@book{jacquemin_numerisation_2019, address = {Paris}, title = {La numérisation info-documentaire}, isbn = {979-10-90094-42-0}, url = {http://europia.org/edition/livres/doc/Cide21.htm}, abstract = {La thématique soulevée par lees actes du 21e Colloque international sur le Document Électronique ambitionne d'interroger les changements de paradigmes induits par l'irruption de masses documentaires et informationnelles numériques sous un point de vue éminemment écologique, voire éthologique. En effet, c'est bien le document électronique dans son « milieu naturel » qui est ici visé, son rapport avec son environnement qu'il s'agit d'observer, de voir évoluer et de comprendre, son économie qu'il faut appréhender – économie au sens originel et général du terme grec ο?κονομ?α, « administration du foyer », jusqu'à présent insuffisamment étudiée, et dont la dimension financière n'est qu'une des facettes. Les coûts, pertes et bénéfices sont en effet à évaluer à différentes aunes qui n'ont pas toujours été définies, et c'est cette question à laquelle il s'agit de tenter d'apporter des éléments de réponse au cours des débats que fonde ce colloque. Ce questionnement ne se focalise évidemment pas uniquement sur les aspects pécuniaires. En effet, c'est tout le panorama des efforts consentis par les acteurs du document numérique, des mutations induites par la numérisation qui est visé, à travers ses aspects les plus divers, tels que les coûts attentionnels et cognitifs, les changements d'accès tant techniques qu'organisationnels ou structurels, les aspects liés aux infrastructures, à la conservation, à la structuration et à l'archivage, ainsi que tout l'engagement nécessaire aux usages du document : formation, gestion, valorisation et hiérarchisation, évaluation, évolution des métiers, de la transmission et des accès, etc. Il était donc naturel que cette édition de CiDE se concentre sur des aspects variés}, publisher = {Europia}, editor = {Jacquemin, Bernard and Ghenima, Malek}, year = {2019}, } @book{archives_nationales_france_dna_2021, address = {France}, title = {{DNA} {Drive}: la révolution de l'{ADN}. {Première} mondiale : dépôt d’archives numériques encodées sur {ADN} aux {Archives} nationales}, shorttitle = {{DNA} {Drive}}, url = {https://www.archives-nationales.culture.gouv.fr/documents/10157/276217/Dossier+de+presse+ADN+de+la+DDHC/bdd52cb1-9c6c-4bf1-90ea-3d2d19092b3e}, abstract = {Il existe dans la nature une forme de stockage des données qui n’a pas été inventée par l’homme, mais qui se perfectionne depuis près de 4 milliards d’années: l’ADN8, le support de l’information génétique. La plupart des êtres vivants utilisent une double hélice d’ADN (deux molécules différentes entrelacées) pour stocker l’information en utilisant quatre briques appelées nucléotides et dont la partie variable est symbolisée par les lettres A, T, C et G (l’adénine, la thymine, la cytosine et la guanine). Le génome humain contient 3,2 milliards de nucléotides, ce qui correspond à l’équivalent de 700 Mo de données dans chaque cellule de notre corps. Le stockage d’information numérique sur ADN est une technologie émergente qui constitue une solution : • durable : la stabilité de l’ADN se compte en dizaines, voire en centaines de milliers d’années, ce qui est incomparable avec celle des supports numériques actuels. Un génome complet a par exemple été obtenu à partir d’une défense de mammouth âgée de plus d’un million d’années. • non énergivore : l’ADN est stable à température ambiante sans aucun apport d’énergie s’il est conservé dans des conditions adéquates (sans eau, ni air, ni lumière). • extrêmement compacte : avec une densité maximale de 450 millions de To par gramme d’ADN (0,45Zo/g), l’intégralité des données mondiales pourrait tenir dans 100 g d’ADN, soit le volume d’une tablette de chocolat.}, language = {français}, publisher = {Archives nationales / CNRS}, author = {Archives nationales (France)}, year = {2021}, keywords = {ADN, Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, Gestion des documents}, }