@article{roumanos_les_2021, title = {Les promesses et les défis journalistiques de l’{Open} {Source} {Intelligence} ({OSINT})}, volume = {1}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-45.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0045}, abstract = {Appliquées de plus en plus souvent dans les rédactions, les techniques issues de l’Open Source Intelligence (OSINT) ouvrent de nouvelles perspectives en matière d’investigation. Des révélations, en 2014, sur le crash du vol MH17 au-dessus de l’Ukraine à l’identification, en 2021, des assaillants du Capitole, elles constituent une aide précieuse pour mener à bien des enquêtes nourries quasi exclusivement par des ressources disponibles librement sur Internet.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Roumanos, Rayya}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Accès à l'information, Enquête, Internet}, pages = {45--50}, } @article{oury_archivage_2017, title = {L'archivage du {Web} : bibliothèques et archives à la croisée des chemins}, volume = {47}, issn = {0044-9423}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1041828ar}, doi = {10.7202/1041828ar}, abstract = {Le Web est devenu, en quelques années, un support essentiel de diffusion de l’information. Cependant, la nature même du Web remet en cause une des fonctions principales des institutions culturelles : la conservation du patrimoine. Cela est d’autant plus le cas pour les bibliothèques nationales qu’elles sont souvent en charge, au titre de leur mission de dépôt légal, de la collecte et de la conservation de l’ensemble de la production scientifique et culturelle d’une nation. Pour faire face aux défis que représentait l’archivage d’une masse de données aussi vaste et aussi hétérogène, les bibliothèques ont donc été amenées à questionner leurs approches. Elles ont dû notamment s’inspirer des démarches d’autres communautés professionnelles, particulièrement celle des archivistes. La terminologie et certaines méthodes archivistiques ont souvent été employées : accent mis sur la collecte, pratique de l’échantillonnage… De fait, les collections constituées ont elles-mêmes un statut hybride, tenant à la fois de la publication et du document d’archives. Puisque les archives du Web sont des artefacts, des agrégats complexes, la question de l’authenticité prend également une place déterminante. L’ouverture à de nouvelles approches– qui ne signifie pas forcément une fusion des identités professionnelles – doit inciter à la coopération entre institutions.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2019-10-30}, author = {Oury, Clément}, year = {2017}, pages = {107--124}, } @article{mussou_et_2012, title = {Et le {Web} devint archive : enjeux et défis}, volume = {19}, issn = {9782365833875}, url = {https://www.cairn.info/revue-le-temps-des-medias-2012-2-page-259.htm}, doi = {10.3917/tdm.019.0259}, language = {FR}, number = {2}, journal = {Le Temps des médias}, author = {Mussou, Claude}, year = {2012}, note = {Place: Paris Publisher: Nouveau Monde éditions}, pages = {259--266}, } @article{michel_stimuler_2016, title = {Stimuler la patrimonialisation socio-culturelle par des plateformes du web. Étude de cas du site lyonnais de {Montluc}}, volume = {12}, issn = {9782746247734}, shorttitle = {Stimuler la patrimonialisation socio-culturelle par des plateformes du web}, url = {https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-du-numerique-2016-3-page-31.htm}, abstract = {Que se passe-t-il lorsque des enjeux de mémoire rencontrent la culture du web ? En quoi les choix opérés lors de l’éditorialisation des récits mémoriels sont-ils susceptibles de modifier le regard d’un groupe sur son passé ? Actuellement, la notion de mémoire elle-même peut-elle être pensée en dehors de la culture web, ou tout du moins sans prendre en compte cette culture ? Enfin, dans quelle mesure la notion de médiation est-elle adaptée pour appréhender ces problématiques ? La médiation des mémoires en ligne s’interroge sur les transformations à l’oeuvre au cours des processus contemporains de valorisation des traces du passé, qu’il s’agisse d’archives nativement numériques, numérisées, ou de récits collectés pour « faire mémoire ». Les corpus étudiés – jeux vidéo, archives du web, témoignages oraux – sont, en effet, le plus souvent le résultat de processus de redocumentarisation et de remédiation. Associées à des parcours muséaux, des chaînes YouTube, des plateformes web ou des bases de données, ces traces rencontrent ainsi de nouveaux publics et sont l’objet d’usages différents. Dans cette recontextualisation elles sont investies d’autres significations et d’autres fonctions qui relèvent de leur nature complexe à la fois mémorielle, audiovisuelle et numérique. Cette triple nature les rend aptes à traduire le sensible ou la nostalgie et à se prêter à l’analyse croisée, au commentaire ou à l’annotation. On assiste donc actuellement à des usages, à des fins ludiques, scientifiques ou dramaturgiques, des propriétés de ces mémoires en ligne, sans pouvoir encore déterminer l’ampleur et l’avenir de ce phénomène à la fois socio-culturel, technique et économique.}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Les Cahiers du numérique}, author = {Michel, Christine and Têtu, Marie-Thérèse and Champin, Pierre-Antoine and Pot, Laetitia}, year = {2016}, pages = {31--50}, } @article{lakel_my_2021, title = {My web intelligence : un outil pour l’analyse du web et des réseaux}, volume = {1}, url = {https://www.cairn.info/revue-i2d-information-donnees-et-documents-2021-1-page-96.htm}, doi = {10.3917/i2d.211.0096}, abstract = {L’analyse des sources ouvertes nécessite des outils qui soient capables d’effectuer des crawls de sites web pour mieux les catégoriser et faciliter leurs analyses sous des formes notamment cartographiques. Basé sur l’analyse des communautés en ligne et des controverses, My Web Intelligence est un outil pour les digital studies dont l’intérêt dépasse les seuls intérêts de la recherche pour faciliter l’étude et l’analyse des réseaux d’influence et des stratégies de viralité de l’information.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {I2D - Information, données \& documents}, author = {Lakel, Amar}, year = {2021}, note = {Place: Paris Publisher: A.D.B.S.}, keywords = {Archivage des données, Collecte, Données ouvertes, Humanités numériques, Information, Web}, pages = {96--103}, } @article{henno_pourquoi_2021, title = {Pourquoi laissons-nous des traces numériques ? {L}'hypothèse de la volonté (ou de l'illusion ?) d'accéder à une forme d'éternité construite}, issn = {2495-5906}, url = {https://revue-cossi.numerev.com/numeros/71-revue-10-traces-numeriques-et-durabilite-temporalites-usages-ethique}, abstract = {Pourquoi les utilisateurs du numérique acceptent-ils de laisser des traces alors que la plupart de ces internautes savent que ces informations peuvent-être utilisées pour tenter d'évaluer et d'influencer leurs comportements commerciaux, politiques ou sécuritaires ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons considéré les traces numériques comme des instruments transitionnels puis tenté de définir les projections et les schèmes mobilisés lorsque nous laissons de telles traces. L'analyse technique, sémiotique puis anthropologique des traces analogiques et numériques nous a amenés à définir la trace numérique comme un contrat (au sens de norme, de transaction et de promesse) entre un internaute et une plateforme de publication : en particulier, les traces numériques intentionnelles sont une promesse, au sens où certaines plateformes (Facebook par exemple) auxquelles nous les confions s'engagent, en contrepartie, à les conserver éternellement. Une des causes possibles qui incitent les utilisateurs de dispositifs techniques à laisser des traces, serait-elle alors une volonté, inconsciente apparemment, d’accéder à une certaine dimension de permanence, y compris au-delà de leur propre existence ? Pour tenter de valider cette hypothèse nous avons mené des entretiens compréhensifs auprès d'utilisateurs de Facebook. En conclusion, les traces numériques semblent donc bien être, pour certains utilisateurs de Facebook, des instruments transitionnels, leur permettant de se projeter dans un au-delà, menant à une forme de permanence. Notre travail nécessiterait cependant d'être confirmé par des entretiens compréhensifs supplémentaires menés auprès d'utilisateurs d'autres RSN (Réseaux Sociaux Numériques).}, language = {fr}, number = {10}, urldate = {2022-04-13}, journal = {Revue COSSI}, author = {Henno, Jacques}, year = {2021}, keywords = {Document, Histoire, Identité, Réseaux sociaux, Traçabilité, Web}, } @article{gloutnay_lhistoire_2019, title = {L’histoire sur {Internet} : patrimoine documentaire canadien}, volume = {25}, issn = {1201-4710}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/91761ac}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2021-04-16}, journal = {Histoire Québec}, author = {Gloutnay, François}, year = {2019}, note = {Publisher: Les Éditions Histoire Québec}, pages = {50--50}, } @article{france_archives_2019, title = {Archives sauvages et bootleggers des musiques arabes}, copyright = {Institut français d’archéologie orientale (IFAO)}, issn = {0570-1716}, url = {https://journals.openedition.org/anisl/5867}, doi = {10.4000/anisl.5867}, abstract = {Pour quiconque tenterait de compléter et mettre à jour une liste des archives des musiques arabes, la tâche nécessite désormais autant un travail dans les bibliothèques et les archives (publiques mais surtout privées), qu’une capacité à interroger le web et ses usages par de nouveaux entrepreneurs de patrimonialisation, et plus encore sur de nouveaux types de musique. Retraçant l’histoire de ces sites qui ont de fait numérisé et proposé à la diffusion des musiques arabes jusque‑là jamais écoutées au-delà d’un certain cercle (social ou national), ou bien facilité la diffusion de grands classiques autrement impossibles à acheter ou écouter légalement, cet article vise à dégager les formes de cet espace social (et de ses clivages), mais aussi à proposer une réflexion sur les pratiques et le type de patrimonialisation qui s’y joue, qualifiée ici de « sauvage » à la suite des travaux de Cyril Isnart (2009), et où l’on peut distinguer une catégorie spécifique d’acteurs proches des bootleggers d’habitude associés à la musique pop‑rock.}, language = {fr}, number = {53}, urldate = {2022-04-14}, journal = {Annales islamologiques}, author = {France, Pierre}, year = {2019}, note = {ISBN: 9782724707847 Number: 53 Publisher: Institut français d'archéologie orientale (IFAO)}, keywords = {Archives, Droit d'auteur, Internet, Musique, Patrimonialisation}, pages = {137--168}, } @article{du_castel_les_2021, title = {Les traces numériques : portée des enjeux économiques et/ou de surveillance dans une société de connaissances}, volume = {10}, issn = {2495-5906}, url = {https://revue-cossi.numerev.com/numeros/71-revue-10-traces-numeriques-et-durabilite-temporalites-usages-ethique}, abstract = {Avec la pandémie de coronavirus, le numérique s’est imposé comme un incontournable des nouveaux écosystèmes actuels en pleine évolution disruptive. Le vecteur numérique n’est pas anodin car il laisse des traces. Celles-ci sont enregistrées et deviennent des données et ce, qu’elles aient été déposées intentionnellement, avec ou sans le consentement implicite, de leurs propriétaires. Or, les données créent de la valeur et sont stratégiques. Qu’elles soient publiques ou privées, elles sont stockées, récupérées, traitées et analysées. Ces traces deviennent à la fois valeur et source d’information, puis le cycle se reproduit. Traces et données ont donc une valeur. Celle-ci est un levier de l’économie de la gratuité qui s’autofinance par ce biais. Une trace a sa propre temporalité et celle-ci devient indéfinie avec Internet. Dès lors, cette trace reste accessible techniquement. Ainsi, les acteurs et les organisations sont confrontés à de nouvelles vulnérabilités qui peuvent devenir autant d’enjeux économiques, financiers, éthiques et identitaires. De ce fait découle un Internet social référencé qui personnalise l’information validée par les pairs, pour aboutir plus largement à une économie de la référence. Ces traces sont multiples. Elles peuvent être liées à des visites de sites, des publications ou encore découler de l’internet des objets (IOT), etc. Ainsi, ces traces permettent la remontée d’activités numériques. Toutefois, la maîtrise de ces traces n’est pas pour autant une variable aisée. En effet, seule une contre-présence numérique permet de reléguer des traces devenues indésirables, dans les profondeurs de l’internet. Toutes ces traces créent un profil numérique unique largement exploité, traité et utilisé par les géants du numérique. Ce profil numérique est un vecteur de reconnaissance de l’utilisateur et un facilitateur d’accès à la bonne recherche au bon moment. Dans ce contexte, les outils numériques constituent des défis en termes de connaissances et de compétences pour les acteurs, tout en étant des opportunités pour les organisations en termes de mémoire et de traçabilité numériques. Le télétravail fortement développé en raison de la pandémie a accru les traces numériques visibles et invisibles engendrant de nouveaux défis de stockage et de nouvelles menaces cybernétiques, de contrôle et de surveillance. Cette communication s’interroge sur les différents enjeux, tant économiques que de contrôle et de surveillance. La société des connaissances va-t-elle engendrer de nouveaux modèles économiques et patrimoniaux numériques ? Les nouvelles disruptions découlant des traces vont-elles influencer les écosystèmes en mutation ? Ainsi, cette communication repose sur trois axes. Le premier axe concerne les traces numériques en lien avec les nouveaux Business Models. Le deuxième axe porte sur les traces numériques en relation avec le patrimoine numérique. Le troisième axe envisage les traces numériques comme des smart datas dans le contexte de l’apprentissage tout au long de la vie.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-13}, journal = {Revue COSSI}, author = {Du Castel, Viviane}, year = {2021}, keywords = {Data, Identité, Numérique, Sécurité}, } @article{di_cosmo_software_2020, title = {Software {Heritage} : l’archive universelle des codes sources du logiciel}, url = {http://www.annales.org/enjeux-numeriques/2020/resumes/juin/10-en-resum-FR-AN-juin-2020.html#10FR}, abstract = {Le logiciel est au cœur de toutes les activités de nos sociétés modernes, et le code source de ces logiciels contient ainsi une partie grandissante de nos connaissances techniques, scientifiques et organisationnelles, jusqu’à devenir une partie de notre patrimoine culturel. Il est aujourd’hui essentiel de préserver ce patrimoine : c’est la mission relevée par Software Heritage, qui construit une archive universelle spécifiquement conçue pour les codes sources des logiciels, un bien commun qu’il faut rendre disponible à tous. La tâche est immense et les enjeux sont colossaux : il s’agit d’un côté de préserver le passé du logiciel, ce qui demande un effort de recherche considérable, et il s’agit de l’autre côté de construire un grand instrument permettant d’observer le développement logiciel présent et de préparer de meilleurs logiciels pour le futur. Il s’agit aussi de construire une infrastructure internationale pour réconcilier la préservation de ce bien commun avec la souveraineté des nations.}, number = {10}, journal = {Enjeux numériques}, author = {Di Cosmo, Roberto}, year = {2020}, note = {Number: 10}, }