@article{serna_nouvelles_2021, title = {Nouvelles lectures des {Archives} parlementaires numérisées}, copyright = {© La Révolution française}, issn = {2105-2557}, url = {https://journals.openedition.org/lrf/5899}, abstract = {Ce numéro spécial de LRF, placé entre deux parutions annuelles, rend compte d’une aventure éditoriale commencée voilà il y a dix ans. Les articles qui suivent constituent un premier aboutissement d’un projet né en 2011. Il s’agissait de réunir la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (BIS), l’unité mixte de service Persée (ENS de Lyon et CNRS) et l’Institut d’histoire de la Révolution française (IHRF), depuis 2015 rattaché au sein de l’Institut d’histoire moderne et contemporaine, (IHMC). L’ambition était d’offrir, aux chercheurs, aux amateurs d’histoire de la Révolution française et à l’ensemble du public de la toile, les débats parlementaires tels qu’ils sont publiés aujourd’hui, de façon gratuite, accessible en ligne, et avec des outils de recherche enrichissant la simple lecture ou la seule recherche plein texte.}, language = {fr}, number = {21}, urldate = {2022-04-16}, journal = {La Révolution française. Cahiers de l’Institut d’histoire de la Révolution française}, author = {Serna, Pierre}, year = {2021}, note = {Number: 21 Publisher: Institut d’histoire moderne et contemporaine - UMR 8066}, keywords = {Accès aux archives, Archives nationales, Histoire, Numérisation, Politique, Recherches}, } @article{rodrigo_regards_2021, title = {Regards de documentaristes : le trésor des rushes}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, shorttitle = {Regards de documentaristes}, url = {https://journals.openedition.org/afas/6349}, doi = {10.4000/afas.6349}, abstract = {Cet article est le fruit de la réflexion de deux documentaristes face à la fabrication des rushes. De la conception de l’image et de la préparation des entretiens lors du tournage, au choix de l’image et de la sélection des extraits « d’ITV » lors du montage se joue l’existence même des rushes, leur exploitation et leur éventuel devenir au-delà de l’existence du film. À travers trois expériences de réalisation au Pérou, en Bolivie et au Chili, ils racontent leur manière de produire des rushes et leur souci de les conserver bien au-delà du montage final.}, language = {fr}, number = {47}, urldate = {2022-04-04}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Rodrigo, Jean-Michel and Paugam, Marina}, year = {2021}, note = {ISBN: 9791097301149 Number: 47 Publisher: Association française des archives orales sonores et audiovisuelles}, keywords = {Chili, Collecte, Documentaire, Mémoire}, pages = {96--105}, } @article{provencher_st-pierre_robert-lionel_2021, title = {Robert-{Lionel} {Séguin} (1920-1982) : un chercheur-collectionneur passionné}, volume = {26}, issn = {1201-4710}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/95425ac}, abstract = {On souligne cette année le 100 e anniversaire de naissance de Robert-Lionel Séguin, chercheur déterminé, collectionneur infatigable et figure marquante de l’ethnologie québécoise. Séguin naît à Rigaud le 7 mars 1920. Très tôt, sa passion pour l’histoire, ses recherches généalogiques et ses nombreux projets d’écriture occupent tous ses temps libres. Employé de ferme pendant la Deuxième Guerre mondiale, il entame ensuite une carrière d’archiviste. Son intérêt pour la vie quotidienne et la culture populaire de ses ancêtres l’amène graduellement à se tourner vers l’ethnologie et la recherche de terrain. Dans les années 1950, l’ethnologie québécoise est une discipline en formation qui se développe à l’Université Laval autour de Luc Lacourcière et de son équipe des Archives de folklore. Leurs travaux se concentrent autour de la littérature orale. Les études en culture matérielle y représentent un champ sous-exploité. Par ses recherches sur la civilisation traditionnelle, Séguin participe alors au développement de ce champ et esquisse les bases de l’ethnologie historique en proposant une approche jusque-là inédite. En effet, il serait le premier à combiner l’analyse des archives notariales avec celle des objets matériels.}, language = {FR}, number = {3}, urldate = {2022-03-31}, journal = {Histoire Québec}, author = {Provencher St-Pierre, Laurence}, year = {2021}, note = {Publisher: Les Éditions Histoire Québec}, keywords = {Archives notariales, Culture, Ethnologie, Généalogie, Histoire, Québec, Recherche}, pages = {19--20}, } @article{piret_patrimoine_2021, title = {Un patrimoine (à mettre en) commun. {Les} enjeux de la gestion des archives produites dans le cadre de la colonisation}, volume = {27}, url = {https://dial.uclouvain.be/pr/boreal/object/boreal:246431}, abstract = {En juillet 2020, le Président de la République française charge Benjamin Stora de dresser un état des lieux des questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie[1] . L’historien remet son rapport six mois plus tard. Dans celui-ci, il formule une trentaine de préconisations, dont la réalisation d’un cadastre des archives relatives à ces questions, conservées tant en France qu’en Algérie ; la restitution à l’Algérie de certaines archives transférées en France en 1962 ainsi que la déclassification de l’ensemble de ce patrimoine documentaire. Enfin, il recommande de poursuivre la collecte de témoignages concernant le phénomène colonial afin de diversifier les traces qui en sont conservées. En Belgique, la commission spéciale « Congo » devrait rendre un rapport préliminaire au mois d’avril 2021. Sans présager des conclusions qui seront les siennes, cette actualité est l’occasion de mettre en exergue les documents relatifs à la colonisation actuellement conservés en Belgique. Rappelons que le coeur de ces archives, ce que l’on a coutume d’appeler les « Archives africaines », est actuellement en cours de transfert du SPF Affaires étrangères vers les Archives de l’État.}, language = {fr}, number = {27}, urldate = {2022-04-15}, journal = {Info AAFB}, author = {Piret, Bérengère and Van Eeckenrode, Marie}, year = {2021}, keywords = {Archives coloniales, Belgique, Congo, Histoire, Restitution, Rwanda}, pages = {35}, } @article{mechoulan_pour_2021, title = {Pour un matrimoine : réflexions sur l’élaboration du site bilingue {Mother} {Archive}/{Archive} {Mère}}, volume = {66}, issn = {0026-0452}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1079327ar}, doi = {10.7202/1079327ar}, abstract = {Souvent un fonds d’archives est conçu comme un processus quasi naturel de sédimentation. C’est, paradoxalement pour des archives, oublier tous les gestes successifs (copier, garder, trier, jeter, classer, organiser, conserver, rendre accessible) qui les composent. Tous ces gestes administratifs font vite entrer la question de l’archive dans le sanctuaire patrimonial. Ils ordonnent en fait l’oubli de leur propre présence effective sous la poussière supposée des archives. « Déjà oublié » serait une traduction simple du titre « Schon vergessen » que j’ai donné à cette première partie au moment de rédiger ce texte. Au moment de l’écrire et de parler d’un projet lié à des archives familiales, je me suis souvenu en effet de ce schon vergessen, de cet oubli toujours déjà à l’oeuvre dans le travail de la mémoire : c’est une histoire que reprend Georges Perec dans son récit sur Ellis Island, cette île des larmes aux confins de New York où débarquaient tous les immigrants pour être soigneusement archivés, tous ces exilés fabricateurs d’oubli, donc de mémoire. Un vieux juif polonais qui désirait entrer aux États-Unis avait reçu comme conseil ironique de prendre un nom facile à utiliser sur cette terre anglo-saxonne : à savoir Rockefeller (bien sûr, ce choix constitue déjà un moment comique). Cependant, face à l’agent de l’immigration qui l’interroge à son arrivée sur Ellis Island, il perd ses moyens et sa mémoire : incapable de se souvenir du nom choisi, il murmure pour lui-même en yiddish « schon vergessen ». L’agent indifférent note sur son registre « John Ferguson ». Même les noms propres, contrairement à ce que maintes théories prétendent, sont traduisibles – mais ils le sont grâce aux accents variés qui font des langues à signification des langues à son. Cependant, une telle traduction témoigne surtout de l’opacité qui touche toute langue dès lors qu’elle est engagée dans le mouvement d’une énonciation. L’agent de l’immigration n’entend pas la langue étrangère ; il ne reconnaît pas ce que l’autre lui dit dans sa langue maternelle ; il entend des sons et les assimile à du reconnaissable. Le déjà oublié devient un déjà entendu. Il ne reconnaît un immigrant qu’en faisant d’office migrer son nom propre. Le vieux juif acquiert un patronyme bien reconnaissable aux États-Unis par ses consonances celtiques (John Ferguson) où s’entend encore l’oubli de sa langue et de sa culture, le travestissement de termes communs en nom propre. Cette histoire présuppose à la fois une séparation des langues et leur communication inattendue grâce au malentendu sonore.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2022-04-15}, journal = {Meta}, author = {Méchoulan, Éric}, year = {2021}, note = {Publisher: Les Presses de l’Université de Montréal}, keywords = {Archives, Linguistique, Littérature}, pages = {192--200}, } @article{maison-soulard__2021, title = {« {Histoires} de {Bahuts} » : un projet participatif d’inventaire des lycées en {Nouvelle}-{Aquitaine}}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, shorttitle = {« {Histoires} de {Bahuts} »}, url = {https://journals.openedition.org/insitu/33148}, doi = {10.4000/insitu.33148}, abstract = {En Nouvelle-Aquitaine s’est déployé progressivement depuis 2016 un dispositif participatif d’inventaire du patrimoine des lycées, en collaboration avec les lycéens. Ainsi, chaque année, dans quelques établissements volontaires, des élèves étudient l’histoire patrimoniale de leur « bahut » et restituent leurs découvertes en devenant guides lors des Journées européennes du patrimoine. L’article revient sur la construction de ce projet dénommé « Histoires de Bahuts » et présente des expériences menées en Aquitaine, en Poitou-Charentes et en Limousin. Après plusieurs années de fonctionnement, l’auteur propose de renouveler le dispositif, principalement en l’appuyant sur les concepts et les pratiques en cours de développement dans les sciences participatives et le champ des droits culturels.}, language = {fr}, number = {45}, urldate = {2022-04-13}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Maison-Soulard, Laetitia}, year = {2021}, note = {Number: 45 Publisher: Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines}, keywords = {France, Inventaire, Participation, Patrimoine, Éducation}, } @article{lespiaux_les_2021, series = {Communautés informelles d'apprentissage, communautés de pratique – {Apprendre} avec, par et pour les autres}, title = {Les archives en sociologie : approches définitionnelles et méthodologiques}, shorttitle = {Les archives en sociologie}, url = {https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-03279076}, abstract = {Cet article publié dans la rubrique Fiches Pédagogiques de la revue ¿ Interrogations ? traite de l’usage des archives en sociologie, en présentant des approches définitionnelles et méthodologiques. Destiné, en tant qu'outil à la formation, aux sociologues comme aux historiens et historiennes du temps présent, il tend à démontrer les bénéfices de la pratique d'un empirisme pluriel.}, language = {fr}, number = {32}, urldate = {2022-04-12}, journal = {¿ Interrogations ? Revue pluridisciplinaire de sciences humaines et sociales}, author = {Lespiaux, Sophie}, year = {2021}, note = {Publisher: Interrogations}, keywords = {Archives, Histoire, Sociologie, méthodologie}, } @article{layerle_les_2021, title = {Les {Horizons} perdus de {Michèle} {Firk} : un film documentaire en devenir}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, shorttitle = {Les {Horizons} perdus de {Michèle} {Firk}}, url = {https://journals.openedition.org/afas/6329}, doi = {10.4000/afas.6329}, abstract = {L’itinéraire de Michèle Firk (1937-1968), qui fut journaliste, critique de cinéma et militante engagée pendant la guerre d’Algérie, puis dans les mouvements de luttes de libération en Amérique latine, est au cœur d’un projet de film documentaire mené par deux historiens. Ces derniers reviennent d’abord sur leur long travail d’enquête préparatoire : collecte de documents (sonores et visuels), captation d’entretiens filmés… Puis, ils s’interrogent sur les enjeux et difficultés liés à la conservation et à la valorisation des heures de rushes dont ils disposent désormais.}, language = {fr}, number = {47}, urldate = {2022-04-04}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Layerle, Sébastien and Moine, Caroline and Olmos, Rosa}, year = {2021}, note = {ISBN: 9791097301149 Number: 47 Publisher: Association française des archives orales sonores et audiovisuelles}, keywords = {20e siècle, Algérie, Amérique latine, Conservation, Cuba, Documentaire, Décolonisation, Film, Guatemala, Valorisation}, pages = {42--53}, } @article{lavigne_culture_2021, title = {La culture vidéoludique au {Québec} : le besoin d’une histoire du jeu, de ses pratiques et de ses discours}, volume = {14}, issn = {1923-2691}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1078732ar}, doi = {10.7202/1078732ar}, abstract = {Comment parle-t-on des jeux vidéo au fil du temps dans la Belle Province? Peut-on parler d’une culture vidéoludique spécifiquement québécoise? Voilà les deux questions auxquelles nous tentons de répondre dans cet article. Prenant notre départ dans le catalogue général de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), nous recensons les documents sur le jeu vidéo, nous attachant aux publications ou discours produits par des Québécois à l’intention d’un public québécois entre 1978 et 2018. Au fil de l’argumentation, nous signalons certaines limites du catalogue de BAnQ, discutons de l’accessibilité à la culture du jeu vidéo au Québec et des problèmes que pose sa préservation, et analysons quelques-uns des documents trouvés par le moteur de recherche de BAnQ.}, language = {FR}, number = {23}, urldate = {2022-04-15}, journal = {Loading}, author = {Lavigne, Francis}, year = {2021}, note = {Publisher: Canadian Game Studies Association}, keywords = {Accessibilité, Archives, Histoire, Jeu vidéo, Préservation, Québec}, pages = {133--158}, } @article{huard_les_2021, title = {Les archives familiales, un trésor régional}, volume = {58}, issn = {1207-5280, 2561-410X}, url = {https://www.erudit.org/fr/revues/mgaspesie/2021-v58-n1-mgaspesie05940/95450ac/}, abstract = {Les familles gaspésiennes ont travaillé sans relâche pour se faire une belle vie dans la péninsule. Venues, entre autres, de la France, de l’Angleterre, de l’Irlande, de l’Écosse et des îles anglo-normandes, elles ont su donner une identité et un visage à la région. Au Centre d’archives, les documents historiques et patrimoniaux de toute une population sont conservés : des compagnies de pêche aux personnalités publiques, en passant par les organismes. Souvent sous-estimés, oubliés et même négligés, les fonds d’archives de familles gaspésiennes sont tout aussi importants pour la sauvegarde de l’histoire. En voici quelques exemples.}, language = {fr}, number = {1}, urldate = {2022-04-15}, journal = {Magazine Gaspésie}, author = {Huard, Marie-Pierre}, year = {2021}, note = {Publisher: Musée de la Gaspésie}, keywords = {Archives familiales, Histoire, Patrimoine culturel, Québec, Sauvegarde}, pages = {44--45}, } @article{heurdier_nouvelles_2021, title = {De nouvelles sources offertes aux chercheurs en sciences sociales : les archives de la politique d’éducation prioritaire}, volume = {156}, issn = {9791036204876}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-de-l-education-2021-2-page-215.htm}, doi = {10.4000/histoire-education.6891}, abstract = {Au croisement de l’histoire de l’éducation des adultes et de l’histoire des femmes et du genre, le dossier se centre sur des actions d’éducation postscolaire – selon une conception large incluant l’éducation générale, sociale, syndicale et professionnelle – à destination de femmes adultes, notamment issues de classes populaires, dans des contextes très différents sur l’ensemble du XXe siècle. Cinq articles choisissent de faire porter la focale sur des femmes en tant que cibles ou bien en tant qu’éducatrices ou organisatrices de formations, à différentes périodes, en Belgique, aux USA, en Italie et en France. Chacun à sa manière soulève des questions transversales pour la recherche sur ce thème particulier. En effet, prendre en compte les femmes n’a pas pour seule ambition de compléter l’historiographie de l’éducation des adultes, mais bien de proposer un déplacement épistémologique et méthodologique. Ce dossier ouvre au moins trois axes de réflexion propres à faire bouger les lignes. Le premier concerne la question des sources qui doit être entièrement repensée, le deuxième interroge l’apport de la dimension internationale à une compréhension renouvelée de l’objet, le troisième revient en le complexifiant sur un thème récurrent de l’histoire de l’éducation des adultes : contrôle social versus émancipation, avec l’idée que le fortuit ou l’aléatoire pourraient éventuellement venir brouiller les frontières.}, language = {FR}, number = {2}, journal = {Histoire de l’éducation}, author = {Heurdier, Lydie}, year = {2021}, note = {Place: Lyon Publisher: ENS Editions}, keywords = {Archives, Bases de données, Collecte, Fonds, France, Recherche, Sciences sociales, Éducation}, pages = {215--226}, } @article{hertiman_provoquer_2021, title = {Provoquer des archives et invoquer la mémoire}, copyright = {La revue GLAD! est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {2551-0819}, url = {https://journals.openedition.org/glad/3272}, abstract = {L’absence présumée des créatrices de bande dessinée dans l’histoire de ce médium résulte, en partie, du manque de sources pouvant conduire à la restitution de leurs traces. Dans ce contexte, un groupe de chercheuses, se faisant appeler Les Bréchoises, se sont fédérées afin de provoquer les archives des femmes dans le neuvième art français et ainsi constituer des monuments voulus, des monuments-mémoire. Cet ambitieux projet de recherche rend compte d’une posture ambivalente : scientifique et militante à la fois. Dès lors, en partant de l’inexistence présupposée du matrimoine de la BD, et du dévoilement des coulisses d’un projet de mise en mémoire, cet article revient sur les composants de la pratique organique de l’archive.}, language = {fr}, number = {11}, urldate = {2022-04-14}, journal = {GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités}, author = {Hertiman, Marys Renné}, year = {2021}, note = {Number: 11 Publisher: Association Genres, sexualités, langage}, keywords = {Archives administratives, Création, Histoire, Mémoire}, } @article{henno_pourquoi_2021, title = {Pourquoi laissons-nous des traces numériques ? {L}'hypothèse de la volonté (ou de l'illusion ?) d'accéder à une forme d'éternité construite}, issn = {2495-5906}, url = {https://revue-cossi.numerev.com/numeros/71-revue-10-traces-numeriques-et-durabilite-temporalites-usages-ethique}, abstract = {Pourquoi les utilisateurs du numérique acceptent-ils de laisser des traces alors que la plupart de ces internautes savent que ces informations peuvent-être utilisées pour tenter d'évaluer et d'influencer leurs comportements commerciaux, politiques ou sécuritaires ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons considéré les traces numériques comme des instruments transitionnels puis tenté de définir les projections et les schèmes mobilisés lorsque nous laissons de telles traces. L'analyse technique, sémiotique puis anthropologique des traces analogiques et numériques nous a amenés à définir la trace numérique comme un contrat (au sens de norme, de transaction et de promesse) entre un internaute et une plateforme de publication : en particulier, les traces numériques intentionnelles sont une promesse, au sens où certaines plateformes (Facebook par exemple) auxquelles nous les confions s'engagent, en contrepartie, à les conserver éternellement. Une des causes possibles qui incitent les utilisateurs de dispositifs techniques à laisser des traces, serait-elle alors une volonté, inconsciente apparemment, d’accéder à une certaine dimension de permanence, y compris au-delà de leur propre existence ? Pour tenter de valider cette hypothèse nous avons mené des entretiens compréhensifs auprès d'utilisateurs de Facebook. En conclusion, les traces numériques semblent donc bien être, pour certains utilisateurs de Facebook, des instruments transitionnels, leur permettant de se projeter dans un au-delà, menant à une forme de permanence. Notre travail nécessiterait cependant d'être confirmé par des entretiens compréhensifs supplémentaires menés auprès d'utilisateurs d'autres RSN (Réseaux Sociaux Numériques).}, language = {fr}, number = {10}, urldate = {2022-04-13}, journal = {Revue COSSI}, author = {Henno, Jacques}, year = {2021}, keywords = {Document, Histoire, Identité, Réseaux sociaux, Traçabilité, Web}, } @article{havelange_bibliographie_2021, title = {La {Bibliographie} de l’his­toire de {France}, des len­de­mains de la {Seconde} {Guerre} mon­diale à nos jours : le pas­sage pro­gres­sif de la col­lec­tion papier au numé­ri­que}, volume = {2}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Du-materiel-a-l-immateriel}, abstract = {Le pas­sage de La Bibliographie de l’his­toire de France du papier vers le numé­ri­que montre l’intri­ca­tion com­plexe de consi­dé­ra­tions ins­ti­tu­tion­nel­les, finan­ciè­res, tech­ni­ques et humai­nes. L’infor­ma­ti­sa­tion, com­men­cée au début des années 1990, ne concerne au départ que l’outil de pro­duc­tion des biblio­gra­phes, débou­chant tou­jours sur un volume imprimé. Dès le début des années 2000 est appa­rue la néces­sité d’une visi­bi­lité en ligne de la col­lec­tion, pensée paral­lè­le­ment à la pro­duc­tion impri­mée. Plusieurs ins­ti­tu­tions ont d’abord été impli­quées dans le projet. Leur exper­tise, sans avoir pu mener le projet à son terme, a permis le mûris­se­ment du projet, fina­le­ment réa­lisé grâce à l’entrée en jeu de l’uni­ver­sité PSL. L’aban­don de la pro­duc­tion papier en 2012 a été un moment déci­sif. Les don­nées de la biblio­gra­phie, remo­de­lées afin d’être inte­ro­pé­ra­bles et com­pa­ti­bles avec les outils numé­ri­ques mon­diaux, ont permis l’inser­tion de la biblio­gra­phie dans l’uni­vers du web séman­ti­que. La saisie cou­rante se fait désor­mais en flux continu, visi­ble sur l’inter­face de consul­ta­tion publi­que main­te­nant ouverte au public. À moyenne échéance, le site de la BHF offrira l’entiè­reté de la col­lec­tion ancienne, menant à son terme un impor­tant projet patri­mo­nial impa­tiem­ment attendu par la com­mu­nauté his­to­rienne. Le site de la BHF, héri­tier d’une longue tra­di­tion et désor­mais ins­crit dans l’uni­vers du web, conti­nue à illus­trer, dans le domaine de la recher­che his­to­ri­que, l’essen­tielle néces­sité de la démar­che biblio­gra­phi­que.}, number = {262}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Havelange, Isabelle}, year = {2021}, keywords = {Collection d’archives, France, Histoire, Numérisation, Support analogique}, } @article{gloutnay_actualites_2021, title = {Actualités en histoire : archives religieuses – il y a péril en la demeure}, volume = {26}, issn = {1201-4710}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/95433ac}, abstract = {« Les archives sont bien moins visibles que les églises », admet volontiers Simon Bissonnette, le directeur général de la Fondation archives et patrimoine religieux du Grand Montréal. Mais les milliers de documents, de plans, de photographies et de livres que les communautés religieuses et les diocèses ont accumulés au fil des années, sinon des siècles, « sont tout aussi importants » que les églises, couvents et bâtiments qui les abritent. « Mais il est urgent de s’en préoccuper », a-t-il indiqué lors d’un colloque sur les archives religieuses organisé le mercredi 28 octobre 2020 par le Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ). Urgence? Pire que cela, tranche Richard M. Bégin, le président de la Fédération Histoire Québec qui animait ce colloque. « Il y a de toute évidence péril en la demeure. »}, language = {FR}, number = {3}, urldate = {2022-03-31}, journal = {Histoire Québec}, author = {Gloutnay, François}, year = {2021}, note = {Publisher: Les Éditions Histoire Québec}, keywords = {Archives religieuses, Histoire, Patrimoine, Québec}, pages = {36--37}, } @article{gilis_faire_2021, title = {Faire parler le « rien »}, copyright = {La revue GLAD! est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {2551-0819}, url = {https://journals.openedition.org/glad/2984}, doi = {10.4000/glad.2984}, abstract = {Cet article présente le travail d’exploration des archives écrites et de constitution d’un fonds d’archives orales à partir du sujet de thèse suivant : L’expérience de libération sexuelle des militantes du Mouvement des femmes en Bretagne et Pays de la Loire (1968-1981). Comment trouver et exploiter les archives pour une étude portant sur la sexualité ? Que faire en cas d’absence de ces archives ? Comment articuler recherche, constitution et valorisation d’archives orales ? Les archives écrites relatives aux luttes féministes dans les années 1970 dans l’ouest de la France métropolitaine sont ici analysées. Les sources orales sont évoquées à travers un travail de collecte mené dans le cadre d’une thèse et de la commission audiovisuelle de l’association Archives du féminisme.}, language = {fr}, number = {11}, urldate = {2022-04-14}, journal = {GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités}, author = {Gilis, Marine}, year = {2021}, note = {Number: 11 Publisher: Association Genres, sexualités, langage}, keywords = {Archives, Féminisme, Histoire, Sociologie}, } @article{giacinti__2021, title = {“ {Débarrasser} la société de femme[s] de ce genre-là ”: appréhender les archives judiciaires au prisme du genre pour enquêter sur les féminicides}, volume = {2021}, shorttitle = {“ {Débarrasser} la société de femme[s] de ce genre-là ”}, url = {https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03552742}, doi = {10.4000/glad.3217}, abstract = {Résumé : Cet article s’intéresse aux affaires de féminicides dans les archives judiciaires du XIXe siècle. Si le féminicide, dans son acception contemporaine en France, est souvent réduit à sa dimension conjugale (meurtre d’une épouse par son époux), l’étude des archives de féminicides à partir de la définition donnée par Radford et Russell (1992) permet de rendre compte d’une diversité de cas de femmes tuées par des hommes et d’identifier des logiques de genre déterminantes dans le crime. L’article s’interroge alors sur ce qui a pu faire écran à une telle lecture, en s’intéressant aux pratiques des acteurs lors de l’enquête judiciaire, puis en étudiant trois affaires a priori très différentes dans lesquelles la victime est une femme. L’article conclut à l’existence de traits récurrents qui poussent les hommes à tuer les femmes, qui attestent de l’exercice de la domination masculine, et qui permettent de subsumer les cas présentés sous la catégorie unitaire de féminicide.}, language = {fr}, number = {11}, urldate = {2022-04-12}, journal = {GLAD! Revue sur le langage, le genre, les sexualités}, author = {Giacinti, Margot}, year = {2021}, note = {Publisher: Association Genres, Sexualités, Langage}, keywords = {19e siècle, Archives, France, Genre, Sociologie}, } @article{gensburger_deconfiner_2021, title = {Déconfiner les archives du {COVID}-19}, url = {https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-03511865}, abstract = {Comment parlons-nous du confinement ? Avec quels mots et quelles phrases ? Qui nommons nous comme responsables de la décision de confinement qui nous contraint à rester chez nous et à limiter le plus possible nos déplacements ? Quels documents garderons-nous pour témoigner de cette période dans le futur ? Cet article présente le projet de recherche et défi collaboratif « Nos vitrines parlent à l’heure du confinement » qui constituait lors des brèves sorties autorisées, à prendre de manière la plus systématique possible des photographies en gros plan et en mode paysage des messages apposés par les commerçants dans leurs vitrines, par les responsables de lieux publics non-commerçants sur leurs façades ou par les citoyens sur leurs fenêtres privées et de les partager sur les réseaux sociaux ou sur une plateforme collaborative dédiée.}, number = {2}, urldate = {2022-04-12}, journal = {Revue d'histoire culturelle. XVIIIe-XXIe siècles}, author = {Gensburger, Sarah and Severo, Marta}, year = {2021}, note = {Publisher: Association pour le développement de l'histoire culturelle (France) ; Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord}, keywords = {Archives, Mémoire, Pandémie, Participation}, } @article{frasch_lexperience_2021, title = {L’expérience collective des archives}, copyright = {La revue GLAD! est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {2551-0819}, url = {https://journals.openedition.org/glad/3579}, doi = {10.4000/glad.3579}, abstract = {Cet article propose une entrée dans l’histoire féministe anglaise des années 1970, peu connue en France. S’appuyant sur une analyse des contextes militants d’émergence de cette histoire, il montre qu’elle constitue une réappropriation critique d’une histoire « par en bas » socialiste incarnée à la fin des années 1960 par E.P. Thompson et le mouvement du History Workshop autour de Raphael Samuel. L’article défend l’idée qu’au cœur de cette histoire par en bas se trouve le projet d’inventer une expérience des archives, à travers laquelle créer une connexion à la fois intime et collective aux expériences des personnes ordinaires et des femmes du passé. L’enjeu d’une telle démarche est de développer des formes radicalement démocratisées de production et de circulation du savoir, et ce faisant, de nourrir des mobilisations socialistes et féministes « par en bas ».}, language = {fr}, number = {11}, urldate = {2022-04-14}, journal = {GLAD!. Revue sur le langage, le genre, les sexualités}, author = {Frasch, Delphine}, year = {2021}, note = {Number: 11 Publisher: Association Genres, sexualités, langage}, keywords = {20e siècle, Angleterre, Archives, Féminisme, Histoire}, } @article{fournier_letat_2021, title = {L’état civil québécois fête ses 400 ans}, volume = {27}, issn = {1201-4710}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/97932ac}, language = {FR}, number = {1-2}, urldate = {2022-03-31}, journal = {Histoire Québec}, author = {Fournier, Marcel}, year = {2021}, note = {Publisher: Les Éditions Histoire Québec}, keywords = {Archives, Généalogie, Législation, Québec}, pages = {5--6}, } @article{dansereau_deploiements_2021, title = {Déploiements des archives, altérité et espaces de mémoires relationnels : pour une archivistique éthique anticoloniale}, volume = {67}, issn = {0315-2340}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1080161ar}, doi = {10.7202/1080161ar}, abstract = {Dans un contexte où la communauté archivistique internationale insiste sur la nécessité pour les nations autochtones d’être en contrôle des archives qui les concernent, cet article expose différentes problématiques qui nous amènent à réfléchir sur les particularités de l’environnement archivistique au Québec. En premier lieu, il signale les composantes coloniales de la production d’archives sur l’Île de la Tortue (Amérique du Nord) et la contribution des conceptions archivistiques traditionnelles au colonialisme d’implantation. Évoquant des énoncés mis en lumière par l’archivistique communautaire et les valeurs émancipatrices de l’archivistique, cet article propose une exploration de variables et paradigmes orientés vers la décolonisation des espaces de mémoire et des concepts archivistiques au Québec. Il fait ainsi part de l’effet structurant de l’archivistique et de la nécessité d’un engagement avec les conceptions de mémoire et ontologies autochtones afin de favoriser un développement de connaissances éthique. Cet article évoque alors le rôle, les responsabilités et les limites des archivistes et des institutions de mémoire concernant la résurgence autochtone.}, language = {FR}, number = {3}, urldate = {2022-03-31}, journal = {Documentation et bibliothèques}, author = {Dansereau, François}, year = {2021}, note = {Publisher: Les Éditions ASTED}, keywords = {Archives autochtones, Archives coloniales, Ethique, Histoire, Québec}, pages = {24--37}, } @article{busyreva_portee_2021, title = {La portée individuelle, communautaire et historique des archives familiales}, volume = {92}, copyright = {Revue des études slaves}, issn = {0080-2557}, url = {https://journals.openedition.org/res/4193}, doi = {10.4000/res.4193}, abstract = {L’intérêt pour les archives familiales tient au fait que chaque famille qui rassemble des documents et des photographies œuvre pour la préservation de sa mémoire et sa transformation en histoire. Les matériaux de ces archives ont un potentiel informatif important en tant que sources pour l’étude des communautés ethniques. Centré plus particulièrement sur la communauté finnoise de la région de Murmansk, l’article examine la composition des archives familiales afin de comprendre quels faits et circonstances de l’histoire familiale sont valorisés en vue de leur transmission. Il montre les diverses fonctions que revêt ce type d’archives : en dehors de leur intérêt pratique ou social, elles constituent une source historique précieuse sur des événements liés non seulement à une famille donnée, mais aussi à une communauté dans son ensemble.}, language = {fr}, number = {1}, urldate = {2022-04-14}, journal = {Revue des études slaves}, author = {Busyreva, Elena}, translator = {Priadko, Sarah Gruszka et Eugène}, year = {2021}, note = {ISBN: 9782720406638 Number: 1 Publisher: Institut d’études slaves}, keywords = {Archives familiales, Archives privées, Conservation, Europe orientale, Identité, Préservation}, pages = {161--172}, } @article{brassard_cinema_2021, title = {Le cinéma des religieuses au {Québec} : pour la valorisation d’un patrimoine ignoré}, shorttitle = {Le cinéma des religieuses au {Québec}}, url = {https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/handle/1866/26054}, abstract = {Le présent mémoire s’intéresse aux films réalisés par les religieuses au Québec. Depuis les années 1930, celles-ci ont produit de nombreux films amateurs, qui n’ont toutefois suscité que très peu d’intérêt culturel ou académique. Un état de la recherche est d’abord effectué, s’appuyant principalement sur les travaux de l’historienne Jocelyne Denault, la première (et la seule) à avoir écrit sur ce corpus jusqu’à ce jour. Une incursion est proposée dans la production cinématographique de trois communautés localisées à Montréal. Ce faisant, nous associons les différents objets à trois catégories mieux établies : le cinéma utilitaire, le film de famille et le film de réemploi. L’étude de cas du film Le Livre d’or (Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception 1964) nous permet de s’intéresser à des films hybrides, mêlant ces trois catégories. Nous nous intéressons ensuite à la valeur documentaire des réalisations des religieuses, s’appuyant principalement sur l’exemple de Chez nous (Barrette s.g.m. 1961) et les documents corollaires à sa production. Ayant démontré la valeur historique et patrimoniale des films faits par les sœurs, nous procédons à une présentation de l’état actuel de leur archivage. Partant du constat que ces films sont plus menacés que jamais, autant par l’oubli que par la destruction, nous considérons deux procédés de mise en valeur possibles et imaginons les différentes possibilités quant à leur concrétisation : la mise en exposition et le film de réemploi. Nous concluons par un pressant appel à l’action afin de sauvegarder et de mettre au jour ces éléments précieux de la mémoire collective.}, language = {fra}, urldate = {2022-04-15}, author = {Brassard, Noémie}, year = {2021}, note = {Accepted: 2022-01-24T19:33:11Z}, keywords = {Archives audiovisuelles, Archives religieuses, Patrimoine, Québec, Valorisation}, } @article{besson_remonter_2021, title = {({Re})monter la parole des acteurs de l’histoire}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, url = {https://journals.openedition.org/afas/6314}, doi = {10.4000/afas.6314}, abstract = {Cet article a pour objet l’évolution des pratiques et des discours portant sur le montage des films de Claude Lanzmann sur la Shoah. Il prend pour étude de cas, une partie de Les Quatre sœurs (2018) intitulée Le Serment d’Hippocrate (89 minutes) qui porte sur le récit de vie d’une survivante d’Auschwitz, Ruth Elias. Cette partie du documentaire est issue d’un tournage que le réalisateur a conduit à Tel-Aviv pour Shoah. Il s’agit ici de se demander si le montage a changé en 2018 et quelles sont les conséquences épistémologiques de cette continuité ou de ces variations dans la pratique et les discours entourant le montage des films de Lanzmann.}, language = {fr}, number = {47}, urldate = {2022-04-04}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Besson, Rémy}, year = {2021}, note = {ISBN: 9791097301149 Number: 47 Publisher: Association française des archives orales sonores et audiovisuelles}, keywords = {Archives audiovisuelles, Histoire, Holocauste, Shoah}, pages = {32--41}, } @article{baude_fonction_2021, title = {La fonction documentaire dans un État « moderne ». {Une} longue marche vers l’interministérialité}, volume = {1}, shorttitle = {La fonction documentaire dans un État « moderne »}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-116.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0116}, abstract = {Cet article a pour objet de mettre en lumière les conditions du développement des préoccupations documentaires de l’administration après-guerre, en se focalisant sur deux acteurs majeurs de cette évolution : la Commission de coordination de la documentation administrative (CCDA) et l’Association professionnelle des documentalistes (ADBS). Il tente d’éclairer les logiques de coordination interministérielle et de mutualisation mises en œuvre par les pouvoirs publics pour développer la technicité de la fonction documentaire dans les services et qui rendront possible ultérieurement la mise en place d’un statut interministériel des documentalistes.Il fait suite à l’article de Catherine Baude détaillant les actions menées pendant plus de quarante ans par l’ADBS pour améliorer le statut des personnels de documentation dans la Fonction publique d’État. S’appuyant sur ce premier récit de l’action d’une association professionnelle, les auteures ont cherché à retracer, sur un temps long, l’émergence et l’évolution de la fonction documentaire dans l’administration.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Baude, Catherine and Krumnow, Marie Pascale}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Administration, Associations professionnelles, Documentaliste, France, Histoire, Politique}, pages = {116--154}, } @article{prost_centenaire_2020, title = {Le {Centenaire} et les {Archives}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {La Grande Guerre n’a cessé de ren­for­cer sa pré­sence dans notre société depuis les années 1970-1980. À côté des livres et des films, une mémoire sou­ter­raine de la guerre s’est déve­lop­pée sur le web, avec de nom­breux sites et des sour­ces mises en ligne où beau­coup ont puisé pour enri­chir leur mémoire fami­liale. Dans ce contexte, la com­mé­mo­ra­tion a pris une grande ampleur, qu’il s’agisse des res­pon­sa­bles des mani­fes­ta­tions ou de leurs formes, très diver­ses. Les com­mé­mo­ra­tions loca­les l’empor­tent, et parmi elles, les expo­si­tions. Les Archives leur ont apporté une contri­bu­tion de pre­mière impor­tance. Elles ont ainsi fait conver­ger les mémoi­res, les ont nour­ries d’his­toire, et conforté une mémoire natio­nale de souf­fran­ces et de deuil.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Prost, Antoine}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{pairault__2020, title = {La « folle entre­prise » du por­tail commun {Archives} {Canada} {France} : quinze ans déjà}, url = {https://www.archivistes.org/La-Francophonie-des-archives-Expertise-cooperation-partage}, abstract = {Lancé en 2003, le por­tail Nouvelle-France : Horizons nou­veaux reste à ce jour le plus grand projet de col­la­bo­ra­tion de la fran­co­pho­nie ayant trait à la dif­fu­sion du patri­moine archi­vis­ti­que commun du Canada et de la France. Cet arti­cle pro­pose de retra­cer briè­ve­ment son his­toire et son déve­lop­pe­ment, en exa­mi­nant quels ensei­gne­ments l’expé­rience de ce grand chan­tier numé­ri­que et patri­mo­nial, com­por­tant de mul­ti­ples défis, peut appor­ter à la com­mu­nauté archi­vis­ti­que fran­co­phone aujourd’hui.}, number = {256}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Pairault, Louis-Gilles and Roy, Gilles}, year = {2020}, note = {Number: 256}, } @article{okret-manville_bibliotheque_2020, title = {La biblio­thè­que de l’uni­ver­sité {Paris} {Dauphine}-{PSL} : des col­lec­tions d’excel­lence pour la recher­che en his­toire des entre­pri­ses}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {Parmi les établissements d’ensei­gne­ment supé­rieur et de recher­che, l’uni­ver­sité Paris Dauphine – PSL, dédiée aux scien­ces de l’orga­ni­sa­tion et de la déci­sion, pré­sente un posi­tion­ne­ment par­ti­cu­lier. Constituées sous le signe de la com­plé­men­ta­rité dis­ci­pli­naire, les spé­cia­li­tés qui la com­po­sent for­ment un ensem­ble cohé­rent dédié à l’étude de l’entre­prise sous divers angles : la ges­tion, l’économie, le droit, les scien­ces poli­ti­ques, la socio­lo­gie, les mathé­ma­ti­ques appli­quées notam­ment à la finance et l’infor­ma­ti­que appli­quée à la déci­sion. La biblio­thè­que sou­tient la recher­che dans ces domai­nes en met­tant à la dis­po­si­tion des cher­cheurs un fonds régu­liè­re­ment enri­chi grâce à des dota­tions bud­gé­tai­res spé­ci­fi­ques. Elle ren­force ainsi sa qua­lité de biblio­thè­que de réfé­rence dans le pay­sage docu­men­taire fran­çais. Une pré­sen­ta­tion géné­rale des prin­ci­paux carac­tè­res de ce fonds pré­cé­dera sa mise en pers­pec­tive au sein d’un réseau docu­men­taire en cons­truc­tion de col­lec­tions de haut niveau dans ces dis­ci­pli­nes. Puis, après avoir mis en lumière une col­lec­tion encore peu exploi­tée sur un thème par­ti­ci­pant de la stra­té­gie des entre­pri­ses – « les archi­ves du mar­ke­ting » –, un projet visant à mieux mettre en valeur ce type de res­sour­ces spé­ci­fi­ques sera pro­posé : un projet de car­to­gra­phie des cen­tres de recher­che en économie et ges­tion liés à des res­sour­ces docu­men­tai­res.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Okret-Manville, Christine}, year = {2020}, keywords = {Bibliothèque, Collection, France, Histoire, Recherche, Université}, } @article{nootens_degout_2020, title = {Le dégoût de l’archive : le {Rapport} du comité interministériel sur les archives judiciaires de 1989 et le patrimoine documentaire du {Québec}}, volume = {29}, url = {https://bulletinhistoirepolitique.uqam.ca/collection/57-numeros/volume-29-no-1-automne-2020/163-le-degout-de-l-archive-le-rapport-du-comite-interministeriel-sur-les-archives-judiciaires-de-1989-et-le-patrimoine-documentaire-du-quebec-2}, abstract = {La plupart de mes recherches en histoire du droit et de la justice concernent l’époque de la transition au capitalisme industriel, transition allant du milieu du XIXe siècle aux années 1920. Mes principaux terrains d’enquête sont l’histoire des tribunaux civils (Cour supérieure et Cour de circuit), des femmes, de la famille, de l’argent et du monde des affaires. Durant ces décennies, les familles doivent composer avec des défis de taille : bouleversements du monde du travail (prolétarisation, diffusion du salariat), processus de migration, adaptation à la vie en ville et à ses dangers (notamment démographiques), pour ne nommer que ceux-là. Certains ménages et certaines lignées réussissent à profiter des nouvelles opportunités offertes par les transformations économiques de ce temps; d’autres, au contraire, expérimentent une précarité permanente ou une mobilité sociale descendante. Et en cette époque d’avant l’État-providence, le droit et les tribunaux constituent des outils fort importants — sinon les plus importants — de régulation sociale, c’est-à-dire qu’il incombe à ces institutions de répondre aux conflits, accidents et vulnérabilités sociales de toutes sortes, aux côtés de l’entraide fournie par le réseau familial et de la charité des communautés religieuses. Je me réjouis fort que mon parcours académique m’ait conduit à me pencher précisément sur cette période. C’est que bon nombre de mes travaux ne pourront jamais être prolongés après 1920, en raison de l’élagage massif des archives judiciaires ayant suivi le Rapport du comité interministériel sur les archives judiciaires de 1989[i]. Ce comité avait été mis sur pied pour répondre à des problèmes substantiels, en l’occurrence l’accumulation impressionnante et surtout désordonnée de documents produits par les tribunaux. Je me propose de revisiter l’argumentaire déployé et les choix effectués par ce même comité interministériel sur les archives judiciaires (CIAJ). À mon sens, la décision de procéder à une destruction aléatoire et considérable au sein de certaines séries du XXe siècle — parmi les dossiers de première instance, au premier chef — fut très lourde de conséquences pour le patrimoine historique et mémoriel de la province de Québec. Cette décision a été étayée de manière bancale; les erreurs et les approximations archivistiques, documentaires et historiques ont pesé lourd dans ce processus.}, number = {1}, journal = {Bulletin d'histoire politique}, author = {Nootens, Thierry}, year = {2020}, note = {Number: 1}, } @article{moysan_depouiller_2020, title = {Dépouiller les archi­ves : pra­ti­ques docu­men­tai­res en épidémiologie}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/L-archivistique-objet-de-recherche-Explorations-en-France-et-a-l-international}, abstract = {Il existe en épidémiologie des pro­jets de recher­che dans les­quels l’uti­li­sa­tion d’archi­ves occupe une place impor­tante. Dans ces pro­jets, le dépouille­ment des archi­ves appa­raît comme une acti­vité cen­trale. Mené par des per­son­nels essen­tiel­le­ment formés sur le ter­rain, il requiert de mul­ti­ples com­pé­ten­ces, comme l’iden­ti­fi­ca­tion des sour­ces d’archi­ves, la com­pré­hen­sion du contexte de pro­duc­tion des docu­ments et du fonc­tion­ne­ment des ins­ti­tu­tions pro­duc­tri­ces ou encore l’évaluation de la fia­bi­lité des docu­ments. Invisibles, ces com­pé­ten­ces n’en demeu­rent pas moins excep­tion­nel­les dans un champ scien­ti­fi­que, la recher­che bio­mé­di­cale, qui n’est pas connu pour son uti­li­sa­tion d’archi­ves. Proches des usages his­to­riens, ces pra­ti­ques se rap­pro­chent également du métier de l’archi­viste, bien que les contacts entre les deux métiers soient encore très mino­ri­tai­res en 2006.}, number = {257}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Moysan, Magalie}, year = {2020}, note = {Number: 257}, } @article{moreau_heureux_2020, title = {Heureux comme un entre­pre­neur belge en {France} ? {Les} inves­tis­se­ments de quel­ques grou­pes belges dans l’{Hexagone} à tra­vers leurs archi­ves}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {Dès le XIXe siècle, les rela­tions finan­ciè­res et indus­triel­les entre la Belgique et la France ont été denses et diver­si­fiées. Rien d’étonnant à ce que l’on retrouve dans les archi­ves des entre­pri­ses belges, nombre de fonds et dos­siers rela­tifs à des entre­pri­ses fran­çai­ses. Sans pré­ten­dre aucu­ne­ment faire l’his­toire des inves­tis­se­ments belges dans l’Hexagone, voici quel­ques pistes archi­vis­ti­ques tirées des fonds trai­tés depuis trente-cinq ans par l’Association pour la valo­ri­sa­tion des archi­ves d’entre­pri­ses (AVAE) , et qui pour­raient inté­res­ser le cher­cheur fran­çais.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Moreau, Jean-Louis}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, Archives institutionnelles, Belgique, France, Histoire}, } @article{le_roux_peut-encore_2020, title = {Peut-on encore faire de l’his­toire des entre­pri­ses ?}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {Avec la seconde indus­tria­li­sa­tion et l’influence de l’idéo­lo­gie libé­rale des années 1880, le fait économique a pris de l’ampleur, par­fois au détri­ment du poli­ti­que ; l’his­toire est donc aussi économique. La part dévo­lue à l’indus­trie est passée, depuis 2000, de 19 à 12 \% du PIB ; d’autres acti­vi­tés – la finance, l’assu­rance, les ser­vi­ces, les tech­no­lo­gies de l’infor­ma­tion et de la com­mu­ni­ca­tion – ont pros­péré. En France, une partie des gran­des entre­pri­ses a dis­paru, à l’instar du Royaume-Uni mais à l’encontre de l’Allemagne, du Japon ou encore des États-Unis, pro­té­geant davan­tage leurs entre­pri­ses. Dans ce contexte de fusions, acqui­si­tions, absorp­tions, ces­sions et ventes d’entre­pri­ses, d’émergence de nou­veaux sec­teurs, les his­to­riens et his­to­rien­nes, de conserve avec les archi­vis­tes, ont une res­pon­sa­bi­lité : s’assu­rer que leur patri­moine sera pré­servé.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Le Roux, Muriel and Michel, Alain P. and Nougaret, Roger}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, Histoire, Politique, Économie}, } @article{labaune_deux_2020, title = {Deux expé­rien­ces miroir du {Collège} de {France} autour des archi­ves et de leur nom}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/L-archivistique-objet-de-recherche-Explorations-en-France-et-a-l-international}, abstract = {La pra­ti­que des archi­ves voit par­fois s’oppo­ser des logi­ques dif­fé­ren­tes, entre les archi­vis­tes d’un côté et les cher­cheurs de l’autre. Ces deux mondes, pour­tant, n’ont pas voca­tion à être en confron­ta­tion. Tout d’abord pour des rai­sons socio­lo­gi­ques, notam­ment dans le milieu de la recher­che scien­ti­fi­que : si la plu­part des archi­vis­tes ont suivi un cursus uni­ver­si­taire les ame­nant à faire de la recher­che, nombre de cher­cheurs (en par­ti­cu­lier dans les scien­ces humai­nes) ont une pra­ti­que régu­lière des archi­ves. Les coo­pé­ra­tions entre les deux milieux offrent de nom­breux béné­fi­ces, de part et d’autre, et influent sur les pra­ti­ques et usages des archi­ves. Nous vou­lons ana­ly­ser ici les influen­ces croi­sées autour de la ques­tion du nom­mage des docu­ments, com­ment on les bap­tise et com­ment le nom qu’ils por­tent peut avoir une inci­dence sur la recher­che, grâce à deux expé­rien­ces paral­lè­les : dans l’une, les cher­cheurs nom­ment les archi­ves, dans l’autre, ils les trou­vent déjà nom­mées.}, number = {257}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Labaune, Christophone}, year = {2020}, note = {Number: 257}, } @article{janand_casino_2020, title = {Casino : quel­les sour­ces pour quel patri­moine}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {En 1892, Geoffroy Guichard acquiert une épicerie située dans l’ancien Casino lyri­que de Saint-Étienne, d’où le nom de Casino, qui res­tera long­temps le maga­sin prin­ci­pal du groupe. En 1898, il fonde la société des Magasins Casino en ouvrant la pre­mière suc­cur­sale à Veauche. En 1901, le groupe compte déjà cin­quante suc­cur­sa­les. C’est ainsi que naît, à Saint-Étienne, l’aven­ture Casino. Depuis cette période et jusqu’à aujourd’hui, Casino est inti­me­ment lié au ter­ri­toire sté­pha­nois, qui accueille tou­jours son siège mon­dial.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Janand, Caroline and Longin, Cyril}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, France, Histoire}, } @article{gallizia_source_2020, title = {Une source incontournable pour l’histoire des entreprises depuis 1791 : les archives de l’{Institut} national de la propriété industrielle}, volume = {101}, issn = {1161-2770}, shorttitle = {Une source incontournable pour l’histoire des entreprises depuis 1791}, url = {https://www.cairn.info/revue-entreprises-et-histoire-2020-4-page-142.htm}, abstract = {Héritier des institutions qui l’ont précédé depuis la fin du XVIIIe siècle, l’Institut national de la propriété industrielle (INPI), créé en 1951 sous la tutelle du ministère de l’Économie et des Finances, est chargé de la délivrance et de l’enregistrement des titres de propriété industrielle. La propriété industrielle a une histoire récente. Dans l’Antiquité ou au Moyen-Âge, les créations ne constituent pas de valeur économique en tant que telle au sens moderne du terme puisqu’elles ne sont pas, ou peu, reproductibles, encore moins industrialisables tel qu’on le conçoit à partir de la fin du XVIIIe siècle. En France, l’Ancien Régime est marqué par le système des privilèges et du monopole attribué à un bénéficiaire sous forme de concession. Même si la propriété industrielle puise ses racines aussi loin, ce sont avant tout les Révolutions, française et industrielle, qui déclenchent la mise en place d’un régime de protection des créations. Avec l’Angleterre et les Etats-Unis, la France est l’un des premiers pays à légiférer en la matière. C’est donc à partir du début du XIXe siècle que les trois titres de propriété industrielle apparaissent : brevets d’invention, marques de fabrique et de commerce et dessins et modèles industriels. Garant de la gestion de ces archives publiques, l’INPI est ainsi devenu l’une des mémoires de l’innovation technique en France. Il veille sur un riche patrimoine, constitué par l’intégralité des brevets depuis 1791, des marques depuis 1857 et des dessins et modèles depuis 1910. Près de 7,5 millions de documents forment cet ensemble de 145 kilomètres linéaires conservé précieusement dans des infrastructures spécifiques situées dans l’Oise…}, language = {fr}, number = {4}, urldate = {2022-04-14}, journal = {Entreprises et histoire}, author = {Gallizia, Steeve}, year = {2020}, note = {Bibliographie\_available: 0 Cairndomain: www.cairn.info Cite Par\_available: 0 Publisher: ESKA}, keywords = {Archives, Droit, France, Histoire, Patrimoine, Propriété intellectuelle}, pages = {142--148}, } @article{dreyfuss_histoire_2020, title = {D'une histoire séparée à une histoire intégrée ? {Mise} en archives et mise en récit de l’histoire des {Juifs} en {France} au {XIXe} siècle}, volume = {53}, url = {https://www.cairn.info/revue-archives-juives-2020-1-page-151.htm}, abstract = {En 1858 paraît le cinquième volume du Catalogue de l’Histoire de France, consacré à l’histoire religieuse de la France. Publié à partir de 1850 par la Bibliothèque impériale sur l’initiative de son administrateur, Jules Taschereau, le Catalogue de l’Histoire de France donne à voir les richesses la Bibliothèque impériale (ex-nationale), en matière d’imprimés relatifs à l’histoire de France, cinquante ans après les confiscations opérées dans les bibliothèques des congrégations religieuses et des familles émigrées pendant la Révolution française et l’Empire. De façon plus subtile, il s’agit également, par le réaménagement du cadre de classement des collections d’imprimés, de promouvoir une vision en partie inédite de l’histoire de France. Le volume dédié à l’histoire religieuse de France (cote Ld), s’inspire ainsi des cadres de classement fixés au xviiie siècle, tout en ménageant pour la première fois une place à l’« Histoire de la Synagogue en France ». Dans cette section, ont été insérés des ouvrages et d’autres pièces imprimées relatifs aux Juifs en France, dont certains se trouvaient auparavant dans la section des Écritures saintes (cote A). Seuls huit ouvrages touchent aux « généralités » de l’histoire des Juifs en France, voisinant avec près de cent-cinquante pièces imprimées relatives aux « détails » de celle-ci : l’histoire des Juifs en France apparaît ainsi, à la date de 1858, comme une histoire en friche et sans réelle assise documentaire, surtout si on la compare à celle du protestantisme françai…}, number = {1}, journal = {Archives juives}, author = {Dreyfuss, Mathias}, year = {2020}, pages = {151--167}, } @article{drevillon_archives_2020, title = {Archives his­to­ri­ques en entre­pri­ses pri­vées et {RGPD} : les réflexions des archi­vis­tes ban­cai­res}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {Avec l’entrée en vigueur du règle­ment géné­ral sur la pro­tec­tion des don­nées (RGPD) le 25 mai 2018, les archi­ves his­to­ri­ques ont pu être per­çues comme un risque pour l’entre­prise privée, ce qui n’est pas sans poser dif­fé­rents pro­blè­mes : des­truc­tion mas­sive, oubli de la pro­blé­ma­ti­que his­to­ri­que, dif­fi­cultés de dif­fu­sion. Comment les archi­vis­tes peu­vent-ils agir pour mieux pro­té­ger les archi­ves patri­mo­nia­les pri­vées ?}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Drévillon, Cathy}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, Archives historiques, Archives institutionnelles, Archives privées}, } @article{deuve_serious_2020, title = {Serious game {Gueule} d’{Ange} : quels publics et quels impacts ?}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Le conseil dépar­te­men­tal des Yvelines s’est investi dès 2013 dans un ensem­ble de pro­jets des­ti­nés à sen­si­bi­li­ser les Yvelinois aux res­sour­ces de cette période et à les faire par­ti­ci­per à une écriture de l’his­toire et de la mémoire col­lec­tive. Gueule d’Ange est l’un des pro­jets de ce pro­gramme porté par les Archives dépar­te­men­ta­les des Yvelines. Accessible sur Internet, il s’agit d’une enquête au cours de laquelle le joueur se fami­lia­rise avec des typo­lo­gies docu­men­tai­res incontour­na­bles pour la recher­che sur cette période et des res­sour­ces essen­tiel­les. Un concours annuel ouvert à tous est orga­nisé autour du jeu pour mobi­li­ser les publics sur un temps donné et relan­cer annuel­le­ment une com­mu­ni­ca­tion autour de cet outil. Au terme des com­mé­mo­ra­tions se pose la ques­tion de l’évaluation de ce serious game. Quels ont été les joueurs ras­sem­blés au fil des années de com­mé­mo­ra­tions ? Le jeu a-t-il vrai­ment permis de tou­cher de nou­veaux publics ? Quels sont les impacts d’un tel projet, dont les effets inat­ten­dus auprès des publics, des par­te­nai­res, et en interne ? Quelles sont les pré­co­ni­sa­tions à pré­voir en amont pour l’évaluation pour ce type d’outil ?}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Deuve, Mathilde}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{depoil_les_2020, title = {Les {Archives} dépar­te­men­ta­les du {Bas}-{Rhin} face à l’« impos­si­ble mémoire » de la {Grande} {Guerre} en {Alsace}}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {En dépit du contexte his­to­ri­que et mémo­riel par­ti­cu­lier de l’Alsace, dont l’appar­te­nance dis­pu­tée, entre France et Allemagne, a com­plexi­fié, dès 1918, les dis­cours tenus sur la Grande Guerre, les Archives du Bas-Rhin ont dès 2013 rejoint les com­mé­mo­ra­tions fran­çai­ses du Centenaire et par­ti­cipé aux ini­tia­ti­ves natio­na­les emblé­ma­ti­ques qu’ont été les gran­des col­lec­tes et le Grand Mémorial, tout en met­tant en valeur des sour­ces alsa­cien­nes spé­ci­fi­ques – ainsi les Schul-chro­ni­ken, pré­cieu­ses pour connaî­tre la vie de l’arrière, sys­té­ma­ti­que­ment col­lec­tées et numé­ri­sées – ou peu uti­li­sées dans le reste de la France, à l’image des dos­siers d’anciens com­bat­tants, inté­grés dans le Grand Mémorial en lieu et place des regis­tres matri­cu­les. Le bilan des actions menées fait appa­raî­tre tant les spé­ci­fi­ci­tés loca­les, dont témoi­gne par exem­ple l’impor­tante cor­res­pon­dance privée, en alle­mand, entrée dans les fonds lors des gran­des col­lec­tes, que les points de conver­gence entre his­toire régio­nale et his­toire natio­nale. Si cer­tains aspects des com­mé­mo­ra­tions demeu­rent impar­faits ou appel­lent de nou­veaux tra­vaux, les Archives du Bas-Rhin ont, à leur échelle, contri­bué à la « fièvre mémo­rielle » natio­nale qui, loin d’épargner l’Alsace, a montré qu’il était aujourd’hui pos­si­ble d’y com­mé­mo­rer de façon dépas­sion­née le pre­mier conflit mon­dial.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Depoil, Anne-Lise and Duvignacg, Marie-Ange}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{denis_laurent_2020, title = {Laurent {Véray}, {Avènement} d'une culture visuelle de guerre}, copyright = {© AFRHC}, issn = {0769-0959}, url = {https://journals.openedition.org/1895/8224}, abstract = {La thèse de Laurent Véray sur les films militaires de la Première Guerre mondiale, publiée initialement en 1995 par l'AFRHC et le SIRPA (les Films d'actualité français de la Grande Guerre) était en attente de réédition depuis longtemps. Mais son auteur a fait le choix de reprendre le travail en profondeur et d'envisager la question de la guerre entre 1914 et 1918 d'une manière bien plus large et complexe. Il prend en effet, comme le nom de l'ouvrage l'indique, le parti d'analyser les débuts d...}, language = {fr}, number = {92}, urldate = {2022-04-13}, journal = {1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma}, author = {Denis, Sébastien}, year = {2020}, note = {Number: 92 Publisher: Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC)}, keywords = {20e siècle, Archives audiovisuelles, Cinéma}, pages = {168--172}, } @article{david_regard_2020, title = {Regard sur 100 ans d’histoire. {Les} {Archives} nationales de 1920 à 2020}, issn = {2560-788X}, url = {https://www.banq.qc.ca/a_propos_banq/publications/a_rayons_ouverts/index.html}, abstract = {François David, adjoint de la conservatrice et directrice générale des Archives nationales, BAnQ Vieux-Montréal, et Christian Drolet, archiviste-coordonnateur, BAnQ Québec. Profitant d’une conjoncture politique et économique favorable, le Québec met sur pied au cours des années 1920-1930 ses premières véritables institutions culturelles. Sous l’impulsion d’Athanase David, secrétaire de la province de Québec, sont adoptées une série de lois favorisant le développement culturel. C’est à lui que nous devons notamment la fondation d’institutions majeures telles que le Musée national des beaux-arts du Québec, les écoles des beaux-arts de Québec et de Montréal ainsi que la création des Archives de la province de Québec1.}, language = {fr}, number = {105}, urldate = {2021-03-28}, journal = {À rayons ouverts - Chroniques de BAnQ}, author = {David, François and Drolet, Christian}, editor = {{Bibliothèque et Archives nationales du Québec}}, year = {2020}, pages = {12--15}, } @article{cuvelier_laffiche_2020, title = {L’affiche d’avant l’affiche. {Biographies} d’une archive urbaine}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, shorttitle = {L’affiche d’avant l’affiche}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-85.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0087}, abstract = {Éléments des décors urbains à l’époque moderne, les affiches du xviiie siècle, qu’elles soient officielles ou privées, permettent d’étudier la constitution a posteriori d’archives urbaines. En effet, ces éphémères qui n’ont pas été systématiquement conservés au xviiie siècle, ne sont constitués en fonds et collections qu’à partir du second xixe siècle. Cet article revient sur la construction de ce statut d’archive urbaine : comment ces affiches sont-elles passées de la paperasse des notaires au statut de source à part entière pour l’étude des villes de l’époque moderne. Il souligne l’importance des collectionneurs et des amateurs de vieux papiers dans ce processus. De plus, si ces imprimés ont longtemps été utilisés pour illustrer des décors urbains ou recréer des « ambiances graphiques » associées à certains événements, ils constituent également des objets à part pour l’historien des villes. Ils permettent en effet de préciser la géographie des lieux de diffusions d’informations et sont liés aux mutations sur le temps long des paysages urbains.}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Cuvelier, Laurent}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, pages = {85--103}, } @article{coppier_etre_2020, title = {Être reconnais­sant après la {Grande} {Guerre} : le rôle scien­ti­fi­que et cultu­rel des {Archives} dépar­te­men­ta­les de la {Haute}-{Savoie}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Dès le début de l’année 2013, le dépar­te­ment de la Haute-Savoie s’est engagé dans la com­mé­mo­ra­tion du cen­te­naire de la Grande Guerre au titre de ses poli­ti­ques cultu­relle, patri­mo­niale et mémo­rielle. Le dépar­te­ment a par­ti­cu­liè­re­ment sou­haité mettre en valeur la mémoire écrite de la Première Guerre mon­diale, à tra­vers ses archi­ves dépar­te­men­ta­les. Plusieurs pro­jets d’aide à la recher­che, de mise à dis­po­si­tion de sour­ces, de publi­ca­tions et d’expo­si­tion ont vu le jour. Les actions menées par les Archives dépar­te­men­ta­les à cette occa­sion cor­res­pon­dent à deux axes : sou­te­nir la recher­che et faire connaî­tre l’his­toire et le patri­moine écrit de la Haute-Savoie. Cet arti­cle se pro­pose d’en dres­ser un bilan.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Coppier, Julien and Maurin, Hélène}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{charbonnier_projet_2020, title = {Le projet par­ti­ci­pa­tif {Testaments} de poilus : entre pro­gramme scien­ti­fi­que et opé­ra­tion de média­tion}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Charbonnier, Pauline and Locatelli, Mélissa and Nougaret, Christine}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{carter_du_2020, title = {Du devoir de mémoire au pari sen­si­ble}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Les com­mé­mo­ra­tions sont une pré­ro­ga­tive de l’État et cons­ti­tuent l’outil prin­ci­pal du « devoir de mémoire ». Cette expres­sion, passée dans le lan­gage commun à partir des années 1950, ren­voie à une forme d’obli­ga­tion morale et à un exer­cice mémo­riel dont la voca­tion est avant tout cultu­relle avant d’être scien­ti­fi­que. Afin d’incar­ner l’his­toire et de com­plé­ter ce devoir de mémoire néces­saire mais par­fois pro­to­co­laire et super­fi­ciel, il convient de pro­po­ser au public, et avec le public, un « tra­vail de mémoire ». Pour ce faire, les ser­vi­ces d’archi­ves publics sont idéa­le­ment placés, grâce à leur proxi­mité et leurs com­pé­ten­ces scien­ti­fi­ques. Les Archives dépar­te­men­ta­les de la Charente ont saisi l’occa­sion des com­mé­mo­ra­tions du cen­te­naire de la Grande Guerre pour conti­nuer à explo­rer la dimen­sion sen­si­ble et émotionnelle de l’archive sans pour autant faire de conces­sion sur le contenu scien­ti­fi­que des actions pro­po­sées. Cette démar­che permet en outre d’atti­rer et de sus­ci­ter la curio­sité d’un public non initié.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Carter, Maximillian}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{bullot_puissance_2020, title = {Puissance et usage du document}, volume = {879-880}, issn = {9782707346483}, url = {https://www.cairn.info/revue-critique-2020-8-9-page-695.htm}, doi = {10.3917/criti.879.0695}, abstract = {Collecter, prélever, monter des fragments documentaires pour élaborer une œuvre plastique, cinématographique ou littéraire n’est pas une démarche sans précédent : elle a, bien au contraire, toute une histoire, dont plusieurs moments clés, de Reznikoff à Perec, sont rappelés dans ce numéro. Mais cette pratique, dans le monde littéraire et artistique d’aujourd’hui, a pris une ampleur et un sens nouveaux. Il y a dans la création contemporaine ce qu’on a pu appeler une « révolution documentale ». Les fragments rassemblés peuvent être issus d’archives institutionnalisées ou personnelles. Ils peuvent avoir été glanés dans l’histoire ou dans la rue. Le terme « montage » est le plus fréquemment employé, avec « bricolage », pour désigner l’opération qui congédie la notion d’inspiration au profit d’une conception de la création artistique comme « production », « témoignage », « reportage », « enregistrement », et qui signale un déplacement de la figure de l’auteur vers celle du « collecteur ». C’est cette effervescence très actuelle autour de l’archive et du document que décrivent, commentent et analysent les écrivains, philosophes, critiques, essayistes et traducteurs, historiens et historiens de l’art, réunis ici par Muriel Pic.}, language = {FR}, number = {8-9}, journal = {Critique}, author = {Bullot, Érik}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de Minuit}, keywords = {Document}, pages = {695--705}, } @article{bourillon_archives_2020, title = {Archives urbaines, introduction}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-37.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0039}, abstract = {La revue Histoire Urbaine souhaite se pencher dans ce dossier sur les « archives urbaines ». Formant les sources de l’histoire des villes, celles-ci peuvent être en effet considérées comme objets d’histoire. Qu’elles soient publiques, municipales, d’État ou privées, de cabinets d’urbanistes ou d’architectes, de syndicats techniques, d’associations de locataires ou de résidents, de défenseurs du patrimoine ou de l’environnement ou tout simplement de citadins, la diversité de leurs supports et de leurs contenus mais aussi des conditions de leur production, de leur conservation et de leurs usages mérite que l’on s’y arrête. Si la constitution des archives urbaines est un enjeu important, tous les documents produits sur la ville, dans la ville, ou par la ville ne sont pas nécessairement archivés : s’opère une sélection qui résulte de choix individuels et collectifs, scientifiques et pratiques, sociaux et politiques. Les vifs débats actuels sur les archives en général soulignent à quel point il importe de réfléchir aux critères qui président à la conservation de certains documents et à l’oubli d’autres, et de penser les pratiques qui en résultent. Il convient de s’interroger aussi sur les personnes et les institutions qui produisent ces archives et sur la diversité des configurations administratives et politiques qu’elles recouvrent. Au-delà des situations habituelles, les moments de grandes ruptures de l’histoire des villes (catastrophes naturelles, incendies, bouleversements géopolitiques, guerres, révolutions, épidémies, etc.) mettent souvent en péril les archives et cristallisent les discussions à leur sujet : ils seront évoqués dans ce dossier.}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Bourillon, Florence and Coudroy de Lille, Laurent}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, keywords = {Architecture, Archives municipales, Archives privées, Archives publiques, Conservation, Institutions, Urbanisme}, pages = {37--41}, } @article{beauvieux_constitution_2020, title = {Constitution, conservation et reconstitution d’archives urbaines en temps de catastrophe. {Le} réseau d’urgence d’hôpitaux de {Marseille} pendant la peste de 1720-1722}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, shorttitle = {Constitution, conservation et reconstitution d’archives urbaines en temps de catastrophe}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-157.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0159}, abstract = {Suite au déferlement de la peste à Marseille en 1720, la ville se voit dotée d’un réseau hospitalier afin de prodiguer les secours nécessaires aux malades et de limiter le risque de contagion. Si ces structures précaires n’ont laissé que peu de traces dans les archives, il est cependant possible de reconstituer leur répartition dans l’espace urbain et les principales logiques de leur fonctionnement. En combinant l’analyse des relations de peste écrites par les témoins de la catastrophe à des archives éparses, tant manuscrites que physiques, il apparait un réseau d’hôpitaux de peste et de maisons de convalescence desservant les différents quartiers de la cité, et calqué sur le modèle du lazaret. La logique de l’isolement des contagieux transparait, tant dans la forme architecturale des bâtiments que dans leur aménagement interne.}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Beauvieux, Fleur}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, pages = {157--177}, } @article{baumard_comment_2020, title = {Comment faire dia­lo­guer les archi­ves du monde du tra­vail ? {Enjeux} et posi­tion­ne­ment des {ANMT}}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {Nées sous le signe de la crise économique et du besoin de sau­ve­gar­der les archi­ves de sec­teurs en péril, les Archives natio­na­les du monde du tra­vail ont depuis 1993 col­lecté des fonds emblé­ma­ti­ques et de pre­mier ordre. Les moyens mis par l’État pour cette conser­va­tion sont sans égal en Europe. Et pour­tant, ces fonds cons­ti­tuent une goutte d’eau dans l’océan docu­men­taire des entre­pri­ses et des syn­di­cats. Cet océan est immense et mul­ti­ple : c’est à sa meilleure connais­sance que les Archives natio­na­les du monde du tra­vail sou­hai­tent par­ti­ci­per. Plutôt que de créer de nou­veaux outils ou de nou­vel­les struc­tu­res, elles ont la convic­tion que c’est en exploi­tant mieux ceux qui exis­tent déjà qu’un vrai pro­grès pourra se faire jour. Le projet scien­ti­fi­que, cultu­rel et éducatif (PSCE) 2020-2025 a été établi dans cet état esprit. En pri­vi­lé­giant sys­té­ma­ti­que­ment la logi­que de par­te­na­riats et en affir­mant l’ins­crip­tion des Archives natio­na­les du monde du tra­vail dans de mul­ti­ples réseaux, le chan­ge­ment est impor­tant : espé­rons que chacun se sai­sisse de ce nouvel état d’esprit. Rendez-vous en 2025 pour un pre­mier bilan.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Baumard, Raphaël}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, Archives institutionnelles, Collecte, Fonds, Histoire}, } @article{azzola_grande_2020, title = {Une grande école dans les com­mé­mo­ra­tions de la {Grande} {Guerre}}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Azzola, Olivier}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{alonzo_quelles_2020, title = {Quelles archi­ves numé­ri­ques pour les his­to­riens d’entre­prise ?}, volume = {4}, shorttitle = {Les archives et l'histoire d'entreprise}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archives-et-l-histoire-d-entreprise-questions-actuelles}, abstract = {La confé­rence de clô­ture du congrès inter­na­tio­nal d’his­toire des entre­pri­ses a fait émerger le thème de la maî­trise de l’envi­ron­ne­ment de pro­duc­tion docu­men­taire dans le contexte de déma­té­ria­li­sa­tion pour les cher­cheurs anciens comme nou­veaux. Dans ce débat, nous ne sou­hai­tons pas nous attar­der sur le côté tech­ni­que et les outils mais bien sûr la cons­ti­tu­tion des gise­ments de don­nées, la col­lecte et l’accès à ces don­nées. Nous avons sou­haité nous empa­rer de cette ques­tion à tra­vers trois exem­ples de grou­pes indus­triels fran­çais de niveau inter­na­tio­nal avec une triple matu­rité : tran­si­tion numé­ri­que, pra­ti­que archi­ves et pra­ti­que des cher­cheurs. Nous avons fait dia­lo­guer trois pro­fes­sion­nels expé­ri­men­tés qui ont bien voulu par­ta­ger leurs cons­tats. Ils bros­se­ront leur par­cours et leur contexte. Ils abor­dent ensuite la ques­tion de la pro­duc­tion et du rôle de l’archi­viste, qui est posi­tionné beau­coup plus for­te­ment en amont, au stade même de la pro­duc­tion ; celle-ci devient à la fois mas­sive, poten­tiel­le­ment exhaus­tive (pres­que à la folie) à des niveaux par­fois ini­ma­gi­na­bles, beau­coup plus riche, sous des for­mats com­plexes à gérer, avec une notion de dos­sier très mal­me­née, tota­le­ment éclatée dans cer­tains cas. Cela met l’archi­viste dans la situa­tion de devoir recons­ti­tuer des dos­siers et pose des ques­tions déon­to­lo­gi­ques. Le légis­la­teur a prévu des garde-fous (RGPD) qu’il convient de maî­tri­ser et de bien inter­pré­ter pour ne pas se retrou­ver avec un appau­vris­se­ment de cer­tains ensem­bles. Nous avons sou­haité également nous mettre à la place du cher­cheur dont le par­cours est rendu plus com­plexe tandis que l’archi­viste est ren­forcé dans son rôle d’inter­mé­diaire essen­tiel. Fréquemment déjà dans les entre­pri­ses, y com­pris pour les archi­ves « papier », les ins­tru­ments de recher­che ne sont pas mis à la dis­po­si­tion directe des cher­cheurs, car ils peu­vent conte­nir des infor­ma­tions confi­den­tiel­les ou s’insè­rent dans un sys­tème global d’infor­ma­tion à l’accès res­treint. Les comi­tés d’his­toire peu­vent jouer un rôle aux côtés de l’archi­viste en étant autant de faci­li­ta­teurs pour com­pren­dre la cons­truc­tion des gise­ments de sour­ces.}, number = {260}, urldate = {2022-04-08}, journal = {Association des archivistes français}, author = {Alonzo, Anne and Holgado, Sandra and Scaglione, Marc}, year = {2020}, keywords = {Archives d'entreprise, Archives institutionnelles, Archives numériques, Histoire, Instrument de recherche}, } @article{rousseau_cretion_2019, title = {La créa­tion artis­ti­que aux {Archives} natio­na­les : un espace d’expé­ri­men­ta­tion et de col­la­bo­ra­tions croi­sées pour un patri­moine vivant}, url = {https://www.archivistes.org/Les-Archives-nationales-une-refondation-pour-le-XXIe-siecle}, abstract = {L'objectif de ce texte est de montrer l'importance de l'acquisition, de la conservation et du classement des documents d'archives pour cerner notre histoire et éviter que le récit historique devienne une construction mythique sans fondement véritable. Les bibliothécaires et les archivistes sont en quelque sorte les gardiens de la mémoire d'une société. Il appartient aux historiens de consulter ces documents pour comprendre et interpréter le passé. Malheureusement, ce n'est pas ce cheminement qui s'est imposé dans la représentation de l'histoire du Québec contemporain qui domine encore notre mémoire collective, selon laquelle le Québec francophone d'avant 1960 est une société monolithique et ultraconservatrice, qui serait entrée de plain-pied dans la modernité à l'occasion de la Révolution tranquille. @ Cette vision du passé, portée par des intellectuels impatients d'en finir avec le régime de Maurice Duplessis et influencée par une lecture de l'histoire du Québec mise de l'avant par plusieurs sociologues, repose sur une recherche historique très sommaire. Elle est remise en question à partir des années 1970 par des historiens intéressés à l'histoire du Québec récent, dont la formation et la méthodologie les portent à accorder une importance primordiale à la consultation de fonds d'archives. Leurs travaux apportent un nouvel éclairage sur l'histoire du Québec depuis la Confédération. Loin d'être une société figée où règne l'unanimité sociale, il apparaît que le pouvoir clérical est contrebalancé par d'autres forces venant des milieux politiques et syndicaux. Il en ressort l'image d'une société, sans doute distincte, mais aussi diversifiée. C'est ce que l'auteur montre à partir de travaux qu'il a réalisés depuis plus de quarante ans portant sur divers aspects de l'histoire du Québec. La représentation misérabiliste du passé sous le signe de la Grande Noirceur et de l'impuissance est un mythe qui affecte la psychologie collective des Québécois et Québécoises, les porte à rejeter une large portion de leur passé et contribue à ternir leur sens d'identité.}, number = {254}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Rousseau, Anne}, year = {2019}, note = {Number: 254}, } @article{roa_bastos_savoirs_2019, title = {Savoirs et pouvoirs dans le gouvernement de l’{Europe}. {Pour} une sociohistoire de l’archive européenne}, volume = {69}, issn = {9782724636017}, shorttitle = {Savoirs et pouvoirs dans le gouvernement de l’{Europe}}, url = {https://www.cairn.info/revue-francaise-de-science-politique-2019-1-page-7.htm}, doi = {10.3917/rfsp.691.0007}, abstract = {Cet article (et le dossier qu’il introduit) propose de renouveler l’étude des formes de connaissance de l’Europe à partir de la notion-test d’Archive. Reprise à la fois aux historiens et à L’archéologie du savoir de Michel Foucault, la notion d’Archive – ici retravaillée pour la mettre au service d’une sociohistoire attentive aussi bien aux acteurs, à leurs luttes d’intérêt qu’à leurs discours – permet d’inclure dans l’analyse des « savoirs d’Europe » ce qui a été jusqu’ici laissé dans l’ombre. Car si l’étude des savoirs de gouvernement transnationaux est en plein essor, elle s’est concentrée pour l’instant sur les catégories et les paradigmes les plus consacrés, et donc sur ce qu’on pourrait appeler la doxa européenne. Mais elle a laissé de côté tous les savoirs avortés de la « construction européenne » : les catégories oubliées, les objets perdus, les savoirs contestés et rejetés... bref, tous ces « échecs doxiques » que la notion d’Archive permet de prendre en compte, en élargissant la focale pour inclure tous les discours, souvent contradictoires, qui ont été formulés sur l’Europe, par des acteurs bien plus divers que les traditionnels « entrepreneurs d’Europe » bien identifiés. Une manière de réencastrer l’« Europe de Bruxelles » dans ses différents contextes historiques et sociaux, pour mieux en comprendre les logiques de structuration.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {Revue française de science politique}, author = {Roa Bastos, Francisco and Vauchez, Antoine}, year = {2019}, note = {Place: Paris Publisher: Presses de Sciences Po}, keywords = {Europe, Histoire}, pages = {7--24}, } @article{poublanc_les_2019, title = {Les jeunes his­to­riens rêvent-ils d’archi­ves numé­ri­ques ?}, url = {https://www.archivistes.org/Le-gout-de-l-archive-a-l-ere-numerique}, abstract = {Trente ans après la publi­ca­tion du livre d’Arlette Farge, que reste-t-il des pra­ti­ques et des usages ten­dre­ment décrits par l’his­to­rienne ? Depuis lors, le numé­ri­que est devenu chose cou­rante : les ser­vi­ces d’archi­ves sont passés au numé­ri­que, cer­tai­nes archi­ves sont nées direc­te­ment sous ce format et l’appa­reillage tech­ni­que des his­to­riens a suivi la tech­ni­ci­sa­tion de notre société. Pour autant, les his­to­riens actuels sont-ils deve­nus des his­to­riens « numé­ri­ques » ? De quelle manière la numé­ri­sa­tion de leurs usages et de leurs pra­ti­ques a-t-elle changé leur rap­port aux sour­ces ? S’il n’est pas pos­si­ble de répon­dre pré­ci­sé­ment à ces ques­tions, cet arti­cle pro­pose des éléments de répon­ses en se fon­dant sur l’expé­rience péda­go­gi­que des Tribulations his­to­rien­nes, projet d’écriture fai­sant raconter aux étudiants d’his­toire moderne et contem­po­raine leur quo­ti­dien en billets de blogs. La lec­ture de leurs billets permet de des­si­ner ainsi une géné­ra­tion par­ta­gée entre deux pra­ti­ques du métier d’his­to­rien : aux métho­des clas­si­ques de l’his­toire, ses mem­bres super­po­sent des pra­ti­ques numé­ri­ques ins­tinc­ti­ves, sans par­fois même s’en rendre compte. Les deux coha­bi­tent et don­nent à voir des étudiants hybri­des, aux pra­ti­ques scrip­tu­rai­res tout autant que numé­ri­ques.}, number = {253}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Poublanc, Sébastien}, year = {2019}, } @article{poncet_archives_2019, title = {Archives et histoire : dépasser les tournants}, volume = {74e année}, issn = {978271322800}, url = {https://www.cairn.info/revue-annales-2019-3-4-page-711.htm}, doi = {10.1017/ahss.2020.50}, abstract = {Les publications et les programmes de recherche qui portent sur l’histoire des archives, de leurs acteurs, de leurs méthodes et de leur signification sociale, politique et culturelle se sont beaucoup multipliés ces dernières années. Ces préoccupations posent à nouveau la question de la pertinence du couple formé par les archives et l’histoire depuis au moins l’époque moderne. Deux mouvements, qualifiés de « tournants » semblent en réalité se développer sans toujours se rencontrer : le « tournant archivistique », qui serait plutôt le fait du monde des archivistes (et des anthropologues), et le « tournant documentaire » des chercheurs historiens qui ne considèrent plus seulement les pièces et les fonds d’archives comme des matériaux, mais comme des objets historiques à part entière, producteurs de sens social, politique ou culturel. L’archivistique, entendue au sens très large, revendique parfois une rupture avec la science historique pour gagner une véritable reconnaissance académique dans le paysage contemporain des sciences sociales, tandis que le « tournant documentaire », essentiellement européen, porte plus volontiers sur les époques médiévales et modernes. L’analyse de la production récente développée dans ces deux directions conduit à souhaiter leur mutuelle hybridation et, plus spécialement pour les historiens, à approfondir une contextualisation et une historicisation des fondements archivistiques sur lesquels repose une partie de nos connaissances historiques.}, language = {FR}, number = {3-4}, journal = {Annales. Histoire, Sciences Sociales}, author = {Poncet, Olivier}, year = {2019}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de l'EHESS}, pages = {711--743}, } @article{piche_centre_2019, title = {Le {Centre} de recherche en civilisation canadienne-française ({CRCCF}) de l'{Université} d'{Ottawa} : 60 ans dévoués à la mémoire documentaire des francophones du {Canada}}, volume = {48}, url = {http://archivistes.qc.ca/cora/article_un.php?article_id=661}, abstract = {Premier centre d'archives à s'intéresser aux francophones hors Québec, le Centre de recherche en civilisation canadienne-française de l'Université d'Ottawa est aujourd'hui l'un des plus importants dépôts documentaires francophones au Canada à l'extérieur du Québec. Il a pavé la voie à plusieurs communautés qui désiraient rassembler en un seul endroit leur patrimoine documentaire, pour ainsi pérenniser leur mémoire et leur histoire. Son principal objectif est de promouvoir la recherche sur tous les aspects de la culture et de l'histoire canadienne-française, surtout en Ontario français, notamment en préservant près de six cents fonds d'archives et en les diffusant le plus largement possible. Au fil des ans, le CRCCF est ainsi devenu un lieu incontournable pour quiconque pose son regard sur le Canada français. Après soixante ans à oeuvrer pour la conservation des archives francophones au Canada, il est temps de dresser un bilan des réalisations du CRCCF, de faire le point sur ce qui a été accompli au cours des dernières décennies et sur les défis et les enjeux qui s'annoncent dans les prochaines années.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Piché, Geneviève}, year = {2019}, pages = {121--136}, } @article{muller_histoire_2019, title = {Histoire, archives et politique en {Mitteleuropa} (1800-1850)}, volume = {74}, issn = {0395-2649}, url = {https://www.cairn.info/revue-annales-2019-3-page-623.htm}, abstract = {L’étude des documents et des dossiers des archives d’État à des fins historiques est une procédure familière et courante qui nous permet aujourd’hui de connaître le passé. Néanmoins, les archives de l’État n’ont pas toujours servi à la recherche historique. Le présent article examine tout d’abord la fonction des archives pour l’État et pour la société au xixe siècle en termes de politique gouvernementale. Puis il se demande comment, avant que les archives ne deviennent un instrument de gouvernement et de politique sociale, leurs fonds ont pu être rendus accessibles aux historiens durant la première moitié du xixe siècle. Si les réformes politiques du début du xixe siècle n’ont pas réussi à ancrer institutionnellement l’utilisation historique des archives, la tradition moderne de supplication de l’administration de l’État offrait un moyen conventionnel de concilier l’« exploitation scientifique », politiquement intéressante, du trésor des archives avec le souci du gouvernement de préserver l’intégrité de sa propre sphère obscure et l’impératif du secret. Au cours de diverses actions et communications, une « ouverture des archives » contrôlée administrativement a eu lieu. Surtout – c’est donc la thèse centrale de l’article –, en recourant aux anciennes archives, les historiens ont non seulement acquis des documents et des dossiers, mais aussi un concept juridique spécifique de la vérité fondamentalement attaché aux documents d’archives et qui, par le biais de la preuve juridique, a donné au récit historique un nouveau statut épistémique de la vérité.}, language = {fr}, number = {3}, urldate = {2022-04-14}, journal = {Annales. Histoire, Sciences Sociales}, author = {Müller, Philipp}, year = {2019}, note = {Bibliographie\_available: 0 Cairndomain: www.cairn.info Cite Par\_available: 0 Publisher: Éditions de l'EHESS}, keywords = {19e siècle, Archives nationales, Europe, Histoire}, pages = {623--656}, } @article{loriou_faire_2019, title = {Faire de l’his­toire, un casque sur les oreilles : le goût de l’archive radio­pho­ni­que}, url = {https://www.archivistes.org/Le-gout-de-l-archive-a-l-ere-numerique}, number = {253}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Loriou, Céline}, year = {2019}, } @article{le_boulay_mettre_2019, title = {Mettre l’{Europe} en boîtes. {L}’édification des archives historiques de l’{Union} européenne}, volume = {69}, issn = {9782724636017}, shorttitle = {Mettre l’{Europe} en boîtes}, url = {https://www.cairn.info/revue-francaise-de-science-politique-2019-1-page-25.htm}, doi = {10.3917/rfsp.691.0025}, abstract = {Monument en trompe-l’œil dans la mesure où nombre de documents n’y sont pas accessibles, les Archives historiques de l’Union européenne (AHUE) restent malgré tout l’un des éléments matériels et symboliques incarnant le pouvoir européen. Cet article montre qu’elles sont le fruit de la mobilisation de divers acteurs : institutions communautaires (au premier rang desquelles la Commission), acteurs historiques de la construction européenne, mais aussi historiens et archivistes. Ces « coentrepreneurs d’archives » ne sont pas uniquement animés par le souci de légitimer l’Union européenne. Malgré des conflits, ils coopèrent et privilégient une histoire officielle, celle des institutions et des dirigeants, au détriment d’autres visions de l’Europe moins héroïques qui ont été envisagées mais bientôt abandonnées. L’effet de ces archives sur les publications scientifiques doit cependant être nuancé, car les chercheurs utilisent aussi des sources complémentaires.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {Revue française de science politique}, author = {Le Boulay, Morgane}, year = {2019}, note = {Place: Paris Publisher: Presses de Sciences Po}, pages = {25--45}, } @article{gloutnay_lhistoire_2019, title = {L’histoire sur {Internet} : patrimoine documentaire canadien}, volume = {25}, issn = {1201-4710}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/91761ac}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2021-04-16}, journal = {Histoire Québec}, author = {Gloutnay, François}, year = {2019}, note = {Publisher: Les Éditions Histoire Québec}, pages = {50--50}, } @article{gagnon-arguin_association_2019, title = {L'{Association} des archivistes du {Québec} à travers « ses » histoires}, volume = {48}, issn = {0044-9423}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1060814ar}, doi = {10.7202/1060814ar}, abstract = {À partir d’une approche historiographique, cet article reprend les différents textes ou publications qui ont porté sur l’histoire de l’Association des archivistes du Québec (AAQ), de 1974 à nos jours, en soulignant les grandes lignes de leur contenu. Il signale, entre autres, les articles écrits à l’occasion des anniversaires de la fondation de l’Association et présentés particulièrement dans la revue Archives. Il mentionne aussi les textes publiés dans d’autres revues québécoises ou étrangères. En faisant cette synthèse, l’article veut témoigner de l’évolution de l’AAQ et de ses préoccupations à travers le temps.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Archives}, author = {Gagnon-Arguin, Louise}, year = {2019}, pages = {41--53}, } @article{fellous-sigrist_risques_2019, title = {Risques et enjeux de la parole. {Compte}-rendu du congrès des associations irlandaise et britannique d’histoire orale (juin 2018)}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, url = {http://journals.openedition.org/afas/3731}, doi = {10.4000/afas.3731}, abstract = {J’ai eu la chance en 2018 de pouvoir participer à trois congrès d’histoire orale : celui de l’association internationale d’histoire orale (Jyväskylä, Finlande), des associations irlandaise et britannique d’histoire orale (Belfast, Irlande du Nord), et de l’association américaine d’histoire orale (Montréal, Canada). Financée par King’s College London, l’université où je fais mon doctorat, j’ai profité de ces trois rendez-vous annuels des historiens oraux pour effectuer mon propre terrain et pr...}, language = {fr}, number = {45}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Fellous-Sigrist, Myriam}, year = {2019}, } @article{dezeraud_temoignage_2019, title = {Le témoignage oral dans la recherche en histoire, l’exemple des réfugiés musulmans lors de la partition de l’{Inde}}, volume = {131-132}, url = {https://www.cairn.info/revue-materiaux-pour-l-histoire-de-notre-temps-2019-1-2-page-53.htm}, abstract = {Cet article cherche à examiner les apports spécifiques du témoignage oral comme source historique à part entière, en prenant l’exemple des réfugiés musulmans (dans l’historiographie, les « mohajirs ») lors de la Partition de l’Inde. Alors qu’hindous et sikhs fuient le Pakistan où ils sont persécutés, les musulmans, subissant le même sort en Inde, font le chemin inverse. Leurs témoignages oraux, mettant l’accent sur la sensibilité des témoins, permettent de souligner davantage la « dimension humaine » (Ian Talbot) de ces évènements et d’explorer ainsi des aspects invisibles dans les sources écrites.}, language = {FR}, number = {1-2}, journal = {Matériaux pour l’histoire de notre temps}, author = {Dézéraud, Hélène}, year = {2019}, pages = {53--57}, } @article{descamps_archives_2019, title = {Archives orales et histoire des organisations}, copyright = {Tous droits réservés : EPHE}, issn = {0766-0677}, url = {http://journals.openedition.org/ashp/3169}, abstract = {Programme de l’année 2017-2018 : I. Des archives sonores à la mémoire orale : la « fabrique » d’un patrimoine culturel immatériel ? — II. Vertus heuristiques et apports épistémologiques des archives orales. — III. Histoire orale du ministère des Finances dans les années 1980 : d’une alternance à l’autre, néolibéralisme ou social-libéralisme à la française ?}, language = {fr}, number = {150}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques. Résumés des conférences et travaux}, author = {Descamps, Florence}, year = {2019}, pages = {349--352}, } @article{anheim_science_2019, title = {Science des archives, science de l’histoire}, volume = {74e année}, issn = {978271322800}, url = {https://www.cairn.info/revue-annales-2019-3-4-page-505.htm}, doi = {10.1017/ahss.2020.56}, abstract = {« Mais qu’est-ce donc que l’histoire ? Je vais vous le dire… Vous recueillez les faits. Pour cela vous allez dans les Archives. Ces greniers à faits. » Lorsque Lucien Febvre veut attaquer les historiens traditionnels dont il critique le positivisme, il choisit les archives – l’institution autant que les séries –, qui deviennent caractéristiques du déni de l’opération historiographique et de la naturalisation des données historiques. L’histoire qui intéresse Febvre, et avec lui les Annales, est différente : « L’histoire est choix. Arbitraire, non. Préconçu, oui. » De cette position découle une exigence : faire de l’histoire-problème consiste peut-être avant tout à réfléchir au processus continu qui va de la production de documents écrits à leur transformation en archives, puis en « sources » pour la recherche historique. Si, dès les années 1930, l’histoire sociale a tenté, avec plus ou moins de succès, de s’affranchir de l’illusoire transparence des archives en utilisant une grille de lecture sociologique ou des outils quantitatifs et sériels, il a fallu attendre le tournant des années 1970 pour que l’évidence des archives soit globalement remise en cause au sein de la discipline historique. Les propositions de Michel Foucault, de Hayden White et de Michel de Certeau, ainsi que la réflexion sur les protocoles d’enquête en anthropologie et en sociologie, ont alors suscité de nouvelles approches.}, language = {FR}, number = {3-4}, journal = {Annales. Histoire, Sciences Sociales}, author = {Anheim, Étienne}, year = {2019}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de l'EHESS}, pages = {505--520}, } @article{montembeault_a_2018, title = {À quoi pensent les archives de la jouabilité?. {Une} approche historiographique de l’expérience vidéoludique}, copyright = {Conserveries mémorielles est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1718-5556}, shorttitle = {À quoi pensent les archives de la jouabilité?}, url = {http://journals.openedition.org/cm/3171}, abstract = {Le jeu vidéo a la particularité d’impliquer non pas uniquement des créateurs, mais aussi et surtout des joueurs, regroupés parfois en communautés extrêmement organisées sur Internet. Ces communautés ont souvent une dévotion suffisamment forte vis-à-vis de leurs objets qu’ils en deviennent les témoins privilégiés, des acteurs de premier plan lorsque vient le temps d’écrire l’histoire du médium vidéoludique. Les communautés de joueurs tiennent très certainement un rôle de médiateur historiographique dans la conservation mémorielle du patrimoine vidéoludique. Cependant, ce rôle reste encore à être mieux compris. Quelle information historique est-elle récoltée par les adeptes de jeux vidéo et entretenue dans leurs archives? Comment les pratiques archivistiques des joueurs nous permettent-elles de préciser l’historiographie du jeu vidéo? Afin d’envisager et de relever les enjeux que représente une historicisation du jeu vidéo élaborée dans la perspective des joueurs, cet article propose de consolider une méthode de travail micro-historique nommée l’« histoire de la jouabilité ».}, language = {fr}, number = {\#23}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Conserveries mémorielles. Revue transdisciplinaire}, author = {Montembeault, Hugo and Dor, Simon}, month = oct, year = {2018}, } @article{verry_politique_2018, title = {Politique archivistique et évolutions territoriales : les années décisives 2010-2018}, volume = {252}, copyright = {free}, shorttitle = {Politique archivistique et évolutions territoriales}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_2018_num_252_4_5646}, doi = {10.3406/gazar.2018.5646}, abstract = {Politique archivistique et évolutions territoriales : les années décisives 2010-2018 Depuis 2010, de nombreuses mesures législatives ont affecté l’organisation territoriale de la France, accélérant en particulier au niveau local, dans un certain nombre de départements, des mouvements de regroupements communaux sous la forme de «communes nouvelles » . Cette évolution a été particulièrement rapide et forte dans le département de Maine-et-Loire, qui comptait en 2010 363 communes, et n’en compte plus, à la fin de l’année 2018, que 180. Parallèlement l’on assistait à une forte structuration des EPCI, structurés en neuf entités par le schéma départemental de coopération intercommunal publié par le préfet le 28 février 2016. Face à cette nouvelle réalité, le mode original d’intervention des Archives départementales à l’égard des communes et de leurs groupements mis au point depuis une vingtaine d’années, fait la preuve de son efficacité et de sa capacité d’adaptation. Une équipe d’une douzaine d’archivistes, coordonnés par le service départemental lui-même, sillonne le territoire et accomplit, tant auprès des nouvelles entités que des anciennes, des missions de classement et d’organisation qui s’étendent désormais aussi au contexte électronique. Le succès est au rendez-vous, mais l’importance de la demande et sa diversité représente un défi permanent.}, language = {fre}, number = {4}, urldate = {2021-04-08}, journal = {Gazette des archives}, author = {Verry, Élisabeth and Gandon, Christophe}, year = {2018}, note = {Number: 4 Publisher: Persée - Portail des revues scientifiques en SHS}, keywords = {France, Histoire, Politique archivistique}, pages = {49--70}, } @article{renneville_criminocorpus_2018, title = {Criminocorpus : un projet numérique pour l'histoire de la justice}, volume = {12}, url = {http://www.digitalhumanities.org/dhq/vol/12/1/000365/000365.html}, number = {1}, journal = {Digital Humanities Quarterly}, author = {Renneville, Marc and Sanchez, Jean-Lucien and Victorien, Sophie}, year = {2018}, } @article{gasly_oublies_2018, title = {Oubliés de l’{Histoire} ? {Quand} des lycéens font revi­vre la mémoire d’un camp d’inter­ne­ment}, url = {https://www.archivistes.org/L-archiviste-cameleon-mediateur-du-quotidien}, number = {251}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Gasly, Vanina}, year = {2018}, } @article{galland_proces_2018, title = {Le procès de {Klaus} {Barbie}, entre archi­ves, témoi­gnage et éthique}, url = {https://www.archivistes.org/Les-archivistes-au-centre-du-patrimoine-culturel}, number = {249}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Galland, Bruno}, year = {2018}, } @article{fortin-dupuis_lhistoire_2018, title = {L’histoire de l’{Association} des archivistes du {Québec} ({AAQ})}, volume = {64}, issn = {0315-2340}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1061710ar}, doi = {10.7202/1061710ar}, abstract = {L’Association des archivistes du Québec (AAQ), en tant que regroupement de professionnels, a fortement marqué la discipline archivistique au cours de ses 50 années d’existence. Cette influence a déjà été étudiée à l’aune de la perspective disciplinaire. En s’appuyant plutôt sur l’évolution de l’organisation interne de l’Association, on découvre des dynamiques sous-jacentes à l’évolution de la perception des professions de l’archivistique qui expliquent aussi des changements disciplinaires. Une attention particulière portée aux aléas financiers et aux changements à la distribution du pouvoir au sein de l’organisation montre les facteurs qui président à la hiérarchisation progressive du champ archivistique. Cette dynamique découle à la fois d’une quête d’efficience des membres et de l’administration de l’AAQ et d’un impératif de rentabilité imposé par le contexte social québécois. Au travers des aléas de ces 50 ans d’activité, on découvre une Association qui a toujours su s’adapter au changement, malgré les grands défis qu’il représente, et maintenir l’objectif défini à sa naissance : promouvoir et défendre les intérêts des archives, des archivistes et de l’archivistique. Ce nouvel éclairage jeté sur l’histoire de l’AAQ permet finalement de rappeler certaines conditions du maintien de la cohésion de l’Association des archivistes du Québec.}, language = {FR}, number = {3}, urldate = {2019-11-04}, journal = {Documentation et bibliothèques}, author = {Fortin-Dupuis, Simon}, year = {2018}, pages = {29--47}, } @article{epp_documentation_2018, title = {La documentation historique : {Un} effet de vérité dans le roman contemporain?}, volume = {3}, url = {http://id.erudit.org/iderudit/1055827ar}, doi = {10.7202/1055827ar}, abstract = {\$FR\$Nous examinons l'intégration de citations dans Les Onze et HHhH, deux romans à base d'archives avec un narrateur à la première personne qui se veut spécialiste d'histoire. Ce geste citationnel devrait, selon les historiens, produire de la fiabilité, mais n'a pas toujours l'effet escompté. Leur appropriation respective du style historique joue, dans les deux cas, avec les attentes du lecteur et provoque des interrogations quant à la représentation de l'histoire. \$EN\$This article examines the citation of historical documents in Les Onze and HHhH, two novels inspired by archival materials, with a first person narrator who styles himself as a historical expert. The citing of documents should, according to historians, be a mark of the text's reliability, although in these novels it does not always provoke the desired result. Their respective appropriation of a historical style of writing plays with the reader's expectations and provokes interrogations as to how best to represent history. \$\$Nous examinons l'intégration de citations dans Les Onze et HHhH, deux romans à base d'archives avec un narrateur à la première personne qui se veut spécialiste d'histoire. Ce geste citationnel devrait, selon les historiens, produire de la fiabilité, mais n'a pas toujours l'effet escompté. Leur appropriation respective du style historique joue, dans les deux cas, avec les attentes du lecteur et provoque des interrogations quant à la représentation de l'histoire.}, number = {2}, journal = {Captures}, author = {Epp, Marla}, year = {2018}, } @article{dreyfuss_fabrique_2018, title = {Fabrique des archives, fabrique de l'histoire : la construction des sources de l'histoire des {Juifs} en {France} (fin {XVIIIe}-années 1930). {Thèse} soutenue le 23 mai 2017}, copyright = {L'Atelier du Centre de recherches historiques – Revue électronique du CRH est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France.}, issn = {1760-7914}, shorttitle = {Fabrique des archives, fabrique de l'histoire}, url = {http://journals.openedition.org/acrh/8350}, abstract = {Thèse dirigée par Sylvie Anne Goldberg (ÉHESS), soutenue le 23 mai, devant un jury composé de Lisa Leff (Américan University), Judith Olszowy-Schlanger (EPHE), Odile Parsis-Barubé (Université Lille 3), Yann Potin (Archives nationales) et Perrine Simon-Nahum (CNRS). Résumé : Comment l’histoire des Juifs en France a-t-elle été pensée, écrite, conceptualisée tout au long du xixe siècle ? En repartant des conditions concrètes dans lesquelles archivistes et historiens se sont saisis des documents ...}, language = {fr}, urldate = {2019-10-30}, journal = {L’Atelier du Centre de recherches historiques. Revue électronique du CRH}, author = {Dreyfuss, Mathias}, year = {2018}, } @article{baillot_reconstruire_2018, title = {Reconstruire ce qui manque ou le déconstruire ? {Approches} numériques des sources historiques}, volume = {12}, url = {http://www.digitalhumanities.org/dhq/vol/12/1/000348/000348.html}, number = {1}, journal = {Digital Humanities Quarterly}, author = {Baillot, Anne}, year = {2018}, } @article{michon_archivistique_2017, title = {Archivistique, histoire et {Web} sémantique : une approche interdisciplinaire basée sur l'événementiel}, volume = {47}, issn = {0044-9423}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1041827ar}, doi = {10.7202/1041827ar}, abstract = {Le Web sémantique commence à intéresser les chercheurs en sciences historiques au Québec. Son fonctionnement demande par contre une restructuration des méthodologies archivistique et historienne afin d’accroître l’interopérabilité des données produites par chacune de ces disciplines. Les données liées, initiative technique qui sous-tend le Web sémantique, nécessitent l’utilisation de multiples vocabulaires et normes afin de créer des liens entre les contenus dans le but d’inscrire ces derniers dans un nuage de données interrogeable dynamiquement. Ce court article explique succinctement le fonctionnement du Web sémantique dans le but de présenter un modèle ontologique construit autour de la notion d’événement qui s’intitule Conceptual Reference Model élaboré par le Comité international pour la documentation de l’International Council of Museums. Cette introduction à une des ontologies susceptibles d’emmagasiner la complexité d’un fait patrimonial, amènera une réflexion autour des compétences communes et à acquérir pour les professionnels de chacune de ces disciplines. La question de l’interdisciplinarité est au coeur de l’argumentaire afin de démontrer que l’implication d’un grand nombre d’acteurs est primordiale pour assurer le développement d’une plateforme sémantique provinciale sur l’histoire québécoise.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2019-10-30}, author = {Michon, Philippe}, year = {2017}, pages = {85--105}, } @article{maroteaux_les_2017, title = {Les {Archives} dépar­te­men­ta­les, quelle place dans l’his­toire locale ? {Retour} sur l’expé­rience de la {Seine}-{Maritime}}, url = {http://www.archivistes.org/Marie-Paule-Arnauld-La-plenitude-d-un-metier}, number = {247}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Maroteaux, Vincent}, year = {2017}, } @article{mansion-prudhomme_vers_2017, title = {‪{Vers} une définition épistémologique de l’archive en histoire de l’architecture contemporaine‪}, volume = {25}, issn = {1767-7114}, url = {https://www.cairn.info/revue-marges-2017-2-page-88.htm}, abstract = {Cet article entend définir la notion d’archive dans le champ de l’histoire de l’architecture. Les archives des architectes sont des objets identifiés et familiers des historiens de l’architecture français. Cependant, leur rôle dans la fabrication de l’histoire de l’architecture n’a été que peu développé. Ici, nous interrogeons la notion d’«  archive » au singulier, telle qu’elle a été définie par quelques philosophes de l’histoire, à la recherche d’éléments permettant de définir les apports de ces archives à la construction disciplinaire de l’histoire de l’architecture.}, language = {Fr}, number = {2}, journal = {Marges}, author = {Mansion-Prud’homme, Nina}, year = {2017}, pages = {88--102}, } @article{heraud_nouvelle_2017, title = {Une nou­velle enquête du réseau des cor­res­pon­dants dépar­te­men­taux de l’{Institut} d’his­toire du temps pré­sent ({IHTP}) : « {Accueillir} les étrangers en {France}, 1965-1983 »}, url = {https://www.archivistes.org/Varia-3459}, number = {248}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Héraud, Bénédicte}, year = {2017}, } @article{grimmer_dsource_2017, title = {D’une source excep­tion­nelle à une recher­che his­to­ri­que à fort poten­tiel : l’enquête « {Charleville} »}, url = {https://www.archivistes.org/Varia-3459}, number = {248}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Grimmer, Claude and Montat, Éric}, year = {2017}, } @article{damour_fonds_2017, title = {Des fonds d’archives classées : {Un} patrimoine québécois protégé}, issn = {0829-7983}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/86802ac}, language = {FR}, number = {131}, urldate = {2019-11-04}, author = {D’Amour, Valérie}, year = {2017}, pages = {13--16}, } @article{noauthor_archives_2017, title = {Archives en fête}, issn = {0829-7983}, url = {https://www.erudit.org/fr/revues/cd/2017-n131-cd03253/}, number = {131}, journal = {Cap-aux-Diamants}, year = {2017}, } @article{piret_exhumer_2016, title = {Exhumer les vestiges de la colonisation. {Les} archives coloniales belges et leur histoire}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.7}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.7}, abstract = {Depuis 1997, l’ensemble des archives coloniales belges sont déposées au ministère des Affaires étrangères où elles sont ouvertes à la recherche. Depuis plus de quinze ans donc, les chercheurs (historiens, anthropologues et géographes principalement) consultent les documents produits par les organes d’administration et d’étude de la colonie (1908–1960) ainsi que des territoires sous mandats qu’étaient le Ruanda et l’Urundi (1916–1962). Pourtant, plusieurs fonds d’archives coloniales leur sont restés inconnus. Aussi, il paraît nécessaire d’exhumer ces ensembles d’une rare richesse et de les cartographier. Cette connaissance inédite des sources devrait permettre le renouvellement de certaines thématiques de recherches (comme le kimbanguisme) et l’ouverture de chantiers inédits dont l’analyse des structures de l’État colonial et la répression pénale.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Piret, Bérengère}, year = {2016}, pages = {51--62}, } @article{gerardot_recherche_2016, title = {La recherche historique et l’exploitation des fonds d’archives : la plus-value d’une société savante, {Archives} en {Limousin}}, volume = {2016-4}, copyright = {free}, shorttitle = {La recherche historique et l’exploitation des fonds d’archives}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_2016_num_244_4_5421}, doi = {10.3406/gazar.2016.5421}, language = {fre}, number = {244}, urldate = {2019-11-01}, journal = {Gazette des archives}, author = {Gérardot, Anne and Hurel, Daniel-Odon and Massoni, Anne}, year = {2016}, pages = {183--191}, } @article{delplancq_les_2016, title = {Les archives {Boël} à {La} {Louvière}. {Un} salutaire concours de circonstances}, volume = {2016}, url = {https://www.abd-bvd.be/fr/cahiers-de-la-documentation/2016-2/}, abstract = {Les Archives générales du Royaume conservent essentiellement des archives publiques, mais également des archives privées, dont des fonds d’archives d’entreprises. L’auteure de cet article, qui y travaille, porte deux casquettes professionnelles complémentaires, à savoir celle d’historienne et celle d’archiviste. Elle a, en effet, réalisé une thèse qui comprend à la fois l’inventoriage de 300 mètres linéaires d’archives de la société anonyme Forges de Clabecq, et la rédaction, à partir de toutes les sources disponibles, d’une monographie consacrée aux Forges de Clabecq, avec comme fil rouge le développement de l’entreprise de la fin du XVIIIe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Cet article relate les différentes étapes de son travail, ses rencontres, ses découvertes, ses surprises et ses réalisations.}, number = {2}, journal = {Cahiers de la documentation}, author = {Delplancq, Thierry}, year = {2016}, pages = {181--185}, } @article{nicole_dufournaud_recherche_2015, title = {La recherche empirique en histoire à l’ère numérique}, issn = {0016-5522}, url = {http://www.archivistes.org/Voyages-extraordinairement-numeriques-10-ans-d-archivage-electronique-et-demain}, number = {240}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Nicole Dufournaud}, year = {2015}, pages = {397--407}, } @article{schenk_pouvoir_2014, title = {Pouvoir de l’archive et vérité historique}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/463}, doi = {10.4000/elh.463}, abstract = {À partir d’un exposé du point de départ des débats actuels sur l’archive et son pouvoir – la publication en 1995 de Mal d’archive par Derrida et le contexte du postmodernisme –, Dietmar Schenk examine l’évolution de ces débats et leur place dans les sciences humaines, et plus généralement le champ des représentations. Il interroge ainsi la prolifération et la dissémination, par le chemin de la métaphore, du mot archives ou plutôt, au singulier, archive, avant d’entamer une réflexion, d’ordre à la fois épistémologique et politique, sur une expression tout aussi proliférante et par conséquent flottante, celle de « pouvoir de l’archive ».}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Schenk, Dietmar}, month = oct, year = {2014}, pages = {35--53}, } @article{piegay-gros_recits_2014, title = {Récits d’archives}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/473}, doi = {10.4000/elh.473}, abstract = {Parce qu’il met en scène l’archivage, le récit d’archives décloisonne les pratiques littéraires et historiennes. Il trouve dans l’archive une puissance d’émotion particulière. Plus, il fait de l’archive un foyer de subjectivation, pour le narrateur, qu’il soit historien, romancier, ou autobiographe. Trois usages différents de l’archive sont distingués : l’usage documentaire, l’usage testimonial et l’usage mélancolique, qui lui-même ne recouvre pas complètement l’usage nostalgique.}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Piégay-Gros, Nathalie}, month = oct, year = {2014}, pages = {73--87}, } @article{guyotjeannin__2014, title = {« {L}’imagination doit être reine » : les archives médiévales aujourd’hui. {Entretien} avec {Olivier} {Guyotjeannin}. {Par} {Catherine} {Croizy}-{Naquet}, {Claude} {Millet} et {Yann} {Potin}}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, shorttitle = {« {L}’imagination doit être reine »}, url = {http://journals.openedition.org/elh/460}, doi = {10.4000/elh.460}, abstract = {Après s’être livré à l’exercice d’une définition historicisée des archives, matériau premier de son travail de diplomatiste et de professeur à l’École des chartes, Olivier Guyotjeannin délimite les contours de ce qui, dans un long Moyen Âge, serait une autre définition, circonscrite par les pratiques et usages de ceux qui ne se nomment pas alors archivistes, avant de cerner le domaine des archives médiévales pour le chercheur d’aujourd’hui. Où il est question du statut archivistique de textes « littéraires », puis du renouvellement en cours du regard porté sur ces documents par leurs éditeurs et par les historiens.}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Guyotjeannin, Olivier and Croizy-Naquet, Catherine and Millet, Claude and Potin, Yann}, month = oct, year = {2014}, pages = {25--34}, } @article{coeure_autorite_2014, title = {Autorité de l’histoire, autorité de l’archive. {Francis} {X}. {Blouin}, {William} {G}. {Rosenberg}, {Processing} the {Past}. {Contesting} {Authority} in {History} and the {Archive} (2011)}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/500}, abstract = {Qui décide de la valeur historique des archives ? Les historiens s’interrogent-ils sur le processus qui amène les fonds d’archives à exister, puis à être pérennisés et communiqués ? Existe-t-il un espace conceptuel partagé entre histoire et archivistique ? Quel est l’impact de la révolution numérique, au-delà du « technical turn » ? Autant de questions fondamentales abordées lors d’un dialogue « ordinaire » noué à l’Université du Michigan entre deux personnalités intellectuelles de premier pl...}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Cœuré, Sophie}, month = oct, year = {2014}, pages = {175--177}, } @article{barral_essais_2014, title = {Essais d’archivage. {Chroniques} de la {Grande} {Famine} chinoise}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/491}, doi = {10.4000/elh.491}, abstract = {Dans un contexte de manque d’archives, les récits individuels de la Grande Famine chinoise (1959-1961) commencent à être répétés, re‑présentés sous diverses modalités par les écrivains, réalisateurs et historiens, sans qu’il s’agisse de les intensifier ou de les authentifier. C’est au contraire comme chroniques qu’ils sont répétés. Le témoignage en chinois de He Fengming, Expérience. Mon année 1957 (Lanzhou, 2001), le récit narrativisé par l’écrivain professionnel Yang Xianhui dans Chroniques de Jiabiangou (Tianjin, 2002) et le film de Wang Bing Fengming, chronique d’une femme chinoise (2007, 180 min), qui semble se contenter de filmer le témoin répétant son témoignage, mettent en perspective la fabrique de l’archive.}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Barral, Céline}, month = oct, year = {2014}, pages = {149--156}, } @article{viallet_mysteres_2014, title = {Mystères d’archives, apprendre à regarder l’image en profondeur}, url = {http://www.ina-expert.com/content/download/7411/142459/version/1/file/lextension-des-usages-de-l-archive-juin2014.pdf}, abstract = {Utiliser les images d’archives pour illustrer un événement, pour servir de référent historique dans des films de montage est devenu très courant. Mais interroger ces images pour voir comment elles ont été construites, filmées, fabriquées, est nettement plus rare. C’est ce que fait la collection Mystères d’archives, produite à l’Ina et diffusée avec succès sur Arte depuis huit ans, proposée par le réalisateur Serge Viallet dans le but de questionner cette mémoire audiovisuelle qui forge notre perception de tant d’événements depuis que le cinéma existe. Il explique son parcours vers l’archive, la méthode d’enquête qu’il a mise au point avec son équipe pour scruter en profondeur et disséquer des images d’événements partagées au niveau mondial et que l’on croyait connaître. Tout d’un coup, l’image parle et raconte une autre histoire, notamment grâce à l’utilisation des outils numériques. La chose la plus importante de la numérisation des archives, affirme-t-il, c’est cette possibilité de l’accès par la société à sa mémoire. En s’appuyant sur quelques exemples et des rencontres émouvantes comme au centre Bophana au Cambodge, il montre le chemin d’un partage de mémoire à travers le monde.}, journal = {E-Dossier de l’audiovisuel : L’Extension des usages de l’archive audiovisuelle}, author = {Viallet, Serge}, year = {2014}, } @article{veyrat-masson_documentaire_2014, title = {Le documentaire à base d’archives au cœur de l’histoire à la télévision}, url = {http://www.ina-expert.com/content/download/7411/142459/version/1/file/lextension-des-usages-de-l-archive-juin2014.pdf}, journal = {E-Dossier de l’audiovisuel : L’Extension des usages de l’archive audiovisuelle}, author = {Veyrat-Masson, Isabelle}, year = {2014}, } @article{stoler_suivre_2014, title = {Suivre les archives dans le sens du « grain ». {Entretien} avec {Ann} {Laura} {Stoler}. {Par} {Béatrice} {Fraenkel}, {Bertrand} {Müller} et {Yann} {Potin}}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, url = {http://journals.openedition.org/elh/495}, doi = {10.4000/elh.495}, abstract = {Ann Laura Stoler revient ici sur les origines et les enjeux de son essai Along the Archival Grain. Epistemic anxieties and colonial common sense (Princeton Press, 2009), dont une traduction paraîtra en 2015 chez Armand Colin sous le titre Au cœur de l’archive coloniale. Travaillant « dans les interstices des archives, sur des citoyens de seconde zone qui sont dans les interstices de l’histoire », l’historienne entend renouer ensemble les fils de leurs histoires à l’histoire du pouvoir, tout en montrant d’abord comment et pourquoi ces fils ont été coupés. Ce geste politique, qui rend compte de la sourde violence des archives, est aussi un geste poétique, dans la savante construction du livre, et sa manière de suivre leur « grain ».}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Stoler, Ann Laura and Fraenkel, Béatrice and Müller, Bertrand and Potin, Yann}, year = {2014}, pages = {169--174}, } @article{richard_les_2014, title = {Les mille et une vies des archives de l’{Ina}}, url = {http://www.ina-expert.com/content/download/7411/142459/version/1/file/lextension-des-usages-de-l-archive-juin2014.pdf}, abstract = {L’Ina, dès son origine, a voulu s’affirmer comme un acteur essentiel dans les domaines de la culture et de l’éducation. Ainsi, l’Institut s’est très vite doté d’un service des manifestations chargé d’organiser débats et projections autour des grandes heures de la télévision et donc, déjà, d’assurer une programmation d’une sélection d’archives « hors antenne »). Très tôt, également, l’Ina concevra un catalogue d’émissions enregistrées sur cassettes élaboré pour le monde scolaire, conscient que les archives avaient un rôle déterminant à jouer dans la transmission des connaissances. Aujourd’hui, le Service de l’action culturelle et éducative (Sace) œuvre à proposer une palette de projets valorisant les archives radiophoniques et télévisuelles françaises en partenariat avec des ministères, des musées, des collectivités territoriales, des festivals… Dans ce même esprit, il organise depuis une dizaine d’années des projets originaux auxquels collaborent des créateurs contemporains, chorégraphes, plasticiens, écrivains. Ces formes plurielles de valorisation dont nous parle Sylvie Richard, chef du Sace, permettent à l’Ina de toucher des publics différents au travers de cadres multiples, en France comme à l’international.}, journal = {E-Dossier de l’audiovisuel : L’Extension des usages de l’archive audiovisuelle}, author = {Richard, Sylvie}, year = {2014}, } @article{lindeperg_singulier_2014, title = {Le singulier destin des images d’archives : contribution pour un débat, si besoin une « querelle »}, url = {http://www.ina-expert.com/content/download/7411/142459/version/1/file/lextension-des-usages-de-l-archive-juin2014.pdf}, abstract = {Si les archives audiovisuelles sont de plus en plus l’objet d’un engouement généralisé, se pose la question des tensions et contradictions engendrées par des usages très divers. Ces images sont en effet entrées peu à peu dans le champ des historiens, mais sans avoir le statut des archives écrites. Par ailleurs, depuis des années, l’une des tendances dominantes de la production documentaire mainstream se fonde sur la disjonction opérée entre l’histoire des événements d’un côté, laissée aux professionnels de l’histoire, celle des images de l’autre, considérée comme le domaine réservé du réalisateur. Dans cette perspective, les historiens ont en général pour seule tâche de valider « l’exactitude historique ». Or, à ces mésusages anciens, les techniques numériques ajoutent une nouvelle dimension, en facilitant des manipulations telles la colorisation ou la sonorisation des plans. Sylvie Lindeperg décrit certaines pratiques dominantes du documentaire historique qui relègue l’image d’archive au rang de marchandise et trace quelques pistes en faveur d’un « statut scientifique » des archives audiovisuelles.}, journal = {E-Dossier de l’audiovisuel : L’Extension des usages de l’archive audiovisuelle}, author = {Lindeperg, Sylvie}, year = {2014}, } @article{callu_patrimoine_2014, title = {Le patrimoine sonore et audiovisuel français : pour de nouvelles pratiques historiennes}, url = {http://www.ina-expert.com/content/download/7411/142459/version/1/file/lextension-des-usages-de-l-archive-juin2014.pdf}, abstract = {Couramment nommé Le Guide du patrimoine sonore et audiovisuel français (dont le titre exact est Le Patrimoine sonore et audiovisuel français : entre archives et témoignage, guide de recherches en sciences sociales) constitue un ouvrage de référence, paru en 2005 sous la direction d’Agnès Callu et d’Hervé Lemoine. En se fondant sur ce travail, objet d’une enquête auprès d’environ dix mille organisations en France pour établir les fiches de huit cent cinquante organismes d’archives, Agnès Callu, historienne, conservateur du Patrimoine au musée des Arts décoratifs, chercheur permanent au Cnrs, situe les enjeux d’un tel ouvrage, l’interrogation sur la caractérologie même de ce patrimoine, qui recouvre des réalités éclatées, sa cartographie raisonnée, l’importance d’une telle démarche à l’heure où l’apport de l’audiovisuel à la connaissance du contemporain est devenu un élément essentiel. Des outils indispensables pour alimenter les champs d’investigation de la recherche en sciences sociales, et qui mériteraient une réactualisation en ligne, couplée à des rapprochements scientifiques et des programmes collectifs mutualisant les savoirs sur cette matière vive audiovisuelle.}, journal = {E-Dossier de l’audiovisuel : L’Extension des usages de l’archive audiovisuelle}, author = {Callu, Agnès}, year = {2014}, } @article{noauthor_lespace_2014, title = {L’espace alpin – un espace culturel}, volume = {14}, url = {http://arbido.ch/assets/files/Arbido_1_2014.pdf}, abstract = {De Bernard Debarbieux, professeur à l’Université de Genève, qui nous proposedans l’interview qu’il nous a accordée une histoire des variations de l’acception de la notion de montagne, aux activités concrètes des musées alpins d’Innsbruck, de Bagnes, de Sion ou encore de Berne – pour n’en citer que quelques-uns parmitous ceux qui se présentent dans ce numéro d’arbido – l’Espace alpin comme espace culturel semble prendre corps et se concrétiser de plus en plus au fil des années, des prises de conscience et des mises en réseau.}, number = {1}, journal = {Arbido}, year = {2014}, } @article{noauthor_expo_2014, title = {Expo 64}, url = {http://memoriav.ch/wp-content/uploads/2014/09/Bulletin-21_Web.pdf}, abstract = {les articles mettent différentes facettes de cette expo 64 en lumière à l’aide de documents audio-visuels. comment l’expo 64 est-elle devenue un objet de mémoire collective? Quel a été le rôlejoué par l’audiovisuel dans l’exposition? Quels étaient les films et les documents sonores présentés? et bien entendu, qu’en est-il resté?les documents audiovisuels constituent des témoignages uniques et fragiles de cette expositionnationale. A travers ce numéro, nous invitons toutes les personnes intéressées à accéder aux multiples facettes d’un héritage à préserver.}, number = {21}, journal = {Memoriav Bulletin : Préserver le patrimoine audiovisuel}, year = {2014}, } @article{pradervand_patrimoine_2013, title = {Le patrimoine audiovisuel en {Suisse} : genèse, ressources, reconfigurations}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0027}, doi = {10.3917/sr.035.0027}, abstract = {L’article porte sur un bilan de la situation des archives audiovisuelles en Suisse ainsi que leur intégration au sein de la recherche et de l’enseignement académique. En premier lieu, il s’agira de revenir sur la notion de « patrimoine audiovisuel », son contexte d’émergence et l’évolution de sa signification. Un rapide survol historique permet à cet égard de préciser le caractère relativement récent de la notion (années 1980), tout en soulignant l’extension des premières mesures concernant le cinéma au secteur des archives radio et télévision. Dans un deuxième temps, on aborde la question de l’intégration du matériel audiovisuel dans l’enseignement et la recherche. Après avoir rappelé le rôle de certaines personnalités pour la légitimation des études dans ce domaine (Remi Pithon, Yves Collart ...), deux démarches récentes seront plus spécialement présentées : d’une part, le grand chantier historique développé autour de l’histoire de la SSR, d’autre part, la mise en place à l’UNIL d’un pôle de recherche et d’enseignement sur une histoire audiovisuelle du contemporain. Ces deux démarches ont pour dénominateur commun un questionnement élargi (d’une histoire de l’audiovisuel à une histoire par et à travers l’audiovisuel pour reprendre la formulation de Jérôme Bourdon) et l’élaboration, par le biais de nouveaux outils techniques, de formes inédites de mise en dialogue des archives audiovisuelles avec les ressources documentaires traditionnelles (presse quotidienne et spécialisée, journaux programmes, archives d’entreprise, archives de programmation, histoire orale, etc.).}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Pradervand, Olivier; Vallotton}, year = {2013}, pages = {27--39}, } @article{poels_lautre_2013, title = {De l’autre côté de l’écran : faire l’histoire des publics et de la réception télévisuelle}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0117}, doi = {10.3917/sr.035.0117}, abstract = {Les historiens de la culture du xxe siècle appellent depuis longtemps à prendre en compte non seulement les messages véhiculés par les médias, mais aussi leur réception et leurs publics. Cet article examine les conditions de possibilité d’une telle recherche, à travers le cas de la télévision française. Il invite à considérer les acquis de recherches interdisciplinaires et internationales sur les notions clés (comme celle de réception) et suggère des pistes de recherches qui inscrivent résolument l’histoire de la télévision dans l’histoire de la culture de masse. Il propose, enfin, un inventaire critique des sources et un panorama des archives disponibles.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Poels, Géraldine}, year = {2013}, pages = {117--129}, } @article{nourrisson_archives_2013, title = {Des archives méconnues pour le patrimoine visuel canadien : les films fixes d’enseignement}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0077}, doi = {10.3917/sr.035.0077}, abstract = {Les films fixes d’enseignement (filmstrips) ne constituent pas un patrimoine exclusivement français. Le Canada, par l’entreprise de son Office national du film, se lance dans une fabrication assez intensive après la Seconde Guerre mondiale. Il s’agit de faire connaître le Canada au reste du monde et de consolider la toujours fragile unité canadienne. Plusieurs milliers de vues (frames), réalisées dans des montages très didactiques, déterminent une vision originale et datée des paysages, des populations et des institutions de la Confédération.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Nourrisson, Didier}, year = {2013}, pages = {77--95}, } @article{mota_gomes_les_2013, title = {Les politiques publiques de conservation et d’accès aux collections télévisées au {Brésil}}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0041}, doi = {10.3917/sr.035.0041}, abstract = {Malgré l’importance que l’audiovisuel a dans la culture brésilienne, la production télévisuelle reste absolument absente des débats et des politiques publiques concernant sa prise en compte comme patrimoine culturel, ainsi que l’accès aux collections. Dans cet article, nous dressons un tableau historique du paysage télévisuel brésilien, en reconstituant la notion de patrimoine, sa législation et son lien avec l’identité nationale, du Mouvement moderniste jusqu’à la constitution de la Cinémathèque brésilienne en tant qu’organe de la politique publique du gouvernement fédéral. Nous montrons que le Brésil vit un paradoxe, car apparemment les politiques de préservation du patrimoine culturel vont se consolider depuis les années 1930 en phase avec les préoccupations internationales concernant la préservation ; mais, simultanément, pour l’audiovisuel, les politiques publiques se limitent à la production et à la diffusion. Le dépôt légal ne touche pas la télévision et est limité aux œuvres cinématographiques produites avec des fonds publics.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Mota Gomes, Itania Maria}, year = {2013}, pages = {41--58}, } @article{mervant-roux_peut-entendre_2013, title = {Peut-on entendre {Sarah} {Bernhardt} ? {Le} piège des archives audio et le besoin de protocoles}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0165}, doi = {10.3917/sr.035.0165}, abstract = {« Nous pouvons écouter des sons enregistrés dans le passé, mais nous ne pouvons prétendre que nous savons exactement ce qu’était l’audition à un moment ou en un lieu particulier du passé. À l’époque de la reproduction technologique, nous pouvons parfois faire l’expérience d’un passé audible, mais nous ne pouvons que présumer l’existence d’un passé auditif. » Ce constat formulé par Jonathan Sterne dans The Audible Past (2003), nous avons pu en vérifier la validité et l’importance dans le cadre d’une recherche internationale consacrée au « son du théâtre (xixe-xxie siècles) » étudié à partir des tout premiers enregistrements. Les enseignements les plus riches nous sont venus d’un séminaire de formation spécifiquement dédié aux archives sonores et largement fondé sur des exercices d’écoute. Le premier des enseignements est que la plupart de ces archives laissent croire aux auditeurs qu’elles sont immédiatement audibles. Le meilleur exemple, le plus célèbre, est celui de la grande Sarah, dont les enregistrements de Phèdre ont été souvent commentés. Les chercheurs les plus avisés mettent leur déception (fréquente) sur le compte du phonographe. En nous appuyant sur un corpus de phonogrammes théâtraux, nous nous intéresserons aux caractéristiques originales des documents audio, à leur double rapport intense et au passé et au présent, avant de proposer les règles d’une écoute historicisée.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Mervant-Roux, Marie-Madeleine}, year = {2013}, pages = {165--182}, } @article{crivello_lemergence_2013, title = {L’émergence et l’élaboration d’un patrimoine télévisuel en {Méditerranée}}, volume = {1}, issn = {9782859447458}, url = {https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SR_035_0097}, doi = {10.3917/sr.035.0097}, abstract = {Des dispositifs internationaux tels que le Partenariat euroméditerranéen (PEM) ou l’Union pour la Méditerranée (UPM) ont cherché à défier les affrontements potentiels en Méditerranée. Par ailleurs, le rôle des médias et des réseaux sociaux n’a cessé de démontrer leur importance dans cette configuration, à la lumière, notamment, des récentes « révolutions arabes ». Dans ce contexte, deux projets de sauvegarde et de diffusion des archives audiovisuelles des télévisions nationales de la Méditerranée ont vu le jour grâce au PEM. Le projet Cap-Med (2000-2005) a permis de sauver les archives télévisuelles de douze pays méditerranéens menacées de disparition en raison de la dégradation des supports. Il a été nécessaire de les numériser pour les sauvegarder et les rendre accessibles dans les milieux professionnels. Le projet MedMem. Mémoires audiovisuelles en Méditerranée (2009-2013) visait, quant à lui, à constituer un site internet gratuit et éditorialisé à partir d’une sélection d’archives télévisuelles de pays méditerranéens. Par leur démarche, ces initiatives mettent en jeu l’émergence d’un espace politique méditerranéen et la prise de conscience d’un patrimoine télévisuel dans cet espace, mais participent également à la structuration des politiques et des études dites méditerranéennes.}, number = {35}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Crivello, Maryline}, year = {2013}, pages = {97--107}, } @article{raymond_matiere_2012, title = {Matière à controverse. {La} polémique autour de l’édition des {Documents} diplomatiques et consulaires relatifs à l’histoire du {Liban}}, copyright = {Ateliers d'anthropologie – Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative  est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1245-1436}, url = {http://journals.openedition.org/ateliers/9042}, doi = {10.4000/ateliers.9042}, abstract = {Cet article a pour objet la polémique qui a opposé entre les années 1980 et 2000 Adel Ismail, historien et diplomate libanais ayant édité une vaste collection de documents diplomatiques français relatifs à l’histoire moderne du Liban, et Antoine Hokayem, historien universitaire à l’origine d’une critique virulente de ces publications et lui-même éditeur de recueils d’archives. L’analyse des différentes séquences du processus polémique vise à identifier les types de manipulation auxquels ces documents ont été soumis depuis leur collecte jusqu’à leur usage polémique et à étudier leurs modes d’articulation avec les logiques historiographiques, politiques et économiques qui en ont sous-tendu le développement. L’examen des dispositifs éditoriaux adoptés par les protagonistes de la polémique mettra en lumière leur rôle dans le déroulement de cette dernière et les effets produits par la matérialité même de ces dispositifs.}, language = {fr}, number = {36}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Ateliers d'anthropologie. Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative}, author = {Raymond, Candice}, month = may, year = {2012}, } @article{soulet_les_2012, title = {Les archives publiques et privées}, issn = {9782200277390}, url = {https://www.cairn.info/l-histoire-immediate--9782200277390-page-67.htm}, abstract = {À l’instar de ses confrères travaillant sur des périodes plus anciennes, l’historien spécialisé dans la période très contemporaine utilise, lui aussi, des « archives », au sens traditionnel du terme. La principale différence tient au fait que lesdites archives ne constituent pas pour lui une source exclusive ; et ceci, pour deux raisons : d’abord, parce que, à l’encontre des chercheurs « modernistes » ou « dix-neuvièmistes », il n’a pas légalement accès à la totalité de la documentation ; et, d’autre part, parce qu’il a l’avantage de pouvoir utiliser d’autres types de sources (presse, sources audiovisuelles, entretiens avec des témoins…) inexistantes pour les historiens des périodes plus anciennes. Même partielle, l’utilisation des archives publiques et privées se révèle profitable et, en de nombreux domaines de recherche (histoire politique, histoire socio-économique…), précieuse. Sous le terme général d’« archives », on désigne, en effet, des documents très variés, les uns émanant de l’État, des collectivités régionales et locales (« archives publiques »), les autres, des particuliers, des familles, des associations, des syndicats, des entreprises, des partis politiques et des confessions religieuses (« archives privées »). Ces documents ont en commun d’être manuscrits ou imprimés, et, souvent – pour la totalité des archives publiques et une partie des archives privées – conservés par des spécialistes dans des locaux appropriés. Bien entendu, nous nous intéresserons dans ce chapitre – comme dans le reste de l’ouvrage – aux seules « archives » de la période la plus contemporaine…}, language = {fr}, urldate = {2022-04-14}, journal = {L'histoire immédiate}, author = {Soulet, Jean-François}, year = {2012}, note = {ISBN: 9782200277390 Publisher: Armand Colin}, keywords = {Archives privées, Archives publiques, Histoire}, pages = {67--104}, } @article{cohen_cinematheque_2011, title = {La {Cinémathèque} de {Toulouse} {Questions} à {Christophe} {Gauthier} et {Natacha} {Laurent}}, volume = {2}, issn = {9782859446857}, url = {https://www.cairn.info/revue-societes-et-representations-2011-2-p-183.htm}, doi = {10.3917/sr.032.0183}, abstract = {Premières lignes : Christophe Gauthier est conservateur de la Cinémathèque de Toulouse depuis 2006. Il co-anime par ailleurs le séminaire « Histoire culturelle du cinéma » de l’Institut d’histoire du temps présent (CNRS) et prépare actuellement l’édition de son doctorat intitulé Supplément au roman national, l’histoire du cinéma en France des origines à la Seconde Guerre mondiale.Natacha Laurent est déléguée générale..}, number = {32}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Cohen, Évelyne; Goetschel}, year = {2011}, pages = {183--192}, } @article{lamonde_lemotion_2010, title = {L’émotion comme information : la subjectivité de l’historien devant le document émouvant}, volume = {42}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/revuearchives/vol42_2/42_2_lamonde.pdf}, abstract = {Comme l’évoque le sociologue et historien Yvan Lamonde, les émotions générées par les archives s’expriment à divers niveaux : le bonheur d’avoir enfin trouvé un fonds d’archives qui alimentera notre recherche ; les émotions ressenties à la lecture d’une correspondance ou d’un journal intime ; et l’appréhension pour un donateur d’archives de se départir de ses documents personnels. Après avoir évoqué certaines émotions personnelles -- dont celles liées à la correspondance de Louis-Antoine Dessaulles --, Yvan Lamonde conclut en faisant part de son inquiétude face aux contraintes liées aux législations actuelles en regard des informations personnelles, éminemment intimes, et face à la destruction -- trop souvent rapide -- de celles-ci. Quelle sera l’étude de l’intime d’aujourd’hui si tout ce qui porte la mention nominative ou personnelle est élagué ? La question est lancée au sein de la communauté archivistique.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Lamonde, Yvan}, year = {2010}, pages = {11--15}, } @article{lacoursiere_les_2010, title = {Les archives, de l'émotion à l'information}, volume = {42}, issn = {0044-9423}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/revuearchives/vol42_2/42_2_rajotte.pdf}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Lacoursière, Jacques}, year = {2010}, pages = {65--68}, } @article{barbiche_les_2009, title = {Les sources de l’histoire du patrimoine cultuel dans la seconde moitié du {XXe} siècle au {Centre} national des archives de l’Église de {France}}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/4357}, doi = {10.4000/insitu.4357}, abstract = {Fondé en 1973, installé à Issy-les-Moulineaux, le Centre national des archives de l'Église de France, service de la Conférence des évêques de France, est l'équivalent des Archives nationales pour l'État. Ses fonds datent majoritairement de la seconde moitié du XXe siècle, à quelques exceptions près. Dépôt central des archives de la Conférence épiscopale, le CNAEF reçoit ses archives et celles des comités qui en dépendent, mais aussi des dons divers (archives de mouvements ou de personnalités).Les documents touchant à l'histoire de l'art se trouvent plus particulièrement dans la section CO, répartis essentiellement dans les fonds du Comité national des constructions d'églises, le Comité national d'art sacré et le Centre national de pastorale liturgique. Ces fonds ne sont pas classés mais des répertoires sommaires sont consultables sur place, sachant que les délais de communication des documents varient entre 50 et 70 ans.}, language = {fr}, number = {11}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Barbiche, Bernard}, month = jul, year = {2009}, } @article{jungen_source_2009, title = {De source sûre. {Expérimentations} croisées sur l’archive}, copyright = {Ateliers d'anthropologie – Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative  est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1245-1436}, url = {http://journals.openedition.org/ateliers/8195}, doi = {10.4000/ateliers.8195}, abstract = {De source sûre. Expérimentations croisées sur l’archive. La notion d’archive va-t-elle de soi ? Ainsi, alors que l’historiographie occidentale a imposé l’archive comme fondement de régime de véridiction de l’histoire, deux entreprises concurrentes d’écriture de l’histoire s’affrontent en Jordanie : l’histoire académique d’une part, universitaire, qui a placé l’archive comme source exclusive de vérité objective au cœur de son entreprise historiographique ; l’histoire tribale d’autre part, qui met en compétition différentes modalités d’authentification, entre autorité de la performance orale et autorité de l’écrit, autorité du locuteur et autorité de l’archive. Dans cet article, je reviens sur les étapes qui m’ont progressivement permis de saisir la pluralité des registres dans lesquels se déploie le rapport à l’archive et à l’histoire en Jordanie.}, language = {fr}, number = {33}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Ateliers d'anthropologie. Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative}, author = {Jungen, Christine}, month = mar, year = {2009}, } @article{herve_les_2009, title = {Les archives de la justice révolutionnaire, une source majeure de l’histoire politique de la {Révolution} française ?}, copyright = {L'Atelier du Centre de recherches historiques – Revue électronique du CRH est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France.}, issn = {1760-7914}, url = {http://journals.openedition.org/acrh/1654}, doi = {10.4000/acrh.1654}, abstract = {Les archives de la justice révolutionnaire du département de la Loire-Inférieure, pendant la mission du représentant Carrier à Nantes en automne et hiver 1793 - 1794, permettent d’éclairer les enjeux de la répression politique des insurrections de l’OuestSi leur lecture soulève plusieurs problèmes de représentativité et d’interprétation, il devient possible de les surmonter en postulant que la justice d’exception fonctionnait selon des mécanismes largement empruntés aux relations qu’entretenaient les populations avec la justice criminelle ordinaireAinsi, l’exploitation des archives de la justice révolutionnaire permet de saisir une vie politique intense, où s’affrontent les aspirations locales à la reconstruction négociée du corps civique, et les préférences répressives de l’État qui s’accentueront sous les régimes suivants et tout au long du xixe siècle.}, language = {fr}, number = {05}, urldate = {2019-10-30}, journal = {L’Atelier du Centre de recherches historiques. Revue électronique du CRH}, author = {Hervé, Bruno}, year = {2009}, } @article{cohen_bdic_2009, title = {{LA} {BDIC} {Autour} d'une rencontre avec {Geneviève} {Dreyfus}-{Armand}, {Conservateur} général, directrice de la {Bibliothèque} de documentation internationale contemporaine et du musée (9 janvier 2009)}, volume = {1}, issn = {1262-2966}, url = {https://www.cairn.info/revue-societes-et-representations-2009-1-page-193.htm}, doi = {10.3917/sr.027.0193}, abstract = {La BDIC, à l’origine bibliothèque, musée et centre d’archives privées, vient de fêter ses quatre-vingt dix ans. Créée en août 1914 à l’initiative de Louise et Henri Leblanc, un couple d’industriels dont la femme disposait d’une certaine fortune, elle fut d’emblée conçue comme un lieu de conservation d’archives en lien avec la Première Guerre mondiale. En effet, dès 1914, Louise et Henri Leblanc ont eu conscience de vivre un événement extraordinaire et ont immédiatement collecté les documents pouvant servir dans la perspective d’une histoire de la guerre : des livres en toutes langues, français, anglais, allemands, venant de pays neutres… Ils ont aussi collecté des périodiques, des archives privées, des documents iconographiques, des objets.}, number = {27}, journal = {Sociétés et représentations}, author = {Cohen, Évelyne}, year = {2009}, pages = {193--203}, } @article{charmasson_archives_2006, title = {Archives scientifiques ou archives des sciences : des sources pour l’histoire}, copyright = {Comité pour l’histoire du CNRS}, issn = {1298-9800}, shorttitle = {Archives scientifiques ou archives des sciences}, url = {http://journals.openedition.org/histoire-cnrs/1790}, doi = {10.4000/histoire-cnrs.1790}, abstract = {C’est le développement, relativement récent en France, de l’histoire des sciences et des techniques comme discipline autonome et, de façon plus générale, l’intérêt porté à la culture scientifique et technique qui a conduit archivistes, historiens des sciences et scientifiques à se préoccuper de la sauvegarde, de la collecte et de la conservation des archives « scientifiques » et techniques. La France accuse toutefois encore dans ce domaine un retard considérable en particulie...}, language = {fr}, number = {14}, urldate = {2019-10-31}, journal = {La revue pour l’histoire du CNRS}, author = {Charmasson, Thérèse}, month = may, year = {2006}, } @article{castex_lecriture_2005, title = {L'écriture de l'histoire en hypertexte, les historiens à l'heure des réseaux}, url = {http://w3.grhi.univ-tlse2.fr/cahier/select_articles/ELISE/eric-castex.htm}, journal = {Cahier d'histoire immédiate}, author = {Castex, Eric}, year = {2005}, } @article{veray_lhistoire_2003, title = {L’{Histoire} peut-elle se faire avec des archives filmiques ?}, copyright = {© AFRHC}, issn = {0769-0959}, url = {http://journals.openedition.org/1895/266}, doi = {10.4000/1895.266}, abstract = {L’épreuve cinématographique, où de mille clichés se compose une scène, et qui, déroulée entre un foyer lumineux et un drap blanc, fait se dresser les morts et les absents, ce simple ruban de celluloïd impressionné constitue non seulement un document historique, mais une parcelle de l’histoire.Boleslas Matuszewscki, Une nouvelle source de l’histoire : le cinématographe (1898) Les historiens ne font pas autre chose que les artistes : ils parlent de la vie et de la mort des hommes.René Allio, Ca...}, language = {fr}, number = {41}, urldate = {2019-10-30}, journal = {1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma}, author = {Véray, Laurent}, month = oct, year = {2003}, pages = {71--83}, } @article{armogathe_pour_2003, title = {Pour une didactique de l’archive filmique}, copyright = {© AFRHC}, issn = {0769-0959}, url = {http://journals.openedition.org/1895/663}, doi = {10.4000/1895.663}, abstract = {Nous sommes construits en mémoire. Federico Fellini Été 1957. L’Argentin Hugo Fregonese, mi-gaucho, mi-journaliste, puis cinéaste qui s’est frotté à la série B hollywoodienne, non sans quelques mérites, débarque en Europe, fuyant les drastiques restrictions de programme de la société Universal. Il a entendu parler de cette tragique histoire de la destruction des quartiers du Vieux-Port de Marseille par les nazis en janvier-février 1943, dont les habitants causent encore dans les venelles du P...}, language = {fr}, number = {41}, urldate = {2019-10-30}, journal = {1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma}, author = {Armogathe, Daniel}, month = oct, year = {2003}, pages = {145--156}, } @article{vignaux_archives_2003, title = {Archives et {Histoire} : des archives pour l'histoire - du cinéma ?}, copyright = {© AFRHC}, issn = {0769-0959}, shorttitle = {Archives et {Histoire}}, url = {http://journals.openedition.org/1895/3532}, abstract = {À la fin du mois de novembre 2002 se sont déroulées presque simultanément deux journées d'études consacrées aux archives cinématographiques en deux lieux géographiques distincts et surtout réunissant de part et d'autre des protagonistes rattachés à des institutions différentes. Les premières, le 28 et le 29 novembre, organisées par l'INHA et consacrées à la « Problématique des sources », se déroulaient à la Maison des Sciences de l'Homme. Le 29 et le 30 novembre, la BNF, la BiFi et l'Associat...}, language = {fr}, number = {40}, urldate = {2019-10-30}, journal = {1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma}, author = {Vignaux, Valérie}, month = jul, year = {2003}, pages = {107--119}, } @article{remize_drame_2002, title = {Drame d'{Intradis}-{Recall} : la profession interpellée}, url = {http://www.archimag.com/articles/152/152records2(recall).html}, journal = {Archimag}, author = {Remize, Michel}, year = {2002}, pages = {5--7}, } @article{duclert_les_2001, title = {Les historiens et la crise des archives}, volume = {48-4bis}, issn = {2701131057}, url = {https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2001-5-page-16.htm}, doi = {10.3917/rhmc.485.0016}, abstract = {Lorsqu’en septembre 1999, la revue Genèses a décidé de publier l’intégralité du rapport de Philippe Bélaval sur la situation présente et les perspectives d’avenir des Archives nationales, nous avons choisi, dans l’introduction précédant le document, d’indiquer l’état des relations entre « les historiens et les archives ». À l’époque, la crise des archives en France était très sérieuse, mais la nomination de Philippe Bélaval, et les projets qui étaient les siens, comme la volonté de réforme du gouvernement, permettaient d’envisager une sortie de crise. Celle-ci aurait fondé une modernisation des institutions publiques en charge des archives, une redéfinition de la loi du 3 janvier 1979, une transformation des pratiques archivistiques, et l’invention de nouvelles relations entre conservateurs, chercheurs et usagers non scientifiques. Les liens que le nouveau directeur avait désiré nouer avec les historiens plaçaient ces derniers dans un rapport inédit avec les archives, puisqu’ils devenaient associés à un projet ambitieux de refondation d’un instrument essentiel de la recherche en histoire et en sciences sociales. Aussi le départ de Philippe Bélaval de la direction des Archives de France, annoncé le 20 décembre 2000, signifia-t-il la profondeur de la crise puisque l’homme qui s’était donné les moyens intellectuels de réussir choisissait de rejoindre son corps d’origine, le Conseil d’État.}, language = {FR}, number = {5}, journal = {Revue d’histoire moderne \& contemporaine}, author = {Duclert, Vincent}, year = {2001}, note = {Place: Paris Publisher: Belin}, keywords = {Archives, France, Histoire}, pages = {16--43}, } @article{codignola_les_2000, title = {Les spécificités des archives du {Saint}-{Siège} du point de vue de leur utilisation comme sources importantes de l'histoire politico-religieuse du {Canada}}, volume = {33}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/revuearchives/vol33_1/33-1-codignola.pdf}, journal = {Archives}, author = {Codignola, Luca}, year = {2000}, pages = {3--16}, } @article{noyer_numerisation_1994, title = {Numérisation du signe et histoire : enjeux et propositions}, volume = {1}, url = {http://gabriel.gallezot.free.fr/Solaris/d01/1noyer2.html}, journal = {Solaris}, author = {Noyer, Jean-Max}, month = dec, year = {1994}, } @article{roumagnac_les_1980, title = {Les services extérieurs du {Trésor} : leur histoire et leurs attributions actuelles}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1980_num_108_1_2718}, abstract = {The " external services " of the Treasury : their history and present attributions. After a historical survey, the author explains the attributions of the Treasury services in the départements, and describes the usual organisation of the Trésorerie générale in a département. He observes that these services are in rapid evolution, a consequence of the general economic evolution and the introduction of computers.}, number = {108}, journal = {Gazette des archives}, author = {Roumagnac, Charles}, year = {1980}, pages = {20--35}, } @article{perotin_dumon_histoire_1978, title = {L'histoire de l'{Amérique} latine et la collaboration archivistique internationale}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1978_num_102_1_2636}, number = {102}, journal = {Gazette des archives}, author = {Pérotin Dumon, Anne}, year = {1978}, pages = {188--191}, } @article{mestayer_reponse_1978, title = {Une réponse à l'article : {Des} archives pour quelle histoire ?}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1978_num_100_1_2604}, number = {100}, journal = {Gazette des archives}, author = {Mestayer, Monique}, year = {1978}, pages = {51--52}, } @article{krakovitch_archives_1977, title = {Des archives pour quelle histoire ?}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1977_num_96_1_2539}, number = {96}, journal = {Gazette des archives}, author = {Krakovitch, Odile}, year = {1977}, pages = {23--31}, } @article{desert_source_1976, title = {Une source historique trop oubliée, les archives hospitalières}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1976_num_94_1_2508}, number = {94}, journal = {Gazette des archives}, author = {Désert, Gabriel}, year = {1976}, pages = {145--164}, } @article{molette_problemes_1975, title = {Problèmes de sources archivistiques et histoire religieuse en {France}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1975_num_90_1_2448}, number = {90}, journal = {Gazette des archives}, author = {Molette, Charles}, year = {1975}, pages = {167--183}, } @article{chomel_autre_1975, title = {Une autre archivistique pour une autre histoire ?}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1975_num_91_1_2461}, number = {91}, journal = {Gazette des archives}, author = {Chomel, Vital}, year = {1975}, pages = {238--248}, } @article{waquet_du_1974, title = {Du bon usage des citations}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1974_num_86_1_2386}, number = {86}, journal = {Gazette des archives}, author = {Waquet, Jean}, year = {1974}, pages = {195--196}, } @article{thuillier_histoire_1974, title = {Histoire administrative et archives de l'enseignement}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1974_num_86_1_2383}, number = {86}, journal = {Gazette des archives}, author = {Thuillier, Guy}, year = {1974}, pages = {173--190}, } @article{merley_les_1972, title = {Les archives de la conservation des hypothèques, source d'histoire économique et sociale}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1972_num_77_1_2246}, number = {77}, journal = {Gazette des archives}, author = {Merley, Jean}, year = {1972}, pages = {89--98}, } @article{fossier_techniques_1971, title = {Techniques et méthodes nouvelles en histoire économique médiévale}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1971_num_75_1_2214}, number = {75}, journal = {Gazette des archives}, author = {Fossier, Robert}, year = {1971}, pages = {179--184}, } @article{chabord_les_1967, title = {Les archives de l'{Organisation} internationale des {Réfugiées}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1967_num_58_1_1974}, number = {58}, journal = {Gazette des archives}, author = {Chabord, Marie-Thérèse}, year = {1967}, pages = {165--175}, } @article{cavignac_les_1967, title = {Les {Hôtels} des {Monnaies} et leurs archives}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1967_num_58_1_1973}, number = {58}, journal = {Gazette des archives}, author = {Cavignac, Jean}, year = {1967}, pages = {157--162}, } @article{robinet_publication_1963, title = {Publication par les {Archives} de recueils de textes pour l'enseignement de l'histoire. {I} : {Le} point de vue de l'archiviste}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1963_num_42_1_1740}, number = {42}, journal = {Gazette des archives}, author = {Robinet, René}, year = {1963}, pages = {106--116}, } @article{boivin_publication_1963, title = {Publication par les {Archives} de recueils de textes pour l'enseignement de l'histoire. {II} : {Le} point de vue du professeur}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1963_num_42_1_1741}, number = {42}, journal = {Gazette des archives}, author = {Boivin, René}, year = {1963}, pages = {117--120}, } @article{polge_musee_1951, title = {Le {Musée} d histoire locale des {Archives} départementales du {Gers}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1951_num_10_1_1353}, number = {10}, journal = {Gazette des archives}, author = {Polge, Henri}, year = {1951}, pages = {25--32}, } @article{braibant_les_1951, title = {Les {Archives} de {France}. {Hier}, aujourd'hui, demain}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1951_num_9_1_1341}, number = {9}, journal = {Gazette des archives}, author = {Braibant, Charles}, year = {1951}, pages = {2--18}, } @article{mady_histoire_1949, title = {L'{Histoire} de la guerre aux {Archives} nationales}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1949_num_6_1_1314}, number = {6}, journal = {Gazette des archives}, author = {Mady, Jacqueline}, year = {1949}, pages = {35--38}, } @article{font-reaulx_les_1948, title = {Les livrets d'histoire locale}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1948_num_4_1_1288}, number = {4}, journal = {Gazette des archives}, author = {Font-Réaulx, Jacques de}, year = {1948}, pages = {21--22}, } @article{bourgin_miettes_1937, title = {Miettes d'histoire}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1937_num_14_1_1193}, number = {14}, journal = {Gazette des archives}, author = {Bourgin, Georges}, year = {1937}, pages = {183--184}, }