@article{angoustures_cas_2019, title = {Le cas de l’{Ofpra} : les défis de l’ouver­ture d’archi­ves pro­té­gées}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {L’Office fran­çais de pro­tec­tion des réfu­giés et apa­tri­des (Ofpra), établissement public chargé de la pro­tec­tion des réfu­giés en France, a été créé par la loi du 25 juillet 1952 qui dis­pose que ses archi­ves sont « invio­la­bles ». L’Ofpra a dès lors long­temps refusé leur consul­ta­tion, sus­ci­tant des cri­ti­ques sur ces archi­ves « inter­di­tes » (Sonia Combe, 1994) tandis que l’obli­ga­tion de confi­den­tia­lité se voyait ren­for­cée par de nou­veaux textes juri­di­ques. La déci­sion d’ouvrir ses archi­ves n’a été rendue pos­si­ble que par la conjonc­tion d’excep­tions révé­lant la richesse des fonds et ren­dant néces­saire une équité entre cher­cheurs, la recher­che de solu­tions de sto­ckage et une poli­ti­que volon­ta­riste. Enfin, la conju­gai­son dif­fi­cile mais néces­saire entre trans­pa­rence et pro­tec­tion conduit les archi­vis­tes à des com­pro­mis, à un tra­vail d’inter­face ainsi qu’à devoir faire œuvre de péda­go­gie tant vis-à-vis des lec­teurs qu’en interne. Reste la ques­tion de la lisi­bi­lité des archi­ves dans un domaine admi­nis­tré au fil du temps par de nom­breu­ses ins­ti­tu­tions, y com­pris inter­na­tio­na­les et dont les minis­tè­res et ser­vi­ces de tutelle ont varié.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Angoustures, Aline and Choisnet, Adélaïde}, year = {2019}, note = {Number: 255}, } @article{auzel_mise_2013, title = {La mise en ligne du {Guide} des sources sur la traite négrière (2008-2011)}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/10263}, doi = {10.4000/insitu.10263}, abstract = {Le Guide des sources étant paru en 2007 sur papier, le ministère de la Culture et de la Communication a réfléchi aussitôt à le mettre sous forme numérique : dès janvier 2008. Cette éventualité est aussitôt adoptée par les Archives de France qui confient le projet à Pauline Moirez, conservatrice au département des publics. Pour cette opération, le ministère assurait un financement à hauteur de 10 000 €. Ce qui fut décidé en 2008, ce fut non pas de faire un site de plus au sein du ministère, m...}, language = {fr}, number = {20}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Auzel, Jean-Baptiste}, month = feb, year = {2013}, } @phdthesis{bellot_visage_2019, address = {École de bibliothéconomie et des sciences de l'information}, type = {Travail universitaire}, title = {Un visage, un nom ou l’art de la rencontre entre les archives et le public}, url = {https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/handle/1866/23102}, abstract = {Le projet Un visage, un nom vise à faire participer les communautés autochtones à la description des vastes collections photographiques hébergées à BAC portant sur les Inuits, les Premières Nations et la Nation métisse. Il a rencontré un succès important, tant auprès des communautés autochtones que des milieux archivistiques. En faisant participer les communautés autochtones à la description de ses collections, BAC trouve un excellent moyen de parfaire le traitement documentaire de ses fonds d’archives et ouvre la voie à un renouvellement profond des pratiques archivistiques. Rapidement, le projet dépasse les attentes du cercle des professionnels de l’archivistique et prend une dimension nouvelle en comblant les attentes exprimées par les communautés autochtones. L’intérêt de l’étude est de mettre en lumière la place centrale occupée par l’archiviste dans ce processus. En adoptant une attitude proactive, en supervisant l'intervention des usagers dans des domaines qui lui étaient jusque-là réservés, il contribue au renouvellement de sa profession et ouvre de nouvelles perspectives. En étant l'artisan volontaire d'une rencontre entre le document et le public, l'archiviste devient le maître d’œuvre de l'exploitation des archives.}, language = {fr}, urldate = {2021-04-16}, school = {Université de Montréal}, author = {Bellot, Henri}, collaborator = {Lemay, Yvon}, year = {2019}, note = {Ce travail a été réalisé à l’EBSI, Université de Montréal, dans le cadre du cours SCI6111 – Politique de gestion des archives donné au trimestre d’automne 2019 par Yvon Lemay}, } @misc{branche_historiens_2021, title = {Des historiens alertent sur le risque d'un "recul historique du droit d'accès aux archives"}, url = {https://www.lejdd.fr/Societe/exclusif-des-historiens-alertent-sur-le-risque-dun-recul-historique-du-droit-dacces-aux-archives-4039216}, abstract = {L'historienne Raphaëlle Branche, présidente de l'Association des historiens contemporanéistes de l'enseignement supérieur et de la recherche (ANCESR), Céline Guyon, présidente de l'Association des archivistes français (AAF), et Pierre Mansat, président de l'Association Josette et Maurice Audin (AJMA), alertent sur les conséquences du projet de loi renseignement et sécurité intérieure sur le droit constitutionnel d'accès aux archives. Voici leur tribune. "Alors que le président de la République affirme que l'accès aux archives est un impératif démocratique, le projet de loi renseignement et sécurité intérieure organisera leur fermeture. Ce projet comporte une réforme radicale qui réservera à l'administration les règles d'accès aux archives en en dessaisissant le Parlement. Voter ce texte en l'état serait un recul historique sans précédent.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-27}, journal = {Le Journal du dimanche}, author = {Branche, Raphaëlle and Guyon, Céline and Mansat, Pierre}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, France, Histoire}, } @misc{doridant_archives_2021, title = {Des archives entrouvertes sur le {Rwanda}}, url = {https://survie.org/billets-d-afrique/2021/305-mars-2021/article/des-archives-entrouvertes-sur-le-rwanda}, abstract = {François Graner, membre de Survie, a bénéficié au terme de cinq années de procédure d’un arrêt du Conseil d’État, le 12 juin 2020 qui lui a permis de consulter les archives de l’Elysée concernant le Rwanda. Il analyse cette question, cruciale dans une démocratie, de l’accès aux archives.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-27}, journal = {Survie}, author = {Doridant, Raphaël}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, France, Rwanda, Secret défense}, } @misc{france_culture_lacces_2020, title = {L’accès aux archives sensibles en question, suite}, url = {https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-lhistoire/lacces-aux-archives-sensibles-en-question-la-suite}, abstract = {Ce matin dans le Journal de l’Histoire, Anaïs Kien revient sur l’accès aux archives, une question sensible parmi les historiennes et historiens depuis quelques semaines maintenant...}, language = {fr}, urldate = {2022-04-28}, journal = {France Culture}, author = {France Culture}, year = {2020}, keywords = {Accès aux archives, Histoire}, } @article{gasly_oublies_2018, title = {Oubliés de l’{Histoire} ? {Quand} des lycéens font revi­vre la mémoire d’un camp d’inter­ne­ment}, url = {https://www.archivistes.org/L-archiviste-cameleon-mediateur-du-quotidien}, number = {251}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Gasly, Vanina}, year = {2018}, } @phdthesis{kane_diffusion_2018, address = {Villeneuve d'Ascq, France}, title = {La diffusion des archives coloniales : du parcours identitaire, mémoriel aux perceptions émotionelles chez les descendants de colonisés en {AOF}}, url = {http://www.theses.fr/2018LIL3H047}, abstract = {Depuis plusieurs années, les structures du patrimoine sont entrées de plein pied dans l’ère du numérique. Elles rejoignent de plus en plus les perspectives des humanités numériques orientées vers la démocratisation du savoir et le renouveau des recherches en Sciences Humaines et Sociales (SHS). Les principes de la démocratisation visant un rapprochement du patrimoine écrit au numérique semblent faire émerger de nouveaux points de réflexions tels que les conséquences de la diffusion des sources pour les besoins de la recherche. Si ces aspects ne sont pas à l’origine d’oppositions dans le domaine des bibliothèques, dans le cas des Archives,ils suscitent un tout autre rapport notamment du point de vue des droits de l’homme et des principes d’accès aux sources, notamment la diffusion. Les multiples avantages du numérique,naguère connus, vantés et recommandés par les politiques actuelles ont élagué des questions centrales à la sensibilité humaine et aux perceptions sociales. Certes, l’honorabilité des pratiques de globalisation associée au principe « d’accès universel au savoir » tel que pensé par Paul Otlet ont des enjeux mémoriels. Toutefois les polémiques liées aux discours sur la colonisation ont laissé place à des critiques sur les idéaux de la « culture pour tous » tout en suggérant une reconfiguration anthropologique de ce qui fonde l’ipséité des sources. Ce faisant,l’archive coloniale devient un réservoir de polémiques et de manifestations d’émotions, enrichie par des expériences personnelles et des situations sociales problématiques. Ces difficultés sont circonstanciées par la dimension émotive du document très peu considérée par les institutions patrimoniales, et les techniques de spectacularisations proposées par les professionnels de l'information. La caractéristique émotive attachée au document est suggérée par le fait que les émotions sont « des qualités d’une expérience complexe qui progresse et évolue, et sont liées à un drame »(Dewey, 2005). L’émotion patrimoniale, en considérant la typologie des documents de la période coloniale, dont il est ici question, répond à une « configuration émotionnelle ».Elle est caractérisée par des émotions collectives où se mêlent imaginaire et vécu. Dès lors,cette thèse tente de démontrer comment le contenu informationnel du document d’archive peut influer sur les perceptions émotionnelles des descendants de colonisé en AOF (AfriqueOccidentale Française) ? Comment se noue, à travers ce contenu, des imaginaires collectifs attachés à l’histoire coloniale ? Et comment se conjuguent principes des droits de l’homme et mise à disposition des sources (droit à l’information) la mise à disposition des sources quand celle-ci réveille réminiscences et souffrances.}, school = {Lille 3}, author = {Kane, Aminata}, year = {2018}, } @misc{lelysee_gouvernement_francais_president_2021, title = {Le {Président} a entendu les demandes de la communauté universitaire pour que soit facilité l’accès aux archives classifiées de plus de cinquante ans.}, url = {https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/03/09/le-president-a-entendu-les-demandes-de-la-communaute-universitaire-pour-que-soit-facilite-lacces-aux-archives-classifiees-de-plus-de-cinquante-ans}, abstract = {Le chef de l’Etat a ainsi pris la décision de permettre aux services d’archives de procéder dès demain aux déclassifications des documents couverts par le secret de la Défense nationale selon le procédé dit « de démarquage au carton » jusqu’aux dossiers de l’année 1970 incluse.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-27}, journal = {elysee.fr}, author = {L'Élysée, Gouvernement français}, year = {2021}, note = {Section: Communiqué de presse}, keywords = {Accès aux archives, Déclassification, France, Secret défense}, } @article{laloux_communaute_2019, title = {Une com­mu­nauté d’ego-consul­tants à la recher­che de leurs dos­siers d’enfant placé}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Cette réflexion s’ins­crit au sein d’un tra­vail de doc­to­rat en cours qui étudie les dos­siers indi­vi­duels en pro­tec­tion de l’enfance, sur l’ensem­ble de leur cycle de vie et dans plu­sieurs domai­nes de pro­duc­tion, que ce soit dans la sphère judi­ciaire, admi­nis­tra­tive ou asso­cia­tive, de la fin des années 1970 à nos jours. Dans ce cadre, nous iden­ti­fions une com­mu­nauté d’ego-consul­tants, concept qui replace la consul­ta­tion des dos­siers d’enfants dans une dimen­sion sociale. Cette notion permet d’étudier un sys­tème au sein duquel les per­son­nes, ensem­ble, cons­trui­sent ou recons­trui­sent leur iden­tité per­son­nelle à tra­vers leur expé­rience d’accès aux dos­siers. Partageant un vécu simi­laire qui a engen­dré la créa­tion d’archi­ves les concer­nant pen­dant leur jeu­nesse, les indi­vi­dus sont liés par une fra­gi­lité com­mune qui les amène à échanger au sein d’un groupe. Ce der­nier permet d’obser­ver les dif­fi­cultés et les décep­tions ren­contrées par les per­son­nes et de com­pren­dre les solu­tions mises en place pour pal­lier une pro­cé­dure de consul­ta­tion qu’elles consi­dè­rent sou­vent comme défaillante. C’est le témoi­gnage d’un régime de consul­ta­tion spé­ci­fi­que qui s’affirme et qui met en évidence des consé­quen­ces et des enjeux liés au trai­te­ment archi­vis­ti­que.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Laloux, Adélaïde}, year = {2019}, note = {Number: 255}, pages = {246}, } @misc{le_cube_archives_2021, type = {art}, title = {Archive(s) {Sensible}(s)}, url = {https://lecube-art.com/exposition/archives-sensibles/}, abstract = {Au départ de cette exposition une définition. Celle du philosophe français Jacques Derrida: l’archive est un « objet social qui façonne le présent, le passé et le futur ». Le concept d’Archive(s) Sensible(s) s’intéresse à des archives relevant de mémoires intimes, familiales, domestiques, individuelles ou collectives et qui, en ce sens, se confrontent à des vécus émotionnels comme sources du savoir. Archive(s) sensible(s) s’articule autour de cette idée et propose au visiteur avant tout une expérience et une réflexion sur le monde sensible. L’exposition se structure autour de trois axes, trois notions induites par cette archive sensible. La première questionne l’archive comme forme de mémoire et la sélection sous-jacente que cela implique : qu’est ce qui fait archive et qu’est ce qui ne fait pas archive? C’est dans son absence que la notion d’archive a, bien souvent, une portée majeure. Comment se constitue la mémoire à travers l’absence d’archive ? L’exposition s’intéressera aux écritures d’une histoire sans archive: à travers la destruction ou la privation d’archives, c’est une mémoire à part entière qui se trouve niée, remise en question. Comment s’écrit une histoire sans archive, dans la destruction (durant les périodes historiques de domination telles que la colonisation ou le fascisme) ou dans la privation d’archives ? C’est précisément la question que pose la photographe tunisienne Héla Ammar à travers la série Tawasol. Tawasol, qui signifie en arabe à la fois correspondance mais également transmission, s’articule comme une correspondance reconstruite ou imaginée et s’intéresse aux interactions et aux déformations et à ce qu’elles comprennent comme failles de la mémoire collective et individuelle. Car, pour la photographe, c’est précisément dans ces failles, à travers ces fragments sensibles, que se construit la mémoire individuelle et l’imaginaire collectif. L’archive sensible, qui relève de la mémoire, devient ainsi un véritable outil de résistance aux cadres de domination. L’archive sensible, ni physique ni document, est trace, empreinte intangible mais transmissible. Il s’agit d’indices de quelque chose qui a eu lieu. Indices sensoriels, mémoriels, individuels et collectifs liés à l’émotion, et qui constituent une forme d’archive au potentiel politique. Des oeuvres de Héla Ammar, Mustapha Azeroual, M’Barek Bouhchichi, Abdessamad El Montassir, Haythem Zakaria, Laura Scemama}, language = {fr-FR}, urldate = {2022-04-28}, journal = {Le Cube}, author = {Le Cube}, year = {2021}, keywords = {Archives sensibles, Art, Exposition, Mémoire}, } @article{mallet_les_2019, title = {Les déro­ga­tions géné­ra­les : mesu­res à étendre ou mesu­res excep­tion­nel­les ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Les déro­ga­tions géné­ra­les sont un outil de trans­pa­rence démo­cra­ti­que. Mises en avant par les poli­ti­ques, les his­to­riens et les dif­fé­rents rap­ports sur la com­mu­ni­ca­tion des archi­ves, elles sont pré­sen­tées comme un levier indis­pen­sa­ble, qu’il est néces­saire de déve­lop­per. Pourtant, elles sont très peu uti­li­sées ; seuls vingt arrê­tés ont été pro­mul­gués entre 1979 et 2018 (date de rédac­tion de l’arti­cle). Parmi ces quel­ques textes, les deux tiers envi­ron ouvrent des fonds rela­tifs à la Seconde Guerre mon­diale. Il est en effet dif­fi­cile d’iden­ti­fier de grands ensem­bles de docu­ments dont l’ouver­ture ne serait pas sus­cep­ti­ble de porter une atteinte exces­sive aux inté­rêts pro­té­gés par la loi, condi­tion indis­pen­sa­ble du Code du patri­moine à toute ouver­ture par déro­ga­tion, qu’elle soit géné­rale ou indi­vi­duelle. Au final, elles sont pro­ba­ble­ment appe­lées à rester excep­tion­nel­les, ce qui est loin d’être néga­tif. En effet, cela signi­fie que seuls quel­ques fonds sont suf­fi­sam­ment deman­dés pour faire l’objet d’une telle pro­cé­dure, et que le besoin de cette pro­cé­dure excep­tion­nelle reste limité. Cela ne signi­fie pas pour autant qu’aucune piste ne soit envi­sa­gée actuel­le­ment pour l’ouver­ture de nou­veaux fonds : ainsi, le pré­si­dent de la République a annoncé l’ouver­ture par déro­ga­tion géné­rale des archi­ves rela­ti­ves aux dis­pa­rus de la guerre d’Algérie.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Mallet, Jeanne}, year = {2019}, } @phdthesis{martinez_les_2020, address = {Angers, France}, type = {Master {Archives}}, title = {Les archives des tribunaux pour enfants, du traitement archivistique à la valorisation}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/19008271/2020HMAR12123/fichier/12123F.pdf}, abstract = {Ce mémoire s’intéresse aux archives des tribunaux pour enfants et aux usages de différents acteurs : ceux qui les produisent, ceux qui les conservent, ceux qui les consultent. Partant du constat d’une faible capacité de l’enfant en tant que minorité à se faire entendre, notre travail se penche sur la juridiction particulière du tribunal pour enfants. Au travers de ses archives, elle peut se révéler une voie d’expression et un témoignage historique sur une catégorie particulière de jeunesse, celle des justiciables souvent issus des milieux populaires. Dans un premier temps, il présente l’histoire des archives des tribunaux pour enfants par le prisme de l’histoire de ces tribunaux en élargissant la vision à certaines institutions de la justice des mineurs. Il cherche à recenser quelles études et quels usages en ont déjà été faits à ce jour. Dans un second temps, à l’éclairage de ces éléments, il explore la réalité actuelle de ces archives en analysant les pratiques des tribunaux, des archives départementales et l’exploitation qu’en font les lecteurs, parmi eux particulièrement les chercheurs. Ce travail est sous-tendu par la volonté de souligner la singularité de ces archives du fait de leur nature judiciaire et au sein même de celles des tribunaux.}, language = {fr}, school = {Université Angers}, author = {Martinez, Lucie}, collaborator = {Grailles, Bénédicte}, year = {2020}, note = {Place: Angers Publisher: Université Angers}, keywords = {Archives des mineurs, Archives départementales}, } @article{monnier_acces_2021, title = {L'accès aux archives couvertes par le secret défense dans la tourmente}, url = {https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-03371403}, number = {34}, urldate = {2022-04-12}, journal = {L'Actualité juridique. Droit administratif}, author = {Monnier, Sophie}, year = {2021}, note = {Publisher: Dalloz}, keywords = {Archives, Communication, Culture, Défense Nationale, Secret défense}, pages = {1993}, } @article{sassetti-aguilera_les_2020, title = {Les archi­ves de musées : diver­si­tés d’appro­ches et qua­lité du dia­lo­gue}, issn = {0016-5522}, url = {https://www.archivistes.org/L-archivistique-objet-de-recherche-Explorations-en-France-et-a-l-international}, abstract = {L’expé­rience du Metropolitan Museum en matière d’archi­ves, même pri­vées, est riche d’ensei­gne­ments : la dis­tinc­tion entre archi­ves et docu­men­ta­tion est remar­qua­ble­ment posée, l’accès aux docu­ments est enca­dré et sécu­risé, la com­mu­ni­ca­tion assu­rée par des archi­vis­tes pour les docu­ments iden­ti­fiés comme « sen­si­bles », et la ges­tion pure­ment admi­nis­tra­tive des dos­siers d’acqui­si­tion permet une uni­for­mi­sa­tion des pra­ti­ques. Peut-on à partir de cet exem­ple réflé­chir à l’élaboration de pro­cé­du­res spé­ci­fi­ques en matière d’archi­ves publi­ques de musées en France ? C’est ce que nous sou­hai­tons pro­po­ser dans cet arti­cle.}, number = {257}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Sassetti-Aguilera, Véronique}, year = {2020}, note = {Number: 257}, }