@phdthesis{jollivet_archives_2016, type = {Thèse, {HDR}}, title = {Archives, archivistique et logiques d'usage dans les territoires issus de la colonie de {Madagascar} de 1946 à nos jours}, url = {https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02484726/document}, abstract = {Entre 1960 et 1975, à la faveur du processus de décolonisation, deux pays indépendants et un territoire resté français succèdent à l’ancienne colonie de Madagascar. La question de l’évolution des systèmes archivistiques dans cette zone, de leur éventuelle diversification et de leur actuel degré de maturité, est posée dans ce contexte. À Madagascar, aux Comores comme à Mayotte, de louables intentions en faveur des archives peinent à se concrétiser, notamment faute de crédits et de stabilité politique. Les appareils archivistiques échouent à préserver toutes les archives et la collecte porte principalement sur le central au détriment du local. Un public existe mais il demeure majoritairement composé de personnels administratifs et de particuliers dont le besoin documentaire se borne souvent à la consultation du Journal officiel. La réussite d’autres types de recherches se heurte à l’éparpillement des fonds et au manque d’outils de recherche. L’observation des logiques d’usage confirme la surreprésentation des usages administratifs, la faiblesse de la sollicitation généalogique et l’existence de stratégies de contournements des organismes de conservation officiels. À côté d’eux ou hors d’eux, des initiatives privées de sauvegarde et valorisation des archives existent. Elles prouvent l’intérêt qu’y porte une partie de la population, y compris expatriée. Au-delà de ces traits communs, trois destins archivistiques se distinguent : un système malgache encore en construction reposant sur des Archives nationales déjà fortes ; une normalisation progressive à Mayotte sur un modèle départemental ; la faillite du modèle comorien qui bloque tout développement archivistique.}, language = {fr-FR}, school = {Angers}, author = {Jollivet, Charly}, year = {2016}, } @phdthesis{jollivet_archives_2020, title = {Archives, archivistique et logiques d’usage dans les territoires issus de la colonie de {Madagascar} de 1946 à nos jours}, url = {https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-02484726}, abstract = {Entre 1960 et 1975, à la faveur du processus de décolonisation, deux pays indépendants et un territoire resté français succèdent à l’ancienne colonie de Madagascar. La question de l’évolution des systèmes archivistiques dans cette zone, de leur éventuelle diversification et de leur actuel degré de maturité, est posée dans ce contexte. À Madagascar, aux Comores comme à Mayotte, de louables intentions en faveur des archives peinent à se concrétiser, notamment faute de crédits et de stabilité politique. Les appareils archivistiques échouent à préserver toutes les archives et la collecte porte principalement sur le central au détriment du local. Un public existe mais il demeure majoritairement composé de personnels administratifs et de particuliers dont le besoin documentaire se borne souvent à la consultation du Journal officiel. La réussite d’autres types de recherches se heurte à l’éparpillement des fonds et au manque d’outils de recherche. L’observation des logiques d’usage confirme la surreprésentation des usages administratifs, la faiblesse de la sollicitation généalogique et l’existence de stratégies de contournements des organismes de conservation officiels. À côté d’eux ou hors d’eux, des initiatives privées de sauvegarde et valorisation des archives existent. Elles prouvent l’intérêt qu’y porte une partie de la population, y compris expatriée. Au-delà de ces traits communs, trois destins archivistiques se distinguent : un système malgache encore en construction reposant sur des Archives nationales déjà fortes ; une normalisation progressive à Mayotte sur un modèle départemental ; la faillite du modèle comorien qui bloque tout développement archivistique.}, school = {Université d'Angers}, author = {Jollivet, Charly}, year = {2020}, } @article{diallo_lexperience_2016, title = {De l’expérience de collecte d’archives privées au {Burkina} {Faso}}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.4}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.4}, abstract = {La colonie de Haute-Volta a été créée tardivement en 1919. Elle fut démantelée et ses parties furent rattachées aux colonies voisines entre 1932 et 1947 ; ce fut un grand handicap pour l’organisation des Archives du pays. Les Archives nationales furent créées officiellement en 1970. Beaucoup de documents avaient disparu ; il a fallu attendre le début des années 2000 pour disposer d’un Centre d’archives. Les archives privées pourraient enrichir les fonds existants. Un séminaire a permis d’identifier les détenteurs d’archives privées. Un séjour de recherche à Bobo-Dioulasso a permis de disposer de copies d’archives, d’organiser les archives d’une famille en 2012 ; des archives importantes sont détenues par certaines familles mais il reste à les convaincre de collaborer avec les Archives Nationales du Burkina Faso.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Diallo, Hamidou}, year = {2016}, pages = {21--24}, } @article{piret_exhumer_2016, title = {Exhumer les vestiges de la colonisation. {Les} archives coloniales belges et leur histoire}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.7}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.7}, abstract = {Depuis 1997, l’ensemble des archives coloniales belges sont déposées au ministère des Affaires étrangères où elles sont ouvertes à la recherche. Depuis plus de quinze ans donc, les chercheurs (historiens, anthropologues et géographes principalement) consultent les documents produits par les organes d’administration et d’étude de la colonie (1908–1960) ainsi que des territoires sous mandats qu’étaient le Ruanda et l’Urundi (1916–1962). Pourtant, plusieurs fonds d’archives coloniales leur sont restés inconnus. Aussi, il paraît nécessaire d’exhumer ces ensembles d’une rare richesse et de les cartographier. Cette connaissance inédite des sources devrait permettre le renouvellement de certaines thématiques de recherches (comme le kimbanguisme) et l’ouverture de chantiers inédits dont l’analyse des structures de l’État colonial et la répression pénale.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Piret, Bérengère}, year = {2016}, pages = {51--62}, } @phdthesis{gelly_administration_2015, address = {Angers, France}, type = {Master {Histoire}, {Document}}, title = {L'administration des archives coloniales françaises en {Algérie} : regard sur le fonctionnement des archives départementales d'{Alger} de 1902 à 1962}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/14006310/20152MHD4331/fichier/4331F.pdf}, abstract = {Ce travail de recherche a pour objectif de présenter les archives départementales d’Alger. L’histoire que nous en faisons dans ce mémoire est celle d’une administration, vue sous l’angle de son fonctionnement et de sa gestion. Il s’agit donc de donner un caractère archivistique à cette recherche tout en la replaçant dans une étude comparée avec les services d’archives métropolitains. L’aboutissement de ce travail démontre qu’il existe une part d’originalité au sein des archives départementales d’Alger qui découle principalement du statut juridique particulier de l’Algérie. Ce service est donc singulier avec un caractère métropolitain mais aussi colonial.}, school = {Université Angers}, author = {Gelly, Xavier}, collaborator = {{Bénédicte Grailles}}, year = {2015}, note = {Sous la direction de Bénédicte Grailles}, } @article{kane_lexperience_2016, title = {L’expérience des services régionaux d’archives au {Sénégal} après trente ans d’existence}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.14}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.14}, abstract = {L’histoire des archives au Sénégal est bien connue par le rôle du pays au sein de l’A.O.F., par la qualité de ses directeurs de 1913 à 2015 et enfin par la masse de documents publiés sur ce sujet. Une simple recherche sur Internet vous présentera les Archives du Sénégal et les différents fonds qui la composent. Mais s’il ne manque pas d’écrits sur les Archives Nationales du Sénégal, on note par contre, peu d’informations sur les Services régionaux d’archives (SRA) qui pourtant, depuis 2012, sont entrés dans leur trentième année d’existence. Au vu des activités qu’ils mènent dans les régions pour l’Administration et pour la recherche, leur expérience mérite d’être mieux connue et de servir de source d’inspiration. C’est le thème du présent article. Nous verrons tout d’abord ce qui a été à l’origine de la création de ces services, leur implantation sur le territoire national et leurs missions, et ensuite nous nous intéresserons à la valeur ajoutée apportée par ces services dans la gestion documentaire de l’Administration publique sénégalaise; enfin nous évaluerons les limites pour mieux comprendre ce qui reste à faire. C’est suite à une longue et pénible gestation que les SRA ont vu le jour en 1982 avec à l’origine, deux préoccupations majeures: la déconcentration administrative et l’intervention en amont pour mieux assister les services publics dans la production et dans la gestion de leurs documents administratifs. Pour protéger la mémoire collective, il fallait dépêcher des professionnels d’archives chargés d’assister les services producteurs, les conseiller, les former aux techniques et méthodes de tri et de classement et enfin présider à leurs opérations de versements.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Kane, Mohamed Lamine}, year = {2016}, pages = {107--112}, } @incollection{grimard_gestion_2009, address = {Québec, Canada}, title = {La gestion des documents administratifs : {Concepts}, instruments, acquisitions}, abstract = {Conférence prononcée en 1994, à Tunis, qui fournit une réflexion originale sur l’approche terminologique de la gestion des documents et du records management, sur la mission d’acquisition des documents qui échoit, par la suite aux institutions d’archives, dont les institutions nationales (à travers l’exemple de la démarche des Archives nationales du Canada).}, booktitle = {L'archiviste: {Constructeur}, gardien et communicateur: mélanges en hommage à {Jacques} {Grimard}, 1947-2007}, publisher = {Presses de l'Université du Québec}, author = {Grimard, Jacques}, year = {2009}, note = {chapter-number: 17}, pages = {281--294}, } @article{smolar_lutte_2021, title = {La lutte pour l’ouverture des archives sur le {Rwanda} entre dans une phase décisive}, url = {https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/01/16/la-lutte-pour-l-ouverture-des-archives-sur-le-rwanda-entre-dans-une-phase-decisive_6066452_3212.html}, abstract = {En juin 2020, après cinq années de procédures, le Conseil d’Etat a autorisé un chercheur, François Graner, à consulter les documents déposés par François Mitterrand, aux Archives nationales. Au printemps 1994, le génocide commis contre les Tutsi au Rwanda a fait près de 800 000 morts. Pour avoir formé militairement le régime hutu et l’avoir soutenu politiquement, le rôle de la France demeure un sujet de contentieux brûlant depuis vingt-six ans. Il se noue autour d’une question : les acteurs politiques et militaires français peuvent-ils être accusés de complicité dans ce génocide ? Au fil du temps, les dispositifs de justification et de déni de ces responsables se sont craquelés, tandis que le travail historiographique avançait, inexorablement.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-28}, journal = {Le Monde.fr}, author = {Smolar, Piotr and Lepidi, Pierre}, year = {2021}, keywords = {Accès aux archives, France, Rwanda, Secret défense}, } @article{nyandwi_situation_2016, title = {La situation des archives au {Burundi}, des origines à nos jours}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.5}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.5}, abstract = {Les archives coloniales du Burundi qui n’ont pas été emportées en Belgique ont été relativement bien conservées malgré des destructions certaines depuis l’indépendance du pays (1962). Il n’y a pas eu de politique archivistique avant 1978 et la création des Archives Nationales, pourtant préconisée dès 1973 par un groupe d’intellectuels. Faute de promulgation d’un décret ad hoc, les Archives Nationales, qui auraient dû être une des Direction du Ministère en charge de la Culture depuis 2010, sont toujours un Service. Ce Service est chargé de différentes missions visant principalement la gestion des documents publics. Malgré un personnel insuffisant et non formé, un manque criant de bâtiments et d’équipements, un budget trop restreint (environ 8000 \$ par an), un manque général de sensibilisation des décideurs et des administrateurs, et une informatique pratiquement inexistante, l’auteur veut rester optimiste. Signalons que les archives orales sont relativement bien étudiées.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Nyandwi, Nicodème}, year = {2016}, pages = {25--38}, } @article{soufi_les_2014, title = {Les archives algériennes en 1962 : héritage et spoliation}, url = {http://insaniyat.crasc.dz/pdfs/n_65-66_soufi-fr.pdf}, number = {65-66}, journal = {Insaniyat}, author = {Soufi, Fouad}, year = {2014}, pages = {211--237}, } @article{owabira_les_2016, title = {Les {Archives} de l’{Afrique} Équatoriale {Française}}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.8}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.8}, abstract = {Contrairement à celui du bloc occidental français, le patrimoine archivistique de l’Afrique équatoriale française a connu la «césure» avec le rapatriement des archives dites de souveraineté vers la métropole. A cela s’ajoute le retard chronologique accusé par l’A.E.F. par rapport à l’A.O.F. dans la mise en œuvre des structures institutionnelles, qui a eu pour conséquence également la mise en œuvre tardive des services d’archives. C’est à la fin de la deuxième guerre mondiale en 1945 que les archives du gouvernement général de l’A.E.F. commencent à s’organiser. Une décennie après l’accession du Congo à la souveraineté en 1960, fut créée en 1971 la Direction Générale des services de bibliothèques et d’archives (DGBSA), qui après moult restructurations a été érigée en Centre national d’archives et de documentation avec pour mission de collecter, conserver et communiquer les documents d’archives d’intérêt historique et patrimonial au public. La Direction Générale des services de bibliothèques et d’archives ne deviendra opérationnelle qu’en 1974 après la récupération des fonds de l’A.E.F. restés sous la tutelle de l’Institut des Etudes Centrafricaines. Mais quatre décennies après sa création, le centre national des archives et de documentation demeure confronté à de nombreux problèmes qui rendent difficile l’accomplissement de ses missions traditionnelles. Parmi ces problèmes, il y a le manque de formation des agents, la carence du matériel de travail, des locaux inadéquats, le déficit du cadre légal et réglementaire.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Owabira, Brice Isinove}, year = {2016}, pages = {63--72}, } @article{nzoghe_les_2016, title = {Les archives publiques au {Gabon} de la fin de la période coloniale à nos jours}, volume = {2015}, url = {http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/abs/10.3828/comma.2015.1.10}, doi = {doi:10.3828/comma.2015.1.10}, abstract = {Le travail administratif basé sur l’écrit commence au Gabon avec la mise en place de l’administration coloniale française. C’est le début de la production d’archives. La période coloniale au Gabon s’achève en 1959 mais il n’y a alors aucune structure pour la conservation des documents administratifs. Une Direction des Archives est créée en 1969 sur proposition de Gaston Rapontchombo. Cette nouvelle entité administrative évoluera pour devenir une Direction générale englobant les Archives Nationales, la Bibliothèque Nationale et la Documentation Gabonaise (DGABD). Depuis lors, grâce à la publication de plusieurs textes officiels, un vaste programme de collecte, de récupération et de traitement des sources archivistiques a été mis en place, en même temps qu’une politique de recrutement, de formation des cadres et d’organisation dans les administrations à l’échelon central et provincial. Un décret de 2011 prévoit des directions dans chaque chef-lieu de province mais aucun n’a vu le jour jusqu’ici. Depuis 2013, la DGABD contrôle des relais, dotés d’un manuel de procédures, dans chaque département ministériel ; un programme de numérisation est en cours. Les progrès sont perceptibles, la pratique archivistique s’imposant de plus en plus dans le système administratif. Manquent encore un bâtiment avec une plus grande capacité d’accueil, un accroissement du personnel et la mise en place d’un véritable réseau archivistique national.}, number = {1}, journal = {Comma}, author = {Nzoghe, Jérôme Angoune}, year = {2016}, pages = {81--88}, } @incollection{van_eeckenrode_ouvrir_2020, series = {Guides}, title = {Ouvrir les archives coloniales à la recherche (pour mieux décoloniser)}, url = {https://dial.uclouvain.be/pr/boreal/object/boreal:236630}, language = {fr}, urldate = {2021-04-16}, booktitle = {Vers un patrimoine mieux partagé ! {Guide} des sources de l'histoire coloniale belge ({Congo}, {Rwanda}, {Urundi}), 19ème-20ème siècle}, publisher = {Archives de l'État (Bruxelles)}, author = {Van Eeckenrode, Marie}, year = {2020}, note = {UCL - SSH/IACS - Institute of Analysis of Change in Contemporary and Historical Societies USL-B - Centre de recherches en histoire du droit et des institutions (CRHIDI)}, } @phdthesis{wschebor_ouvrir_2022, type = {These de doctorat}, title = {Ouvrir les boîtes : présence, absence et parcours du cinéma politique et militant produit en {Uruguay} entre 1965 et 1975}, copyright = {Licence Etalab}, shorttitle = {Ouvrir les boîtes}, url = {https://www.theses.fr/2022UPSLN001}, abstract = {La présente thèse a pour objectif de connaître l'histoire des archives du cinéma à caractère social, politique et militant produites entre 1965 et 1975 en Uruguay. Ces pratiques cinématographiques se sont développées pendant une période de crise économique, politique et sociale en Uruguay. En 1973 un coup d’État finit par instaurer une dictature militaire qui se maintiendra jusqu’en 1985. Le travail qui suit examine la trajectoire des fonds d’archives cinématographiques qui ont été produits dans le cadre des pratiques de productions du cinéma politique et militant, compte tenu de leur particulière dispersion et de leur inaccessibilité à l'heure actuelle.L’étude de ces archives cinématographiques constitue un domaine prolifique et en cours de développement en Uruguay. Pour cette raison, il a fallu analyser dans un premier temps l'histoire des cinémathèques d'un point de vue général ainsi que leurs conceptions de ce qui devait être conservé ou pas dans le but de comprendre quelles productions du cinéma politique ou « militant » avaient été conservées à l’époque et comment. Nous analysons ainsi les conflits entre les conceptions traditionnelles de ce qui devait être conservé et l’émergence de nouveaux courants cinématographiques en Uruguay dans les années 1960. Ensuite, nous étudierons de manière précise les organisations ou archives privées où ont été conservées les films qui étaient « hors des archives ».Cette production du « cinéma militant » s'est inscrite dans un spectre plus large de trajectoires personnelles et collectives et l'analyse à plus long terme permet de mettre ces productions spécifiques en contexte. D’autre part, on verra que le cinéma « militant » s’inscrit dans un domaine plus large du cinéma politique et social et nous verrons tout au long du présent travail comment il est confronté aux institutions de l’époque. On cherche ainsi à comprendre ce que furent les conditions de production de ces films, les controverses qui les entourèrent et leurs possibilités ou difficultés de permanence dans le temps, afin d'ouvrir de nouvelles questions sur la persistance ou la configuration de certaines mémoires de la cinématographie nationale des années 1960 et 1970.Les premières parties de la thèse cherchent à présenter le contexte historique et de développement de la cinéphilie en Uruguay et la mise en place des premières cinémathèques dans le domaine public et privé: Cine Arte del SODRE et Cinemateca Uruguaya. Par la suite, on analyse l’histoire des archives du cinéma politique et militant dans différents domaines, en approfondissant dans les cas de Mario Handler, de Ferruccio Musitelli ou encore de la Cinemateca del Tercer Mundo.}, urldate = {2022-04-15}, school = {Université Paris sciences et lettres}, author = {Wschebor, Isabel}, collaborator = {Gauthier, Christophe and Markarian, Vania}, year = {2022}, keywords = {20e siècle, Archives audiovisuelles, Cinéma, Patrimoine, Uruguay}, } @misc{sitbon_philippe_2021, title = {Philippe {Grand}, l'un des archivistes clés du 17 octobre 1961}, shorttitle = {actualités}, url = {https://www.france24.com/fr/france/20211016-philippe-grand-l-un-des-archivistes-cl%C3%A9s-du-17-octobre-1961}, abstract = {Philippe Grand, ancien conservateur en chef des archives de Paris, est le premier à révéler les documents prouvant la mort de dizaines de Français musulmans d’Algérie lors d’une manifestation, le 17 octobre 1961, à Paris. Maurice Papon, alors préfet de Paris, dément le massacre jusqu’au jour où, trente-six ans plus tard, l’archiviste et sa collègue Brigitte Lainé mettent au jour les documents du palais de justice détaillant les noms des victimes et les circonstances de leur mort.}, language = {fr}, urldate = {2022-04-18}, journal = {France 24}, author = {Sitbon, Shirli}, year = {2021}, note = {Section: france}, keywords = {20e siècle, Algérie, Archives, France, Histoire, Justice}, }