@article{pauval_du_2020, title = {Du goût de l’archive au « goût de la guerre ». {Alexander} {Kluge} et {Jean}-{Yves} {Jouannais}}, volume = {879-880}, issn = {9782707346483}, shorttitle = {Du goût de l’archive au « goût de la guerre »}, doi = {10.3917/criti.879.0731}, abstract = {Collecter, prélever, monter des fragments documentaires pour élaborer une œuvre plastique, cinématographique ou littéraire n’est pas une démarche sans précédent : elle a, bien au contraire, toute une histoire, dont plusieurs moments clés, de Reznikoff à Perec, sont rappelés dans ce numéro. Mais cette pratique, dans le monde littéraire et artistique d’aujourd’hui, a pris une ampleur et un sens nouveaux. Il y a dans la création contemporaine ce qu’on a pu appeler une « révolution documentale ». Les fragments rassemblés peuvent être issus d’archives institutionnalisées ou personnelles. Ils peuvent avoir été glanés dans l’histoire ou dans la rue. Le terme « montage » est le plus fréquemment employé, avec « bricolage », pour désigner l’opération qui congédie la notion d’inspiration au profit d’une conception de la création artistique comme « production », « témoignage », « reportage », « enregistrement », et qui signale un déplacement de la figure de l’auteur vers celle du « collecteur ». C’est cette effervescence très actuelle autour de l’archive et du document que décrivent, commentent et analysent les écrivains, philosophes, critiques, essayistes et traducteurs, historiens et historiens de l’art, réunis ici par Muriel Pic.}, language = {FR}, number = {8-9}, journal = {Critique}, author = {Pauval, Vincent}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de Minuit}, pages = {731--743}, } @article{lopes_larchiviste_2020, title = {L’archiviste, l’histoire et le secret : le cas exemplaire du secret {Défense}}, abstract = {« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration » : en 1789, en inscrivant ce principe dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la Révolution française a souhaité affirmer le principe de transparence et donc tourner le dos aux pratiques antérieures de l’Ancien Régime, notamment le secret d’État. Un des textes fondateurs est la loi du 7 messidor an 2 (25 juin 1794) qui permet aussi, par son article 37, le principe de « libre consultation » des archives : « Tout citoyen pourra demander dans tous les dépôts, aux jours et heures qui seront fixés, communication des pièces qu’ils renferment ; elle leur sera donnée sans frais et sans déplacement, et avec les précautions convenables de surveillance ». Ce dernier principe devient donc un droit citoyen. L’archiviste collecte, classe et conserve les archives pour permettre leur accès. La loi (de 1979, puis de 2008), codifiée, lui confie une double mission : « La conservation des archives est organisée dans l’intérêt public, tant pour les besoins de la gestion et de la justification des droits des personnes physiques ou morales, publiques ou privées, que pour la documentation historique de la recherche1 ». Le document d’archives est une source pour l’histoire, mais pas seulement... L’archiviste doit donc marcher sur ses deux jambes et ne pas négliger la logique de production des documents, ne serait-ce que pour enrichir la collecte de documents qui pourraient ne pas être versés, voire détruits2. Après avoir rappelé les obstacles à la communication des archives que compose le secret Défense, nous verrons les axes de mobilisation commune entre archivistes et historien·nes, notamment depuis le début de cette année 2020.}, number = {147}, journal = {Cahiers d'histoire, revue d'histoire critique}, author = {Lopes, Nathalie}, year = {2020}, note = {Number: 147}, } @article{lafaye_larchivage_2017, title = {L’archi­vage de la recher­che : un enjeu vital pour le minis­tère de la {Défense}}, number = {247}, journal = {La Gazette des Archives}, author = {Lafaye, Christophe}, year = {2017}, } @article{texier_manoeuvre_2012, title = {Manœuvre archives en {Afghanistan}}, issn = {0769-0975}, abstract = {À quelques mois du retrait des troupes françaises d'Afghanistan, les archives militaires font, elles aussi, l'objet d'un rapatriement en France. Une opération préparée avec minutie et discrétion dans un environnement hostile.}, language = {French}, number = {256}, journal = {Archimag}, author = {Texier, Bruno}, year = {2012}, pages = {34--35}, } @article{henwood__2005, title = {Des « services historiques des armées » au « service historique de la défense » - 25 ans pour une réforme (1980 - 2005)}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Henwood, Philippe}, year = {2005}, pages = {1--20}, } @article{sibille-de_grimouard_traitement_2001, title = {Le traitement des archives contemporaines au {Service} historique de l'armée de terre}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Sibille-de Grimoüard, Claire}, year = {2001}, pages = {159--170}, }