@misc{roy_environnement_2016, title = {Environnement et gestion documentaire}, language = {Français}, urldate = {2018-01-05}, publisher = {Convergence}, author = {Roy, Sophie}, year = {2016}, } @misc{david_faire_2021, type = {Sur la route des archives {QC} est une série de billets à saveur estivale, une sorte de «road trip» d’archiviste. {Tout} au long de cette série, nous parcourons le {Québec} à la recherche de ses archives locales. {Ces} petits centres et sociétés historiques sont souvent des perles rares et on peut y trouver de nombreux documents sur l’histoire de leurs quartier, village, ville, région, entreprises locales ou familles influentes.}, title = {Faire cohabiter préservation numérique et durabilité: entretien avec {Mathieu}-{Alex} {Haché}}, shorttitle = {Faire cohabiter préservation numérique et durabilité}, url = {https://archivistesqc.wordpress.com/2021/09/20/developpement_durable/}, abstract = {Par Jonathan David, responsable du blogue Convergence Écologique, le numérique? Entretien avec Mathieu-Alex Haché. Écologique, le numérique? Depuis déjà plusieurs années, de nombreuses voix se font entendre pour réclamer le fameux « bureau sans papier » au nom du développement durable. Depuis le début de cette interminable pandémie mondiale, les flux massifs et en continu de données issues des vidéos de nos réunions sur Zoom ou Teams ont remplacé nos déplacements physiques et la pollution qui venait avec. Est-ce dire que notre bilan écologique s’est amélioré? On produit, on stocke et on consomme de plus en plus de données numériques. Les objets connectés accumulent de plus en plus de « traces » quant à leur état ou leur utilisation en temps réel. La résolution et le poids des contenus médiatiques que nous consommons et partageons augmentent sans cesse afin de répondre à des standards toujours plus haut. Et que dire de la durée de vie « utile » de notre équipement informatique et de son obsolescence programmée? D’un point de vue environnemental, l’information coute cher. Faire cohabiter la préservation numérique et le développement durable n’est pas une mince affaire. Le calcul est facile : plus on conserve, plus on diffuse, plus on consomme de ressources. L’archiviste, en tant que gardien du savoir et médiateur culturel, a certainement un rôle à jouer pour assurer cette cohabitation.}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-03-28}, journal = {Convergence AAQ}, author = {David, Jonathan}, year = {2021}, keywords = {Archives numériques, Conservation, Environnement, Numérisation, Préservation, Recherche}, }