@article{challeat-fonck_protection_2019, title = {La pro­tec­tion du secret de la défense natio­nale aux {Archives} natio­na­les : retour d’expé­rience sur quatre années de mise en œuvre}, url = {https://www.archivistes.org/Les-Archives-nationales-une-refondation-pour-le-XXIe-siecle}, number = {254}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Challéat-Fonck, Violaine and Veyssière, Marion}, year = {2019}, note = {Number: 254}, } @article{chancerel_centenaire_2020, title = {Le cen­te­naire de la {Première} {Guerre} mon­diale au {Service} his­to­ri­que de la {Défense}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Chancerel, Pierre and Fonck, Bertrand}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{charbonnier_projet_2020, title = {Le projet par­ti­ci­pa­tif {Testaments} de poilus : entre pro­gramme scien­ti­fi­que et opé­ra­tion de média­tion}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Charbonnier, Pauline and Locatelli, Mélissa and Nougaret, Christine}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{coppier_etre_2020, title = {Être reconnais­sant après la {Grande} {Guerre} : le rôle scien­ti­fi­que et cultu­rel des {Archives} dépar­te­men­ta­les de la {Haute}-{Savoie}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Dès le début de l’année 2013, le dépar­te­ment de la Haute-Savoie s’est engagé dans la com­mé­mo­ra­tion du cen­te­naire de la Grande Guerre au titre de ses poli­ti­ques cultu­relle, patri­mo­niale et mémo­rielle. Le dépar­te­ment a par­ti­cu­liè­re­ment sou­haité mettre en valeur la mémoire écrite de la Première Guerre mon­diale, à tra­vers ses archi­ves dépar­te­men­ta­les. Plusieurs pro­jets d’aide à la recher­che, de mise à dis­po­si­tion de sour­ces, de publi­ca­tions et d’expo­si­tion ont vu le jour. Les actions menées par les Archives dépar­te­men­ta­les à cette occa­sion cor­res­pon­dent à deux axes : sou­te­nir la recher­che et faire connaî­tre l’his­toire et le patri­moine écrit de la Haute-Savoie. Cet arti­cle se pro­pose d’en dres­ser un bilan.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Coppier, Julien and Maurin, Hélène}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{dagnos_numerique_2020, title = {Le numérique au service de l’exceptionnel à la bibliothèque du {Service} historique de la {Défense} : le rouleau de l’ordre de bataille de {Vélez}-{Málaga}}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, shorttitle = {Le numérique au service de l’exceptionnel à la bibliothèque du {Service} historique de la {Défense}}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/27403}, doi = {10.4000/insitu.27403}, abstract = {La bibliothèque du Service historique de la Défense, service à compétence nationale du ministère des Armées, a acquis en 2016 par voie de mécénat participatif un document exceptionnel. Entièrement manuscrit, le rouleau de l’ordre de bataille de Vélez-Málaga (vers 1715-1720) a rapidement fait l’objet d’une numérisation, tant pour des raisons de conservation que de médiation. L’imagerie numérique s’est imposée comme un moyen intéressant de médiation offrant une vraie plus-value scientifique et pédagogique à ce document si particulier. Outre sa valorisation, la numérisation du document offre des possibilités intéressantes du point de vue de la conservation, en proposant un substitut et en témoignant de l’état de conservation du rouleau. C’est enfin la recherche que sert l’imagerie numérique, en permettant un regard autre sur le document. Le croisement des informations et des données, rendu possible par le numérique, apporte également de nouvelles perspectives de recherche, même s’il faut être conscient des limites de l’imagerie numérique, quel que soit son domaine d’application. Car si l’imagerie numérique est un outil aux possibilités exceptionnelles, elle ne saurait être utilisée à bon escient sans une réflexion sur ses limites.}, language = {fr}, number = {42}, urldate = {2021-04-11}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {d’Agnos, Constance de Courrèges and Dubos, Jean-François and Legrosse, Sylvie}, year = {2020}, note = {Number: 42 Publisher: Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines}, } @article{duvaux_grande_2020, title = {La {Grande} {Collecte} 1914-1918 aux {Archives} dépar­te­men­ta­les de l’{Hérault}, ou com­ment renou­ve­ler les sour­ces pour une his­toire intime et per­son­nelle de la {Grande} {Guerre}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Les Archives dépar­te­men­ta­les de l’Hérault par­ti­ci­pent depuis novem­bre 2013 à la Grande Collecte 1914-1918, cam­pa­gne euro­péenne de col­lecte, de numé­ri­sa­tion et de valo­ri­sa­tion des fonds d’archi­ves fami­lia­les rela­tifs à la Première Guerre mon­diale. L’ori­gi­na­lité de la par­ti­ci­pa­tion des Archives dépar­te­men­ta­les de l’Hérault est carac­té­ri­sée par la numé­ri­sa­tion inté­grale des fonds de poilus les plus cohé­rents, qui sont ensuite minu­tieu­se­ment décrits, indexés et mis en ligne sur le site Internet des Archives dépar­te­men­ta­les. En jan­vier 2020, ce sont ainsi près de deux cents fonds, soit plus de 56 000 images de car­nets de guerre, let­tres, pho­to­gra­phies, qui sont ainsi mis à dis­po­si­tion des inter­nau­tes, qu’ils soient cher­cheurs ou sim­ples pas­sion­nés de 1914-1918, renou­ve­lant de la sorte l’appro­che per­son­nelle et intime du conflit.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Duvaux, Julien}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{gilot__2020, title = {« 1 jour-1 poilu », une épopée com­mé­mo­ra­tive citoyenne (2013-2018)}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {LE CENTENAIRE DE LA GRANDE GUERRE VÉCU PAR LES ARCHIVISTES}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Gilot, Jean-Michel}, year = {2020}, } @article{guigueno_pedagogie_2020, title = {Pédagogie et {Grande} {Guerre} : l’impli­ca­tion sans pré­cé­dent des ser­vi­ces d’archi­ves}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Le cen­te­naire de la Grande Guerre a donné lieu à un foi­son­ne­ment d’ini­tia­ti­ves péda­go­gi­ques sans pré­cé­dent : ate­liers, expo­si­tions, publi­ca­tions, spec­ta­cles, etc. Qu’elles soient in situ, en iti­né­rance ou en ligne, les pro­po­si­tions des ser­vi­ces d’archi­ves ont sus­cité des réa­li­sa­tions mul­ti­for­mes par des élèves par­fois impli­qués au-delà du cercle sco­laire et à l’aide de par­te­nai­res locaux ou trans­na­tio­naux. L’immense réser­voir de res­sour­ces qui a été créé demeu­rera exploi­ta­ble, même si se pose déjà la ques­tion de la péren­nité de cer­tains outils numé­ri­ques. Cette mobi­li­sa­tion cons­ti­tuera-t-elle une matrice pour pour­sui­vre l’action péda­go­gi­que dans les années à venir ?}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Guigueno, Brigitte}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{henwood__2005, title = {Des « services historiques des armées » au « service historique de la défense » - 25 ans pour une réforme (1980 - 2005)}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Henwood, Philippe}, year = {2005}, pages = {1--20}, } @article{hermant_les_2020, title = {Les papiers du désordre. {Une} histoire sociopolitique de la révolte de {Saragosse} de 1591}, volume = {696}, issn = {9782130824343}, url = {https://www.cairn.info/revue-historique-2020-4-page-87.htm}, doi = {10.3917/rhis.204.0087}, abstract = {En 1591, l’Aragon et sa capitale Saragosse sont le théâtre d’une révolte opposant le royaume à son roi pour défendre les lois constitutionnelles, au terme de plusieurs décennies d’entorses au droit aragonais. La répression de Philippe II s’est traduite par une vague de procès, portée par une chasse aux papiers compromettants, menée par des agents zélés, au sein des institutions rebelles et chez les particuliers. Cette judiciarisation du conflit visait à épurer le royaume de ses éléments perturbateurs et à normaliser les relations entre roi et royaume. Les écrits sensibles, qui dévoilaient, au-delà des inimitiés et des traîtrises, les implications des uns et des autres et autorisaient l’exécution, la saisie des biens ou la damnatio memoriae, ont ainsi donné lieu à des conflits d’archives où se jouait le sort politique, social et économique d’individus et de familles, privés de leurs titres et de leur mémoire. Comment le tissu social se reconstitue-t-il lorsqu’ont cessé les affrontements, sans que ne soient toutefois abolis les dissensus et les clivages, apparus pour certains durant les troubles ? Comment (re)trouve-t-on une place après la révolte et comment « refait-on corps » ? En suivant des individus et des groupes qui manipulent, brassent, conservent, cachent ou diffusent et échangent ces écrits selon des fins, des moyens, des logiques et des temporalités diverses, nous souhaitons ressaisir la réalité de cet épisode à travers l’histoire de ces papiers du désordre, de leur circulation et de leurs usages ainsi que des tensions qu’ils cristallisent. Ce faisant, c’est une histoire socio-politique de la révolte que nous proposons de faire, à partir d’une histoire de la culture écrite en contexte, centrée sur le temps court du processus de sortie du conflit armé et sur celui du retour à une normalité politique apparente.}, language = {FR}, number = {4}, journal = {Revue historique}, author = {Hermant, Héloïse}, year = {2020}, note = {Place: Paris cedex 14 Publisher: Presses Universitaires de France}, pages = {87--115}, } @article{jullien_les_2020, title = {Les {Archives} dépar­te­men­ta­les de la {Guadeloupe} dans le {Grand} {Mémorial}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Jullien, Benoît}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{lafaye_larchivage_2017, title = {L’archi­vage de la recher­che : un enjeu vital pour le minis­tère de la {Défense}}, number = {247}, journal = {La Gazette des Archives}, author = {Lafaye, Christophe}, year = {2017}, } @article{lair_programme_2020, title = {Le {Programme} interministériel d’archivage {VITAM}}, url = {http://www.annales.org/enjeux-numeriques/2020/resumes/juin/12-en-resum-FR-AN-juin-2020.html#12FR}, abstract = {L’archivage est indispensable même dans le numérique. L’archivage public est un élément clé de la continuité de l’État. Sans archivage numérique public, nous risquons un « Alzheimer d’Etat ». Faire de l’archivage numérique nécessite de réconcilier la nanoseconde avec le siècle, le flux et la preuve. Le programme interministériel d’archivage numérique VITAM a été lancé en 2015 pour apporter une réponse aux grands acteurs de l’archivage. Au cœur du programme, se trouve le développement d’un logiciel libre d’archivage, évolutif, simple et facilement interfaçable, qui permet la gestion unitaire et sécurisée de milliards d’objets. Porté à l’origine par les ministères de la Culture, des Affaires Etrangères et des Armées, le programme a rallié de multiples utilisateurs, tant publics que privés, tous impliqués dans une approche collaborative. La première phase, 2015-2019, aura été celle des débuts, avec un produit porté par une communauté d’usage et encore voué à évoluer et s’enrichir.}, number = {1}, journal = {Enjeux numériques}, author = {Lair, Jean-Séverin}, year = {2020}, note = {Number: 1}, } @article{lechevallier_guerres_2019, title = {Guerres mon­dia­les, guer­res colo­nia­les : des archi­ves pour quoi faire ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Si les années 1990 ont vu dans d’ancien­nes dic­ta­tu­res l’émergence des archi­ves comme outils des pro­ces­sus de jus­tice tran­si­tion­nelle, l’accès donné en France aux archi­ves des conflits contem­po­rains est long­temps demeuré dif­fi­cile. Le « retour du refoulé » autour du régime de Vichy, dans les années 1970, a enclen­ché un mou­ve­ment d’ouver­ture qui n’a trouvé son abou­tis­se­ment qu’en 2015. La demande du corps social, tant de la part des his­to­riens que de celle des vic­ti­mes, appa­raît comme le prin­ci­pal moteur de l’ouver­ture de ces archi­ves. Celles de la guerre d’Algérie posent des ques­tions simi­lai­res, aux­quel­les les répon­ses sont encore incom­plè­tes.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Lechevallier, Éric}, year = {2019}, note = {Number: 255}, } @article{lopes_larchiviste_2020, title = {L’archiviste, l’histoire et le secret : le cas exemplaire du secret {Défense}}, abstract = {« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration » : en 1789, en inscrivant ce principe dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la Révolution française a souhaité affirmer le principe de transparence et donc tourner le dos aux pratiques antérieures de l’Ancien Régime, notamment le secret d’État. Un des textes fondateurs est la loi du 7 messidor an 2 (25 juin 1794) qui permet aussi, par son article 37, le principe de « libre consultation » des archives : « Tout citoyen pourra demander dans tous les dépôts, aux jours et heures qui seront fixés, communication des pièces qu’ils renferment ; elle leur sera donnée sans frais et sans déplacement, et avec les précautions convenables de surveillance ». Ce dernier principe devient donc un droit citoyen. L’archiviste collecte, classe et conserve les archives pour permettre leur accès. La loi (de 1979, puis de 2008), codifiée, lui confie une double mission : « La conservation des archives est organisée dans l’intérêt public, tant pour les besoins de la gestion et de la justification des droits des personnes physiques ou morales, publiques ou privées, que pour la documentation historique de la recherche1 ». Le document d’archives est une source pour l’histoire, mais pas seulement... L’archiviste doit donc marcher sur ses deux jambes et ne pas négliger la logique de production des documents, ne serait-ce que pour enrichir la collecte de documents qui pourraient ne pas être versés, voire détruits2. Après avoir rappelé les obstacles à la communication des archives que compose le secret Défense, nous verrons les axes de mobilisation commune entre archivistes et historien·nes, notamment depuis le début de cette année 2020.}, number = {147}, journal = {Cahiers d'histoire, revue d'histoire critique}, author = {Lopes, Nathalie}, year = {2020}, note = {Number: 147}, } @article{mallet_les_2019, title = {Les déro­ga­tions géné­ra­les : mesu­res à étendre ou mesu­res excep­tion­nel­les ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Les déro­ga­tions géné­ra­les sont un outil de trans­pa­rence démo­cra­ti­que. Mises en avant par les poli­ti­ques, les his­to­riens et les dif­fé­rents rap­ports sur la com­mu­ni­ca­tion des archi­ves, elles sont pré­sen­tées comme un levier indis­pen­sa­ble, qu’il est néces­saire de déve­lop­per. Pourtant, elles sont très peu uti­li­sées ; seuls vingt arrê­tés ont été pro­mul­gués entre 1979 et 2018 (date de rédac­tion de l’arti­cle). Parmi ces quel­ques textes, les deux tiers envi­ron ouvrent des fonds rela­tifs à la Seconde Guerre mon­diale. Il est en effet dif­fi­cile d’iden­ti­fier de grands ensem­bles de docu­ments dont l’ouver­ture ne serait pas sus­cep­ti­ble de porter une atteinte exces­sive aux inté­rêts pro­té­gés par la loi, condi­tion indis­pen­sa­ble du Code du patri­moine à toute ouver­ture par déro­ga­tion, qu’elle soit géné­rale ou indi­vi­duelle. Au final, elles sont pro­ba­ble­ment appe­lées à rester excep­tion­nel­les, ce qui est loin d’être néga­tif. En effet, cela signi­fie que seuls quel­ques fonds sont suf­fi­sam­ment deman­dés pour faire l’objet d’une telle pro­cé­dure, et que le besoin de cette pro­cé­dure excep­tion­nelle reste limité. Cela ne signi­fie pas pour autant qu’aucune piste ne soit envi­sa­gée actuel­le­ment pour l’ouver­ture de nou­veaux fonds : ainsi, le pré­si­dent de la République a annoncé l’ouver­ture par déro­ga­tion géné­rale des archi­ves rela­ti­ves aux dis­pa­rus de la guerre d’Algérie.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Mallet, Jeanne}, year = {2019}, } @article{mulonda_gouvernance_2020, title = {Gouvernance des archives dans un contexte de conflits : quelles leçons pour la {République} démocratique du {Congo} ?}, volume = {2019}, issn = {1680-1865}, url = {https://doi.org/10.3828/comma.2019.1.7}, doi = {10.3828/comma.2019.1.7}, abstract = {Les archives, en tant que ressources, sont assimilables aux facteurs et agents sources des conflits. Leur existence soutient et contribue à la bonne gouvernance. Elles jouent un rôle important en matière politique, administrative, judiciaire, économique, culturelle, historique, idéologique, diplomatique, etc. Lors des conflits armés, les archives sont souvent l’objet de destruction par les parties en conflits. Leur bonne conservation est donc essentielle dans les Etats dits « fragiles ». Cette conservation appelle donc à la numérisation. En République démocratique du Congo, plusieurs questions liées à l’identité, surtout sur la scène politique, se posent, à la veille des élections. De vives tensions ne cessent de s’observer lors de la présentation des résultats des scrutins par la Commission électorale nationale indépendante. Souvent, les archives électorales en sont de véritables victimes. Cette situation s’observe également jusqu’aux juridictions (cour d’appel, cour suprême) en proie aux menaces des hommes armés engagés dans la destruction des archives électorales pour étouffer toute revendication les concernant. Les élections de 2006 en sont l’exemple clair. Un besoin pressant de numérisation des archives identitaires, électorales, parcellaires ou domaniales se ressent à l’heure actuelle. Et ce, au travers du Programme national de Numérisation et d’Informatisation des actes d’état-civil (PRONUMI) et de l’Observatoire national des Archives électorales (ONAE) à développer pour des fins de bonne gouvernance et des recherches au profit des filières scientifiques, des praticiens et des professionnels en général.}, number = {1}, urldate = {2020-06-05}, journal = {Comma}, author = {Mulonda, Bulambo}, year = {2020}, note = {Number: 1}, pages = {63--70}, } @article{pauval_du_2020, title = {Du goût de l’archive au « goût de la guerre ». {Alexander} {Kluge} et {Jean}-{Yves} {Jouannais}}, volume = {879-880}, issn = {9782707346483}, shorttitle = {Du goût de l’archive au « goût de la guerre »}, doi = {10.3917/criti.879.0731}, abstract = {Collecter, prélever, monter des fragments documentaires pour élaborer une œuvre plastique, cinématographique ou littéraire n’est pas une démarche sans précédent : elle a, bien au contraire, toute une histoire, dont plusieurs moments clés, de Reznikoff à Perec, sont rappelés dans ce numéro. Mais cette pratique, dans le monde littéraire et artistique d’aujourd’hui, a pris une ampleur et un sens nouveaux. Il y a dans la création contemporaine ce qu’on a pu appeler une « révolution documentale ». Les fragments rassemblés peuvent être issus d’archives institutionnalisées ou personnelles. Ils peuvent avoir été glanés dans l’histoire ou dans la rue. Le terme « montage » est le plus fréquemment employé, avec « bricolage », pour désigner l’opération qui congédie la notion d’inspiration au profit d’une conception de la création artistique comme « production », « témoignage », « reportage », « enregistrement », et qui signale un déplacement de la figure de l’auteur vers celle du « collecteur ». C’est cette effervescence très actuelle autour de l’archive et du document que décrivent, commentent et analysent les écrivains, philosophes, critiques, essayistes et traducteurs, historiens et historiens de l’art, réunis ici par Muriel Pic.}, language = {FR}, number = {8-9}, journal = {Critique}, author = {Pauval, Vincent}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de Minuit}, pages = {731--743}, } @article{prost_centenaire_2020, title = {Le {Centenaire} et les {Archives}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {La Grande Guerre n’a cessé de ren­for­cer sa pré­sence dans notre société depuis les années 1970-1980. À côté des livres et des films, une mémoire sou­ter­raine de la guerre s’est déve­lop­pée sur le web, avec de nom­breux sites et des sour­ces mises en ligne où beau­coup ont puisé pour enri­chir leur mémoire fami­liale. Dans ce contexte, la com­mé­mo­ra­tion a pris une grande ampleur, qu’il s’agisse des res­pon­sa­bles des mani­fes­ta­tions ou de leurs formes, très diver­ses. Les com­mé­mo­ra­tions loca­les l’empor­tent, et parmi elles, les expo­si­tions. Les Archives leur ont apporté une contri­bu­tion de pre­mière impor­tance. Elles ont ainsi fait conver­ger les mémoi­res, les ont nour­ries d’his­toire, et conforté une mémoire natio­nale de souf­fran­ces et de deuil.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Prost, Antoine}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{recasens_archiver_2020, title = {Archiver la mémoire. {Les} consuls toulousains face aux événements de mai 1562}, volume = {59}, issn = {9782914350594}, shorttitle = {Archiver la mémoire}, url = {https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2020-3-page-139.htm}, doi = {10.3917/rhu.059.0141}, abstract = {Durant les Guerres de Religion, l’écriture des chroniques annuelles ou de certaines délibérations permettent aux édiles d’imposer une histoire et une mémoire. En contrepoint, la destruction de certains documents empêche l’expression de voix dissonantes. Dans le cadre de numéro sur la construction des archives urbaines, nous proposons de comprendre comment la gestion des écrits administratifs consulaires participe à l’élaboration d’un discours mémoriel en prenant comme principal exemple Toulouse au début des Guerres de Religion. En 1562, alors que la ville sort d’un conflit de six jours entre protestants et catholiques, nous montrerons comment les archives deviennent actrices du conflit, jusqu’à en devenir une extension : manipulées, détruites, remodelées, elles sont les preuves d’une histoire violente et héroïque. En somme, entre histoire et mémoire, de quoi les archives municipales sont-elles la trace ?}, language = {FR}, number = {3}, journal = {Histoire urbaine}, author = {Recasens, Maïté}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Société française d'histoire urbaine}, pages = {139--156}, } @article{sbrava_entre_2014, title = {Entre inventaire et propagande : les destructions du patrimoine en {Picardie} vues par la {Section} photographique et cinématographique de l’armée ({SPCA})}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, shorttitle = {Entre inventaire et propagande}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/11012}, doi = {10.4000/insitu.11012}, abstract = {En mars 1917, les troupes allemandes procèdent à un large repli stratégique de leurs forces présentes en Picardie. Baptisée Alberich, cette opération est lourde de conséquences pour la région car, avant son départ, l’armée allemande détruit de nombreux châteaux, églises, routes, ponts, usines ou fermes, emportant à jamais un part notable du patrimoine, souvent ancien. La Section photographique et cinématographique de l’armée (SPCA) est mobilisée pour dresser un inventaire en images des dégâts subis par le territoire picard, réalisant une importante production photographique et cinématographique qui d’une part, contribue à l’œuvre de restauration menée après la guerre et, d’autre part, alimente la propagande contre l’Allemagne, jugée seule responsable des ruines.}, language = {fr}, number = {23}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Sbrava, Lieutenant David}, year = {2014}, } @article{sibille-de_grimouard_traitement_2001, title = {Le traitement des archives contemporaines au {Service} historique de l'armée de terre}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Sibille-de Grimoüard, Claire}, year = {2001}, pages = {159--170}, } @article{texier_manoeuvre_2012, title = {Manœuvre archives en {Afghanistan}}, issn = {0769-0975}, abstract = {À quelques mois du retrait des troupes françaises d'Afghanistan, les archives militaires font, elles aussi, l'objet d'un rapatriement en France. Une opération préparée avec minutie et discrétion dans un environnement hostile.}, language = {French}, number = {256}, journal = {Archimag}, author = {Texier, Bruno}, year = {2012}, pages = {34--35}, } @article{tillam_grande_2020, title = {La {Grande} {Collecte} 1914-1918 vue de l’inté­rieur : pour­quoi s’adres­ser à un ser­vice d’archi­ves ?}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Pourquoi, à la suite de mes­sa­ges dif­fu­sés à la télé­vi­sion et dans la presse, les contri­bu­teurs ont-ils décidé de dépo­ser leur mémoire fami­liale et de récla­mer sa mise en ligne sur Internet, ceci en accor­dant toute leur confiance à un ser­vice public par­fois inconnu ? Un double rôle para­doxal est dévolu aux archi­ves, celui de lieu de « décharge » de mémoire et celui de lieu de valo­ri­sa­tion et de publi­ca­tion de celle-ci. Nous avons pu cons­ta­ter une dimen­sion hono­ri­fi­que du geste et deux moti­va­tions sous-jacen­tes : se débar­ras­ser et cris­tal­li­ser, en menant une réflexion sur l’émotionnalité du don d’archi­ves et sa fonc­tion « résur­rec­tion­niste » au sens que lui don­nait Michelet. Cette situa­tion a fait que l’archi­viste s’est retrouvé partie pre­nante des cer­cles de deuil tels qu’ils sont défi­nis par Jay Winter et Stéphane Audoin-Rouzeau.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Tillam, Jasmine}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{tocanne_centenaire_2020, title = {Le cen­te­naire de 1914 à l’{Assemblée} natio­nale : « par­le­men­ta­risme de guerre » et mémoire du député engagé pour la défense de la patrie}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {En 2014, l’Assemblée natio­nale a orga­nisé pour le Centenaire une expo­si­tion sur le « par­le­men­ta­risme de guerre » et la mémoire de l’enga­ge­ment des dépu­tés pour la défense de la patrie. Présentée dans les salles atte­nan­tes à l’hémi­cy­cle et acces­si­ble au public de juillet à décem­bre, celle-ci a été conçue de manière essen­tiel­le­ment chro­no­lo­gi­que pour faire appa­raî­tre l’émergence du « par­le­men­ta­risme de guerre » et le ren­for­ce­ment du contrôle par­le­men­taire, de 1915 à 1917, afin de ne pas lais­ser les seuls géné­raux régler les ques­tions d’ordre mili­taire au fur et à mesure que le conflit durait et que les par­le­men­tai­res de retour du front fai­saient part de leur expé­rience. Elle a rendu un hom­mage par­ti­cu­lier aux seize dépu­tés morts pour la patrie. De part et d’autre, deux espa­ces ont été dédiés, l’un à Jaurès, le « martyr de la paix », et l’autre à Clemenceau, le « père de la vic­toire ». Par ailleurs, pour péren­ni­ser « la mémoire de la mémoire », un dos­sier thé­ma­ti­que, tou­jours acces­si­ble en ligne, a été créé sur le site Internet de l’Assemblée natio­nale. Il pré­sente les prin­ci­paux éléments de l’expo­si­tion, ainsi que de nom­breux docu­ments numé­ri­sés, en par­te­na­riat avec le Sénat, les Archives natio­na­les et la Bibliothèque natio­nale de France.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Tocanne, Vincent and Béclère, Marc}, year = {2020}, note = {Number: 258}, } @article{van_ypersele_grand_2020, title = {Le {Grand} {Centenaire} 14-18 en {Belgique}}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/Le-centenaire-de-la-Grande-Guerre-vecu-par-les-archivistes}, abstract = {Les com­mé­mo­ra­tions du cen­te­naire de la Première Guerre mon­diale sus­ci­tent un retour de la mémoire col­lec­tive en Belgique, comme ailleurs, qui n’est pas seu­le­ment orches­tré par un bat­tage média­ti­que sans pré­cé­dent. En effet, l’ampleur des com­mé­mo­ra­tions a dépassé toutes les pré­vi­sions. Dans cet arti­cle, on envi­sa­gera ces com­mé­mo­ra­tions à la fois au plan poli­ti­que, cog­ni­tif et com­mer­cial tant en Flandre qu’en Wallonie et à Bruxelles. On verra que si les inten­tions poli­ti­ques en Flandre et en Wallonie étaient clai­re­ment dif­fé­ren­tes, voire en ten­sion, les atten­tes du public, qu’il soit du nord ou du sud du pays, l’étaient beau­coup moins. Enfin, on inter­ro­gera la place que les his­to­riens ont pu avoir dans la pré­pa­ra­tion de ces com­mé­mo­ra­tions.}, number = {258}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Van Ypersele, Laurence}, year = {2020}, note = {Number: 258}, }