@phdthesis{antoine_merit_web_2015, address = {Angers, France}, type = {Master {Histoire}, {Document}}, title = {Le web 2.0 au service de la culture : l'originalité des interactions collaboratives en ligne dans les services d'archives en {France}}, url = {http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20111050/20152MHD4339/fichier/4339F.pdf}, abstract = {Le web 2.0 est un concept difficile à définir, qui est apparu en 2004. Il renvoie à l'apparition de sites internet et d'applications interactives, basés sur l'échange de données et la collaboration entre les internautes. Il s'agit avant tout d'un web social qui place l'individu au centre des activités. Ces expériences sont apparues dans de nombreux domaines d'activités, allant de la connaissance avec les encyclopédies collaboratives, aux médias avec le journalisme participatif. Ce mémoire a pour vocation de montrer toute l'originalité des interactions collaboratives produites au sein des services d'archives en France et d'en montrer les caractéristiques propres au domaine archivistique. Il convient de s'interroger sur les méthodes mises en places et sur les résultats obtenus, afin de les comparer avec ce qu'ont proposé d'autres établissements, notamment les bibliothèques et les musées qui, comme les archives, sont des institutions conservatrices du patrimoine. Enfin, la question se pose également de savoir quelle influence ces activités collaboratives en ligne ont-elles sur la pratique du métiers d'archiviste.}, school = {Université Angers}, author = {{Antoine Mérit}}, collaborator = {{Patrice Marcilloux}}, year = {2015}, note = {Sous la direction de Patrice Marcilloux}, keywords = {applications interactives, collaboration, encyclopédies collaborative, internautes, sites internet, web 2.0, web social, échange}, } @techreport{bibliotheque_et_archives_canada_bac_rapport_2016, address = {Canada, Ottawa}, title = {Rapport final : {Sommet} sur la valeur des bibliothèques, des archives et des musées dans un monde en mouvement}, shorttitle = {Rapport final}, abstract = {À nous la rue, Sommet sur la valeur des bibliothèques, des archives et des musées dans un monde en mouvement, a rassemblé des praticiens et des experts dans le but d'évaluer la valeur sociale et économique des bibliothèques, des archives et des musées (BAM), de partager des résultats de recherche et de discuter de collaborations, d'innovations et de partenariats futurs. Le profil des participants était très varié, l'événement réunissant notamment un député, des sous-ministres, des présidents-directeurs généraux, des présidents, des directeurs généraux, des bibliothécaires, des conservateurs, des archivistes, des économistes, des artistes, des acteurs et de nombreux autres – ce qui a contribué à enrichir les discussions sur ce sujet vital. Le Sommet d'une durée d'un jour et demi, tenu les 5 et 6 décembre 2016, a accueilli près de 300 participants. L'événement a également été diffusé en direct sur le Web et il a été visionné par 330 personnes. Les conférenciers, les panélistes et les modérateurs représentaient six organismes fédéraux, onze organisations publiques, privées ou indépendantes et quatre organisations internationales (de Grande-Bretagne, de Nouvelle-Zélande, de Suisse et des États-Unis). Le Sommet était composé de trois ateliers principaux pendant lesquels des conférenciers ont discuté de divers aspects relatifs à la valeur des BAM, de partenariats non traditionnels, d'innovations, de défis et de projets futurs. La liste complète des conférenciers, des panélistes et des modérateurs est reproduite à l'annexe A.}, language = {Français}, urldate = {2018-01-06}, institution = {Bibliothèque et Archives Canada}, author = {{Bibliothèque et Archives Canada (BAC)}}, year = {2016}, } @phdthesis{bousquet_les_2019, type = {Mémoire du {Master} {Archives} numériques}, title = {Les archives de fanfictions sur {Internet}}, url = {https://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/notices/69391-les-archives-de-fanfictions-sur-internet}, abstract = {Internet a rendu visible et a développé la culture de millions de fans. En ligne, on trouve une quantité énorme de travaux dérivés créés par ces passionnés. Le but de ce mémoire est de présenter les particularités des archives de fanfictions. Puisque ce sont des objets produits dans un contexte qui leur est propre, ils nécessitent que les plateformes prennent en compte leurs spécificités. Les archives de fanfictions sont des espaces importants pour les communautés de fans et forment ainsi de véritables lieux de vie.}, language = {fr-FR}, urldate = {2020-03-29}, school = {École nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques (ENSSIB)}, author = {Bousquet, Anouk}, year = {2019}, } @techreport{demers_rapport_2014, address = {Ontario, Ottawa}, title = {Rapport du groupe d’experts sur {L}’avenir au présent : {Les} bibliothèques, les centres d’archives et la mémoire publique au canada}, abstract = {Au printemps 2013, la Société Royale du Canada a réuni ce groupe d’experts sur l’état et l’avenir des bibliothèques et des centres d’archives au Canada. Nous avons dû tenir compte, lors de la réalisation de ce projet, du devoir commun de ces institutions : comme le souligne la SRC dans son mandat, « elles recueillent, conservent et diffusent le savoir et donnent accès à l’information et aux ressources intellectuelles, favorisant ainsi l’engagement civique. » En reconnaissant qu’elles « relèvent activement les défis des technologies numériques en pleine expansion, des pratiques culturelles en évolution et des attentes de la société », le groupe d’experts devra : - « Enquêter sur les services fournis aux Canadiens, y compris les Canadiens autochtones et les nouveaux Canadiens, par les bibliothèques et les centres d’archives. - Comprendre ce que la société canadienne attend des bibliothèques et des centres d’archives au 21e siècle. - Identifier les changements nécessaires sur le plan des ressources, des structures et des compétences pour que les bibliothèques et les centres d’archives rendent aux Canadiens les services dont ils ont besoin au 21e siècle. - Écouter et interroger les différentes voix qui contribuent à la construction de la communauté et de la mémoire. - Démontrer à quel point le monde du savoir est et continuera d’être révolutionné par les technologies numériques. - Conceptualiser l’intégration de l’espace physique et du numérique dans les bibliothèques et les centres d’archives. » L’objet de notre mission est donc vaste et présente deux aspects paradoxaux : alors que les chercheurs soulèvent qu’une crise se profile dans le milieu des institutions de mémoire, due à la dissipation et à la sous-estimation des ressources culturelles nationales, nous en sommes à repenser les bibliothèques et les centres d’archives afin d’en placer l’importance et l’implication au centre des possibilités, des communautés et des expériences humaines. L’importance de transmettre et de résoudre cette difficulté – qui inspire à la fois inquiétude et motivation – représente l’esprit de ce rapport. http://rsc-src.ca/sites/default/files/pdf/L\%26A\_Report\_FR\_FINAL\_Web.pdf}, urldate = {2018-01-03}, institution = {La Société royale du Canada}, author = {Demers, Patricia (présidente) and Beaudry, Guylaine and Bjornson, Pamela and Carroll, Michael and Couture, Carol and Gray, Charlotte and Hare, Judith and Ingles, Ernie and Ketelaar, Eric and McMaster, Gerald and Roberts, Ken}, year = {2014}, pages = {264}, } @phdthesis{desrochers_theorie_2016, address = {Montréal, Canada}, title = {La théorie sociale de la connaissance et la gestion du patrimoine documentaire à l’ère numérique}, url = {http://hdl.handle.net/1866/14050}, abstract = {Les institutions de mémoire et de savoir (par exemple, les bibliothèques, les archives, les musées) font face à des défis importants dans leurs responsabilités d’assurer la pérennité du patrimoine documentaire à l’ère numérique. Citons la surabondance de l’information numérique, la possibilité de production, théoriquement illimitée, offerte aux individus comme aux groupes sociaux, les limites dans les capacités de stockage et de diffusion de l’information numérique qui sont à la disposition des institutions mandataires du patrimoine documentaire. De plus, il est apparu que les approches et les méthodes utilisées pour identifier, gérer, préserver et diffuser le patrimoine documentaire de la société canadienne dans un environnement analogique n’étaient transférables à un environnement numérique. Nous suggérons que la théorie sociale de la connaissance peut servir de base à une réflexion portant sur le développement d’une politique publique qui viserait à encadrer l’identification, la sélection, la gestion et la préservation du patrimoine documentaire d’une société à l'ère numérique. Nous définissons la problématique puis proposons des réponses à travers trois articles scientifiques. Les résultats indiquent que les connaissances et les pratiques professionnelles utilisées demeurent persistantes et limitent la formulation et l'application de nouveaux cadres théoriques, de politiques administratives et de techniques associés à l'identification et la sélection du patrimoine documentaire. Cette recherche propose un cadre conceptuel qui permet de développer des politiques publiques sur le patrimoine documentaire du Canada.}, school = {Université de Montréal}, author = {Desrochers, Pierre}, year = {2016}, } @book{passini_oeil_2017, address = {Paris, France}, series = {{SH}/Écritures de l'{Histoire}}, title = {L'oeil et l'archive : {Une} histoire de l'histoire de l'art}, isbn = {978-2-7071-7682-0}, abstract = {Heinrich Wölfflin, Alois Riegl, Aby Warburg, Henri Focillon, Erwin Panofsky, Roberto Longhi, Linda Nochlin, Michael Baxandall et bien d’autres… Autant de noms qui, de la fin du XIXeà la fin du XXe siècle, ont participé à la construction de l’histoire de l’art. Les notions, méthodes, savoirs et savoir-faire qu’ils ont élaborés ont fabriqué le rapport réflexif que nous continuons aujourd’hui d’entretenir avec le plus omniprésent des matériaux symboliques de nos sociétés : l’image. Cet ouvrage, à la fois érudit et très accessible, offre un panorama de tout premier plan pour quiconque voudrait se familiariser avec les grandes figures et les grands concepts de la théorie visuelle, en même temps qu’une synthèse pionnière montrant comment l’histoire de l’art s’est constituée en discipline, avec ses institutions propres, ses plateformes d’échange (revues, congrès, expositions, etc.) et ses dispositifs de contrôle de la production scientifique. Il montre aussi comment, tout au long du XXe siècle, cette histoire fut celle de l’affrontement entre deux conceptions rivales quant à leurs objectifs et leurs enjeux. Selon la première, l’œuvre d’art, pour être comprise, se suffi t à elle-même et suffi t à son interprète, dont la fonction consiste en une analyse avant tout visuelle ; pour la seconde, elle est un objet culturel complexe, dont il s’agit de reconstituer les dimensions sociales, politiques et intellectuelles. Avec ce livre aussi documenté qu’ambitieux, Michela Passini propose, pour la première fois en français, une histoire transnationale de l’histoire de l’art. Une somme indispensable pour comprendre les origines de notre rapport présent aux œuvres d’art.}, language = {Français}, urldate = {2018-01-06}, publisher = {Édition La découverte}, author = {Passini, Michela}, year = {2017}, } @techreport{patrimoine_canadien_enquete_2014, title = {Enquête du gouvernement du {Canada} sur les établissements du patrimoine : 2011}, author = {{Patrimoine canadien}}, year = {2014}, }