@phdthesis{yoakim_exploitation_2022, address = {Québec}, title = {L'exploitation des archives dans le cadre du projet de restauration de {Place} {Royale} de {Québec} (1967-1996)}, url = {http://hdl.handle.net/20.500.11794/73223}, abstract = {L'ensemble documentaire de Place Royale de Québec du fonds E6 du ministère des Affaires culturelles regroupe près de trente années d'archives (1960-1989) en provenance de différents créateurs et témoigne de façon globale du projet de restauration et de revalorisation de ce quartier historique. Cet ensemble constitue une trace de ce projet phare qui, au fil de l'évolution des contextes politique, bureaucratique, économique et culturel, mais également des réflexions concernant les choix de restauration effectués va devenir un fardeau pour le gouvernement provincial contraint de revenir aux archives pour justifier ses activités. La nature des archives ne cesse de monopoliser les discussions au sein de l'archivistique. Originellement perçues par les tenants d'une archivistique positiviste comme le reflet exact des activités d'un producteur, les archives sont progressivement pensées par les archivistes postmodernistes comme des objets sociaux et sociétaux incarnant en premier lieu la représentation que le producteur et la société ont des activités accomplies. Dernièrement, à partir de l'étude d'œuvres d'art contemporain, un nouveau courant de pensée né au Québec estime que la nature des archives ne se réduit pas à leur capacité à témoigner des activités d'un producteur, mais qu'elle s'inscrit dans le fait que les archives sont à la fois des objets physiques et construits intellectuellement. L'exploitation des archives se définit alors comme une rencontre effectuée entre un individu, ses connaissances, sa culture, son passé et un document, sa matérialité, son contenu et son historique dans un contexte donné. Grâce à l'étude des processus de production, d'utilisation, de classement et de diffusion des archives de Place Royale pour trois périodes historiques distinctes, ce travail interroge la relation des archives à leurs contextes de production et d'utilisation ainsi qu'aux personnes qui les créent, les utilisent et les conservent, selon leurs besoins. En parallèle, l'identification pour chacune de ces trois périodes historiques des différents acteurs et de leur relation aux documents qu'ils produisent, conservent et exploitent dans le cadre de leurs activités, démontre que l'exploitation des archives comme rencontre se situe à tous les niveaux du parcours documentaire et peut être étudiée dès la création des documents. L'ensemble de ces observations met alors en exergue qu'il existe une archivistique humaine forte des expériences de chacun des individus qui produisent et utilisent des documents et que l'archiviste doit prendre en considération cette réalité s'il veut pouvoir penser en profondeur ses activités et ses outils de travail.}, language = {fr-CA}, urldate = {2022-06-03}, school = {Université Laval}, author = {Yoakim, William}, year = {2022}, note = {Accepted: 2022-04-25T07:03:38Z}, } @phdthesis{chamay_gerer_2020, address = {Suisse}, type = {Mémoire de bachelor}, title = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique: nouveaux contextes, pratiques et perspectives}, shorttitle = {Gérer et valoriser un fonds d’archives cartographiques à l’ère du numérique}, url = {http://doc.rero.ch/record/329809?ln=fr}, abstract = {Le TeTU, «groupe de compétences, Territoires et Tissus urbains», aujourd’hui tombé en déshérence, faute d’activités, possédait un fonds documentaire, essentiellement cartographique, issu originellement de l’activité du Centre de recherche sur la rénovation urbaine (C.R.R.), créé en 1973, institut hébergé alors par l’Université de Genève et transféré à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève (hepia) en 2011.Si cet ensemble d e ressources documentaires, fonds ou collection de documents cartographiques, devenu dès lors fonds d’archives, n’a pas de valeur à proprement parler patrimoniale, soit une importance historique ou artistique patente,–il s’agit largement de tirages, de reproductions et de copies–, il recèle un réel intérêt, car, «initié» par André Corboz (1928-2012), figure quasi «tutélaire» de l’architecture et de l’urbanisme genevois, il témoigne, de manière particulièrement homogène et exhaustive, de l’évolution des territoires et des tissus urbains genevois. Conservant ainsi, outre une réelle dimension culturelle, une indéniable valeur informative et de référence, malgré la concurrence de nouveaux logiciels de cartographie et autres systèmes d’information géographique, toujours plus performants,–mais non sans reproche–,ce fonds possède, à l’ère du tout numérique, de formidables potentialités de valorisation. Dans l’approche élaborée, approche qui se veut pragmatique, nous proposons une stratégie de mise en valeur graduelle, intégrée et à large spectre. Il s’agirait pour le TeTU d’être présent via différents «médias», numériques, tels les portails de diffusion et de valorisation, les blogues, les réseaux sociaux ou les expositions virtuelles, sans dédaigner néanmoins de recourir parfois à une médiation plus traditionnelle, en organisant ponctuellement de petites expositions physiques, des conférences ou en participant à des événements consacrés à l’urbanisme. Cela permettrait de toucher, plus largement, enseignants- chercheurs, étudiants et professionnels du bâti et des territoires, ses publics cibles. Nous appelons de même et en filigrane à la mutualisation et à la convergence, avec les archives d’architectures de Genève (Archives {\textbar} Architectures Genève)en particulier, afin de créer, au Pavillon Sicli, à Genève, un pôle dévolu aux archives d’architectures et d’urbanismes, intégrant pleinement le TeTU, pour une visibilité dédoublée. Dans le cadre de ce travail de bachelor, largement théorique, mais aux ramifications pratiques, concrètes et ancrées dans une réalité de terrain (que faire de ces fonds «académiques» dormants?), il s’est agi de mener une réflexion aboutie sur les enjeux de gestion d’un tel fonds(quelle place pour le papier face à la géomatique?)et les perspectives de valorisation d’archives cartographiques traditionnelles, issues d’un institut à vocation scientifique, à l’ère du tout numérique}, language = {fr}, school = {Haute école de gestion de Genève}, author = {Chamay, Charles-Antoine}, collaborator = {Dubosson, Françoise}, year = {2020}, keywords = {Cartographie, Valorisation}, } @phdthesis{fillion_organisation_1987, address = {Montréal, Canada}, type = {Mémoire de maîtrise en sciences de l'information}, title = {L'organisation des archives chez cinq groupes de professionnels de {Montréal}: architectes, ingénieurs-conseils, experts-comptables, notaires et avocats}, school = {Université de Montréal, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI)}, author = {Fillion, Chantale}, year = {1987}, }