@misc{david_faire_2021, type = {Sur la route des archives {QC} est une série de billets à saveur estivale, une sorte de «road trip» d’archiviste. {Tout} au long de cette série, nous parcourons le {Québec} à la recherche de ses archives locales. {Ces} petits centres et sociétés historiques sont souvent des perles rares et on peut y trouver de nombreux documents sur l’histoire de leurs quartier, village, ville, région, entreprises locales ou familles influentes.}, title = {Faire cohabiter préservation numérique et durabilité: entretien avec {Mathieu}-{Alex} {Haché}}, shorttitle = {Faire cohabiter préservation numérique et durabilité}, url = {https://archivistesqc.wordpress.com/2021/09/20/developpement_durable/}, abstract = {Par Jonathan David, responsable du blogue Convergence Écologique, le numérique? Entretien avec Mathieu-Alex Haché. Écologique, le numérique? Depuis déjà plusieurs années, de nombreuses voix se font entendre pour réclamer le fameux « bureau sans papier » au nom du développement durable. Depuis le début de cette interminable pandémie mondiale, les flux massifs et en continu de données issues des vidéos de nos réunions sur Zoom ou Teams ont remplacé nos déplacements physiques et la pollution qui venait avec. Est-ce dire que notre bilan écologique s’est amélioré? On produit, on stocke et on consomme de plus en plus de données numériques. Les objets connectés accumulent de plus en plus de « traces » quant à leur état ou leur utilisation en temps réel. La résolution et le poids des contenus médiatiques que nous consommons et partageons augmentent sans cesse afin de répondre à des standards toujours plus haut. Et que dire de la durée de vie « utile » de notre équipement informatique et de son obsolescence programmée? D’un point de vue environnemental, l’information coute cher. Faire cohabiter la préservation numérique et le développement durable n’est pas une mince affaire. Le calcul est facile : plus on conserve, plus on diffuse, plus on consomme de ressources. L’archiviste, en tant que gardien du savoir et médiateur culturel, a certainement un rôle à jouer pour assurer cette cohabitation.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-03-28}, journal = {Convergence AAQ}, author = {David, Jonathan}, year = {2021}, keywords = {Archives numériques, Conservation, Environnement, Numérisation, Préservation, Recherche}, } @book{kigawa_lutte_2009, title = {La lutte contre les ravageurs des biens culturels}, volume = {29}, isbn = {978-0-660-97336-4}, url = {https://www.cci-icc.gc.ca/resources-ressources/publications/category-categorie-fra.aspx?id=18&thispubid=516}, abstract = {Les ravageurs peuvent grandement endommager les collections, les édifices et les objets historiques, que ce soit sur le plan esthétique ou sur celui de l’intégrité structurale. Pour les protéger des ravageurs, on doit tenir compte de l’environnement où se trouve la collection et prendre des mesures de confinement, de dépistage et d’intervention ainsi que des mesures correctives. Les stratégies de conservation préventive visent à réduire les pertes de valeur au fil du temps. Les pratiques de lutte intégrée s’inscrivent dans le cadre de ce processus. L’établissement d’un milieu de travail sécuritaire et l’atténuation des effets nocifs de l’exposition des objets aux produits chimiques constituent des préoccupations de fond. La réduction de l’ampleur et de la fréquence du problème permet de mesurer l’efficacité des mécanismes de lutte ou des traitements. Dans ce Bulletin technique, on présente les principaux ravageurs que l’on trouve dans des collections et on décrit une démarche structurée en matière de lutte intégrée. On propose une méthode d’enquête ainsi que des mesures correctives à appliquer selon l’infestation constatée afin de faciliter la mise sur pied d’un programme de lutte intégrée pour une grande variété de collections, qu’il s’agisse de sites extérieurs ou d’installations modernes de préservation.}, author = {Kigawa, Rika and Strang, Tom}, editor = {Institut Canadien de Conservation}, year = {2009}, }