@article{martin_armoire_2021, title = {L'armoire de fer : ce coffre-fort indestructible au coeur de {Paris}}, shorttitle = {L'armoire de fer}, url = {https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/l-armoire-de-fer-ce-coffre-fort-indestructible-au-coeur-de-paris_38683827.html}, abstract = {Indestructible et inviolable. L’armoire de fer, réalisée en 1790, est un coffre-fort ultra-sécurisé qui se trouve actuellement à l’Hôtel de Soubise, propriété des Archives nationales, rue des Archives à Paris. Mais à quoi sert-elle ? Des documents d’une valeur inestimable L’armoire de fer des Archives nationales a été réalisée sur ordre de l’Assemblée constituante du 30 novembre 1790 afin d’abriter à l’origine les formes, planches et timbres employés dans la fabrication des assignats, puis l’acte constitutionnel et les minutes des lois et décrets révolutionnaires. Elle est constituée de deux énormes caissons métalliques emboîtés. Trois clefs, qui étaient réparties entre le président de l’Assemblée, son secrétaire et son archiviste, la commandent.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-28}, journal = {actu.fr}, author = {Martin, Thomas}, year = {2021}, keywords = {Archives historiques, Conservation, France, Sauvegarde}, } @article{archimag_tous_2020, title = {Tous tentés par la reconversion ?}, shorttitle = {Tous tentés par la reconversion ?}, url = {https://www.archimag.com/le-kiosque/mensuel-archimag/mag-331/reconversion-professionnelle/PDF}, abstract = {Être ou avoir été professionnels de l’information… Ou pourquoi ne pas le devenir ? Dans nos métiers aussi, notamment pour les archivistes, documentalistes et veilleurs, les carrières rectilignes se font rares. La gestion de l’information, sous ses différentes formes, peut-être tout autant une fonction que l’on quitte qu’une nouvelle orientation.}, language = {fr}, number = {331}, urldate = {2021-04-07}, journal = {Archimag}, author = {{Archimag}}, year = {2020}, } @article{lavigueur_au_2018, title = {Au {Québec}, les syndicats numérisent leurs archives}, url = {https://www.archimag.com/archives-patrimoine/2018/08/27/quebec-syndicats-numerisent-archives}, abstract = {Les archives s’exposent depuis plusieurs années sur les réseaux sociaux, temples du partage et de l’interactivité, afin de gagner en visibilité. Mais tous les projets s’y prêtent-ils ? Et comment toucher la plus large audience possible ? Retour sur quelques succès du genre : Zeituhr1938, Léon Viven, MadeleineProject et DesFemmesQuiComptent. « Les témoins directs disparaissent et la transmission aux nouvelles générations est un défi majeur ». Cette réflexion de la directrice du Fonds national autrichien pour les victimes du national-socialisme, Hannah Lessing, à l’occasion de la commémoration des 80 ans de l’Anschluss, le mois dernier, résume bien le challenge à relever par tous ceux qui font vivre les archives et communiquent sur des événements historiques.}, number = {313}, journal = {Archimag}, author = {Lavigueur, Elisabeth}, year = {2018}, } @article{jost_archives_2018, title = {Archives et réseaux sociaux : le passé en direct live}, url = {https://www.archimag.com/archives-patrimoine/2018/06/11/archives-reseaux-sociaux-passe-direct-live}, abstract = {Les archives s’exposent depuis plusieurs années sur les réseaux sociaux, temples du partage et de l’interactivité, afin de gagner en visibilité. Mais tous les projets s’y prêtent-ils ? Et comment toucher la plus large audience possible ? Retour sur quelques succès du genre : Zeituhr1938, Léon Viven, MadeleineProject et DesFemmesQuiComptent. « Les témoins directs disparaissent et la transmission aux nouvelles générations est un défi majeur ». Cette réflexion de la directrice du Fonds national autrichien pour les victimes du national-socialisme, Hannah Lessing, à l’occasion de la commémoration des 80 ans de l’Anschluss, le mois dernier, résume bien le challenge à relever par tous ceux qui font vivre les archives et communiquent sur des événements historiques.}, number = {313}, journal = {Archimag}, author = {Jost, Clémence}, year = {2018}, } @article{dutheil_ged_2018, title = {Ged transversale : au carrefour des contenus}, url = {https://www.archimag.com/demat-cloud/2018/08/24/ged-transversale-carrefour-contenus}, abstract = {Les archives s’exposent depuis plusieurs années sur les réseaux sociaux, temples du partage et de l’interactivité, afin de gagner en visibilité. Mais tous les projets s’y prêtent-ils ? Et comment toucher la plus large audience possible ? Retour sur quelques succès du genre : Zeituhr1938, Léon Viven, MadeleineProject et DesFemmesQuiComptent. « Les témoins directs disparaissent et la transmission aux nouvelles générations est un défi majeur ». Cette réflexion de la directrice du Fonds national autrichien pour les victimes du national-socialisme, Hannah Lessing, à l’occasion de la commémoration des 80 ans de l’Anschluss, le mois dernier, résume bien le challenge à relever par tous ceux qui font vivre les archives et communiquent sur des événements historiques.}, number = {313}, journal = {Archimag}, author = {Dutheil, Christophe}, year = {2018}, } @article{couderc_numerisation_2018, title = {Numérisation : de la copie fidèle à la copie fiable}, url = {https://www.archimag.com/demat-cloud/2018/05/30/numerisation-copie-fidele-copie-fiable}, abstract = {Définition et spécifications des prestations de numérisation fidèle de documents sur support papier et contrôle de ces prestations : c’est l’intitulé de la norme NF Z42-026. Voici comment la mettre en œuvre, avec un objectif : obtenir une copie fiable. La norme Afnor NF Z42-026 homologuée en mai 2017 spécifie les conditions à remplir pour produire des copies numériques fidèles au sens formel (par opposition à la fidélité informationnelle qui est celle du contenu). Une copie fidèle est la reproduction à l’identique de la forme et du contenu ; l’outil de référence pour apprécier la fidélité formelle est l’œil humain dont les caractéristiques physiologiques sont connues ; ces caractéristiques peuvent servir de base au choix de la résolution des numériseurs (300 dpi) et au choix du codage des couleurs sur 24 bits.}, number = {312}, journal = {Archimag}, author = {Couderc, Bruno}, year = {2018}, } @article{bigle_droit_2018, title = {Droit : les deux mondes de l’e-discovery et de l’archivage électronique}, url = {https://www.archimag.com/demat-cloud/2018/03/13/droit-mondes-e-discovery-archivage-electronique}, abstract = {L’« e-discovery » (il existe une procédure similaire au Canada et en Grande-Bretagne appelée "e-disclosure") américaine fait partie de la procédure de « discovery » ou de découverte des preuves sous forme électronique. Il s’agit d’une phase préliminaire au procès civil ou commercial (« pre-trial ») qui permet aux parties d’investiguer et d’instruire elles-mêmes les preuves (les affaires pénales sont exclues de la procédure de discovery). Contrairement au procès français, les parties sont obligées de divulguer tous les éléments de preuve pertinents du litige dont elles disposent, et ce, quelles que soient leur forme et leur localisation, et quand bien même ces éléments ne leur seraient pas favorables. La discovery est une procédure accusatoire où chaque partie doit prouver les faits au soutien de sa cause et où le juge est arbitre (« Procédure accusatoire – Procédure inquisitoire : deux modèles pour la justice pénale »). Le non-respect de la procédure de communication des preuves est sanctionné lourdement par des pénalités financières et expose à l’acceptation des prétentions de la partie adverse, voire à un jugement d’office.}, number = {312}, journal = {Archimag}, author = {Bigle, Polyanna}, year = {2018}, } @article{rovere_moyen_2017, title = {Moyen Âge : « l'énergie de l'archive »...}, volume = {581 - 582}, language = {FR}, number = {7}, journal = {Le Nouveau Magazine Littéraire}, author = {Rovère, Maxime}, year = {2017}, pages = {78--78}, } @article{morin_vichy_2016, title = {Vichy : les archives sont-elles vraiment toutes accessibles ?}, volume = {427}, abstract = {Elles étaient déjà presque toutes ouvertes. Pourtant, l'arrêté publié en décembre 2015 est un « tournant démocratique ». Explication. C'est une rengaine que l'on entend souvent : les archives de Vichy sont encore « fermées ». Qu'en est-il vraiment ? L'ouverture maximale, sinon absolue, des archives publiques concernant les années de la Seconde Guerre mondiale, c'est-à-dire le fonctionnement de l'administration française sous Vichy, a été décidée par un arrêté interministériel paru au Journal officiel le 24 décembre 2015. Va-t-elle bouleverser nos connaissances sur la période ? L'accès à ces archives était déjà largement possible. La plupart des fonds concernant la guerre sont en effet accessibles depuis la loi sur les archives de 2008, laquelle avait abaissé les délais de communication de 60 à 50 ans, sauf pour ce qui concernait le secret de la défense nationale, la sûreté de l'État et la sécurité publique, ainsi que les documents judiciaires. Les papiers de Philippe Pétain, ceux des grands ministères, ceux des services secrets gaullistes (le Bureau central de renseignements et d'a ...}, language = {FR}, number = {9}, journal = {L'Histoire}, author = {Morin, Gilles}, year = {2016}, pages = {27--28}, }