@article{grangaud_a_2008, title = {À propos des archives de l’{Algérie} ottomane : notes sur le rapport entre conditions de production et nature et usages des sources historiques}, copyright = {Ateliers d'anthropologie – Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative  est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1245-1436}, shorttitle = {À propos des archives de l’{Algérie} ottomane}, url = {http://journals.openedition.org/ateliers/3222}, doi = {10.4000/ateliers.3222}, abstract = {À propos des archives de l’Algérie ottomane : notes sur le rapport entre conditions de production et nature et usages des sources historiques. La documentation archivistique de l’Algérie ottomane est globalement peu fournie, ce qui amène à réfléchir sur la pratique historienne dans ces conditions. Non pas en cherchant ailleurs ce que ces archives ne fourniraient pas, mais plutôt en interrogeant plus précisément le sens et les usages sociaux de leur matérialité. Il s’agit dès lors d’en saisir les conditions de production au regard de leur contenu, et de les interpeller comme autant de contextes ponctuels au sein et à l’articulation desquels se déploient et s’affirment des actions. Derrière cette approche se profilent les questions de savoir en quoi peut bien vouloir consister de produire des documents et d’archiver des documents, autant d’opérations à l’issue desquelles les historiens opèrent, et qui cependant ne s’imposent pas d’emblée. À l’analyse de la configuration archivistique de l’Algérie ottomane, j’explorerai ces questions en présentant deux axes de recherches qui m’ont mobilisée. D’une part en interrogeant les effets de l’histoire (coloniale) de ces archives sur le sens de leur contenu. D’autre part en présentant les résultats d’une recherche collective autour des conditions de production d’un type de source classique pour les ottomanistes, les registres de cadis.}, language = {fr}, number = {32}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Ateliers d'anthropologie. Revue éditée par le Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative}, author = {Grangaud, Isabelle}, month = aug, year = {2008}, } @article{pequignot_collectif_2020, title = {Collectif, {Les} documents du commerce et des marchands entre {Moyen} Âge et époque moderne ({XIIe}-{XVIIe} siècle)}, volume = {252}, issn = {9782490783076}, doi = {10.4000/ccm.5383}, abstract = {En 2015, à l’occasion du cinquantenaire de sa création et de son xive congrès, la Commission internationale de diplomatique a poursuivi l’ouverture de la discipline au-delà de ses domaines de prédilection originels. L’arc chronologique a été tendu de façon à adjoindre la première modernité à l’indispensable Moyen Âge, le choix des documents du commerce et des marchands mettant en lumière une typologie que Giovanna Nicolaj compare, dans une introduction enlevée et non dénuée de mélancolie (p. 9-11 notamment), à « une cendrillon [égarée] dans les palais de la diplomatique traditionnelle » (una cenerentola nei palazzi della diplomatica tradizionale). Le pari est triple : rompre avec des cloisonnements jugés obsolètes, éprouver la méthode diplomatique sur des documents jusqu’alors rarement passés à son crible rigoureux, se déprendre chemin faisant d’une vision de l’instrumentation notariée comme unique garante de la validité des transactions. Conformément à la pratique en usage dans les congrès internationaux de diplomatique, l’exploration est plurilingue, avec six articles en français, quatre en italien comme en espagnol, trois en allemand et deux en anglais. Les actes du congrès sont répartis en trois grands domaines dont les délimitations tant géographiques que chronologiques renvoient à des pratiques de l’écrit tendanciellement distinctes : « la Méditerranée médiévale (xiie-xve siècle) » (p. 15-114), « De la Manche à l’Oural (xiie-xviie siècle) » (p. 117-297), puis « les temps modernes et l’Atlantique (xvie-xviie siècle) » (p. 301-393), qui seront ici, compte tenu des centres d’intérêt principaux des Cahiers de civilisation médiévale, évoqués brièvement en guise de contrepoint.}, language = {FR}, number = {4}, journal = {Cahiers de civilisation médiévale}, author = {Péquignot, Stéphane}, year = {2020}, note = {Publisher: Centre d’études supérieures de civilisation médiévale}, pages = {278--280}, } @article{santamaria_comptabilite_2019, title = {Comptabilité publique et innovation à la fin du {Moyen} Âge : les institutions princières et l’émergence d’une culture numérique dans un ordre conservateur}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, shorttitle = {Comptabilité publique et innovation à la fin du {Moyen} Âge}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9974}, doi = {10.4000/medievales.9974}, abstract = {Les modifications enregistrées par la documentation en matière de techniques comptables entretiennent des rapports complexes avec un autre phénomène propre à la fin du Moyen Âge : le développement d’institutions stables et normées chargées du contrôle des comptes. Si une première génération d’institutions accompagne la mise en place de toute une série de techniques entre xie et xiiie siècles, ces corps deviennent progressivement inadaptés aux changements rapides des modes de gestion et aux innovations documentaires apparues entre xiiie et xive siècles. C’est pour répondre à ces nouvelles exigences, parfois promues par la base de l’administration, que les Chambres des comptes se mettent en place au cours du xive siècle, parfois avec un peu de retard sur les changements documentaires, mais se faisant immédiatement les promotrices zélées des techniques nouvelles. Une fois installées dans le paysage, ces institutions inventent moins qu’elles n’acclimatent et installent durablement toute une série d’innovations antérieures, dont la circulation répond cependant aussi à des enjeux de préséance et d’honneur. Après cette phase de « réformation », durant laquelle sont durablement établies les bonnes pratiques, un « effet institution » semble jouer : les Chambres défendent farouchement leur « style » qui devient un élément de leur autonomie ou de leur identité, qui garantit la validité de leurs actions, et les princes peuvent avoir du mal à les inciter à introduire de nouveaux usages.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Santamaria, Jean-Baptiste}, year = {2019}, pages = {113--132}, } @article{denmat-leon_constituer_2020, title = {Constituer des archives urbaines à {Nantes} à la fin du {Moyen} Âge. {La} guerre franco-bretonne, point de départ d’une mise en registres et en coffres de la memoria de la ville ?}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, shorttitle = {Constituer des archives urbaines à {Nantes} à la fin du {Moyen} Âge}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-125.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0127}, abstract = {Entre la fin de la guerre en 1491 et le rattachement effectif du duché de Bretagne au royaume de France en 1532, dans un contexte de négociation et de définition des rapports avec le roi, le désir de reconnaissance et de liberté des élites communales définit le projet documentaire de la ville de Nantes. La ville élabore un véritable arsenal documentaire, dans lequel transparaissent les notions de mémoire et d’archive qui sont autant de faire-valoir pour la liberté municipale. Nous nous attacherons plus particulièrement aux comptes de la ville qui rappellent à plusieurs reprises non seulement la volonté de justifier d’une exactitude comptable mais encore d’être les documents-maîtres d’une memoria de la ville, notamment grâce à des renvois directs à d’autres archives urbaines.}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Denmat-Leon, Aurore}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, pages = {125--138}, } @article{wilkin_gerer_2011, title = {Gérer les archives, maîtriser l'espace au {Moyen} Âge. {Le} cas de la cathédrale {Saint}-{Lambert} de {Liège}}, volume = {89}, issn = {0035-0818 ;}, url = {http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rbph_0035-0818_2011_num_89_2_8145}, language = {fr}, number = {2}, journal = {Revue belge de philologie et d'histoire}, author = {Wilkin, Alexis}, year = {2011}, pages = {961--988}, } @article{guyotjeannin__2014, title = {« {L}’imagination doit être reine » : les archives médiévales aujourd’hui. {Entretien} avec {Olivier} {Guyotjeannin}. {Par} {Catherine} {Croizy}-{Naquet}, {Claude} {Millet} et {Yann} {Potin}}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {1967-7499}, shorttitle = {« {L}’imagination doit être reine »}, url = {http://journals.openedition.org/elh/460}, doi = {10.4000/elh.460}, abstract = {Après s’être livré à l’exercice d’une définition historicisée des archives, matériau premier de son travail de diplomatiste et de professeur à l’École des chartes, Olivier Guyotjeannin délimite les contours de ce qui, dans un long Moyen Âge, serait une autre définition, circonscrite par les pratiques et usages de ceux qui ne se nomment pas alors archivistes, avant de cerner le domaine des archives médiévales pour le chercheur d’aujourd’hui. Où il est question du statut archivistique de textes « littéraires », puis du renouvellement en cours du regard porté sur ces documents par leurs éditeurs et par les historiens.}, language = {fr}, number = {13-14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Écrire l'histoire. Histoire, Littérature, Esthétique}, author = {Guyotjeannin, Olivier and Croizy-Naquet, Catherine and Millet, Claude and Potin, Yann}, month = oct, year = {2014}, pages = {25--34}, } @article{bretthauer_lindividu_2019, title = {L’individu face à la gestion d’un patrimoine : la rédaction de « livres de gestion » au xive siècle}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, shorttitle = {L’individu face à la gestion d’un patrimoine}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9804}, doi = {10.4000/medievales.9804}, abstract = {Si les « livres d’archives » (cartulaires, censiers, comptes, etc.) produits par les institutions ont été souvent étudiés pour les xiiie et xive siècles, ceux des individus (laïcs ou clercs) restent encore relativement méconnus. Or, la « révolution de l’écrit » qui caractérise cette période du Moyen Âge est en partie portée par le poids de ces nouveaux acteurs dans le monde de la production écrite. Pour le xive siècle, la composition et la conservation de leurs documents ouvrent à l’historien des perspectives inédites et lui permettent d’observer les modes de gestion patrimoniale de ces individus grâce à la tenue de « livres », souvent fort complexes à appréhender. À partir de deux exemples angevin et bordelais, nous nous proposons de dresser une première typologie de cette documentation.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Bretthauer, Isabelle and Helias-Baron, Marlène}, year = {2019}, pages = {25--56}, } @article{sterlin_linnovation_2019, title = {L’innovation documentaire à {Amiens}, entre création et adaptation (fin xive-début xve siècle)}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9908}, doi = {10.4000/medievales.9908}, abstract = {Au tournant des xive et xve siècles, le paysage documentaire de la commune d’Amiens tel qu’il nous est parvenu dans les archives connaît de profondes modifications. En plus de conserver plus régulièrement ses comptes et ses registres de délibérations, la ville se dote de trois nouveaux cartulaires pour remplacer l’ancien, renouvelle son registre de cens et de rentes, et fabrique un recueil de statuts. Progressive et de longue durée, cette réorganisation documentaire survient après une intervention royale modifiant les institutions et la pratique du gouvernement municipal. Durant cette période, la création de solutions neuves, comme un manuscrit rassemblant des ordonnances édictées par l’échevinage, côtoie une innovation pensée et mise en œuvre en termes d’adaptation des cadres anciens aux nouvelles exigences : ajustement des conditions existantes de conservation, aménagement du type ancien du cartulaire.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Sterlin, Marie-Émeline}, year = {2019}, pages = {79--92}, } @article{dewez_linnovation_2019, title = {L’innovation documentaire à la fin du {Moyen} Âge}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9750}, doi = {10.4000/medievales.9750}, abstract = {Aujourd’hui bien intégrée dans la démarche historienne, l’étude des pratiques de l’écrit est une façon d’envisager l’artefact « document » à la fois comme objet d’histoire et comme facteur d’interprétation du texte. Ceci permet de renouveler notre compréhension des mécanismes sociaux à travers l’analyse de la vie du manuscrit et des initiatives individuelles qui l’ont produit et transformé ; à travers une réflexion sur les formes d’écrits et leur relation aux activités des hommes ; à travers ...}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Dewez, Harmony}, year = {2019}, pages = {5--10}, } @article{melin_linnovation_2019, title = {L’innovation documentaire, entre recyclage et enregistrements. {Le} cas du {Livre} rouge de l’échevinage de {Reims} (xive-xve siècles)}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9856}, doi = {10.4000/medievales.9856}, abstract = {Monument documentaire des archives rémoises depuis le xixe siècle, le Livre rouge de l’échevinage de Reims, souvent qualifié de cartulaire, est un ouvrage complexe né à la fin du xive siècle et ne contenant presque aucun acte diplomatique, mais des cahiers hétéroclites, écrits entre le xiiie et le début du xve siècle, couvrant un panel varié d’actions administratives et constituant autant d’innovations documentaires. L’étude des cahiers, insérés dans leurs contextes respectifs de tensions et/ou d’institutionnalisation, atteste d’un apprentissage du gouvernement par l’écriture. La réactivation de ces écrits premiers, enrichis de nouveaux cahiers accueillant des enregistrements disparates et désordonnés entre les années 1370 et 1417, forme une cartularisation singulière, plus proche du bricolage documentaire. Conservatoire de toutes les inventions scripturaires, le Livre rouge forme ainsi une mémoire des origines du gouvernement qui s’invente.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Melin, Emmanuel}, year = {2019}, pages = {57--78}, } @article{moufflet_reimplantation_2019, title = {La réim­plan­ta­tion des fonds du dépar­te­ment du {Moyen} Âge et de l’{Ancien} {Régime} : une métho­do­lo­gie adap­tée à des fonds et à des locaux spé­ci­fi­ques}, url = {https://www.archivistes.org/Les-Archives-nationales-une-refondation-pour-le-XXIe-siecle}, number = {254}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Moufflet, Jean-François}, year = {2019}, } @article{pene_temps_2016, title = {Le temps des archives et la périodisation historique: une histoire découpée en boîtes?}, issn = {2109-9472}, number = {33}, journal = {Questes. Revue pluridisciplinaire d’études médiévales}, author = {Pène, Matthieu}, year = {2016}, note = {Publisher: Association des amis de «Questes»}, pages = {31--43}, } @article{papin_les_2019, title = {Les cartulaires de l’abbaye de {Margam}. {Le} processus de cartularisation et l’administration des biens monastiques au pays de {Galles} au xiiie siècle}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9757}, doi = {10.4000/medievales.9757}, abstract = {Fondée en 1147 par le comte de Gloucester, seigneur de Glamorgan, dans la marche galloise, l’abbaye de Margam met ses chartes en rouleaux au début du xiiie siècle. Le monastère cistercien cherche à répondre aux besoins d’administration et de gestion de ses biens. Ce processus de cartularisation des actes originaux s’inscrit dans les pratiques documentaires et archivistiques se développant alors dans l’Occident médiéval. Les cartulaires-rouleaux constituent un moyen pour l’abbaye de connaître son temporel afin de maîtriser son expansion et de faire face aux rivalités économiques, tout en l’ordonnant autour du monastère et en en préservant la mémoire.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Papin, Élodie}, year = {2019}, pages = {11--24}, } @article{rager_les_2019, title = {Les premiers registres de délibérations municipales tenus dans les villes champenoises : enjeux politiques et innovations documentaires (xve siècle)}, copyright = {Tous droits réservés}, issn = {0751-2708}, shorttitle = {Les premiers registres de délibérations municipales tenus dans les villes champenoises}, url = {http://journals.openedition.org/medievales/9941}, doi = {10.4000/medievales.9941}, abstract = {Les premiers registres de délibérations municipales conservés pour les villes de Troyes, Reims et Châlons-en-Champagne s’inscrivent dans un contexte commun de production, celui du conflit entre Armagnacs et Bourguignons pendant la guerre de Cent Ans. Ce contexte est un facteur d’explication à la fois de la tenue de ces registres et de leurs formes et contenus similaires. Loin d’être motivée par des raisons internes à chaque ville, il semble que la tenue nouvelle de ces registres ressorte d’une demande et d’une possible vérification extérieure. Leur capacité à retranscrire l’exhaustivité de la vie municipale de cette époque s’en trouve alors atténuée.}, language = {fr}, number = {76}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Médiévales. Langues, Textes, Histoire}, author = {Rager, Cléo}, year = {2019}, pages = {93--112}, } @article{geley_pratiques_2013, title = {Pratiques archivistiques aux {XIIe} et {XIIIe} siècles -- {Abbaye} cistercienne des {Vaux}-de-{Cernay}}, volume = {45}, abstract = {En se basant sur l’exemple du travail fait aux XIIe et XIIIe siècle par les moines cisterciens de l’abbaye des Vaux-de- Cernay, l’auteure veut mettre en lumière dans cet article les origines médiévales de certaines pratiques utilisées encore de nos jours en archivistique. Ce sont plus particulièrement les moines en charge du chartier -- lieu de conservation des actes écrits témoignant d’une concession de biens, de droits ou encore d’une décision judiciaire -- qui peuvent être désignés comme les premiers« archivistes », bien que le terme n’existait pas encore à l’époque. Par une analyse faite sur les chartes conservées jusqu’à aujourd’hui, Mathilde Geley identifie des pratiques témoignant d’un réel souci archivistique aussi bien au niveau du rangement et du classement que de l’inventaire et de la cotation des documents. Des pratiques telles que le pli des actes, l’établissement d’un cadre de classement basé sur la topographie, ainsi que l’existence d’inventaires concordant avec des systèmes de cotation sont ainsi présentées en détail. Il s’agit là d’autant de façons de faire montrant un soin particulier des moines envers la conservation de leurs archives et permettant ainsi, selon l’auteure, de les considérer comme de lointains prédécesseurs des archivistes contemporains.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Geley, Mathilde}, year = {2013}, pages = {11--22}, }