@book{berlioz_chartistes_2021, edition = {Coédition École nationale des chartes - École française d’Extrême-Orient}, title = {Chartistes en {Asie}. {Science} historique et patrimoine au lointain (xixe-xxie siècle)}, isbn = {978-2-35723-161-0}, url = {https://www.chartes.psl.eu/fr/publication/chartistes-asie}, abstract = {Depuis sa création en 1821, l’École des chartes, vouée à la formation des conservateurs d’archives, de bibliothèques et de musées, entretient avec l’Asie un rapport singulier. Ses anciens élèves, qu’ils aient été chercheurs, diplomates ou administrateurs, l’ont nourri de leur curiosité, dans le contexte de la présence coloniale en Indochine et en Inde. L’un d’eux, Louis Finot, en créant l’École française d’Extrême-Orient (EFEO) à la fin du xixe siècle, illustrait la force d’attraction du continent asiatique et de ses cultures sur cet établissement de formation et de recherche original. Les auteurs de ce volume richement illustré posent les jalons de cette aventure intellectuelle ininterrompue, de l’indianiste et philologue Eugène Burnouf, issu de la première promotion de l’École des chartes, à Georges Bataille, en passant par le consul explorateur Charles-Eudes Bonin. Tous montrent la diversité des approches disciplinaires unies par une méthode commune, où la critique des sources prime. L’Indochine fut le laboratoire le plus fécond de la rencontre entre les Chartes et l’EFEO, faite de collecte, de conservation, d’inventaire, d’édition et d’étude de sources écrites et monumentales. L’histoire récente a enfin reconfiguré le dialogue original de ces deux institutions avec l’Asie autour de nouveaux enjeux et de nouvelles ambitions, dont témoigne en particulier l’attention mutuelle accordée au patrimoine archivistique.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-20}, author = {Berlioz, Jacques and Capot, Cécile and Poncet, Olivier}, year = {2021}, keywords = {19e siècle, 20e siècle, Archives coloniales, Archiviste, Asie, Patrimoine}, } @article{lessard_lhistoire_2020, title = {L’histoire mouvementée des archives. {Du} début de la {Nouvelle}-{France} jusqu’en 1920.}, issn = {2560-788X}, url = {https://www.banq.qc.ca/a_propos_banq/publications/a_rayons_ouverts/index.html}, abstract = {Rénald Lessard, archiviste-coordonnateur, BAnQ Québec. En septembre 1760, au moment de la capitulation de Montréal, les Britanniques exigent que les autorités canadiennes leur remettent tous les plans et cartes du pays. Les archives qui pourraient être nécessaires pour le gouvernement et la défense des droits des individus resteront dans la colonie. Les autres documents peuvent être rapportés en France. En réalité, ces documents seront plutôt détruits que rapatriés.}, language = {fr}, number = {105}, urldate = {2021-03-28}, journal = {À rayons ouverts - Chroniques de BAnQ}, author = {Lessard, Rénald}, editor = {{Bibliothèque et Archives nationales du Québec}}, year = {2020}, pages = {9--11}, } @phdthesis{jollivet_archives_2020, title = {Archives, archivistique et logiques d’usage dans les territoires issus de la colonie de {Madagascar} de 1946 à nos jours}, url = {https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-02484726}, abstract = {Entre 1960 et 1975, à la faveur du processus de décolonisation, deux pays indépendants et un territoire resté français succèdent à l’ancienne colonie de Madagascar. La question de l’évolution des systèmes archivistiques dans cette zone, de leur éventuelle diversification et de leur actuel degré de maturité, est posée dans ce contexte. À Madagascar, aux Comores comme à Mayotte, de louables intentions en faveur des archives peinent à se concrétiser, notamment faute de crédits et de stabilité politique. Les appareils archivistiques échouent à préserver toutes les archives et la collecte porte principalement sur le central au détriment du local. Un public existe mais il demeure majoritairement composé de personnels administratifs et de particuliers dont le besoin documentaire se borne souvent à la consultation du Journal officiel. La réussite d’autres types de recherches se heurte à l’éparpillement des fonds et au manque d’outils de recherche. L’observation des logiques d’usage confirme la surreprésentation des usages administratifs, la faiblesse de la sollicitation généalogique et l’existence de stratégies de contournements des organismes de conservation officiels. À côté d’eux ou hors d’eux, des initiatives privées de sauvegarde et valorisation des archives existent. Elles prouvent l’intérêt qu’y porte une partie de la population, y compris expatriée. Au-delà de ces traits communs, trois destins archivistiques se distinguent : un système malgache encore en construction reposant sur des Archives nationales déjà fortes ; une normalisation progressive à Mayotte sur un modèle départemental ; la faillite du modèle comorien qui bloque tout développement archivistique.}, school = {Université d'Angers}, author = {Jollivet, Charly}, year = {2020}, } @article{beccarelli_memoire_2020, title = {Mémoire des ondes. {Les} archives de la radio française}, volume = {49}, issn = {9791035105532}, url = {https://www.cairn.info/revue-societes-et-representations-2020-1-page-181.htm}, doi = {10.3917/sr.049.0181}, abstract = {Cet article retrace l’histoire des politiques de conservation des archives radiophoniques en France, depuis la création des premières stations de radio, au début des années 1920, jusqu’à nos jours. Cette contribution présente ainsi les lieux regroupant des archives liées au médium radiophonique, que celles-ci soient sonores ou écrites, et propose une réflexion sur l’évolution des supports de conservation et l’invention de la notion de patrimoine sonore.}, language = {FR}, number = {1}, journal = {Sociétés \& Représentations}, author = {Beccarelli, Marine}, year = {2020}, note = {Place: Paris Publisher: Éditions de la Sorbonne}, keywords = {Archives sonores, France, Patrimoine}, pages = {181--190}, } @book{archives_departementales_du_calvados_les_2019, edition = {Archives départementales du Calvados}, title = {Les archives du {Calvados}. 10 siècles d’histoire quotidienne des {Calvadosiens}}, isbn = {978-2-86014-117-8}, url = {https://francearchives.fr/fr/article/249487289}, abstract = {À l’occasion des travaux de rénovation de leurs espaces publics réalisés en 2018-2019, ce petit ouvrage retrace l’histoire des Archives du Calvados qui préservent aujourd’hui la mémoire de dix siècles d’histoire, depuis les premières chartes de Guillaume le Conquérant au XIe siècle jusqu’aux archives du XXIe siècle. Si les Archives départementale tirent leurs racines d’institutions qui, sous l’Ancien Régime, avaient déjà eu pour préoccupation de conserver la trace de leur action, elles sont aussi une invention de la République française, nées d’une exigence démocratique nouvelle, et d’une réflexion sur l’histoire nationale et sur le patrimoine mis à la disposition de tous, lorsque la loi du 5 brumaire an V (1796) instaure au chef-lieu de chaque département un dépôt chargé de recueillir les archives publiques. Il s’agit alors essentiellement des archives nationalisées par la Révolution : archives des institutions d’Ancien Régime supprimées, dont l’Intendance de Caen ou les justices d’Ancien Régime ; archives des établissements religieux, dont l’Abbaye aux Hommes et l’Abbaye aux Dames de Caen. Elles ont su récemment se réinventer avec la décentralisation administrative, et dans une société avide à la fois de transparence et de protection de la vie privée.}, language = {fr}, urldate = {2021-04-07}, author = {{Archives départementales du Calvados}}, year = {2019}, } @article{reimbold_poids_2017, title = {Le poids de la {Première} {Guerre} mon­diale au prisme des archi­ves de la {Grande} col­lecte dans les {Bouches}-du-{Rhône} : un siècle d’obli­ga­tion mémo­rielle}, url = {https://www.archivistes.org/Varia-3459}, number = {248}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Reimbold, Emmanuelle}, year = {2017}, } @article{nivet_experience_2017, title = {Une expérience du chaos : destructions, spoliations et sauvetages d’archives, 1789-1945 [catalogue de l’exposition des {Archives} nationales, {Paris}, hôtel de {Soubise}, 17 mai-18 septembre 2017], {Rennes}, {Presses} universitaires de {Rennes}, 2017, 162 p.}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, shorttitle = {Une expérience du chaos}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/15614}, abstract = {Les conflits les plus contemporains, ceux qui se déroulent au Mali, en Syrie ou en Irak en particulier, attirent de nouveau l’attention de l’opinion publique sur l’impact des guerres, civiles comme interétatiques, sur le patrimoine artistique. Cet impact est séculaire – rappelons par exemple l’iconoclasme au temps des guerres de Religion. De ce sujet, les historiens et les historiens d’art se sont emparés depuis plusieurs années et y ont consacré colloques, monographies et expositions, – cito...}, language = {fr}, number = {33}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Nivet, Philippe}, year = {2017}, } @article{owabira_les_2016, title = {Les {Archives} de l’{Afrique} Équatoriale {Française}}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.8}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.8}, abstract = {Contrairement à celui du bloc occidental français, le patrimoine archivistique de l’Afrique équatoriale française a connu la «césure» avec le rapatriement des archives dites de souveraineté vers la métropole. A cela s’ajoute le retard chronologique accusé par l’A.E.F. par rapport à l’A.O.F. dans la mise en œuvre des structures institutionnelles, qui a eu pour conséquence également la mise en œuvre tardive des services d’archives. C’est à la fin de la deuxième guerre mondiale en 1945 que les archives du gouvernement général de l’A.E.F. commencent à s’organiser. Une décennie après l’accession du Congo à la souveraineté en 1960, fut créée en 1971 la Direction Générale des services de bibliothèques et d’archives (DGBSA), qui après moult restructurations a été érigée en Centre national d’archives et de documentation avec pour mission de collecter, conserver et communiquer les documents d’archives d’intérêt historique et patrimonial au public. La Direction Générale des services de bibliothèques et d’archives ne deviendra opérationnelle qu’en 1974 après la récupération des fonds de l’A.E.F. restés sous la tutelle de l’Institut des Etudes Centrafricaines. Mais quatre décennies après sa création, le centre national des archives et de documentation demeure confronté à de nombreux problèmes qui rendent difficile l’accomplissement de ses missions traditionnelles. Parmi ces problèmes, il y a le manque de formation des agents, la carence du matériel de travail, des locaux inadéquats, le déficit du cadre légal et réglementaire.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Owabira, Brice Isinove}, year = {2016}, pages = {63--72}, } @article{nzoghe_les_2016, title = {Les archives publiques au {Gabon} de la fin de la période coloniale à nos jours}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.10}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.10}, abstract = {Le travail administratif basé sur l’écrit commence au Gabon avec la mise en place de l’administration coloniale française. C’est le début de la production d’archives. La période coloniale au Gabon s’achève en 1959 mais il n’y a alors aucune structure pour la conservation des documents administratifs. Une Direction des Archives est créée en 1969 sur proposition de Gaston Rapontchombo. Cette nouvelle entité administrative évoluera pour devenir une Direction générale englobant les Archives Nationales, la Bibliothèque Nationale et la Documentation Gabonaise (DGABD). Depuis lors, grâce à la publication de plusieurs textes officiels, un vaste programme de collecte, de récupération et de traitement des sources archivistiques a été mis en place, en même temps qu’une politique de recrutement, de formation des cadres et d’organisation dans les administrations à l’échelon central et provincial. Un décret de 2011 prévoit des directions dans chaque chef-lieu de province mais aucun n’a vu le jour jusqu’ici. Depuis 2013, la DGABD contrôle des relais, dotés d’un manuel de procédures, dans chaque département ministériel ; un programme de numérisation est en cours. Les progrès sont perceptibles, la pratique archivistique s’imposant de plus en plus dans le système administratif. Manquent encore un bâtiment avec une plus grande capacité d’accueil, un accroissement du personnel et la mise en place d’un véritable réseau archivistique national.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Nzoghe, Jérôme Angoune}, year = {2016}, pages = {81--88}, } @article{nyandwi_situation_2016, title = {La situation des archives au {Burundi}, des origines à nos jours}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.5}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.5}, abstract = {Les archives coloniales du Burundi qui n’ont pas été emportées en Belgique ont été relativement bien conservées malgré des destructions certaines depuis l’indépendance du pays (1962). Il n’y a pas eu de politique archivistique avant 1978 et la création des Archives Nationales, pourtant préconisée dès 1973 par un groupe d’intellectuels. Faute de promulgation d’un décret ad hoc, les Archives Nationales, qui auraient dû être une des Direction du Ministère en charge de la Culture depuis 2010, sont toujours un Service. Ce Service est chargé de différentes missions visant principalement la gestion des documents publics. Malgré un personnel insuffisant et non formé, un manque criant de bâtiments et d’équipements, un budget trop restreint (environ 8000 \$ par an), un manque général de sensibilisation des décideurs et des administrateurs, et une informatique pratiquement inexistante, l’auteur veut rester optimiste. Signalons que les archives orales sont relativement bien étudiées.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Nyandwi, Nicodème}, year = {2016}, pages = {25--38}, } @book{nicault_dossier_2016, address = {Paris, France}, title = {Dossier : les archives juives en {France} au {XXe} siècle fragilités d'un patrimoine}, isbn = {978-2-251-69442-9}, url = {http://www.sudoc.fr/193048086}, publisher = {Les Belles Lettres}, editor = {Nicault, Catherine}, year = {2016}, } @article{kane_lexperience_2016, title = {L’expérience des services régionaux d’archives au {Sénégal} après trente ans d’existence}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.14}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.14}, abstract = {L’histoire des archives au Sénégal est bien connue par le rôle du pays au sein de l’A.O.F., par la qualité de ses directeurs de 1913 à 2015 et enfin par la masse de documents publiés sur ce sujet. Une simple recherche sur Internet vous présentera les Archives du Sénégal et les différents fonds qui la composent. Mais s’il ne manque pas d’écrits sur les Archives Nationales du Sénégal, on note par contre, peu d’informations sur les Services régionaux d’archives (SRA) qui pourtant, depuis 2012, sont entrés dans leur trentième année d’existence. Au vu des activités qu’ils mènent dans les régions pour l’Administration et pour la recherche, leur expérience mérite d’être mieux connue et de servir de source d’inspiration. C’est le thème du présent article. Nous verrons tout d’abord ce qui a été à l’origine de la création de ces services, leur implantation sur le territoire national et leurs missions, et ensuite nous nous intéresserons à la valeur ajoutée apportée par ces services dans la gestion documentaire de l’Administration publique sénégalaise; enfin nous évaluerons les limites pour mieux comprendre ce qui reste à faire. C’est suite à une longue et pénible gestation que les SRA ont vu le jour en 1982 avec à l’origine, deux préoccupations majeures: la déconcentration administrative et l’intervention en amont pour mieux assister les services publics dans la production et dans la gestion de leurs documents administratifs. Pour protéger la mémoire collective, il fallait dépêcher des professionnels d’archives chargés d’assister les services producteurs, les conseiller, les former aux techniques et méthodes de tri et de classement et enfin présider à leurs opérations de versements.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Kane, Mohamed Lamine}, year = {2016}, pages = {107--112}, } @phdthesis{jollivet_archives_2016, type = {Thèse, {HDR}}, title = {Archives, archivistique et logiques d'usage dans les territoires issus de la colonie de {Madagascar} de 1946 à nos jours}, url = {https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02484726/document}, abstract = {Entre 1960 et 1975, à la faveur du processus de décolonisation, deux pays indépendants et un territoire resté français succèdent à l’ancienne colonie de Madagascar. La question de l’évolution des systèmes archivistiques dans cette zone, de leur éventuelle diversification et de leur actuel degré de maturité, est posée dans ce contexte. À Madagascar, aux Comores comme à Mayotte, de louables intentions en faveur des archives peinent à se concrétiser, notamment faute de crédits et de stabilité politique. Les appareils archivistiques échouent à préserver toutes les archives et la collecte porte principalement sur le central au détriment du local. Un public existe mais il demeure majoritairement composé de personnels administratifs et de particuliers dont le besoin documentaire se borne souvent à la consultation du Journal officiel. La réussite d’autres types de recherches se heurte à l’éparpillement des fonds et au manque d’outils de recherche. L’observation des logiques d’usage confirme la surreprésentation des usages administratifs, la faiblesse de la sollicitation généalogique et l’existence de stratégies de contournements des organismes de conservation officiels. À côté d’eux ou hors d’eux, des initiatives privées de sauvegarde et valorisation des archives existent. Elles prouvent l’intérêt qu’y porte une partie de la population, y compris expatriée. Au-delà de ces traits communs, trois destins archivistiques se distinguent : un système malgache encore en construction reposant sur des Archives nationales déjà fortes ; une normalisation progressive à Mayotte sur un modèle départemental ; la faillite du modèle comorien qui bloque tout développement archivistique.}, language = {fr-FR}, school = {Angers}, author = {Jollivet, Charly}, year = {2016}, } @phdthesis{gelly_administration_2015, address = {Angers, France}, type = {Master {Histoire}, {Document}}, title = {L'administration des archives coloniales françaises en {Algérie} : regard sur le fonctionnement des archives départementales d'{Alger} de 1902 à 1962}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/14006310/20152MHD4331/fichier/4331F.pdf}, abstract = {Ce travail de recherche a pour objectif de présenter les archives départementales d’Alger. L’histoire que nous en faisons dans ce mémoire est celle d’une administration, vue sous l’angle de son fonctionnement et de sa gestion. Il s’agit donc de donner un caractère archivistique à cette recherche tout en la replaçant dans une étude comparée avec les services d’archives métropolitains. L’aboutissement de ce travail démontre qu’il existe une part d’originalité au sein des archives départementales d’Alger qui découle principalement du statut juridique particulier de l’Algérie. Ce service est donc singulier avec un caractère métropolitain mais aussi colonial.}, school = {Université Angers}, author = {Gelly, Xavier}, collaborator = {{Bénédicte Grailles}}, year = {2015}, note = {Sous la direction de Bénédicte Grailles}, } @article{soufi_les_2014, title = {Les archives algériennes en 1962 : héritage et spoliation}, url = {http://insaniyat.crasc.dz/pdfs/n_65-66_soufi-fr.pdf}, number = {65-66}, journal = {Insaniyat}, author = {Soufi, Fouad}, year = {2014}, pages = {211--237}, } @article{lemay_les_2014, title = {Les archives définitives : un début de parcours. {Revisiter} le cycle de vie et le {Records} continuum}, issn = {1923-6409}, shorttitle = {Les archives définitives}, abstract = {Postulant que pour être pleinement archives, les documents doivent être envisagés depuis leur exploitation par des utilisateurs, le but de cet article est de chercher à intégrer cette dimension à la réflexion sur le cycle de vie et de voir comment elle permet de renouveler la vision de leur temporalité. Loin d’être une étape finale, les archives définitives apparaissent plutôt comme le début d’un parcours forcément ouvert et en devenir. Cette hypothèse de travail est d’abord explorée au prisme de cinq éléments qui, selon nous, caractérisent les archives définitives dans une vision classique. Puis, le rappel des principaux aspects de la théorie des trois âges et de ses critiques par les archivistes s’inscrivant dans la pensée postmoderne nous conduit à présenter le modèle du Records continuum et ses limites, dont la principale est son silence quant à l’exploitation des archives. Ensuite, nous montrons, à la lumière de l’utilisation d’archives à des fins de création, qu’une nouvelle dimension du continuum des archives apparaît qui est caractérisée par quatre éléments : le cadre de référence, l’émotion, les conditions d’utilisation et la vision dialectique des archives. Finalement, l’esquisse d’une conception différente de leur temporalité est possible qui montre que les moments de la création et de la conservation sont nécessairement accompagnés d’un moment d’exploitation caractérisé par la diversité des types d’utilisation des documents. Nous concluons donc avec la possibilité d’élargissement du modèle de Records continuum à une cinquième dimension, celle de l’exploitation.}, language = {fr-CA}, number = {77}, journal = {Archivaria}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne}, year = {2014}, pages = {73--102}, } @misc{bula_175_2014, address = {Gérone, Italie}, title = {175 ans d'histoire de la photographie et des photographes en {France} : les nouveaux outils pour conserver et communiquer les collections des {Archives} nationales}, url = {http://www.girona.cat/web/ica2014/eng/comunicacions.php}, abstract = {Parmi les très nombreuses photographies conservées aux Archives nationales, certains fonds tels des ensembles de négatifs sur verre, font l'objet de protocoles de traitement particuliers. Un répertoire de minutes notariales parisiennes relatives à la photographie a également été mené à bien. Les Archives nationales ont connu récemment des transformations de grande ampleur avec la construction d'un nouveau bâtiment à Pierrefitte-sur-Seine et la répartition sur trois sites des fonds conservés jusqu'ici à Paris et à Fontainebleau. De très nombreux fonds d'archives publics et d'origine privée ayant été transférés à Pierrefitte-sur-Seine renferment des photographies dont les plus anciennes remontent aux origines de ce medium. Ce 175e anniversaire de l'apparition de la photographie coïncide avec la mise en place à Pierrefitte-sur-Seine de magasins spécialement destinés aux photographies, à des mesures renforcées de conservation préventive ainsi qu'à la mise en route d'un nouveau système d'information archivistique intégrant la gestion matérielle et l'élaboration d'instruments de recherche. Le cas de négatifs sur verre provenant du ministère de l'Intérieur et d'agences de presse sera évoqué pour illustrer les problématiques relatives au traitement de fonds volumineux sur des supports spécifiques. Les Archives nationales abritent non seulement des ressources photographiques de premier plan, mais aussi des fonds essentiels pour l'histoire de la photographie, telles les minutes notariales relatives aux photographes à Paris jusqu'en 1906 qui, grâce à un travail de dépouillement mené durant plusieurs années au sein de l'institution, seront désormais accessibles à un large public d'amateurs et d'historiens}, author = {Bula, Sandrine}, year = {2014}, } @article{noauthor_les_2014, title = {Les archives de 14-18 sur tous les fronts}, issn = {0769-0975}, url = {http://www.archimag.com/archives-patrimoine/2014/05/23/archives-centenaire-14-18-fronts-multim%C3%A9dia-numerique}, language = {French}, number = {274}, journal = {Archimag}, year = {2014}, pages = {14--22}, } @book{andus_lhotellier_les_2012, address = {Coeuvres-et-Valsery}, series = {Pas à pas}, title = {Les {Archives} internationales de la danse: un projet inachevé, 1931-1952}, isbn = {978-2-84505-130-0}, abstract = {Fondées en souvenir des Ballets suédois et de Jean Börlin, par Rolf de Maré le 16 juin 1931 à Paris, et dirigées par Pierre Tugal, les Archives Internationales de la Danse (A.I.D.) se donnèrent pour objectif de centraliser tous les documents ayant trait à la danse dans tous les pays du monde, de constituer un musée de la danse, une bibliothèque, un office de documentation et de renseignements, un service d’archives, un département sociologique et ethnographique, une salle de conférences et de démonstrations ainsi qu’une salle d’expositions. L’objet de cet ouvrage est de reconstituer l’histoire de la Fondation et de proposer une analyse de ses principaux chantiers : les différents concours entre 1932 et 1947, le projet muséal ainsi que la conception du projet scientifique, en prenant, comme point de départ méthodologique, une enquête auprès des témoins de l’époque – les artistes chorégraphiques. Le retour sur les différents concours qu’organiseront sur quinze ans les A.I.D. permet de montrer comment s’est imposée, auprès d’un public que les A.I.D. entendent fédérer, la figure de Kurt Jooss au dépend de celle de Jean Börlin, dont la fondation entendait précisément entretenir le souvenir. L’analyse du projet scientifique porté par les A.I.D. fait l’objet de la troisième partie de cet ouvrage, dans laquelle est abordée la notion du terrain que constitue le voyage exploratoire aux Indes néerlandaises en 1938. Apparaissent alors nettement les limites de leur méthodologie scientifique, réponse de la fondation à ce qui est perçu comme l’absence d’un corpus intellectuel propre à la danse. L’auteure : danseuse de formation, Sanja Andus L’Hotellier est historienne de la danse. Docteure de l’Université Paris VIII-Vincennes Saint-Denis, elle a collaboré à différentes missions de recherche notamment auprès du Musée de la danse de Stockholm, du Mas de la danse, de l’IMEC et du Centre National de la Danse. Elle est actuellement chercheuse invitée au Département d’Histoire de Columbia University de New York. Ce livre propose, révisé pour la présente publication, un historique des A.I.D. dont l’auteure a présenté une thèse. Il comporte des documents icnographiques noir et blanc, et l’ensemble des Entretiens avec des artistes – danseurs et danseuses, chorégraphes – ayant participé à cette Fondation: Françoise Adret, Birgit Boman, Ivo Cramér, Geneviève Demachy-Berthéas, Dominique Dupuy, Françoise Dupuy, Bengt Häger, Maryelle Krempff, Pino Mlakar, Janine Solane, Maria Strömberg, Sonja Sundberg.}, publisher = {Ressouvenances}, author = {Andus L'Hotellier, Sanja}, year = {2012}, } @incollection{duchein_les_2009, address = {Paris, France}, title = {Les archives dans le monde}, volume = {VII}, isbn = {978-92-3-204083-1}, url = {http://unesdoc.unesco.org/images/0018/001810/181093f.pdf#nameddest=211395}, booktitle = {Le {XXe} siècle de 1914 à nos jours}, publisher = {UNESCO}, author = {Duchein, Michel}, year = {2009}, pages = {1288--1296}, } @book{combe_archives_2009, address = {Paris, France}, series = {Recherches}, title = {Archives et histoire dans les sociétés postcommunistes}, isbn = {978-2-7071-5731-7}, abstract = {Pendant soixante-dix ans, la recherche sur le monde soviétique s’est élaborée sans possibilité de recours aux sources primaires. « Discipline » à mi-chemin entre l’histoire immédiate et la science politique, la soviétologie, comme on l’appelait alors, était privée de l’outil traditionnel de l’historien : les archives. De ce fait, elle était d’autant plus perméable aux présupposés idéologiques. Bien que leur ouverture soit encore partielle et inégale selon les pays, les archives du monde communiste ont permis des avancées notables dans l’historiographie. Traduisant le rapport qu’entretiennent aujourd’hui les sociétés postcommunistes avec leur passé, leur usage public a encouragé le questionnement sur la centralité accordée aux dossiers des polices politiques. D’autres lectures des archives de la surveillance, d’autres champs de recherche ont pu être explorés, qu’il s’agisse des relations entre les dirigeants et entre les États, des rapports entre l’État-Parti et la société ou encore de l’approfondissement d’épisodes majeurs de l’histoire comme la Shoah à l’Est, longtemps négligée. Revers de la médaille, l’ouverture des archives et la dramaturgie autour de leurs révélations ont mis en relief un usage public du passé qui rappelle la fragilité de l’histoire comme discipline autonome. Issu d’un colloque organisé par la BDIC à l’université de Paris-Ouest-Nanterre, cet ouvrage collectif rassemble des travaux d’archivistes et d’historiens qui tentent ici un bilan, vingt ans après la chute du Mur de Berlin, de l’apport de l’archive à l’historiographie et à l’intelligibilité de l’expérience communiste.}, publisher = {La Découverte}, editor = {Combe, Sonia}, year = {2009}, } @phdthesis{andus_lhotellier_les_2009, address = {Paris}, title = {Les {Archives} {Internationales} de la {Danse} (1931-1952), un projet inachevé}, abstract = {Fondation créée à Paris le 16 juin 1931 par Rolf de Maré et dirigée par Pierre Tugal en souvenir des Ballets suédois et de Jean Börlin, les Archives Internationales de la Danse (A. I. D. ) se donnèrent pour objectif de centraliser tous les documents ayant trait à la danse dans tous les pays du monde, de constituer un musée de la danse, une bibliothèque, un office de documentation et de renseignements, un service d'archives, un département sociologique et ethnographique, une salle de conférences et de démonstrations ainsi qu'une salle d'expositions. L'objet de cette thèse est de reconstituer l'histoire de la fondation et de proposer une analyse de ses principaux chantiers : les différents concours entre 1932-1947, le projet muséal ainsi que la conception du projet scientifique en prenant comme point de départ méthodologique, une enquête auprès des témoins de l'époque - les artistes chorégraphiques. Le retour sur les différents concours qu'organiseront sur quinze ans les A. I. D. permet de montrer comment s'est imposée, auprès d'un public que les A. I. D. entendent fédérer, la figure de Kurt Jooss au dépend de celle de Jean Börlin dont la fondation entendait précisément entretenir le souvenir. L'analyse du projet scientifique porté par les A. I. D. fait l'objet de la troisième partie de cette thèse dans laquelle nous aborderons la notion du "terrain" que constitue le voyage exploratoire aux Indes néerlandaises en 1938. Nous tenterons de démontrer les limites de leur méthodologie scientifique, une réponse partielle de la fondation à ce qui est perçu comme l'absence d’un corpus intellectuel propre à la danse.}, school = {Paris 8}, author = {Andus L'Hotellier, Sanja}, year = {2009}, } @book{coutaz_panorama_2003, address = {Lausanne, Suisse}, title = {Panorama des {Archives} communales vaudoises 1401-2003}, isbn = {2-88454-124-1}, url = {https://s-a-v.org/Panorama-des-Archives-communales.html}, abstract = {En 1803, le gouvernement du canton de Vaud ordonne à toutes les communes de dresser l’inventaire de leurs effets et papiers. Ni l’archivage ni les inventaires dans les communes vaudoises n’ont commencé alors, mais c’est le début des relations des Archives communales avec l’Etat. Dès 1905, les Archives cantonales vaudoises sont responsables de la surveillance et du contrôle des archives des communes, affectation due à la sensibilisation historique née des centenaires de la Révolution et de la création du canton. Bénéficiant du travail d’inventaire accompli pendant ces cent dernières années par les Archives cantonales vaudoises auprès des communes, le Panorama est : - d’une part une base de données, qui met en valeur les richesses historiques conservées par les communes, fournit sur site internet la description de l’ensemble des documents, des origines à 1960, et met en perspective plus de 28’000 pages d’inventaires, avec environ 200’000 notices descriptives ; - d’autre part un livre, qui expose pour la première fois l’histoire complète de l’archivage (pratiques de classement, de cotation et d’exploitation des documents d’archives), depuis le plus ancien inventaire communal conservé dans le Pays de Vaud, celui de la ville de Lausanne de 1401, et il réunit l’ensemble des acteurs de cette histoire. Sans pareille en Suisse, une telle entreprise a été rendue possible grâce à l’engagement sans faille des archivistes professionnels du canton de Vaud. Regroupés depuis 1996 au sein de l’Association vaudoise des archivistes, ceux-ci ont trouvé dans ce défi une manière d’affirmer la vitalité de leur action, leurs devoirs et leurs droits dans la constitution et la conservation de la mémoire des communes, elle-même partie intégrante de la mémoire cantonale. L’appui des autorités cantonales et de l’Union des communes vaudoises a garanti le succès de la démarche.}, urldate = {2020-01-23}, publisher = {Bibliothèque historique vaudoise}, editor = {Coutaz, Gilbert and Kupper, Beda and Pictet, Robert and Sardet, Frédéric}, year = {2003}, }