@book{descamps_historien_2011, address = {Marseille}, edition = {2e édition}, title = {L'historien, l'archiviste et le magnétophone de la constitution de la source orale à son exploitation}, url = {http://books.openedition.org/igpde/104}, publisher = {Cléo / OpenEdition}, author = {Descamps, Florence}, editor = {Monnier, François and Schnapper, Dominique}, year = {2011}, } @phdthesis{hamel_constitution_2013, address = {Angers, France}, type = {Master {Histoire}, {Document}}, title = {De la constitution à la mise en valeur d'un fonds d'archives orales en {France} : le cas du service historique de la {Défense}}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20114933/20132MHD1747/fichier/1747F.pdf}, abstract = {Si les archives orales en France ont été beaucoup étudiées, le cas des Services historiques des Armées, futur Service historique de la Défense, reste encore un domaine où les recherches peuvent être creusées. Outre de multiples articles de vulgarisation qui ne se concentrent que sur une partie des fonds, seul un mémoire de Jean-François Nativité a étudié la question des archives orales de la Gendarmerie nationale en 2004, dans un objectif de valorisation du fonds : les archives orales de la gendarmerie nationale : descriptif, traitement et mise en valeur (Mémoire de DESS métiers des archives, Université Jean Moulin-Lyon III). Le SHD constitue pourtant l’organisme qui détient le plus grand corpus de témoignages oraux en France en nombre de témoins et l’un des rares qui atteigne le seuil de 1°000 témoins. C’est au tournant des années 1970 que l’un des Services historiques des armées, celui de l’Armée de l’Air, s’intéresse au courant encore marginal en France qu’est celui des archives orales. Dans une optique principale de comblement de lacunes et de meilleure compréhension des archives, 671 témoignages de tous grades totalisant 3°000 heures sont enregistrés sur 16 thèmes, selon une solide méthode élaborée progressivement - à tel point qu’elle constitue rapidement un modèle pour le recueil de témoignages oraux – incluant la semi-directivité. Les autres Services Historiques des Armées rejoindront ce courant successivement en 1979 (pour la Marine), 1996 (pour l’Armée de Terre) et enfin 2000 (pour la Gendarmerie), de par leurs lacunes moins importantes ou encore leurs réticences à cette méthode. Si l’objectif primaire est le même (le comblement de lacunes et la meilleure compréhension des archives), ces services optent pour une méthode qui sont radicalement différentes de l’armée de l’Air : l’entretien non-directif. Par ailleurs, chacun d’entre eux ne s’intéresse principalement qu’aux hauts gradés. Ces fonds totalisent 146 témoignages à la Marine et 73 à l’armée de Terre ; ceux de la Gendarmerie ne peuvent quant à eux être quantifiés exactement du fait de leur inventorialisation encore partielle. La réforme de mutualisation du Service Historique de la Défense en 2005 réunit toutes ces sections d’archives orales en une seule, créée au sein de la Division de l’innovation technologique et des entrées par voie extraordinaire (DITEEX). Cependant, il a été nécessaire auparavant d’uniformiser des méthodes radicalement différentes utilisées dans des services dont les intitulés mêmes variaient. Désormais, c’est la méthode de l’Armée de Terre qui est appliquée et généralisée à toutes les armes existantes, tant du point de vue des thèmes choisis, de la semi-directivité que des témoins choisis. Par ailleurs, la mutualisation n'a pas signifié pour autant une mutualisation des fonds : ceux-ci se distinguent bien entre les 4 armées, avec des inventaires qui leurs sont propres.}, school = {Université Angers}, author = {Hamel, Pierre}, year = {2013}, note = {Sous la direction de Bénédicte Grailles}, keywords = {Armée de Terre, Armée de l'Air, Gendarmerie, Marine, Service historique de la Défense, archives orales}, } @article{meier_memoire_2016, title = {Mémoire orale et patrimonialisation de l’ancien centre de détention de la {Stasi} d’{Erfurt}}, issn = {2109-9537}, abstract = {Le « lieu de mémoire et d’enseignement Andreasstraße » à Erfurt (« Gedenk- und Bildungsstätte Andreasstraße1 ») a ouvert ses portes au public en décembre 2013, à la suite de plusieurs années de conflits portant sur le sens à donner à ce lieu, ancien centre de détention provisoire du Ministère de la Sécurité d’État de la RDA dans le district d’Erfurt. Ce lieu de mémoire vient s’ajouter aux nombreuses petites et moyennes structures constituant le paysage mémoriel décentralisé de la Thuringe et s’inscrit dans l’effort « d’Aufarbeitung » de l’histoire, c’est-à-dire le processus d’assimilation et d’analyse du passé, ce « travail d’histoire et de mémoire » qui se fonde en Allemagne sur la responsabilité vis-à-vis de l’Holocauste et des crimes perpétrés pendant la période nationale-socialiste2. Après les événements de 1989-1990 et la réunification allemande se dessine la nécessité de ne pas commettre les mêmes erreurs qu’après la Seconde Guerre mondiale et lors de la « dénazification » partielle de la société allemande3. L’État fédéral consacre deux commissions d’enquête au passé de la RDA, ouvre dès 1991 l’accès aux archives de la Stasi et met en place un dédommagement financier des victimes du régime autoritaire du SED4. À ces directives issues de l’État viennent s’ajouter les multiples initiatives au niveau local et régional, venant souvent de personnes privées et de témoins directement impliqués, soit en tant que victimes du régime communiste, soit en tant qu’acteurs de la Révolution pacifique de 1989.}, number = {42}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Meier, Elisabeth}, year = {2016}, } @article{descamps_archives_2019, title = {Archives orales et histoire des organisations}, copyright = {Tous droits réservés : EPHE}, issn = {0766-0677}, url = {http://journals.openedition.org/ashp/3169}, abstract = {Programme de l’année 2017-2018 : I. Des archives sonores à la mémoire orale : la « fabrique » d’un patrimoine culturel immatériel ? — II. Vertus heuristiques et apports épistémologiques des archives orales. — III. Histoire orale du ministère des Finances dans les années 1980 : d’une alternance à l’autre, néolibéralisme ou social-libéralisme à la française ?}, language = {fr}, number = {150}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques. Résumés des conférences et travaux}, author = {Descamps, Florence}, year = {2019}, pages = {349--352}, } @article{dezeraud_temoignage_2019, title = {Le témoignage oral dans la recherche en histoire, l’exemple des réfugiés musulmans lors de la partition de l’{Inde}}, volume = {131-132}, url = {https://www.cairn.info/revue-materiaux-pour-l-histoire-de-notre-temps-2019-1-2-page-53.htm}, abstract = {Cet article cherche à examiner les apports spécifiques du témoignage oral comme source historique à part entière, en prenant l’exemple des réfugiés musulmans (dans l’historiographie, les « mohajirs ») lors de la Partition de l’Inde. Alors qu’hindous et sikhs fuient le Pakistan où ils sont persécutés, les musulmans, subissant le même sort en Inde, font le chemin inverse. Leurs témoignages oraux, mettant l’accent sur la sensibilité des témoins, permettent de souligner davantage la « dimension humaine » (Ian Talbot) de ces évènements et d’explorer ainsi des aspects invisibles dans les sources écrites.}, language = {FR}, number = {1-2}, journal = {Matériaux pour l’histoire de notre temps}, author = {Dézéraud, Hélène}, year = {2019}, pages = {53--57}, } @article{fellous-sigrist_risques_2019, title = {Risques et enjeux de la parole. {Compte}-rendu du congrès des associations irlandaise et britannique d’histoire orale (juin 2018)}, copyright = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, issn = {1246-7529}, url = {http://journals.openedition.org/afas/3731}, doi = {10.4000/afas.3731}, abstract = {J’ai eu la chance en 2018 de pouvoir participer à trois congrès d’histoire orale : celui de l’association internationale d’histoire orale (Jyväskylä, Finlande), des associations irlandaise et britannique d’histoire orale (Belfast, Irlande du Nord), et de l’association américaine d’histoire orale (Montréal, Canada). Financée par King’s College London, l’université où je fais mon doctorat, j’ai profité de ces trois rendez-vous annuels des historiens oraux pour effectuer mon propre terrain et pr...}, language = {fr}, number = {45}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Fellous-Sigrist, Myriam}, year = {2019}, }