le moment de production des documents. Considérer les archives comme objet historique depuis leur exploitation artistique en prenant appui sur le matérialisme historique de Walter Benjamin conduit à revisiter l’archivistique. Ce réexamen passe d’abord par une historicisation des archives et de l’archivistique, ensuite par une réflexion autour de la notion d’archive à partir de la relation des archives avec la mémoire et la connaissance du passé et, enfin, par l’analyse de démarches artistiques mettant les archives en œuvre qui éclaire d’un jour nouveau les conditions d’existence des archives (matérialité, authenticité, lacune). Cet ouvrage propose tout à la fois une histoire de l’archivistique, une réflexion épistémologique autour de la notion d’archive et des outils méthodologiques pour l’étude des archives comme objet social.}, urldate = {2020-05-22}, publisher = {Presses de l'Université Laval}, author = {Klein, Anne}, year = {2019}, } @book{gendron_papier_2018, address = {Québec (Québec)}, title = {Le papier voyageur. {Provenance}, circulation et utilisation en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle}, abstract = {Sous l’Ancien Régime, l’administration coloniale, l’Église et le commerce ont produit une masse considérable de documents de toutes sortes : la Nouvelle-France n’y a pas fait exception. Puisque la colonie n’avait aucun moulin producteur de papier, il a bien fallu importer ce support nécessaire aux écritures. Trois questions découlent de ce constat : d’où provient le papier utilisé en si grande abondance ? Quelles sont les circonstances de l’importation du papier, les sources d’approvisionnement en papier et les voies empruntées pour son transport ? Qui sont les utilisateurs du papier et à quelles fins en font-ils usage ? L’étude des caractéristiques du papier d’écriture à partir de feuillets originaux du XVIIe siècle provenant des centres d’archives publics et privés au Québec et au Canada permet de déterminer la provenance de ce papier et, de là, les mouvements de sa circulation entre la France et la Nouvelle-France. L’étude positionne aussi les circuits d’approvisionnement qui ont facilité son arrivée dans la vallée du Saint-Laurent. Trois aspects interreliés au papier d’écriture sont également mis en évidence, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation.}, publisher = {Presses de l'Université Laval}, author = {Gendron, Céline}, year = {2018}, } @book{passini_oeil_2017, address = {Paris, France}, series = {{SH}/Écritures de l'{Histoire}}, title = {L'oeil et l'archive : {Une} histoire de l'histoire de l'art}, isbn = {978-2-7071-7682-0}, abstract = {Heinrich Wölfflin, Alois Riegl, Aby Warburg, Henri Focillon, Erwin Panofsky, Roberto Longhi, Linda Nochlin, Michael Baxandall et bien d’autres… Autant de noms qui, de la fin du XIXeà la fin du XXe siècle, ont participé à la construction de l’histoire de l’art. Les notions, méthodes, savoirs et savoir-faire qu’ils ont élaborés ont fabriqué le rapport réflexif que nous continuons aujourd’hui d’entretenir avec le plus omniprésent des matériaux symboliques de nos sociétés : l’image. Cet ouvrage, à la fois érudit et très accessible, offre un panorama de tout premier plan pour quiconque voudrait se familiariser avec les grandes figures et les grands concepts de la théorie visuelle, en même temps qu’une synthèse pionnière montrant comment l’histoire de l’art s’est constituée en discipline, avec ses institutions propres, ses plateformes d’échange (revues, congrès, expositions, etc.) et ses dispositifs de contrôle de la production scientifique. Il montre aussi comment, tout au long du XXe siècle, cette histoire fut celle de l’affrontement entre deux conceptions rivales quant à leurs objectifs et leurs enjeux. Selon la première, l’œuvre d’art, pour être comprise, se suffi t à elle-même et suffi t à son interprète, dont la fonction consiste en une analyse avant tout visuelle ; pour la seconde, elle est un objet culturel complexe, dont il s’agit de reconstituer les dimensions sociales, politiques et intellectuelles. Avec ce livre aussi documenté qu’ambitieux, Michela Passini propose, pour la première fois en français, une histoire transnationale de l’histoire de l’art. Une somme indispensable pour comprendre les origines de notre rapport présent aux œuvres d’art.}, language = {Français}, urldate = {2018-01-06}, publisher = {Édition La découverte}, author = {Passini, Michela}, year = {2017}, } @book{bachimont_patrimoine_2017, series = {Médias et {Humanités}}, title = {Patrimoine et numérique : technique de la politique de la mémoire}, abstract = {Edité dans la collection « Médias et Humanités » de l’Ina, cet ouvrage aborde la question de la mémoire à travers le prisme des outils techniques d’écriture et d’enregistrement numériques. Le numérique bouleverse nos pratiques d’archivage et les modes de constitution de notre mémoire. S’il est désormais possible de collecter une grande partie des communications, immenses sont les défis relatifs aux techniques de conservation ainsi qu’aux dispositifs d’accès et de consultation. Qu’est-ce qu’une archive à l’heure du numérique ? Peut-on encore prétendre connaître le passé à partir de la trace documentaire que l’on en a conservée ? La mémoire s’exerce–t-elle différemment lorsque cette trace est numérique ? L’enjeu de cet ouvrage est de mieux saisir l’impact du numérique sur notre mémoire, en proposant un cadre conceptuel et méthodologique pour aborder cette question centrale, placée au cœur des mutations technologiques et sociétales contemporaines.}, publisher = {INA Éditions}, author = {Bachimont, Bruno}, year = {2017}, } @book{maeck_image_2016, address = {Rennes, France}, series = {Histoire}, title = {L'image d’archives: {Une} image en devenir}, isbn = {978-2-7535-5169-5}, url = {http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=4245}, abstract = {L’idée originale de cet ouvrage est d’identifier les processus qui concourent à conférer à l’image le statut d’archives. Qu’est-ce qui fait qu’une image devient ou non document d’archives ? Cette réflexion rassemble des historiens, des historiens de l’art, des archivistes, des philosophes, des esthètes, des anthropologues, des artistes et des chercheurs en études cinématographiques et en sciences de la communication. Deux entretiens inédits, menés avec des historiens spécialistes du sujet – Marc Ferro et Pierre Sorlin, Sylvie Lindeperg et Laurent Véray – viennent clôturer l’ouvrage.}, urldate = {2019-10-30}, publisher = {Presses Universitaires de Rennes}, author = {Maeck, Julie and Steinle, Matthias}, year = {2016}, keywords = {Archives audiovisuelles – Congrès}, } @book{galland_les_2016, address = {Paris}, series = {Que sais-je ?}, title = {Les archives}, isbn = {978-2-13-074849-6 2-13-074849-X}, url = {http://www.sudoc.fr/196212618}, abstract = {État civil, minutes notariales, cadastre, comptes rendus de conseils d’administration, papiers et photographies privés… Les archives ne sont pas réservées aux historiens ou aux curieux : ce sont des documents produits dans le cadre d’une activité précise et qui sont conservés, soit pour des besoins de gestion, soit pour établir un droit ou une obligation. C’est dire si les archivistes ne sont pas hors du temps : ils sont même les premiers concernés par les évolutions liées au numérique et les interrogations qui agitent la société (devoir de mémoire, droit à l’oubli…). Dans ce guide pratique, Bruno Galland, dressant un panorama des institutions et des acteurs, donne à tous ceux qui sont amenés à archiver ou à puiser dans des fonds d’archives les bonnes méthodes (et peut-être des idées) pour s’y retrouver et y trouver ce qu’ils cherchent.}, number = {805}, publisher = {Puf}, author = {Galland, Bruno}, year = {2016}, } @book{gagnon-arguin_panorama_2016, address = {Québec, Canada}, series = {Gestion de l'information}, title = {Panorama de l'archivistique contemporaine: évolution de la discipline et de la profession: mélanges offerts à {Carol} {Couture}}, isbn = {978-2-7605-4337-9}, url = {http://www.puq.ca/catalogue/collections/panorama-archivistique-contemporaine-evolution-discipline-profession-2773.html}, abstract = {Résumé Les archives et l’archivistique se sont transformées au cours des dernières années, notamment sous l’influence des nouvelles technologies de l’information et de la communication. C’est ainsi qu’ont émergé de nouvelles problématiques exigeant une adaptation des bases théoriques de la discipline et une révision de ses pratiques. La profession d’archiviste s’est développée au rythme de ces changements, tant par l’institutionnalisation de la formation que par le renforcement de liens à travers la mise en place et la vitalité des associations d’archivistes. S’inspirant de leurs recherches, de leurs pratiques et de leurs réflexions, une vingtaine de spécialistes, dont plusieurs archivistes, provenant du Québec, du Canada et de l’étranger, font le point sur diverses thématiques liées aux archives elles-mêmes, à la discipline archivistique et à la profession d’archiviste. Les professionnels de l’archivistique, les étudiants en sciences de l’information et toute personne s’intéressant à ce domaine y trouveront une synthèse des problématiques qui jalonnent la discipline. Cet ouvrage constitue un hommage à la carrière de Carol Couture qui, à la fois comme archiviste, administrateur et professeur, a consacré sa vie professionnelle à la reconnaissance des archives, au développement de l’archivistique et à la promotion de la profession d’archiviste.}, publisher = {Presses de l'université du Québec}, editor = {Gagnon-Arguin, Louise and Lajeunesse, Marcel}, year = {2016}, } @book{fuzeau_etude_2016, address = {Paris, France}, title = {Étude du marché du management de l’information Évolution sur 10 ans et projection sur 2018}, url = {http://www.sudoc.fr/195820363}, publisher = {SerdaLab}, author = {Fuzeau, Pierre and Ni, Haosen}, year = {2016}, } @book{observatoire_des_metiers_de_la_fonction_information_archivage_2015, address = {Paris, France}, title = {Archivage et {RM}}, volume = {2}, url = {http://www.zyyne.com/zh5/170541#p=0}, abstract = {Après un premier opus consacré au cœur historique de nos métiers, matérialisé sur la cartographie ADBS par l'appellation « Gestion de ressources informationnelles », l'ADBS poursuit son exploration du marché du travail de la fonction Information. Dans ce second volet, notre regard se focalise sur les offres relatives aux métiers de l'archivage et du records management (gestion des documents d'activité). Vous trouverez dans ce focus : une analyse des offres d'emploi parues en ces premiers mois de l'année 2015 relatives à cette famille de métiers le témoignage d'une consultante Records, Information and Document Management un article sur le records management, une activité en plein essor une synthèse de l'enquête « Besoin en main d'œuvre 2015 » menée par Pôle emploi, comparant région par région les projets de recrutement dans la fonction Information.}, publisher = {ADBS}, author = {{Observatoire des métiers de la fonction Information} and Crastes, Matthieu}, year = {2015}, } @book{lemay_archives_2014, address = {Montréal, Canada}, title = {Archives et création: nouvelles perspectives sur l’archivistique. {Cahier} 1}, url = {http://hdl.handle.net/1866/11324}, abstract = {Ce cahier de recherche fait état des travaux menés au cours de la première étape (2013-2014) du projet « Archives et création : nouvelles perspectives sur l’archivistique ». Il comprend les textes suivants : Yvon Lemay et Anne Klein, « Introduction », p. 4-6; Yvon Lemay, « Archives et création : nouvelles perspectives sur l’archivistique », p. 7-19; Anne-Marie Lacombe, « Exploitation des archives à des fins de création : un aperçu de la littérature », p. 20-59; Simon Côté-Lapointe, « Archives sonores et création : une pratique à la croisée des chemins », p. 60-83; Hélène Brousseau, « Fibres, archives et société », p. 84-104; Annie Lecompte-Chauvin, « Comment les archives entrent dans nos vies par le biais de la littérature », p. 105-120; Aude Bertrand, « Valeurs, usages et usagers des archives », p. 121-150; Laure Guitard, « Indexation, émotions, archives », p. 151-168; Anne Klein, Denis Lessard et Anne-Marie Lacombe, « Archives et mise en archives dans le champ culturel. Synthèse du colloque « Archives et création, regards croisés : tournant archivistique, courant artistique », p. 169-178. De plus, dans le but de situer le projet dans un contexte plus large, le cahier inclut une bibliographie des travaux effectués sur les archives et la création depuis 2007, p. 179-182.}, publisher = {Papyrus, Université de Montréal}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne and Bertrand, Aude and Brousseau, Hélène and Côté-Lapointe, Simon and Guitard, Laure and Lacombe, Anne-Marie and Lecompte-Chauvin, Annie and Lessard, Denis}, editor = {Lemay, Yvon and Klein, Anne}, year = {2014}, } @book{couture_archivistique_2014, address = {Québec, Canada}, series = {Gestion de l'information}, title = {L'archivistique à l'ère du numérique : les éléments fondamentaux de la discipline}, isbn = {978-2-7605-3998-3}, url = {http://www.puq.ca/catalogue/livres/archivistique-ere-numerique-2221.html}, abstract = {L'archivistique est une profession très ancienne, mais une jeune discipline sur le plan de l’enseignement supérieur et de la recherche. S’il existe des archives et des archivistes depuis l’Antiquité, ce n’est que dans la première moitié du xixe siècle que sont formulés les premiers principes de cette discipline, et il faut attendre la seconde moitié du xxe siècle pour que la recherche et l’enseignement en ce domaine prennent vraiment leur envol. Cet ouvrage fait le point sur l’état actuel de l’archivistique en abordant trois volets fondamentaux de celle-ci : la législation qui fonde les politiques nationales en matière d’organisation des archives ; les fonctions et les principes autour desquels s’articule la discipline ; et l’enseignement et la recherche qui en permettent l’approfondissement. Il constitue en quelque sorte la suite de recherches menées dans les années 1990 sur le même sujet (voir notamment, chez le même éditeur, Les fondements de la discipline archivistique, 1994, et Les fonctions de l’archivistique contemporaine, 1999). Les auteurs y analysent en effet les principaux changements survenus en archivistique depuis un peu plus de 20 ans, en grande partie sous l’influence des technologies de l’information et de la communication ainsi que des conclusions d’ambitieux projets de recherche internationaux. Avec la révolution numérique, qui a bouleversé les principes, les fonctions, les lois, l’enseignement et la recherche, le bilan sur l’archivistique que propose cet ouvrage s’avère plus que nécessaire.}, publisher = {Les Presses de l'Université du Québec}, author = {Couture, Carol and Lajeunesse, Marcel}, year = {2014}, } @book{service_interministeriel_des_archives_de_france_archives_2013, address = {Paris, France}, title = {Archives notariales. {Manuel} pratique et juridique}, isbn = {978-2-11-009428-5}, abstract = {Cet ouvrage fait la synthèse de plus de quatre-vingts ans d'intérêt des archivistes et des chercheurs pour les archives notariales. En 1928, la loi a rendu possible l'entrée massive des actes des notaires dans les services d'archives publics, avant de la rendre obligatoire en 1979. Elle a entraîné une politique active de collecte, de création d'instruments de recherches et de mise en valeur de ces documents. Ces fonds ont très vite suscité un extraordinaire engouement des chercheurs, qui y ont souvent trouvé la matière de leurs investigations dans des domaines très variés : histoire économique et sociale, histoire de l'art et de l'architecture, histoire du droit ou généalogie familiale. Cet ouvrage est le fruit collectif de la commission des archives notariales, qui est une émanation du Conseil supérieur des Archives ; il a donc comme auteurs des archivistes, des conservateurs, des chercheurs et des notaires. Il se veut un abrégé pratique destiné à tous ceux qu'intéresse cette source insurpassable de l'histoire des personnes.}, publisher = {La documentation française}, author = {{Service interministériel des Archives de France} and {Documentation française}}, editor = {Étienne, Geneviève and Limon-Bonnet, Marie-Françoise}, year = {2013}, } @book{andus_lhotellier_les_2012, address = {Coeuvres-et-Valsery}, series = {Pas à pas}, title = {Les {Archives} internationales de la danse: un projet inachevé, 1931-1952}, isbn = {978-2-84505-130-0}, abstract = {Fondées en souvenir des Ballets suédois et de Jean Börlin, par Rolf de Maré le 16 juin 1931 à Paris, et dirigées par Pierre Tugal, les Archives Internationales de la Danse (A.I.D.) se donnèrent pour objectif de centraliser tous les documents ayant trait à la danse dans tous les pays du monde, de constituer un musée de la danse, une bibliothèque, un office de documentation et de renseignements, un service d’archives, un département sociologique et ethnographique, une salle de conférences et de démonstrations ainsi qu’une salle d’expositions. L’objet de cet ouvrage est de reconstituer l’histoire de la Fondation et de proposer une analyse de ses principaux chantiers : les différents concours entre 1932 et 1947, le projet muséal ainsi que la conception du projet scientifique, en prenant, comme point de départ méthodologique, une enquête auprès des témoins de l’époque – les artistes chorégraphiques. Le retour sur les différents concours qu’organiseront sur quinze ans les A.I.D. permet de montrer comment s’est imposée, auprès d’un public que les A.I.D. entendent fédérer, la figure de Kurt Jooss au dépend de celle de Jean Börlin, dont la fondation entendait précisément entretenir le souvenir. L’analyse du projet scientifique porté par les A.I.D. fait l’objet de la troisième partie de cet ouvrage, dans laquelle est abordée la notion du terrain que constitue le voyage exploratoire aux Indes néerlandaises en 1938. Apparaissent alors nettement les limites de leur méthodologie scientifique, réponse de la fondation à ce qui est perçu comme l’absence d’un corpus intellectuel propre à la danse. L’auteure : danseuse de formation, Sanja Andus L’Hotellier est historienne de la danse. Docteure de l’Université Paris VIII-Vincennes Saint-Denis, elle a collaboré à différentes missions de recherche notamment auprès du Musée de la danse de Stockholm, du Mas de la danse, de l’IMEC et du Centre National de la Danse. Elle est actuellement chercheuse invitée au Département d’Histoire de Columbia University de New York. Ce livre propose, révisé pour la présente publication, un historique des A.I.D. dont l’auteure a présenté une thèse. Il comporte des documents icnographiques noir et blanc, et l’ensemble des Entretiens avec des artistes – danseurs et danseuses, chorégraphes – ayant participé à cette Fondation: Françoise Adret, Birgit Boman, Ivo Cramér, Geneviève Demachy-Berthéas, Dominique Dupuy, Françoise Dupuy, Bengt Häger, Maryelle Krempff, Pino Mlakar, Janine Solane, Maria Strömberg, Sonja Sundberg.}, publisher = {Ressouvenances}, author = {Andus L'Hotellier, Sanja}, year = {2012}, } @book{philippe_poirrier_historiographie_2011, address = {Dijon, France}, title = {Historiographie \& archivistique : écriture et méthodes de l'histoire à l'aune de la mise en archives}, url = {http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/publications/historiographie/historiographie.html}, abstract = {Introduction Le « moment archives » – nous empruntons cette qualification à la contribution de Vincent Duclert – témoigne d’une conjoncture historiographique marquée par une plus grande interrogation des historiens sur leur pratique[1]. Les liens intrinsèques qui unissent archivistique et historiographie ont toujours été reconnus. Toutefois ces rapports se sont construits le plus souvent autour d’une opposition schématique : d’un côté la collecte et l’inventaire, de l’autre l’analyse et la synthèse. Car force est de reconnaître qu’archivistique et écriture de l’histoire sont deux disciplines, et deux opérations distinctes ayant des objets propres. L’interrogation sur ces liens n’est pas neuve, elle a su trouver sa place dans les débats professionnels depuis de nombreuses années[2]. En revanche, la grande majorité des historiens se sont jusqu’à ce jour peu souciés d’en faire l’examen. Certains philosophes, notamment Michel de Certeau – la contribution de François Dosse le souligne avec force – et Paul Ricœur, ont été plus prolixes. Leurs réflexions épistémologiques ont su replacer la construction de l’écriture de l’histoire dans la continuité de l’opération archivistique, et illustrent de ce fait un rapprochement pour penser ces deux opérations en un monde commun, et non plus en contradiction. A l’aune de ces essais, l’histoire ne commencerait pas par la seule parole de l’interprétation, elle serait toujours médiatisée par la technique et dépendrait alors autant de l’archivistique de son époque, que du degré de technicité mis en œuvre pour la collecte des documents par l’historien. Depuis plusieurs années cependant, les historiens sont davantage sensibles à la question de la construction des fonds archivistiques, et considèrent comme essentiel d’en comprendre les logiques, et d’en saisir toutes les conséquences sur la « Fabrique de l’histoire »[3]. Le renouveau de l’érudition pour les périodes médiévales et modernes, le débat sur les « archives de Moscou » pour la période contemporaine, des échanges renouvelés entre archivistes et historiens ont largement contribué à ce nouvel intérêt que portent de nombreux chercheurs aux questions archivistiques. Cette livraison de Territoires contemporains propose, au travers d’exemples précis, d’objectiver une pratique, l’archivistique, et tenter de mesurer les implications sur la scientificité du discours historien et sur l’élaboration des méthodes historiques. « Penser épistémologiquement l’archivistique et la replacer dans son historicité, souligne Julie Lauvernier, ce n’est pas seulement considérer la mise en archive comme une condition d’existence du matériel historique, c’est l’appréhender comme un geste historiographique, et non simplement technique ». Bertrand Müller replace la relation entre « Historiographie et archivistique » dans le cadre des régimes documentaires qui se sont succédés depuis deux siècles : le régime archivistique, le régime de la documentation et enfin, depuis les années 1970, le régime issu de la numérisation et de la Toile. Les trois contributions suivantes, signées respectivement par Julie Lauvernier, Odile Parsis-Barubé et Christine Nougaret, analysent les logiques du régime archivistique, de 1750 à l’aube de la Troisième République : classer et inventorier ; respecter les fonds ; exiger une érudition consciencieuse. Un véritable code de la pratique archivistique se construit progressivement, et permet à la fois d’envisager une histoire des progrès de la civilisation et de contribuer à l’affirmation de l’histoire locale. Un siècle plus tard, la question des « archives de Moscou » témoigne à la fois des dangers d’une posture néo-positiviste, mais aussi des interrogations et débats que suscitent ces découvertes d’archives nouvelles. Les contributions de François-Xavier Nérard et de Jean Vigreux, consacrées respectivement aux archives de l’Etat soviétique de la période stalinienne et aux archives du PCF, soulignent combien le renouveau historiographique n’est pas réductible à cette révolution documentaire. Elles confirment que pour l’historien contemporanéiste, l’histoire des fonds mobilisés est également un impératif méthodologique. Dans sa postface, Françoise Hildesheimer revient notamment sur les innovations suscitées par la montée en puissance de l’Internet. Elle souligne combien cette « révolution numérique » nécessite un nouveau rapport à la mémoire et à sa conservation qui constitue, pour le monde de la conservation, un défi à la fois technologique et conceptuel. Le défi à relever est particulièrement vertigineux. Emmanuel Hoog rappelait, dans Mémoire année zéro (2009), qu’«à l’âge numérique, toute information produite est ipso facto une archive qui s’ignore, au sens où elle peut être non seulement stockée, mais surtout aisément identifiée et cataloguée ». Et d’ajouter « de plus en plus l’acte de créer et celui de conserver tendant ainsi à devenir indissociables. Par sa capacité à s’autoréférencer, Internet apporte une nouvelle dimension : tout contenu en ligne se voit automatiquement indexé dans les moteurs de recherche, faisant de la Toile la plus gigantesque base de données imaginables ». Cette livraison constitue les actes d’une journée d’études, organisée le 24 avril 2008 avec l’aide de Julie Lauvernier, dans le cadre des activités du thème « Cultures et sociétés » du Centre Georges Chevrier. Les contemporanéistes du CGC – initialement réunis dans le cadre de l’Institut d’histoire contemporaine (IHC) animé par Serge Wolikow – ont développé une réflexion pérenne sur les archives depuis le colloque de 1994 consacré aux archives de Moscou, à partir des archives des mouvements sociaux, du mouvement ouvrier, et des partis de gauche[4]. Depuis 2004, les membres du Centre Georges Chevrier sont étroitement associés au programme Archives des Sciences Humaines et Sociales (ARSHS), piloté par la MSH de Dijon sous la direction de Serge Wolikow. L’objectif est de développer une politique de conservation et de traitement des patrimoines scientifiques et culturels des Sciences humaines et sociales en France. Les archives de la recherche, des chercheurs et des établissements de recherche et d’enseignement sont aujourd’hui menacées faute de solution efficace de conservation. Ces archives constituent pourtant une documentation essentielle à trois égards : elles contiennent des données et une documentation irremplaçables pour la connaissance et la compréhension des sociétés modernes ; elles représentent des matériaux élaborés et accumulés par les chercheurs, essentiels à l’établissement de la scientificité des SHS ; elles offrent des gisements documentaires indispensables pour une histoire renouvelée et documentée des SHS. Les premiers résultats sont accessibles[5]. Ce réseau a notamment organisé en mars 2009, en partenariat avec l'Institut d'histoire du temps présent, une journée sur « Les historiens en leurs archives »[6]. En s’appuyant sur ces expériences acquises, le département d’histoire de l’université de Bourgogne a ouvert une formation professionnalisante dans le cadre d’un master 2 : « Archives des XXe et XXIe siècles européens : du papier au numérique ». Cette formation pluridisciplinaire, initiée par Serge Wolikow et Jean Vigreux, animée aujourd’hui par Serge Wolikow et Xavier Vigna, propose des contenus informatifs et une réflexion épistémologique, à des étudiants qui viennent pour la plupart d’histoire. Les cours, centrés en priorité sur la période très contemporaine, associent réflexions sur la production des archives, leurs usages à la fois scientifiques et patrimoniaux. Il ne s’agit pas seulement de faire de nos étudiants de bons archivistes, mais de les rendre capables de valoriser ces archives tant auprès des entreprises, des collectivités publiques que du monde de la recherche. L’objectif est de former des professionnels de la gestion d’archives papier et numériques : chargés de mission des collectivités territoriales appelés à traiter des archives numériques et en à assurer la conservation ; chargés de mission dans les entreprises appelés à gérer les archives anciennes, mais aussi à préparer la gestion des archives produites au cours de l’activité ; assistants techniques et ingénieurs d’étude des laboratoires de recherche pour les former au traitement spécifique des archives des savoirs.}, publisher = {Territoires contemporains}, editor = {Philippe Poirrier and Julie Lauvernier}, year = {2011}, } @book{larue_numerisation_2010, address = {Saarbrücken}, title = {Numérisation de pièces d'art en termes de forme et d'apparence étude sur l'archivage numérique du patrimoine en vue d'une restitution réaliste en synthèse d'images}, isbn = {978-613-1-50637-6}, publisher = {Editions universitaires européennes}, author = {Larue, Frédéric Jean-Pierre}, year = {2010}, } @book{gicquel_projet_2010, address = {Paris}, series = {L’essentiel sur…}, title = {Le {Projet} collaboratif 2.0 : pour mobiliser la documentation au service de l'entreprise}, isbn = {978-2-84365-119-9}, abstract = {L'ouvrage examine l’impact des technologies web 2.0 sur l’organisation des activités documentaires, en proposant tout à la fois un panorama des applications disponibles et les méthodologies à mettre en œuvre pour le succès d’un projet qui inclut la collecte, la gestion, le partage et la diffusion des contenus, mais aussi la gestion et l’animation des communautés constituées autour du web 2.0. Un certain nombre de retours d’expérience, notamment au sein de l’Institut national des techniques de la documentation (INTD) sont proposés, le tout pour « faire vivre les pratiques, les identités et cultures professionnelles… de l’info-doc ». Yves Desrichard (http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2010-05-0123-007)}, publisher = {ADBS}, author = {Gicquel, Florence and Jdey, Aref}, year = {2010}, } @book{mathien_societe_2005, edition = {AUF, Bruylant, UNESCO}, title = {Société de l'{Information} (la)}, isbn = {2-8027-2039-2}, author = {Mathien, M.}, year = {2005}, } @book{martin_externalisation_2004, edition = {Paris : Association des professionnels de l'information et de la documentation}, title = {Externalisation et sous-traitance dans les services d'information : état des lieux et perspectives}, isbn = {2-84365-076-3}, author = {Martin, Isabelle}, year = {2004}, } @book{ipert_methode_2002, edition = {Direction des Archives de France, Paris, France}, title = {Une méthode d'évaluation des pratiques de conservation préventive dans un service d'archives ({Fiches} pratiques)}, isbn = {2-911601-32-7}, author = {Ipert, Stéphane}, year = {2002}, } @book{chabin_archivage_2001, edition = {Paris, Hermès sciences Publications}, title = {L'archivage}, author = {Chabin, Marie-Anne}, year = {2001}, }