@article{noauthor_numerique_2014, title = {Numérique vs papier : {L}'archivage hybride bien ordonné}, issn = {0769-0975}, abstract = {Devoir gérer des archives à la fois en formats papier et numérique est bien la situation la plus courante dans les organisations privées ou publiques. Selon les volumes et la complexité, l’opération peut reposer sur des processus et un système internes ou doit faire appel à des ressources extérieures. Sécurité, hébergement et réversibilité sont les points clés à considérer en priorité. Avoir une vision globale de ses archives est facteur d'efficacité et de confort pour l'entreprise.}, language = {French}, number = {272}, journal = {Archimag}, year = {2014}, pages = {16--22}, } @phdthesis{al_zoabi_papier_2015, address = {Paris}, title = {Le papier en {Syrie} ottomane à partir du fonds des archives de {Damas} : une étude historique, analyse, restauration et conservation}, abstract = {Cette thèse présente une étude historique : l’apparition du papier au Moyen Orient. L’identification des centres de fabrication papetières de cette région, les différentes méthodologies constatées, puisées dans des sources arabes anciennes. Une étude analytique : analyses des sujets présents dans les firmans d’Alep qui contiennent plusieurs sujets traitant de la vie politique, économique, religieuse, militaire et sociale de cette ville. Ces sujets nous donnent une idée plus claire et réelle de ce qui s’est passé dans cette région et d’une manière plus large dans l’empire ottoman. Une étude technique des papiers filigranés des collections ottomanes conservées au centre des archives de Damas : de manière à peu près constante, les papetiers d’Occident se sont appliqués à signer leur production en utilisant une marque inscrite en filigrane dans la feuille à sa fabrication. Cette marque qui s’exprime par le dessin d’une figure ou des lettres, constitue en quelque sorte l’enseigne du papetier. Des solutions de conservation préventive par la surveillance climatique et la sensibilisation des différents acteurs : chercheurs, responsables et lecteurs sur les bonnes pratiques de consultation. Des solutions de conservation curatives sont proposées par l’utilisation de méthodes de restaurations reconnues au niveau international et par la création d’un type de reliure de conservation économiquement et techniquement transposable en Syrie pays où cet artisanat est absent.}, school = {Paris, EPHE}, author = {Al Zoabi, Mouhammad Kheir}, year = {2015}, } @book{archimag_dematerialisation_2016, address = {Paris, France}, title = {Dématérialisation et pérennité de l'information}, volume = {Guide pratique no55}, url = {http://www.archimag.com/le-kiosque/guides-pratiques/pdf/gp55/dematerialisation-perennite-information}, abstract = {À la question de l’entreprise digitale, la dématérialisation apporte bon nombre de réponses. Côté technologies, cela se traduit par la remarquable tenue du marché français du management de l’information, secteurs de la dématérialisation-gestion de contenu et de l’archivage en tête. Sur le terrain juridique, les obstacles à la dématérialisation sont levés un à un, l’entreprise est donc libre de conduire sa dématérialisation - elle y a tout intérêt. Ce guide de 96 pages propose de nombreux retours d’expérience pour réussir sa transition digitale : dématérialisation du courrier, des factures, de la signature, du bulletin de salaire, du dossier santé, etc. Au sommaire de ce guide de 92 pages : 1. Les fondamentaux de la dématérialisation Le marché de la dématérialisation en France Droit : papier ou numérique, je supprime, j’archive ou je jette ? La dématérialisation en quelques mots Repères : organisations qui comptent...et salons de référence 2. Stratégie Gouvernance Normes et standards de la démat Tendances à suivre 3. Mise en oeuvre Réussir sa réinformatisation Sécuriser sa démat 4. Les types de dématérialisation Workflow, BPM Dématérialisation courrier Dématérialisation facture fournisseur Dématérialisation bons de commande, bons de livraison Dématérialisation des contrats Dématérialisation du bulletin de paie et RH Dématérialisation de la signature Dématérialisation de la santé 5. Solutions et services Panorama des prestataires Tableaux de présentation des logiciels : plus de 100 critères Outils : 130 scanners passés à la loupe 6. Archivage et cloud Archivage électronique versus cloud Cloud : le marché Coffre-fort électronique Panorama des prestataires Retours d’expérience}, publisher = {Serda}, author = {Archimag}, year = {2016}, } @misc{arseneau_comment_2016, title = {Comment « faire le ménage » dans vos documents papier}, abstract = {C’est le temps de mettre de l’ordre dans vos affaires, et vous aimeriez en profiter – si le courage est au rendez-vous – pour faire disparaître ne serait-ce qu’une partie de la montagne de document de toutes sortes que vous avez laissés s’entasser depuis bien trop longtemps? Bravo, bonne idée!}, language = {Français}, urldate = {2018-01-05}, publisher = {Trouve qui peut! – S'organiser dans un monde d'information}, author = {Arseneau, Félix}, year = {2016}, } @techreport{association_francaise_de_normalisation_afnor_information_2012, address = {La Plaine Saint-Denis}, title = {Information et documentation {Prescriptions} pour le stockage des documents d'archives et de bibliothèques}, url = {http://www.sudoc.fr/163690324}, abstract = {La présente Norme internationale spécifie les caractéristiques des magasins de stockage à long terme des documents d'archives et de bibliothèques. Elle concerne l'implantation et la construction du bâtiment, ainsi que les installations et les équipements à utiliser. Elle est applicable à tous les documents d'archives et de bibliothèques rangés dans les magasins, susceptibles d'accueillir des documents sur supports variés. Elle n'exclut pas la possibilité de créer des aires séparées ou compartimentées dans des magasins individualisés, où l'environnement peut être contrôlé pour créer des conditions adaptées aux besoins liés aux documents d'archives spécifiques. Elle ne concerne pas les prescriptions particulières relatives au stockage à long terme des documents qui ne sont pas, ou pas complètement, sur support papier, tels que parchemin ou vélin, documents photographiques ou documents électroniques. Elle ne concerne pas non plus les procédures de gestion des fonds. Sur un certain nombre de points, des réglementations en matière de bâtiment, nationales ou régionales, peuvent couvrir de façon détaillée des sujets tels que la construction, la sûreté et la sécurité des bâtiments publics et des bâtiments abritant des objets de valeur (précautions contre l'incendie, issues de secours, sécurité face aux risques sismiques, vol, cambriolage, actes terroristes, etc.), ainsi que les services et équipements à usage professionnel. Pour cette raison, la présente Norme internationale évite de donner des directives et des règlements détaillés sur ces aspects, excepté pour recommander ce qui peut être complémentaire à ces exigences.}, institution = {AFNOR}, author = {{Association française de normalisation (AFNOR)}}, year = {2012}, pages = {15}, } @phdthesis{augereau_reconnaissance_2013, address = {Bordeaux, France}, title = {Reconnaissance et classification d’images de documents}, abstract = {Ces travaux de recherche ont pour ambition de contribuer à la problématique de la classification d’images de documents. Plus précisément, ces travaux tendent à répondre aux problèmes rencontrés par des sociétés de numérisation dont l’objectif est de mettre à disposition de leurs clients une version numérique des documents papiers accompagnés d’informations qui leurs sont relatives. Face à la diversité des documents à numériser, l’extraction d’informations peut s’avérer parfois complexe. C’est pourquoi la classification et l’indexation des documents sont très souvent réalisées manuellement. Ces travaux de recherche ont permis de fournir différentes solutions en fonction des connaissances relatives aux images que possède l’utilisateur ayant en charge l’annotation des documents.Le premier apport de cette thèse est la mise en place d’une méthode permettant, de manière interactive, à un utilisateur de classer des images de documents dont la nature est inconnue. Le second apport de ces travaux est la proposition d’une technique de recherche d’images de documents par l’exemple basée sur l’extraction et la mise en correspondance de points d’intérêts. Le dernier apport de cette thèse est l’élaboration d’une méthode de classification d’images de documents utilisant les techniques de sacs de mots visuels.}, school = {Bordeaux 1}, author = {Augereau, Olivier}, year = {2013}, } @book{auguie_gestion_2017, address = {Voiron, France}, title = {La gestion des archives - {Maîtriser} les documents et les données}, isbn = {978-2-8186-1159-3}, abstract = {La gestion des documents et des données d'une collectivité est un enjeu pour la maîtrise de l'information. Cet ouvrage donne aux archivistes, informaticiens, gestionnaires des informations, gestionnaires qualité, chargés de projet, records managers... un aperçu des grandes missions à mener pour gérer les documents et données de sa collectivité. Il propose de découvrir le monde des archivistes - réglementation, organisation, réseau, pratiques - afin de cerner les spécificités du métier, de positionner la gestion des informations « papier » et numériques de sa collectivité dans une démarche projet et de disposer de pistes de réflexion et d'outils pour créer, collecter, conserver, transmettre, communiquer et valoriser ces informations. Quelle que soit son organisation, l'ouvrage fourmille d'éléments pour démarrer ou optimiser sa stratégie de gestion de cycle de vie des informations. Exhaustif et synthétique, il permet, en fonction de ses besoins, de cerner et/ou d'approfondir certains thèmes. Cette édition intègre les évolutions législatives qu'a connues la gestion des documents et des données d'une collectivité au cours de l'année 2016, notamment sur la réutilisation des données publiques et sur la liberté de création, l'architecture et le patrimoine.}, publisher = {Territorial éditions}, author = {Auguié, Katell and Vialle, Coline}, year = {2017}, } @article{banat-berger_gestion_2015, title = {La gestion des archives dans le secteur médical à l’ère numérique}, volume = {2015}, issn = {1246-7391}, url = {http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1246739115000196}, doi = {http://dx.doi.org/10.1016/j.meddro.2015.02.001}, abstract = {En droit français, le terme d’« archives » recouvre une réalité très large qui ne se limite ni aux documents anciens, ni aux dossiers papier : les données informatiques contenues dans les systèmes d’information d’un service ou échangées par télé-procédures, les fichiers bureautiques, les courriels, en somme, tout le patrimoine informationnel, dématérialisé ou non, des organisations, constituent, dès leur création, des archives. Comme, depuis la loi no 2000-230 du 13 mars 2000, l’écrit électronique a la même force de preuve qu’un écrit papier, chaque organisation a un besoin accru de garantir l’intégrité de ses données numériques qui pourront être produites devant un tribunal en cas de contentieux. La garantie de la fiabilité, de l’exactitude et de l’authenticité des données devient, dans ce cadre, cruciale pour toute organisation. En outre, la lisibilité de l’information numérique, condition sine qua non de futures recherches, dépend étroitement de solutions techniques sans cesse menacées par l’obsolescence. Du fait de l’informatisation accrue des établissements de santé, le secteur médical est particulièrement concerné par la question de la gouvernance de l’information. Les risques inhérents à la médecine humaine nécessitent une traçabilité des actes réalisés afin de garantir la fiabilité de l’ensemble des processus. À ces exigences, s’ajoutent celles dues au caractère public d’une large partie des missions du domaine de la santé. De ce fait, ce secteur se trouve soumis à plusieurs législations, aux périmètres différents, qui encadrent la gestion de l’information et qui sont décrites dans cet article. Il commence par rappeler les principes législatifs régissant la gestion des archives dans le secteur public, puis aborde la question particulière de l’encadrement de la gestion de l’information dans le secteur médical et enfin consacre une partie spécifique au cadre de la dématérialisation. Une annexe dresse un état des textes définissant à la date de l’article le cycle de vie des informations médicales dans le secteur public.}, number = {131}, journal = {Médecine \& Droit}, author = {Banat-Berger, Françoise and Meissonnier, Antoine}, year = {2015}, pages = {36--49}, } @misc{barreau_lecrit_2011, title = {L’écrit comme meilleure preuve: toujours une vérité à l’ère numérique?}, url = {http://hdl.handle.net/1866/5079}, abstract = {Le présent travail porte sur ce qui détermine et garantit la valeur primaire des documents dans l’environnement numérique, notamment dans le contexte des organisations. L’écrit est-il demeuré la meilleure preuve à l’ère numérique? En quoi les conditions électroniques d’écriture, de relations entre supports et informations ont-elles changé la situation? Du « tout papier » qui fut la norme jusqu’aux années 80, les entreprises ont basculé dans une « économie mixte » où le papier et le numérique cohabitent, voire, où le numérique a entièrement supplanté le papier. Toutefois, le caractère exact de ce changement au niveau des aspects de preuve, d’authenticité, voire légaux des documents numériques semble demeurer dans le vague. En s'appuyant sur une revue de la littérature, ce travail tente de clarifier les concepts nécessaires à la garantie de la valeur primaire des documents numériques, et de les mettre en lien avec l’environnement papier, de manière à comparer les deux. Ce travail suggère que si les principes de base de l’évaluation en matière de valeur primaire s’appliquent toujours, les conceptions juridiques ont en revanche évolué pour reconnaître dans le numérique non pas un « remplaçant » de l’écrit papier, mais un équivalent fonctionnel.}, publisher = {Papyrus, Université de Montréal}, author = {Barreau, Ivan}, year = {2011}, } @article{beaudouin_pourquoi_2017, title = {Pourquoi les phonautogrammes à l’{UNESCO}?}, issn = {2109-9537}, abstract = {Les premiers enregistrements sonores au monde de la voix ont été réalisés, en France par Édouard-Léon Scott de Martinville entre 1853 et 1860, et sont conservés dans les archives de quatre institutions françaises : la Société d’encouragement pour l’industrie nationale (SEIN), l’Institut de France, l’Académie des sciences et l’Institut national de la propriété industrielle (INPI). Scott de Martinville avait l’idée de « photographier la parole » et pour ce faire il a imaginé le « phonautographe », appareil inscrivant les oscillations sonores sur une plaque de verre ou un cylindre de papier enduits de noir de fumée, ces enregistrements étant désignés comme des phonautogrammes. La restitution sonore de ces enregistrements a été réalisée à partir de 2008 grâce aux travaux effectués par les historiens des quatre institutions françaises et deux historiens américains, Patrick Feaster et David Giovannoni, de l’Association for Recorded Sound Collections, First Sounds Initiative. L’UNESCO a inscrit cette invention en septembre 2015 au Registre international de la mémoire du monde. Pour saluer la décision de l’UNESCO, la commission d’histoire de la SEIN, a organisé sous le patronage de l’UNESCO, de l’Institut de France, de l’Académie des sciences et de l’INPI, une cérémonie au cours de laquelle le certificat d’inscription au Registre international de la mémoire du monde a été remis aux représentants de l’Association for Recorded Sound Collections, First Sounds Inititative, ainsi qu’aux institutions françaises qui conservent ces archives exceptionnelles. Cette cérémonie s’est déroulée le lundi 19 septembre 2016 dans la grande salle Lumière de l’hôtel de l’Industrie, 4 place Saint-Germain-des-Prés, à Paris 6e, siège de la SEIN.}, number = {43}, journal = {Bulletin de l'AFAS. Sonorités}, author = {Beaudouin, Denis and Emptoz, Gérard}, year = {2017}, } @article{beaupre_memoire_2010, title = {La mémoire corporative de la {Ville} de {Laval} : d’hier à demain !}, volume = {42}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/revuearchives/vol42_1/42_1_beaupre.pdf}, abstract = {Dans cet article l’auteure introduit son sujet par un rapide historique suivi d’une présentation des plus récentes réalisations de la Division gestion documentaire de la Ville de Laval relativement à la gestion des documents et des archives dont elle a la garde. Soutenue par une politique culturelle adoptée par la Ville en 2006 et consciente des besoins grandissant en terme de gestion des documents, la Division a notamment élaboré une Politique de gestion intégrée des documents (GID) en 2008. Découlant de cette politique, plusieurs outils de traitement et de gestion des archives ont été développés ou sont en cours d’élaboration, notamment : un nouveau plan de classification corporatif constitué de rubriques génériques et spécifiques et un calendrier de conservation reflétant la réalité des unités administratives et couvrant plusieurs supports de conservation (papier, disque optique, microfilm, disque magnétique, film, etc.). À ces outils de travail s’ajoutent ceux spécifiquement adaptés aux besoins de gestion des documents actifs, par la préparation d’une arborescence des répertoires électroniques pour les documents technologiques ; ceux adaptés aux besoins des documents semi-actifs, par le développement d’un outil informatique permettant de maximiser et d’uniformiser la gestions des documents semi-actifs ; et, finalement, ceux adaptés aux besoins des archives historiques par la rédaction du Guide des archives municipales antérieures à la création de la Ville de Laval.}, number = {1}, journal = {Archives}, author = {Beaupré, Linda}, year = {2010}, pages = {7--22}, } @book{bechard_les_2014, address = {Paris}, series = {Les {Petits} guides des archives}, title = {Les archives électroniques}, isbn = {978-2-900175-06-4}, url = {http://www.archivistes.org/Les-archives-electroniques-2468}, abstract = {Ce guide a été conçu pour offrir aux professionnels des archives et à toute personne engagée dans des projets d’archivage électronique une approche méthodologique, étape par étape : de l’identification des données à archiver à la conception des systèmes d’archivage électronique en passant par l’accompagnement de projets informatiques du point de vue de la gestion du cycle de vie des données et de leur archivage. lundi 3 novembre 2014 Une publication de l’Association des archivistes français Collection : Les Petits guides des archives Le développement des technologies numériques dans les organisations conduit les professionnels des archives à repenser leurs méthodes de travail. Les compétences acquises dans la gestion des archives papier demeurent pertinentes dans de nombreux cas de figure mais peuvent se décliner différemment dans la pratique. L’archivage de documents et données numériques nécessite une adaptation des méthodes d’évaluation, de sélection, de tri, de collecte, d’organisation, de description, de communication et de conservation. De nouvelles compétences sont également indispensables, qu’elles soient techniques ou qu’elles concernent la gestion de projet. Il est essentiel de bien évaluer les charges dans les différents projets d’archivage électronique, voire le retour sur investissement car, en dehors des contraintes juridiques qui pèsent sur les organisations, les contraintes budgétaires constituent un élément fondamental pour construire une politique d’archivage efficace. Ce guide a été conçu pour offrir aux professionnels des archives et à toute personne engagée dans des projets d’archivage électronique une approche méthodologique, étape par étape : de l’identification des données à archiver à la conception des systèmes d’archivage électronique en passant par l’accompagnement de projets informatiques du point de vue de la gestion du cycle de vie des données et de leur archivage. L’objectif de ce guide est de fournir des conseils pratiques qui peuvent s’adapter à tous les contextes dans l’administration et les entreprises privées. Une bibliographie et un glossaire complètent le propos principal. Sommaire - Avant-propos - Introduction - Appréhender le périmètre de l’archivage électronique - Évaluer, sélectionner et organiser la production électronique - Mettre en place et exploiter un système d’archivage électronique (SAE) - Bibliographie - Glossaire Les Petits guides des archives Collection dirigée par le centre de formation de l’Association des archivistes français (AAF). Faisant écho aux stages proposés par l’AAF, chaque guide a pour objectif, dans une approche aussi pratique que possible de faire le point sur une question, une procédure, un outil archivistique particuliers. Ces guides doivent pouvoir répondre à vos attentes. En nous les faisant connaître, vous contribuerez à enrichir la collection.}, publisher = {Association des archivistes français}, author = {Béchard, Lorène and Fuentes Hashimoto, Lourdes and Vasseur, Édouard}, year = {2014}, } @phdthesis{beltrame_ethnographie_2012, address = {Paris, France}, title = {Ethnographie de la patrimonialisation : numériser, inventorier et classer la collection du musée du quai {Branly}}, abstract = {Cette thèse étudie la patrimonialisation de la collection du musée du quai Branly à travers l’analyse de la numérisation des fiches d’objets et des données documentaires. Les collections extra-européennes du musée de l’Homme ont été reconfigurées au sein de la nouvelle institution : autrefois objet de science, l’artefact est devenu objet « d’art et de civilisation », un objet patrimonial, enregistré au Service des Musées de France. Les données documentaires, naguère fixées sur des supports papiers, ont été saisies dans un nouveau système de classification, la base de données « TMS objets », conçue ici comme lieu social et lieu de savoir partagé par les différentes communautés de pratiques. Le maniement du numérique permet de nouveaux modi operandi de fabrication de l’inventaire, source de discontinuité dans l’histoire des collections, notamment de nouvelles réassociations entre données, qui font émerger des possibilités de rapprochements inédits entre objets isolés et collections. Les logiques informatiques et de conservation, la logistique et la politique institutionnelle se conjuguent pour constituer une nouvelle organisation documentaire lisible non seulement dans la base de données mais aussi dans les espaces de stockage des collections. L’analyse de la création du thésaurus catégories d’objets selon l’usage montre comment un processus technique instaure de nouveaux liens entre personnes, objets et données. La parcellisation des tâches, en principe commune à tous, se heurte cependant aux bugs et aux affects. Elle reste donc inachevée.}, school = {Paris 10}, author = {Beltrame, Tiziana}, year = {2012}, } @article{bianchi_adapter_2012, title = {Adapter les meilleures pratiques archivistiques internationales au niveau local: manuel pratique tout simple à destination des petites administrations}, volume = {2012}, doi = {http://dx.doi.org/10.3828/comma.2012.2.16}, abstract = {La gestion des archives est un défi d'autant plus grand pour les petites administrations et les municipalités qui ne disposent pas d'un archiviste professionnel en leur sein. En-deçà de la problématique d'archivage des documents anciens et historiques, généralement bien maîtrisée, c'est l'organisation des archives courantes et intermédiaires - sous forme à la fois papier et informatique - qui constitue le principal défi. La difficulté est encore accrue par l'usage de plus en plus fréquent d'outils informatiques qui n'ont pas été conçus dans une perspective de gestion documentaire. L'Association vaudoise des Archivistes (AVA, qui rassemble les archivistes de Suisse francophone) a élaboré un Manuel pratique de gestion des documents pour faciliter la gestion des documents courants dans les services municipaux. L'AVA est partie du constat que les non-professionnels positionnés sur des missions d'archivistes à temps partiel ne liraient jamais la littérature spécialisée ni les standards internationaux, d'où le choix d'une présentation pratique des grands principes archivistiques, sous la forme d'un manuel qui pourrait avoir comme sous-titre: « Comment faire de l'archivage sans le savoir ». L'objectif de cet outil est de garantir la sauvegarde de tous les documents actifs, et archives en devenir, essentiels au fonctionnement courant des administrations régionales et locales.}, number = {2}, journal = {Comma}, author = {Bianchi, Cristina}, year = {2012}, pages = {151--160}, } @misc{bibliotheque_et_archives_nationales_du_quebec_banq_numerisation_2012, title = {La numérisation des documents}, abstract = {La numérisation des documents a pour principal objectif de fournir des balises pour la réalisation de projets de gestion documentaire ayant recours à la numérisation, principalement lorsqu’est envisagée la destruction des documents sources, papiers, après l’opération. La première section présente les exigences archivistiques et juridiques, la seconde traite de la gestion d’un projet de numérisation, la troisième définit les différents aspects techniques liés à la numérisation, tandis que la dernière section présente les recommandations techniques spécifiques à certains types de documents. Ce guide est une nouvelle version de La numérisation des documents administratifs : méthodes et recommandations et il remplace à la fois le Guide d’imagerie numérique et le questionnaire Numérisation de documents inscrits au calendrier de conservation. Bien qu’il soit destiné en priorité au personnel des organismes publics assujettis à la Loi sur les archives, ce guide est très intéressant pour, notamment, les choix de traitement, les résolutions et les formats de conservation recommandés.}, author = {{Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)}}, year = {2012}, } @misc{bibliotheque_et_archives_nationales_du_quebec_banq_numerisation_2012, title = {La numérisation des documents : méthodes et recommandations}, abstract = {La numérisation des documents : méthodes et recommandations a pour principal objectif de fournir des balises pour la réalisation de projets de gestion documentaire ayant recours à la numérisation, principalement lorsqu'est envisagée la destruction des documents sources, papiers, après l'opération. Une attention particulière a été portée à la mise en contexte du cadre législatif découlant de la Loi concernant le cadre juridique des technologies de l'information Lien externe.. De plus, y sont présenté les principales recommandations de BAnQ en ce qui à trait aux résolutions de numérisation, aux formats et aux supports de conservations des documents numériques. Ce guide remplace à la fois le Guide d'imagerie numérique et le questionnaire Numérisation de documents inscrits au calendrier de conservation.}, author = {{Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)}}, year = {2012}, } @book{boubee_quest-ce_2010, address = {France, Paris}, series = {Papiers}, title = {Qu’est-ce que rechercher de l’information?}, isbn = {978-2-910227-83-8}, abstract = {Rechercher de l’information dans les bases de données, dans le Web ou même à l’intérieur d’un document, est devenu une activité extrêmement commune dans la « société de l’information ». Autrefois mise en œuvre par des spécialistes, par des professionnels ayant suivi une formation (les documentalistes, les bibliothécaires), elle est aujourd’hui à la portée de tous : de la jeune élève, de l’adolescent, de l’étudiante, de l’adulte ou de la personne âgée, que ce soit dans le cadre académique, professionnel, culturel ou de loisir. Comment font-ils ? Quelles sont leurs démarches, leurs difficultés ? Pourquoi procèdent-ils de la sorte ? L’objectif de cet ouvrage est de répondre à ces questions en offrant pour la première fois en langue française un panorama de la recherche internationale sur ces thèmes. Le livre est destiné aux étudiants et aux chercheurs, particulièrement celles et ceux en sciences de l’information et de la communication et en psychologie, qui y trouveront l’ensemble des thématiques, des plus traditionnelles aux plus récentes, les concepts clés, les principales modélisations et la gamme des outils méthodologiques utilisés dans le domaine.}, language = {Français}, publisher = {Presses de l'enssib}, author = {Boubée, Nicole and Tricot, André}, year = {2010}, } @article{cauliez_restauration_2010, title = {Restauration et conservation des « trésors » cachés dans le cavalier de bronze}, copyright = {In Situ Revues des patrimoines est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.}, issn = {1630-7305}, url = {http://journals.openedition.org/insitu/7044}, doi = {10.4000/insitu.7044}, abstract = {La rénovation en novembre 2004 de la statue équestre de Henri IV située sur le Pont-Neuf à Paris a permis d’en retirer sept boîtes constituées de bois de cèdre, de buis et de plomb ou d’étain qui renfermaient divers documents. Près de deux siècles séparent la pose des boîtes dans la statue des découvertes réalisées en 2004. Ce long séjour dans des conditions inadaptées n’a pas été sans conséquence pour la conservation des documents. Le Département de la conservation des Archives nationales a décidé de les restaurer et de les conserver comme des objets archéologiques empreints d’une histoire peu commune.}, language = {fr}, number = {14}, urldate = {2019-10-30}, journal = {In Situ. Revue des patrimoines}, author = {Cauliez, Nelly and Blivet, Isabelle and Kriche, Myriam and Martin-Saint-Clair, Laurent}, year = {2010}, } @book{chartron_pratiques_2012, address = {France, Paris}, series = {Papiers}, title = {Pratiques documentaires numériques à l’université}, isbn = {979-10-91281-07-2}, abstract = {Cet ouvrage, coordonné par Ghislaine Chartron, professeur au conservatoire des Arts et métiers (CNAM), responsable de l'Institut national des techniques de la documentation (INTD), Annaïg Mahé, maître de conférences à l’Unité régionale de formation à l’information scientifique et technique (Urfist) de Paris et à l’école des Chartes, et Benoît Epron, maître de conférences à l’enssib, se propose d’explorer les pratiques documentaires dans l’enseignement supérieur et la recherche au moment clé du développement, voire de la croissance exponentielle de l’utilisation des outils numériques. À l’heure d'une maturité croissante de l’offre documentaire numérique et de ses potentiels dans tous les champs scientifiques, que connaissons-nous vraiment de la réalité des pratiques documentaires à l’université et dans les organismes de recherche ? Faire le point sur cette question fut l’objectif de la journée d’étude « Diversité des pratiques documentaires numériques dans les champs scientifiques » organisée à l’enssib en juillet 2009, qui a souhaité réunir un ensemble de travaux récents couvrant une large palette d’observations des pratiques dans la recherche et l’enseignement universitaire. Cette diversité concerne les méthodologies convoquées (quantitatives et qualitatives), les différents supports (notamment revues et ouvrages) et les différents champs disciplinaires (physique des hautes énergies, mathématiques et informatique, sciences de l’éducation, sciences politiques) ; des mises en perspective plus transversales sont par ailleurs complémentaires. Les points de vue abordés sont internationaux. Ce livre est plus particulièrement destiné aux étudiants, chercheurs ainsi qu’aux professionnels de la documentation et des bibliothèques.}, language = {Français}, publisher = {Presses de l'enssib}, author = {Chartron, Ghislaine and Epron, Benoît and Mahé, Annaïg}, year = {2012}, } @phdthesis{djemal_modelisation_2010, address = {France}, title = {De la modélisation à l'exploitation des documents à structures multiples}, abstract = {Avec l'évolution des nouvelles technologies de l'information et de la communication, les documents papier ont laissé la place aux documents numériques. On considère de plus que le document n'est plus vu comme un tout, ni comme un bloc monolithique, mais comme un ensemble organisé d'entités. Exploiter ces documents revient à identifier et retrouver ces entités. Ces dernières sont reliées par des relations permettant de donner une " forme " au document. Plusieurs types de relations peuvent apparaître, de sorte à ce que plusieurs " formes " d'un même document émergent. Ces différentes matérialisations d'un même document sont liées à des usages différents d'un même document et sont primordiales pour une gestion optimale et partagée des fonds documentaires. Les travaux présentés dans cette thèse visent à faire face aux défis de représentation des différentes matérialisations d'un document au travers de la représentation de ses entités et de leurs relations. Si ces matérialisations sont traduites par des structures, les enjeux concernent la représentation des documents à structures multiples. Nos travaux portent essentiellement sur la modélisation, l'intégration et l'exploitation des documents à structures multiples : (1) Proposition d'un modèle de documents multistructurés. Ce modèle intègre deux niveaux de description : un niveau spécifique permettant de décrire chaque document au travers des entités qui le composent et un niveau générique permettant de définir des typologies de documents au travers du regroupement de structures similaires. (2) Proposition des techniques d'extraction de structure (implicite ou explicite) d'un document (niveau spécifique) et de classification de cette structure par rapport à des structures communes (niveau générique). L'algorithme de classification proposé intègre un calcul d'une distance dite " structurelle " (comparaison d'arbres et de graphes). Cette démarche de classification est associée à une démarche de vérification de la " cohésion " des classes et de réorganisation éventuelle des classes perturbées. (3) Proposition de techniques d'exploitation des documents à partir de leurs structures et de leur contenu : (a) une recherche de documents qui permet de restituer des granules documentaires selon des critères de recherches basés sur la ou les structures et/ou le contenu ; (b) une analyse multidimensionnelle qui consiste à analyser et visualiser les informations documentaires selon plusieurs dimensions (de structures et/ou de contenu). Pour valider nos propositions, nous avons développé un outil d'aide à l'intégration et à l'analyse de documents à structures multiples, intitulé MDOCREP (Multistructured DOCument REPository). Cet outil assure d'une part, l'extraction et la classification des structures de documents, et d'autre part, l'interrogation et la restitution multidimensionnelle des documents à partir de leurs différentes structures.}, school = {Toulouse 3}, author = {Djemal, Karim}, year = {2010}, } @misc{drobecq_levaluation_2014, title = {L'évaluation monétaire dans le tournant du numérique: perception et évolution selon {Marcel} {Caya}}, url = {http://hdl.handle.net/1866/10953}, abstract = {Le présent travail porte sur l'avenir et la continuité d'un outil d'acquisition d'archives privées pour les organismes au Canada : l'évaluation monétaire. Conduite par les remarques appuyées d'un évaluateur professionnel, ancien archiviste, Marcel Caya, cette étude tend à démontrer la durabilité d'un tel dispositif. Non obligatoire pour les dons d'archives, l'évaluation monétaire consiste à déterminer la juste valeur marchande des objets culturels. Si dans le domaine du papier, cette évaluation s'inscrit dans un marché; pour ce qui est du numérique, il convient d'intégrer des éléments de comparaison plus larges. Bien qu’ils se trouvent en quantité négligeable dans un fonds d’archives classique, les institutions culturelles seront confrontées, tôt ou tard, à l’accroissement des éléments électroniques proposés pour un don.}, publisher = {Papyrus, Université de Montréal}, author = {Drobecq, Charles-Edouard}, year = {2014}, } @article{dunant_gonzenbach_gouvernance_2013, title = {La gouvernance des documents électroniques dans l’administration cantonale genevoise : genèse et mise en œuvre}, url = {http://www.ressi.ch/num14/article_93}, abstract = {Les ressources documentaires d’une institution permettent sa bonne gouvernance. Les documents papier sont adéquatement gérés et conservés dans l’administration cantonale genevoise, mais les processus de travail changent profondément : les projets de cyberadministration se multiplient et les documents électroniques sont de plus en plus utilisés dans les transactions. Il était donc nécessaire de poser le cadre général d’une bonne gestion des documents électroniques au sein de l’Etat. Première synthèse de ce projet que nous poursuivons, cet article en expose la genèse et les principales étapes. Il présente le document Politique de gouvernance des documents électroniques dans l'administration genevoise, fruit de la collaboration entre les Archives d’Etat de Genève et la Direction générale des systèmes informatiques de l'Etat ainsi que les grands axes de la gestion des documents électroniques définis par cette Politique. Il fait également le point sur les questions relatives à la valeur probante du document électronique.}, number = {14}, journal = {Revue électronique suisse de science de l'information (RESSI)}, author = {Dunant Gonzenbach, Anouk}, year = {2013}, } @article{dutheil_archiveur_2010, title = {Archiveur : l'électronique en vogue}, issn = {0769-0975}, abstract = {Avec le records management, les documents sont pris en main de plus en plus tôt dans leur cycle de vie, souvent dès leur création au format électronique. Les tiers archiveurs se sont adaptés, en proposant de nouvelles offres intégrées, associant les documents papier et les records électroniques.}, language = {French}, number = {232}, journal = {Archimag}, author = {Dutheil, Christophe}, year = {2010}, pages = {28--29}, } @article{dutheil_departements_2013, title = {Départements : l'archivage électronique, c'est pas automatique}, issn = {0769-0975}, abstract = {Les archives dématérialisées ou nativement numériques côtoient de plus en plus les archives papier. Dans les départements, le passage de la théorie à la pratique de l'archivage électronique ne se fait pas sans heurt, affaire de compétence, de technique et technologie, mais aussi de volonté.}, language = {French}, number = {269}, journal = {Archimag}, author = {Dutheil, Christophe}, year = {2013}, pages = {28--29}, } @article{dutheil_archivage_2014, title = {L'archivage mixte : passe les tests cliniques}, issn = {0769-0975}, abstract = {Au Havre, l'hôpital privé de l'Estuaire fait désormais appel à Iron Mountain et à IDS pour archiver tous ses dossiers patients au format papier et dans des versions électroniques.}, language = {French}, number = {276}, journal = {Archimag}, author = {Dutheil, Christophe}, year = {2014}, pages = {32--33}, } @book{galland_les_2016, address = {Paris}, series = {Que sais-je ?}, title = {Les archives}, isbn = {978-2-13-074849-6 2-13-074849-X}, url = {http://www.sudoc.fr/196212618}, abstract = {État civil, minutes notariales, cadastre, comptes rendus de conseils d’administration, papiers et photographies privés… Les archives ne sont pas réservées aux historiens ou aux curieux : ce sont des documents produits dans le cadre d’une activité précise et qui sont conservés, soit pour des besoins de gestion, soit pour établir un droit ou une obligation. C’est dire si les archivistes ne sont pas hors du temps : ils sont même les premiers concernés par les évolutions liées au numérique et les interrogations qui agitent la société (devoir de mémoire, droit à l’oubli…). Dans ce guide pratique, Bruno Galland, dressant un panorama des institutions et des acteurs, donne à tous ceux qui sont amenés à archiver ou à puiser dans des fonds d’archives les bonnes méthodes (et peut-être des idées) pour s’y retrouver et y trouver ce qu’ils cherchent.}, number = {805}, publisher = {Puf}, author = {Galland, Bruno}, year = {2016}, } @book{gendron_papier_2018, address = {Québec (Québec)}, title = {Le papier voyageur. {Provenance}, circulation et utilisation en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle}, abstract = {Sous l’Ancien Régime, l’administration coloniale, l’Église et le commerce ont produit une masse considérable de documents de toutes sortes : la Nouvelle-France n’y a pas fait exception. Puisque la colonie n’avait aucun moulin producteur de papier, il a bien fallu importer ce support nécessaire aux écritures. Trois questions découlent de ce constat : d’où provient le papier utilisé en si grande abondance ? Quelles sont les circonstances de l’importation du papier, les sources d’approvisionnement en papier et les voies empruntées pour son transport ? Qui sont les utilisateurs du papier et à quelles fins en font-ils usage ? L’étude des caractéristiques du papier d’écriture à partir de feuillets originaux du XVIIe siècle provenant des centres d’archives publics et privés au Québec et au Canada permet de déterminer la provenance de ce papier et, de là, les mouvements de sa circulation entre la France et la Nouvelle-France. L’étude positionne aussi les circuits d’approvisionnement qui ont facilité son arrivée dans la vallée du Saint-Laurent. Trois aspects interreliés au papier d’écriture sont également mis en évidence, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation.}, publisher = {Presses de l'Université Laval}, author = {Gendron, Céline}, year = {2018}, } @article{gendron_les_2019, title = {Les archives manuscrites avouent ! {Papier} d'écriture en {Nouvelle}-{France} au {XVIIe} siècle : usages, usagers et catégories de documents}, volume = {48}, issn = {0044-9423}, url = {https://id.erudit.org/iderudit/1060815ar}, doi = {10.7202/1060815ar}, abstract = {En dépit de l’absence de production papetière en Nouvelle-France au XVIIe siècle, plusieurs sources révèlent le nombre important de documents produits sur place. Notre recherche doctorale a mis en évidence la provenance du papier d’écriture utilisé à cette époque, comme venant principalement des provinces françaises de l’Angoumois et de l’Auvergne. Notre recherche a aussi mis en évidence trois aspects interreliés au papier d’écriture, à savoir les usages auxquels il est destiné, les usagers qui le consomment ainsi que les diverses catégories de documents qui naissent de son utilisation. Ce papier d’écriture trouve ses usages dans la transcription de toute une série d’activités propres à la colonie naissante. Des usagers multiples – compagnies, administrations ou individus – soutenus par leur ambition personnelle ou le « bien d’autrui » sont engagés dans des activités diverses pour la construction d’une nouvelle colonie. Parmi l’ensemble des activités qui sous-tendent des liens étroits entre le monde atlantique français et le papier au XVIIe siècle, sept retiennent notre attention : la gestion administrative de la métropole et sa colonie nord-américaine ; l’utilisation sous-jacente du papier comme support aux efforts missionnaires ; les procédés utilisés par la classe marchande pour conduire ses affaires ; le nécessaire qui accompagne les explorateurs, les voyageurs et les militaires en déplacement et/ou en poste dans la colonie ; l’administration des communautés religieuses ; les actes notariés qui ponctuent la vie quotidienne ; et la correspondance entre individus. Notre article illustre les caractéristiques professionnelles des personnes engagées dans ces activités, leur rapport avec les usages du papier d’écriture et les catégories de documents ainsi produits. Nos exemples sont choisis à partir du corpus de documents d’archives manuscrites provenant de centres d’archives publics et privés ainsi que des documents manuscrits de la Collection Baby de l’Université de Montréal.}, language = {FR}, number = {1}, urldate = {2019-10-30}, journal = {Archives}, author = {Gendron, Céline}, year = {2019}, pages = {55--87}, } @book{genet_du_2011, address = {Paris, France}, series = {Homme et société 37}, title = {Du papier à l'archive, du privé au public {France} et îles britanniques, deux mémoires actes du colloque franco-britannique de {Londres} et d'{Oxford}, 18-20 septembre 2004}, isbn = {978-2-85944-650-5}, publisher = {Publications de la Sorbonne}, editor = {Genet, Jean-Philippe and Ruggiu, François-Joseph and Centre national de la recherche scientifique . Groupement de, recherche}, year = {2011}, } @article{guiollard_carte_2016, title = {La carte postale, un support iconographique essentiel pour les historiens des techniques de la « belle époque ». À manipuler toutefois avec précaution}, volume = {2016}, url = {https://www.abd-bvd.be/fr/cahiers-de-la-documentation/2016-2/}, abstract = {Aux mots carte postale sont généralement associés les mots vacances, voyages, loisirs ; peu nombreuses sont les personnes qui feraient une relation avec les mots mine, usine, travail. Et pourtant, au début du XXe siècle, les sites industriels, les ouvriers, les mineurs furent très souvent choisis pour illustrer les cartes postales. Un siècle plus tard, ces documents ont une valeur d’archive iconographique très prisée par les historiens de l’histoire industrielle du début du XXe siècle. Dans cet article, nous essaierons de comprendre l’engouement de nos aïeux pour la carte postale, son extraordinaire succès et sa popularité acquis entre 1900 et 1920, faisant de ce bristol illustré le premier « réseau social » des Temps modernes. Nous verrons comment ces messages familiaux ou amicaux, griffonnés à la hâte ou soigneusement rédigés, peuvent être interprétés selon différents niveaux de lecture. Nous découvrirons la richesse insoupçonnée que représentent l’interaction entre l’image d’un site industriel figurant sur la carte, le commentaire de son expéditeur et parfois, la mise en relation avec l’actualité de la Belle Époque.}, number = {2}, journal = {Cahiers de la documentation}, author = {Guiollard, Pierre-Christian}, year = {2016}, pages = {33--45}, } @article{guyon_pratique_2015, title = {La pratique archivistique publique en france, entre adaptation et négociation}, volume = {11}, issn = {1622-1494}, doi = {10.3166/lcn.11.2.77-113}, abstract = {En France, la dématérialisation est aujourd’hui une réalité dans le secteur public et notamment dans les collectivités locales. Le numérique reconfigure les activités traditionnelles de collecte, de conservation, de description et de communication. La dématérialisation des processus métiers et l’usage de la signature électronique questionnent nécessairement nos principes et les modes de gouvernance des documents et des données, dans un environnement résolument numérique. Une simple transposition à l’identique de nos procédures appliquées à l’environnement papier est insuffisante car des problématiques nouvelles inhérentes au numérique sont apparues et nous imposent de trouver un nouvel équilibre. Cet article se propose, en s’appuyant sur des exemples concrets issus de la pratique professionnelle de son auteur, d’interroger les nécessaires modifications et adaptations de notre pratique archivistique, tout en mettant en avant la marge de négociations et de manœuvre offerte aux archivistes. Deux domaines seront particulièrement explorés, celui de la collecte et celui de l’accès aux documents.}, number = {2}, journal = {Les Cahiers du numérique}, author = {Guyon, Céline}, year = {2015}, pages = {77--114}, } @book{kecskemeti_les_2014, address = {Lausanne}, title = {Les écrits s'envolent la problématique de la conservation des archives papier et numériques}, isbn = {978-2-8289-1425-7}, abstract = {Cet ouvrage, écrit par deux fins connaisseurs de l'archivistique française, européenne et internationale, se présente en deux parties. La première retrace l'histoire de l'archivistique, de sa genèse il y a quelques siècles à sa période faste dans les années quatre-vingt, pour déboucher sur sa remise en question dans le contexte numérique. C'est d'abord l'occasion d'un rappel de la spécificité des archives dans un monde où le terme est utilisé très largement dans le domaine du patrimoine ou dans le contexte d'Internet : « Les documents qui arrivent aux Archives, vingt, trente ou cinquante ans après leur création, n'avaient pas été créés pour alimenter la culture historique de la postérité mais comme preuves de l'expédition d'affaires concrètes » (p 30) ou « Les archives ne consignent pas des faits, mais des enchaînements de faits, comme l'avaient observé Michelet et Tocqueville. » (p 56). Un aspect méconnu de l'histoire des sciences de l'information est celle de la collaboration internationale avec, par exemple, le premier Congrès international des archivistes et des bibliothécaires à Bruxelles en 1910 où l'un des vœux adoptés fut que « les administrations qui versent leurs documents aux archives publiques utilisent du papier normal et de l'encre indélébile ». On n'a pas beaucoup progressé en un siècle ! Face à la question récurrente sur la légitimité de l'archivistique en tant que discipline, sur son appartenance à la science historique ou aux sciences de l'information, Charles Kecskeméti invite à se recentrer sur la réalité et à mettre en application les quatre missions de l'archivistique : engranger, préserver, mettre en valeur et communiquer les archives. Or, comment s'y prendre avec les archives dématérialisées quand on connaît la fragilité du numérique ? Le constat est que « le monde numérique a transformé l'archivistique, parce que les documents eux-mêmes se sont transformés : leur structure est devenue plus compliquée et leurs éléments, dont l'importance a changé, se sont séparés. » (p 193). Lajos Körmendy développe les différents aspects du document d'archives (sa fonction, sa valeur, sa forme, son support, sa structure) dans le contexte numérique. Il met notamment en évidence l'importance des concepts archivistiques pour une bonne gestion des archives numériques, en insistant sur les notions d'authenticité et d'intégrité qui sont trop souvent utilisées de façon approximative (voir plus particulièrement l'analyse très intéressante de la structure interne et de la structure externe du document numérique). Ce livre n'est pas un manuel d'archivistique, même si sa seconde partie pourrait figurer dans un manuel d'archivistique numérique. C'est d'abord un essai qui permet de prendre un salutaire recul et d'apprendre (ou de réapprendre) quelques fondamentaux fort utiles car ils donnent aux autres disciplines des sciences de l'information un éclairage particulièrement instructif}, publisher = {Favre}, author = {Kecskeméti, Charles and Körmendy, Lajos}, year = {2014}, } @misc{laliberte_pour_2016, title = {Pour le maintien de la mémoire sociétale : la pertinence de l’évaluation à l’ère du numérique}, url = {http://hdl.handle.net/1866/13921}, abstract = {Par le passé, alors que les archives appartenaient à un environnement presque exclusivement papier, la pertinence de l’évaluation archivistique a souvent été remise en question. L’avènement du numérique a entraîné de nouvelles critiques de la pertinence de cette évaluation, comme il a fourni aux archivistes de nouveaux arguments pour la défendre. Ce travail se veut une réponse à la question suivante : « Pourquoi évaluer quand il est plus simple de tout garder? ». Il présente les arguments réfutant et défendant l’évaluation de manière générale, puis ceux réfutant puis défendant sa pertinence dans un environnement spécifiquement numérique. Il explique enfin en quoi l’évaluation à l’ère du numérique devient encore plus essentielle qu’elle ne l’était autrefois dans un environnement uniquement analogique. Il explique également pourquoi l’absence d’une évaluation des archives peut se montrer catastrophique à long terme pour le maintien de la mémoire sociétale.}, publisher = {Papyrus, Université de Montréal}, author = {Laliberté, Stéphanie}, year = {2016}, } @article{lamy_les_2010, title = {Les activités du service des archives de la {Ville} de {Trois}-{Rivières}}, volume = {42}, url = {http://www.archivistes.qc.ca/revuearchives/vol42_1/42_1_lamy.pdf}, abstract = {Fondée en 1634, Trois-Rivières fusionne avec cinq municipalités en juillet 2001. L’auteure dresse un portrait succinct des différents gardiens des archives, depuis le premier conseil municipal de juillet 1845, avant de s’attarder au développement du service des archives en abordant notamment l’analyse des besoins en 1995 qui, par ses conclusions, a jeté les bases du système de gestion documentaire. Doté d’un logiciel de gestion de documents commercial, le service des archives implante la gestion documentaire auprès des unités administratives en organisant des sessions de formation et en rédigeant des normes et procédures. Si les fusions offrent l’avantage d’acquérir des espaces de rangement et de regrouper les archives historiques des six municipalités en un seul lieu, elles obligent également une mise à niveau du personnel des services administratifs de la nouvelle ville. Le service des archives de Trois-Rivières offre actuellement un système de gestion documentaire centralisé et bénéficie des avantages d’un conseil municipal sans papier. À l’image de nombreux services d’archives, celui de Trois-Rivières fait face à plusieurs défis : gestion électronique des documents, préservation des archives historiques et numérisation de séries de documents.}, number = {1}, journal = {Archives}, author = {Lamy, Céline}, year = {2010}, pages = {67--78}, } @book{le_deuff_documentation_2014, address = {France, Paris}, series = {Papiers}, title = {La documentation dans le numérique}, isbn = {979-10-91281-32-4}, abstract = {Les bibliothécaires, les documentalistes ne disparaîtront pas avec l’avènement du document numérique : leurs métiers vont changer, et sans doute s’enrichir. Olivier Le Deuff se propose, après une partie introductive et historique, de préciser ce qu’est une culture de l’information, ce qu’elle implique de la part des professionnels qui ont à la traiter, et des usagers qui doivent la repérer et s’y retrouver. Il développe longuement les rôles et missions des bibliothécaires et documentalistes dans ce monde technique (informatique) et professionnel (le classement et les architectures de l‘information). Il précise la place nouvelle des lecteurs, usagers, internautes, et les fonctions indispensables de médiation qui sont attachées à ces nouveaux supports. Il replace la formation de chacun comme préalable à ces nouvelles compétences. Cet ouvrage, à la fois théorique, pratique et prospectif, s’adresse à tous ceux qui travaillent dans le champ de l’information-documentation ainsi qu’aux formateurs. Olivier Le Deuff est maître de conférences à l’université Bordeaux 3.}, language = {Français}, urldate = {2018-01-25}, publisher = {Presses de l'enssib}, author = {Le Deuff, Olivier}, year = {2014}, } @article{lemay_les_2012, title = {Les archives et l’émotion : un atelier d’exploration et d’échanges}, volume = {44}, abstract = {La fragilité d’une feuille de papier aux textures anciennes, une note manuscrite, un objet découvert dans un cahier, un dessin à la marge, des signes du passage du temps, un contexte particulier sont autant d’éléments qui peuvent faire surgir l’émotion. Les archives n’ont pas uniquement le pouvoir de témoigner et d’informer mais elles ont aussi le pouvoir de susciter les émotions le plus variées. C’est cet aspect des archives qui a été exploré lors d’un atelier organisé par l’Association des archivistes du Québec en mars dernier. Yvon Lemay et Anne Klein en font un compte rendu détaillé. À partir de l’étude de cinq cas réunissant des documents provenant des fonds et des collections du Service des archives de l’Université McGill, les participants ont pu mesurer le pouvoir d’évocation des documents d’archives et la variété d’émotions qui en découlent. Qu’il s’agisse du document lui-même, de la connaissance du contexte de sa création, du bagage personnel des participants ainsi que des sensibilités individuelles, l’atelier a démontré le fort potentiel évocateur des archives. La valeur émotive des archives dans la pratique archivistique, que ce soit pour la description, l’indexation, l’évaluation ou la diffusion a aussi été l’objet de discussion et d’échanges entre participants. Selon les auteurs, l’atelier a permis aux participants d’améliorer leur compréhension de la dimension émotive liée aux archives.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Lemay, Yvon and Klein, Anne}, year = {2012}, pages = {91--109}, } @book{mas_classification_2011, address = {Québec, Canada}, series = {Gestion de l'information}, title = {Classification des documents numériques dans les organismes: impact des pratiques classificatoires personnelles sur le repérage}, isbn = {978-2-7605-3034-8}, url = {http://www.puq.ca/catalogue/collections/classification-des-documents-numeriques-dans-les-2035.html}, abstract = {Peu d’employés utilisent le schéma de classification institutionnel pour organiser les documents numériques se trouvant sur leur poste de travail. La plupart privilégient des systèmes de classification plus « personnels » qui répondent davantage à leurs besoins quotidiens qu’à la vision de leur milieu de travail. La mémoire institutionnelle est-elle mise en péril par cette autogestion ? Aucune recherche n’avait été menée à ce jour afin de vérifier dans quelle mesure les schémas de classification personnels permettent, sinon facilitent, le repérage des documents numériques par des tiers, dans le cadre d’un travail collaboratif par exemple ou lorsqu’il s’agit de reconstituer un dossier. Après avoir présenté les assises théoriques de la classification documentaire et de la classification archivistique, l’auteure présente les caractéristiques d’une vingtaine de modèles de classification personnels. Elle expose ensuite les résultats d’une simulation réalisée dans un environnement contrôlé vérifiant l’efficacité du repérage selon ces modèles. Unique ouvrage à aborder l’étude de la classification en milieu de travail, il sera particulièrement utile aux responsables de la gestion de l’information qui ont à concevoir et mettre à jour des plans de classification tant sur support papier que dans un contexte numérique, de même qu’aux étudiants en gestion de l’information.}, language = {Français}, publisher = {Presses de l'Université du Québec}, author = {Mas, Sabine}, year = {2011}, } @misc{meot_les_2015, title = {Les enjeux de la dématérialisation des documents}, abstract = {L'optimisation de la consommation de papier, d'une part, et les processus de dématérialisation des documents, d'autre part, représentent des chantiers importants pour des directions des achats, à la fois en termes de coûts mais aussi de démarche RSE.}, urldate = {2018-01-03}, publisher = {Décision-Achats.fr}, author = {Méot, Véronique}, year = {2015}, } @article{nuttin_logiciels_2012, title = {Logiciels pour archivage physique et électronique}, issn = {0769-0975}, abstract = {À l'aune d'une dématérialisation qui a investi chacune des étapes du cycle de vie du document et l'ensemble des processus métier, gérer de concert archives papier et archives électroniques est devenu une réalité. Autant le faire avec le même outil, au moins avec le même prestataire, qu'il soit tiers archiveur ou éditeur de logiciel.}, language = {French}, number = {255}, journal = {Archimag}, author = {Nuttin, Guillaume}, year = {2012}, pages = {31--34}, } @article{ott_introduction_2015, title = {Introduction - {Garantir} la pérennité de documents numériques authentiques et intègres}, volume = {11}, issn = {1622-1494}, doi = {10.3166/lcn.11.2.9-13}, abstract = {Face aux nouveaux défis posés par l’arrivée massive des documents numériques dans les organisations, en raison des changements législatifs et technologiques, la gestion documentaire est sans doute à une période charnière qui l’oblige à abandonner l’univers rassurant et organisé du papier pour s’ouvrir à un monde virtuel en constante évolution. La révolution numérique entraîne une remise en cause des...}, number = {2}, journal = {Les Cahiers du numérique}, author = {Ott, Florence}, year = {2015}, pages = {9--14}, } @article{pedrouzo_archivage_2014, title = {L'archivage numérique dans la sphère publique, les enjeux d'une législation annoncée}, volume = {3}, issn = {0152-7401}, abstract = {Le projet de loi sur le patrimoine annoncé par le chef de l’État devrait contenir un volet consacré aux archives publiques numériques. Il était temps car, faute de mieux, c’est le régime juridique applicable aux archives publiques sur support « papier » qui est mis en œuvre, ce qui place les personnes publiques dans une position délicate. La réforme à venir est donc l’occasion de saisir les enjeux juridiques de l’archivage numérique dans la sphère publique. Entre système sécurisé, contraintes techniques, restrictions budgétaires, mutualisation, partenariats et répartition des compétences, le numérique impose de réfléchir à une réglementation et un mode de gouvernance adaptés.}, language = {fr}, urldate = {2018-01-08}, journal = {Revue française d'administration publique}, author = {Pedrouzo, Géraldine Bachoué}, year = {2014}, pages = {825--837}, } @book{philippe_poirrier_historiographie_2011, address = {Dijon, France}, title = {Historiographie \& archivistique : écriture et méthodes de l'histoire à l'aune de la mise en archives}, url = {http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/publications/historiographie/historiographie.html}, abstract = {Introduction Le « moment archives » – nous empruntons cette qualification à la contribution de Vincent Duclert – témoigne d’une conjoncture historiographique marquée par une plus grande interrogation des historiens sur leur pratique[1]. Les liens intrinsèques qui unissent archivistique et historiographie ont toujours été reconnus. Toutefois ces rapports se sont construits le plus souvent autour d’une opposition schématique : d’un côté la collecte et l’inventaire, de l’autre l’analyse et la synthèse. Car force est de reconnaître qu’archivistique et écriture de l’histoire sont deux disciplines, et deux opérations distinctes ayant des objets propres. L’interrogation sur ces liens n’est pas neuve, elle a su trouver sa place dans les débats professionnels depuis de nombreuses années[2]. En revanche, la grande majorité des historiens se sont jusqu’à ce jour peu souciés d’en faire l’examen. Certains philosophes, notamment Michel de Certeau – la contribution de François Dosse le souligne avec force – et Paul Ricœur, ont été plus prolixes. Leurs réflexions épistémologiques ont su replacer la construction de l’écriture de l’histoire dans la continuité de l’opération archivistique, et illustrent de ce fait un rapprochement pour penser ces deux opérations en un monde commun, et non plus en contradiction. A l’aune de ces essais, l’histoire ne commencerait pas par la seule parole de l’interprétation, elle serait toujours médiatisée par la technique et dépendrait alors autant de l’archivistique de son époque, que du degré de technicité mis en œuvre pour la collecte des documents par l’historien. Depuis plusieurs années cependant, les historiens sont davantage sensibles à la question de la construction des fonds archivistiques, et considèrent comme essentiel d’en comprendre les logiques, et d’en saisir toutes les conséquences sur la « Fabrique de l’histoire »[3]. Le renouveau de l’érudition pour les périodes médiévales et modernes, le débat sur les « archives de Moscou » pour la période contemporaine, des échanges renouvelés entre archivistes et historiens ont largement contribué à ce nouvel intérêt que portent de nombreux chercheurs aux questions archivistiques. Cette livraison de Territoires contemporains propose, au travers d’exemples précis, d’objectiver une pratique, l’archivistique, et tenter de mesurer les implications sur la scientificité du discours historien et sur l’élaboration des méthodes historiques. « Penser épistémologiquement l’archivistique et la replacer dans son historicité, souligne Julie Lauvernier, ce n’est pas seulement considérer la mise en archive comme une condition d’existence du matériel historique, c’est l’appréhender comme un geste historiographique, et non simplement technique ». Bertrand Müller replace la relation entre « Historiographie et archivistique » dans le cadre des régimes documentaires qui se sont succédés depuis deux siècles : le régime archivistique, le régime de la documentation et enfin, depuis les années 1970, le régime issu de la numérisation et de la Toile. Les trois contributions suivantes, signées respectivement par Julie Lauvernier, Odile Parsis-Barubé et Christine Nougaret, analysent les logiques du régime archivistique, de 1750 à l’aube de la Troisième République : classer et inventorier ; respecter les fonds ; exiger une érudition consciencieuse. Un véritable code de la pratique archivistique se construit progressivement, et permet à la fois d’envisager une histoire des progrès de la civilisation et de contribuer à l’affirmation de l’histoire locale. Un siècle plus tard, la question des « archives de Moscou » témoigne à la fois des dangers d’une posture néo-positiviste, mais aussi des interrogations et débats que suscitent ces découvertes d’archives nouvelles. Les contributions de François-Xavier Nérard et de Jean Vigreux, consacrées respectivement aux archives de l’Etat soviétique de la période stalinienne et aux archives du PCF, soulignent combien le renouveau historiographique n’est pas réductible à cette révolution documentaire. Elles confirment que pour l’historien contemporanéiste, l’histoire des fonds mobilisés est également un impératif méthodologique. Dans sa postface, Françoise Hildesheimer revient notamment sur les innovations suscitées par la montée en puissance de l’Internet. Elle souligne combien cette « révolution numérique » nécessite un nouveau rapport à la mémoire et à sa conservation qui constitue, pour le monde de la conservation, un défi à la fois technologique et conceptuel. Le défi à relever est particulièrement vertigineux. Emmanuel Hoog rappelait, dans Mémoire année zéro (2009), qu’«à l’âge numérique, toute information produite est ipso facto une archive qui s’ignore, au sens où elle peut être non seulement stockée, mais surtout aisément identifiée et cataloguée ». Et d’ajouter « de plus en plus l’acte de créer et celui de conserver tendant ainsi à devenir indissociables. Par sa capacité à s’autoréférencer, Internet apporte une nouvelle dimension : tout contenu en ligne se voit automatiquement indexé dans les moteurs de recherche, faisant de la Toile la plus gigantesque base de données imaginables ». Cette livraison constitue les actes d’une journée d’études, organisée le 24 avril 2008 avec l’aide de Julie Lauvernier, dans le cadre des activités du thème « Cultures et sociétés » du Centre Georges Chevrier. Les contemporanéistes du CGC – initialement réunis dans le cadre de l’Institut d’histoire contemporaine (IHC) animé par Serge Wolikow – ont développé une réflexion pérenne sur les archives depuis le colloque de 1994 consacré aux archives de Moscou, à partir des archives des mouvements sociaux, du mouvement ouvrier, et des partis de gauche[4]. Depuis 2004, les membres du Centre Georges Chevrier sont étroitement associés au programme Archives des Sciences Humaines et Sociales (ARSHS), piloté par la MSH de Dijon sous la direction de Serge Wolikow. L’objectif est de développer une politique de conservation et de traitement des patrimoines scientifiques et culturels des Sciences humaines et sociales en France. Les archives de la recherche, des chercheurs et des établissements de recherche et d’enseignement sont aujourd’hui menacées faute de solution efficace de conservation. Ces archives constituent pourtant une documentation essentielle à trois égards : elles contiennent des données et une documentation irremplaçables pour la connaissance et la compréhension des sociétés modernes ; elles représentent des matériaux élaborés et accumulés par les chercheurs, essentiels à l’établissement de la scientificité des SHS ; elles offrent des gisements documentaires indispensables pour une histoire renouvelée et documentée des SHS. Les premiers résultats sont accessibles[5]. Ce réseau a notamment organisé en mars 2009, en partenariat avec l'Institut d'histoire du temps présent, une journée sur « Les historiens en leurs archives »[6]. En s’appuyant sur ces expériences acquises, le département d’histoire de l’université de Bourgogne a ouvert une formation professionnalisante dans le cadre d’un master 2 : « Archives des XXe et XXIe siècles européens : du papier au numérique ». Cette formation pluridisciplinaire, initiée par Serge Wolikow et Jean Vigreux, animée aujourd’hui par Serge Wolikow et Xavier Vigna, propose des contenus informatifs et une réflexion épistémologique, à des étudiants qui viennent pour la plupart d’histoire. Les cours, centrés en priorité sur la période très contemporaine, associent réflexions sur la production des archives, leurs usages à la fois scientifiques et patrimoniaux. Il ne s’agit pas seulement de faire de nos étudiants de bons archivistes, mais de les rendre capables de valoriser ces archives tant auprès des entreprises, des collectivités publiques que du monde de la recherche. L’objectif est de former des professionnels de la gestion d’archives papier et numériques : chargés de mission des collectivités territoriales appelés à traiter des archives numériques et en à assurer la conservation ; chargés de mission dans les entreprises appelés à gérer les archives anciennes, mais aussi à préparer la gestion des archives produites au cours de l’activité ; assistants techniques et ingénieurs d’étude des laboratoires de recherche pour les former au traitement spécifique des archives des savoirs.}, publisher = {Territoires contemporains}, editor = {Philippe Poirrier and Julie Lauvernier}, year = {2011}, } @article{remize_choix_2011, title = {Choix d'un tiers archiveur : comment être dans le coût}, issn = {0769-0975}, abstract = {Si la tendance est à la dématérialisation, on choisit encore d'abord un tiers archiveur pour ses prestations en matière d'archivage de documents papier. De la prise en charge à la destruction, différents postes de coûts interviennent. À considérer de près, d'autant que la relation avec un archiveur est destinée à durer.}, language = {French}, number = {246}, journal = {Archimag}, author = {Remize, Michel}, year = {2011}, pages = {27--28}, } @book{rietsch_letude_2010, address = {Paris, France}, title = {De l'étude préalable à la certification du système}, isbn = {978-2-10-055688-5}, url = {http://www.sudoc.fr/170234223}, abstract = {Les archives sont l'une des composantes de la mémoire et du "système d'information" d'une entreprise. Or le fait que les archives "papier" soient de plus en plus remplacées par des archives électroniques nécessite des méthodes et des procédures complexes et détaillées pour répondre aux problèmes juridiques, organisationnels (qui archive quoi ?) et logistiques (archiver où, comment, combien de temps?). Cet ouvrage donne les clefs pour mettre en place les différentes étapes qui aboutiront à un service d'archivage électronique efficace, et qui assureront son fonctionnement dans la durée. Les parties méthodologiques sont complétées par des outils logiciels accessibles gratuitement en ligne. Plusieurs cas pratiques issus de France Telecom illustre les préconisations décrites.}, publisher = {Dunod}, author = {Rietsch, Jean-Marc}, year = {2010}, } @book{roberge_gestion_2016, address = {Québec, Québec}, title = {La gestion intégrée des documents d'activités ({GID}) en format papier et technologiques : documents administratifs, documents d'archives, documentation de référence}, language = {fre}, publisher = {M. Roberge}, author = {Roberge, Michel}, year = {2016}, keywords = {Documents administratifs, Gestion des documents, Ouvrages de rГ©fГ©rence, Publications Г©lectroniques}, } @article{senecal_miroir_2012, title = {Le miroir de papier}, volume = {44}, abstract = {Sylvain Senécal s’intéresse aux informations véhiculées par les documents en les analysant en tant qu’objets documentaires. Il étudie donc le contenant qui, en complément du contenu, révèle des éléments significatifs sur le créateur d’un fonds d’archives. Il revient également sur la valeur accordée au support des documents lors de leur évaluation par un archiviste. L’auteur poursuit son article en mettant en perspective la lecture et l’analyse des documents réalisées par les archivistes comparativement à d’autres professionnels tels les bibliothécaires. En prenant plusieurs exemples concrets, il démontre que les caractéristiques matérielles sont interprétées de manières différentes selon le champ d’application du lecteur notamment lorsqu’il s’agit des traces d’usage et d’usure visibles sur les documents. L’auteur aborde enfin le document en tant qu’objet physique qui occupe une place déterminée dans l’espace et qui nécessite un rangement et un classement particulier. Il s’agit selon lui d’éléments révélateurs permettant de mieux cerner l’identité du créateur du document.}, number = {2}, journal = {Archives}, author = {Senécal, Sylvain}, year = {2012}, pages = {29--48}, } @book{senechal_reconnaitre_2016, edition = {2e}, series = {Guide de généalogie}, title = {Reconnaître les photos et cartes postales anciennes}, abstract = {Qui n'a pas trouvé un jour ces petits trésors empoussiérés dans des boîtes ou sagement rangés dans un album de famille ? Portraits de l'ancien temps, photos de proches que nous aimerions bien reconnaître... Trop modeste pour intéresser les galeries et les théoriciens de l'image, la photo de famille a longtemps été négligée. Elle connaît depuis quelques années un regain d'intérêt grâce à l'essor de la généalogie. Cuivre, verre, papier... Ces différents supports racontent comment les évolutions techniques ont transformé les représentations de la famille. Mémoire ou loisir ? Comédie sociale ou intimité ? À ceux qui savent les regarder, ces photos, en apparence modestes, révèlent toutes une histoire singulière, prête à être transmise aux générations futures. Pour le généalogiste, perplexe devant la diversité des formats et des supports qu'il rencontre, ce guide indique d'abord comment dater ces images d'hier pour réduire le champ des possibles et mettre plus facilement un nom sur ces visages inconnus. Il lui apprend aussi à utiliser toutes les astuces de la datation relative en fonction du sujet traité et de sa présentation formelle. Les indices donnés par l'image ne sont pas seuls ; la façon dont celle-ci a été conservée peut donner une piste : dans les albums de photos d'avant 1914, le classement des images suit en effet un ordre traditionnel, en fonction du rang de parenté, donc utile à connaître. Enfin, ce guide vous indique comment conserver ces documents anciens donc fragiles, comment les numériser et les retoucher, comment les gérer, notamment grâce aux logiciels à la disposition des généalogistes d'aujourd'hui, et comment les partager avec ses cousins sur Internet. Des adresses utiles sont fournies en fin d'ouvrage. Source: https://www.eyrolles.com/Droit/Livre/reconnaitre-les-photos-et-cartes-postales-anciennes-9782350772837}, urldate = {2018-01-05}, publisher = {Archives \& Culture}, author = {Sénéchal, Sandrine and Dehan, Thierry}, year = {2016}, } @techreport{service_interministeriel_des_archives_de_france_autoriser_2014, title = {Autoriser la destruction de documents sur support papier après leur numérisation : {Quels} critères de décision ?}, url = {http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/static/7429}, abstract = {L’objectif de ce vade-mecum est de donner une liste de critères à examiner avant d’autoriser ou non la destruction de documents sur support papier ayant été numérisés dans le cadre du cadre réglementaire régissant notamment l'écrit numérique (voir annexe 2)}, author = {{Service interministériel des Archives de France}}, year = {2014}, } @article{texier_faut-il_2014, title = {Faut-il rematérialiser les documents que l'on a dématérialisés ?}, issn = {0769-0975}, abstract = {L'ère du zéro papier n'est pas encore arrivée. Nous vivons une période transitoire où le papier coexiste avec les fichiers numériques. Cette cohabitation entraîne des opérations de rematérialisation en particulier lorsqu'il faut prouver l'authenticité d'un document devant la justice.}, language = {French}, number = {270}, journal = {Archimag}, author = {Texier, Bruno}, year = {2014}, pages = {24--25}, } @article{texier_fraude_2017, title = {Fraude documentaire : la technologie contre-attaque}, url = {http://www.archimag.com/veille-documentation/2017/08/24/fraude-documentaire-technologie-attaque-big-data}, abstract = {Sommaire du dossier : Fraude documentaire : la technologie contre-attaque Marie Azevedo : "il est difficile d'évaluer la fraude documentaire avec précision" Quelques bonnes pratiques anti-fraude à adopter Des outils pour lutter contre la fraude documentaire Pro BTP : un garde-fou contre la fraude à la protection sociale Avec Ariadnext, la téléphonie d'Auchan lutte contre la fraude et le papier Lecture automatique de document et reconnaissance optique de caractère, associés à des algorithmes et adossés à des bases de données forment ici de nouvelles prestations, un nouveau débouché pour leurs sociétés éditrices. Visages de la fraude et armes de la contre-attaque. Il y a du nouveau pour les habitants de la région Ile-de-France. Depuis le mois de mars dernier, les demandes de carte nationale d'identité sont traitées selon les mêmes modalités que les demandes de passeport biométrique. "L'enregistrement des empreintes digitales du demandeur devient obligatoire pour certifier le titre.}, number = {305}, journal = {Archimag}, author = {Texier, Bruno}, year = {2017}, } @article{texier_les_2012, title = {Les bibliothèques et les archives au défi des grands {Formats}}, issn = {0769-0975}, abstract = {Au Château de Versailles et à la Cour des comptes, les ouvrages aux dimensions hors normes font l'objet d'un traitement particulier. De la manipulation au rangement, ils doivent être maniés avec précaution.}, language = {French}, number = {259}, journal = {Archimag}, author = {Texier, Bruno}, year = {2012}, pages = {34--35}, } @article{thifault_archive_2016, address = {Département de psychiatrie de l’Université de Montréal}, edition = {Volume 41, Numéro 2}, title = {L'archive {Psychiatrique}}, abstract = {La mémoire et le passage du temps : le rôle des archives p. 7-8 -Présentation : L’archive psychiatrique p.9-19 - À la recherche de l’archive psychiatrique perdue. L’histoire des fonds d’archives d’Alfred Binet (1857-1911) p.21-32 -La collection patrimoniale de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal : un trésor à préserver p.33-40 - Manque de collaboration, manque d’effectifs ou disparition des données : le nécessaire et difficile accès aux archives psychiatriques p.41-49 -L’archive iconographique : que nous révèle la culture visuelle des débuts de la psychiatrie française au dix-neuvième siècle ? p. 51-68 - Les notes « Observations de l’infirmière » du Département de psychiatrie de l’Hôpital Montfort : une source archivistique incontournable en santé mentale p.69-82 - Les archives psychiatriques : une occasion de saisir l’expérience du patient (Belgique, entre-deux-guerres) p. 83-100 - Des institutions privées d’histoire. Enquête sur les archives d’entreprises capitalistes dédiées à la gestion de la folie (France, 1930-1950) p101-118 -La bande des six réclame plus de liberté. Délinquants juvéniles internés à Saint-Jean-de-Dieu, milieu 20e siècle p.119-131- Reconstituer une sociabilité savante à partir du fonds d’archives du Centre Hospitalier Henri Ey de Bonneval : réseaux et leurres induits par le travail archivistique p.133-146 -Les archives psychiatriques : des archives pour quelle histoire ? Les papiers de René L. p. 147-157 -La représentation socioculturelle du suicide au Québec au milieu du 20e siècle. Étude de cas p. 159-164 -Les Pinceaux d’Or : une expérience d’hygiène mentale auprès d’aînés en besoins psychosociaux p. 165-175 -Mettre à contribution le vécu expérientiel des familles : l’initiative Pair Aidant Famille p. 177-195 Source: Érudit/ Revues/ Santé mentale au Québec/ L’archive psychiatrique}, language = {Français}, journal = {La revue Santé mentale au Québec}, author = {Thifault, Marie-Claude and Perreault, Isabelle and Klein, Alexandre and Caron, Jean}, year = {2016}, } @article{thomasson_journee_2016, title = {Une journée dans la vie de {Lili} {Eting} (et son chat) : petit précis de diplomatique souriante}, url = {http://www.marieannechabin.fr/2016/10/petit-manuel-de-diplomatique-numerique-pour-les-nuls/}, abstract = {L’universalisation de l’information numérique donne au concept d’authenticité un regain d’actualité. En effet, les notions coutumières d’original et de copie, d’auteur et de destinataire, de registre et de tampon-dateur sont quelque peu bousculées par l’intrusion dans notre vie quotidienne des ordinateurs, des smartphones, des réseaux (Internet et réseaux sociaux), des fichiers aux formats de données propriétaires, des impressions papier-scans-réimpressions, du cloud (stockage externalisé) et des algorithmes. Qu’est-ce qu’un document numérique engageant ? Les procédures de paiement en ligne sont-elles fiables ? Comment ne pas se faire avoir par un mail, prétendument émis par votre banque, qui vous demande de confirmer votre numéro de carte bancaire ? Quelle est l’identité de l’auteur de ce texte ? Etc.}, author = {Thomasson, Jean-Jacques and Müller, Bertrand and Dez, Florentin and Scopsi, Claire and Chabin, Marie-Anne}, year = {2016}, } @article{trottier_registres_2014, title = {Registres de la mémoire}, volume = {printemps-été 2014}, url = {http://www.banq.qc.ca/documents/a_propos_banq/nos_publications/a_rayons_ouverts/AR0_95.pdf}, number = {95}, journal = {À rayons ouverts}, author = {Trottier, Marie}, year = {2014}, pages = {18--20}, } @article{yon_du_2015, title = {Du document papier à la donnée électronique, des solutions hybrides pour une gestion des archives unifiée}, issn = {0016-5522}, url = {http://www.archivistes.org/Voyages-extraordinairement-numeriques-10-ans-d-archivage-electronique-et-demain}, number = {240}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Yon, Cécile}, year = {2015}, pages = {259--265}, }