@article{barras_archives_2000, title = {Archives de l'État de {Berne} de 1815 à 1978, patrimoine commun aux {Cantons} de {Berne} et du {Jura}}, journal = {Arbido}, author = {Barras, Nicolas}, year = {2000}, pages = {14}, } @article{baumgartner_importance_2002, title = {De l'importance de l'accès aux sources : constitution d'un guide des sources d'archives d'architecture et des bureaux techniques en {Suisse} romande}, journal = {Arbido}, author = {Baumgartner, Maya}, year = {2002}, pages = {21--22}, } @article{bertrand_gestion_2005, title = {Gestion de contenu, les grands principes}, journal = {Archimag}, author = {Bertrand, Patrice}, year = {2005}, pages = {26--28}, } @article{doom_levaluation_2006, title = {L'évaluation scientifique des archives : principes et stratégies}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Doom, Vincent}, year = {2006}, pages = {5--43}, } @article{bosman_les_2009, title = {Les politiques publiques du réseau national des archives, principes et pratiques}, volume = {213}, issn = {0016-5522}, doi = {10.3406/gazar.2009.4528}, language = {fre}, urldate = {2017-10-11}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Bosman, Françoise}, year = {2009}, pages = {29--42}, } @article{beaume_du_2010, title = {Du répertoire méthodique au géoréférencement : quels instruments de recherche pour les fonds atypiques ?}, issn = {0016-5522}, shorttitle = {Du répertoire méthodique au géoréférencement}, doi = {10.3406/gazar.2010.4735}, language = {fre}, urldate = {2017-10-13}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Beaume, Florence}, year = {2010}, pages = {49--53}, } @article{noauthor_pistes_2012, title = {Pistes de lecture sur la gestion des documents d’activité}, issn = {0016-5522}, doi = {10.3406/gazar.2012.5001}, language = {fre}, urldate = {2017-10-17}, journal = {La Gazette des archives}, year = {2012}, pages = {287--294}, } @article{collet_plan_2012, title = {Le plan de classement des documents dans un environnement électronique : concepts et repères}, volume = {228}, issn = {0016-5522}, shorttitle = {Le plan de classement des documents dans un environnement électronique}, doi = {10.3406/gazar.2012.4998}, language = {fre}, urldate = {2017-10-17}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Collet, Aude}, year = {2012}, pages = {245--264}, } @article{cottin_famille_2012, title = {La famille des normes {ISO} sur le records management}, volume = {228}, issn = {0016-5522}, doi = {10.3406/gazar.2012.4989}, language = {fre}, urldate = {2017-10-17}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Cottin, Michel and Dessolin-Baumann, Sylvie}, year = {2012}, pages = {119--133}, } @article{jules_gestion_2012, title = {Gestion des documents d’activité : définition, principes et concepts}, volume = {228}, issn = {0016-5522}, shorttitle = {Gestion des documents d’activité}, doi = {10.3406/gazar.2012.4988}, language = {fre}, urldate = {2017-10-17}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Jules, Arnaud}, year = {2012}, pages = {103--117}, } @article{lemay_memoire_2012, title = {Mémoire, archives et art contemporain}, issn = {1923-6409}, abstract = {Les archives sont intimement reliées à la mémoire. D’ailleurs, la métaphore des archives comme mémoire est fréquemment utilisée à cet effet. Le but de cet article est d’identifier les mécanismes qui sont en cause dans la relation entre les archives et la mémoire. Dans un premier temps, nous nous intéressons aux travaux de plusieurs archivistes qui, dans une optique postmoderne, ont examiné la question de la mémoire. Dans un deuxième temps, à la lumière de leurs réflexions, nous verrons que la mémoire est un phénomène complexe et que, dans la mesure où celle-ci tient principalement du processus, les archives sont davantage des « manufactures de la mémoire », qu’elles servent d’abord et avant tout de « véhicules de la mémoire ». Troisièmement, nous cherchons à dégager les aspects qui caractérisent la mémoire comme processus et à en mesurer les impacts sur la relation qui est établie avec les archives. Pour ce faire, nous ferons appel à l’utilisation des documents d’archives par les artistes contemporains, un phénomène qui, malgré le peu d’intérêt que lui ont porté les archivistes, occupe une place importante sur la scène artistique depuis le milieu des années 1980. Les oeuvres produites par des artistes tels que Angela Grauerholz, Raymonde April, Emmanuelle Léonard, Michel Campeau, Dominique Blain, Jeff Thomas, Christian Boltanski et Patrick Altman nous aideront à mieux comprendre comment la mémoire vient à l’archive ainsi qu’à nous rendre compte de la nature ouverte, en devenir, qui caractérise cette dernière.}, journal = {Archivaria}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne}, year = {2012}, pages = {105--134}, } @article{nougaret_theoriser_2012, title = {Théoriser l’archivistique : {Gérard} {Naud} et l’analyse des archives contemporaines}, issn = {0016-5522}, shorttitle = {Théoriser l’archivistique}, doi = {10.3406/gazar.2012.4905}, language = {fre}, urldate = {2017-10-17}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Nougaret, Christine}, year = {2012}, pages = {155--164}, } @article{senecal_archives_2013, title = {Archives historiques et organisation : une difficile rencontre}, volume = {45}, abstract = {Sylvain Senécal tente de cerner les causes qui expliqueraient pourquoi les entreprises ont de la difficulté à assurer une exploitation efficace de leurs archives. Ce phénomène s’explique principalement selon lui par la conception que la discipline archivistique se fait d’elle-même, laquelle ne serait pas en phase avec la réalité actuelle des entreprises. Dans un monde profondément transformé par les technologies de l’information, il apparait en effet nécessaire, selon l’auteur, de repenser les notions traditionnelles de l’archivistique, à commencer par la notion même de fonds d’archives. En raison des possibilités offertes par les nouvelles technologies, ce sont les concepts de sujet historique et de personne morale, sous-jacentes à celle de fonds d’archives, qui doivent être remis en question. Une exploitation efficace des archives des organisations passerait ainsi par une prise en compte de la réalité éclatée et décentrée du monde d‘aujourd’hui. Une autre cause de l’exploitation inefficace des archives des organisations vient selon l’auteur de la tendance de ces dernières à vivre dans l’action continue, c’est-à-dire dans un perpétuel présent sans avenir et sans mémoire. Or, Sylvain Senécal indique que la solution à cette tendance problématique n’est pas de tout conserver comme le voudrait la conception technologiste, car une certaine forme de sélection et d’oubli est nécessaire à la mémoire. C’est ici que l’archiviste intervient, lequel est appelé à opérer une sélection et à choisir la façon dont les archives d’une organisation pourront être efficacement exploitées, dans une perspective historique et patrimoniale, au nom d’un souci de l’autre et de l’avenir.}, number = {1}, journal = {Archives}, author = {Senécal, Sylvain}, year = {2013}, pages = {201--214}, } @article{devriese_entrelacs_2014, title = {Entrelacs autour de {Foucault}. {L}’archivistique contemporaine est-elle postmoderne ?}, issn = {0016-5522}, doi = {10.3406/gazar.2014.5122}, language = {fre}, urldate = {2017-10-20}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Devriese, Didier}, year = {2014}, pages = {19--30}, } @article{lemay_les_2014, title = {Les archives définitives : un début de parcours. {Revisiter} le cycle de vie et le {Records} continuum}, issn = {1923-6409}, shorttitle = {Les archives définitives}, abstract = {Postulant que pour être pleinement archives, les documents doivent être envisagés depuis leur exploitation par des utilisateurs, le but de cet article est de chercher à intégrer cette dimension à la réflexion sur le cycle de vie et de voir comment elle permet de renouveler la vision de leur temporalité. Loin d’être une étape finale, les archives définitives apparaissent plutôt comme le début d’un parcours forcément ouvert et en devenir. Cette hypothèse de travail est d’abord explorée au prisme de cinq éléments qui, selon nous, caractérisent les archives définitives dans une vision classique. Puis, le rappel des principaux aspects de la théorie des trois âges et de ses critiques par les archivistes s’inscrivant dans la pensée postmoderne nous conduit à présenter le modèle du Records continuum et ses limites, dont la principale est son silence quant à l’exploitation des archives. Ensuite, nous montrons, à la lumière de l’utilisation d’archives à des fins de création, qu’une nouvelle dimension du continuum des archives apparaît qui est caractérisée par quatre éléments : le cadre de référence, l’émotion, les conditions d’utilisation et la vision dialectique des archives. Finalement, l’esquisse d’une conception différente de leur temporalité est possible qui montre que les moments de la création et de la conservation sont nécessairement accompagnés d’un moment d’exploitation caractérisé par la diversité des types d’utilisation des documents. Nous concluons donc avec la possibilité d’élargissement du modèle de Records continuum à une cinquième dimension, celle de l’exploitation.}, language = {fr-CA}, number = {77}, journal = {Archivaria}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne}, year = {2014}, pages = {73--102}, } @article{makhlouf-shabou_gouvernance_2017, title = {La gou­ver­nance du cycle de vie des don­nées de la recher­che en {Suisse} : trans­fert et péren­ni­sa­tion}, number = {247}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Makhlouf-Shabou, Basma and Echernier, Lydie}, year = {2017}, } @article{potin_quest-ce_2018, title = {Qu'est-ce qu'une archive ?}, volume = {447}, abstract = {Au terme de quatre décennies de mutation, dont la révolution numérique n'est que la plus récente, les archives, disséminées et dématérialisées, sont omniprésentes. La question de leur tri fait débat. Que faut-il entendre par ce terme, à la fois familier et jaloux, mêlant à l'image de la poussière et du vieux papier les espèces postmodernes du big data et du gigaoctet, entre serveurs et disques durs ? Le mot « archives » a perdu, en français, sa stricte dimension plurielle : il est désormais acquis que « l'archive » se pratique au singulier. Rien de moins anecdotique que cette discrète révolution. Longtemps les archivistes résistèrent à cette singularisation, anglo-saxonne en apparence, et souverainement inspirée par Michel Foucault. Pourquoi cette simple dérivation orthographique a-t-elle pu paraître correspondre à une dérive ? Pour le dire vite, le lien traditionnel entre les archives et l'histoire se voit paradoxalement distendu, au profit d'une dilatation de « l'archive », convoquée dans tous les champs du savoir et de la création. Il n'est ainsi pas rare d'entendre qualifier d'« archive », y compris par des historiens, la page d'un livre ancien numérisée et lib ...}, language = {FR}, number = {5}, journal = {L'Histoire}, author = {Potin, Yann}, year = {2018}, pages = {130--131}, }