@incollection{duchein_les_2009, address = {Paris, France}, title = {Les archives dans le monde}, volume = {VII}, isbn = {978-92-3-204083-1}, url = {http://unesdoc.unesco.org/images/0018/001810/181093f.pdf#nameddest=211395}, booktitle = {Le {XXe} siècle de 1914 à nos jours}, publisher = {UNESCO}, author = {Duchein, Michel}, year = {2009}, pages = {1288--1296}, } @incollection{grimard_gestion_2009, address = {Québec, Canada}, title = {La gestion des documents administratifs : {Concepts}, instruments, acquisitions}, abstract = {Conférence prononcée en 1994, à Tunis, qui fournit une réflexion originale sur l’approche terminologique de la gestion des documents et du records management, sur la mission d’acquisition des documents qui échoit, par la suite aux institutions d’archives, dont les institutions nationales (à travers l’exemple de la démarche des Archives nationales du Canada).}, booktitle = {L'archiviste: {Constructeur}, gardien et communicateur: mélanges en hommage à {Jacques} {Grimard}, 1947-2007}, publisher = {Presses de l'Université du Québec}, author = {Grimard, Jacques}, year = {2009}, note = {chapter-number: 17}, pages = {281--294}, } @incollection{grimard_pratique_2009, address = {Québec, Canada}, title = {La pratique archivistique a trouvé une identité : {L}'offre et la demande de services archivistiques en cette fin du vingtième siècle}, abstract = {L’auteur analyse l’information dans sa substance. Ainsi, bien que les attentes et les besoins de la société demeurent fondamentalement les mêmes qu’autrefois, il constate que l’information prolifère à une vitesse inouïe, qu’elle se présente maintenant sous plusieurs formes et sur des supports variés et qu’elle est aussi plus complexe et plus difficile d’accès. Tous ces éléments représentent des défis professionnels de taille pour l’archiviste qui doit procéder à l’acquisition, au traitement et à la diffusion de l’information. L’auteur énumère les qualités requises tant par le professionnel que par le technicien pour y faire face et ainsi mieux s’adapter aux réalités de la gestion de l’information de cette fin de siècle.}, booktitle = {L'archiviste: {Constructeur}, gardien et communicateur: mélanges en hommage à {Jacques} {Grimard}, 1947-2007}, publisher = {Presses de l'Université du Québec}, author = {Grimard, Jacques}, year = {2009}, note = {chapter-number: 5}, pages = {73--86}, } @incollection{grimard_les_2009, address = {Québec, Canada}, title = {Les archives québécoises : objet, planification, concertation}, abstract = {Bilan sur l’état des archives au Québec en 1983 tant de celui des archives elles-mêmes (archives des communautés et institutions religieuses, archives de l’État, archives civiles, judiciaires et cadastrales, archives de l’administration publique décentralisée) que celui des institutions ou regroupements qui les gèrent.}, booktitle = {L'archiviste: {Constructeur}, gardien et communicateur: mélanges en hommage à {Jacques} {Grimard}, 1947-2007}, publisher = {Presses de l'Université du Québec}, author = {Grimard, Jacques}, year = {2009}, note = {chapter-number: 16}, pages = {273--280}, } @incollection{nerard_quelles_2011, address = {Dijon, France}, title = {Quelles archives soviétiques? {Réflexion} sur la constitution des archives du pouvoir stalinien}, url = {http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/publications/historiographie/FX_Nerard.html}, abstract = {Au début des années 1990, les « archives soviétiques » ont pour un temps semblé constituer un certain eldorado de l’historien. On y a cherché les pierres philosophales qui auraient pu servir à comprendre non seulement tous les mystères de l’histoire de ce vaste pays désormais disparu, mais également les secrets du mouvement communiste international ou les modalités de l’influence soviétique dans le monde (les sources de « l’argent de Moscou » par exemple !). Pendant longtemps, on a ainsi pensé que « tout » était dans ces archives oubliant ou négligeant des années de réflexion sur ce qu’est l’archive dans la pratique de l’historien. Cet engouement pour les archives était, il est vrai, largement la conséquence de la pénurie quasi totale qui avait été, pendant des années, le lot des historiens de l’Union soviétique — occidentaux assurément, mais dans une large mesure soviétiques également. La question des archives soviétiques s’est ainsi dans un premier temps posée en terme d’accès. L’histoire de l’Union soviétique s’était en effet écrite pendant de longues années quasiment sans archives. En Occident où l’on cherchait après la Seconde Guerre mondiale à mieux connaître le nouvel ennemi de la guerre froide, la presse officielle, les témoignages d’émigrés (et en particulier le célèbre Harvard Project on the Soviet Social System [1] ) constituèrent l’essentiel des sources mobilisées. Les archives du comité du parti de la région de Smolensk [2] sont les seules « archives » à proprement parler à disposition des chercheurs à l’ouest du rideau de fer. Confisquées par l’ERR [3] nazie pendant l’occupation de la ville soviétique, puis récupérées par les Américains, et déposées aux Archives nationales à Washington, elles constituent une source intéressante, mais limitée à l’échelon régional [4] . En Union soviétique, l’accès a toujours été des plus limités ; il n’est partiellement facilité que pendant la courte période du dégel khrouchtchévien [5] , brutalement close en 1965 par la nomination de Sergej Pavlovitch Trapeznikov au département des sciences et de l’éducation du comité central du PCUS. Cette absence quasi totale de sources d’archives a favorisé une lecture et une écriture de l’histoire que l’on pourrait facilement qualifier de policière. À la manière des meilleurs auteurs de romans policiers, les historiens essayaient d’imaginer, d’expliquer ce qu’ils n’avaient aucun moyen de vérifier. C’est ainsi que sont apparues un certain nombre de questions qui ne cessaient d’agiter le monde des études soviétiques au moment où les archives commencent à s’ouvrir. C’est en particulier le cas du mystère autour du commanditaire du meurtre de Kirov le 1er décembre 1934 ou de la réalité du suicide de Grigori Ordjonikidze en 1937… On cherchait également à distinguer des courants dans la direction du parti et de l’État soviétique en relevant des indices bien minces dans les sources disponibles}, booktitle = {Historiographie \& archivistique : écriture et méthodes de l'histoire à l'aune de la mise en archives}, publisher = {Territoires contemporains}, author = {Nérard, François-Xavier}, editor = {Poirrier, Philippe and Lauvernier, Julie}, year = {2011}, } @incollection{vigreux_1990-2010_2011, address = {Dijon, France}, title = {1990-2010 : archives et écriture(s) du {PCF}}, url = {http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/publications/historiographie/J_Vigreux.html}, abstract = {Vingt ans après l’ouverture des archives des communismes, un point archivistique, mais aussi historiographique sur les acquis scientifiques, liés pour partie à ces fonds, semble envisageable. Au début des années 1990, d’aucuns évoquaient « la révolution archivistique ou le renouveau documentaire [2] » appelant également à faire « table rase [3] » du passé historiographique sur le communisme… La quête d’archives, parfois achetées à prix d’or, fut ainsi au début de l’ouverture des fonds de l’ex-Union soviétique, un exercice fortement prisé ; à croire que le secret longtemps gardé par les autorités soviétiques avait créé une telle frustration que la précipitation et parfois le mirage des archives, induisait une rechute néopositiviste qui devenait l’Histoire. Toutefois, ce temps semble révolu et l’ouverture concomitante des archives du PCF, déposées depuis aux Archives départementales de Seine-Saint-Denis a également favorisé un renouveau. Il faut d’emblée saluer cette initiative importante, celle d’un accès démocratique aux archives, qui reste assez rare pour les différentes organisations politiques de notre modèle républicain. Il y a cinq ans, Laird Boswell, historien américain reconnu pour ses travaux sur le communisme rural en Limousin et Dordogne [4] , proposait un bilan quelque peu désabusé, en posant la question de « l’impasse » de l’historiographie du communisme français [5] . Si cette historiographie a longtemps été dominée par des enjeux idéologiques [6] – on évoquait souvent les « historiens communistes », sans pour autant prendre la peine de qualifier les autres historiens [7] –, les travaux entrepris dans le sillon de « l’école kriegelienne », mais aussi de l’approche « sociétale et téléologique », puis des cultures politiques, voire de l’histoire des gauches ont donné lieu à différentes publications. Une approche par les biographies, mais aussi par l’emboîtement des jeux d’échelles a pu replacer l’histoire du PCF au cœur des logiques multiples du Centre (Moscou), de la nation (la culture républicaine), mais aussi au niveau local, social et individuel.}, booktitle = {Historiographie \& archivistique : écriture et méthodes de l'histoire à l'aune de la mise en archives}, publisher = {Territoires contemporains}, author = {Vigreux, Jean}, editor = {Poirrier, Philippe and Lauvernier, Julie}, year = {2011}, } @incollection{van_eeckenrode_ouvrir_2020, series = {Guides}, title = {Ouvrir les archives coloniales à la recherche (pour mieux décoloniser)}, url = {https://dial.uclouvain.be/pr/boreal/object/boreal:236630}, language = {fr}, urldate = {2021-04-16}, booktitle = {Vers un patrimoine mieux partagé ! {Guide} des sources de l'histoire coloniale belge ({Congo}, {Rwanda}, {Urundi}), 19ème-20ème siècle}, publisher = {Archives de l'État (Bruxelles)}, author = {Van Eeckenrode, Marie}, year = {2020}, note = {UCL - SSH/IACS - Institute of Analysis of Change in Contemporary and Historical Societies USL-B - Centre de recherches en histoire du droit et des institutions (CRHIDI)}, }