@incollection{donato_quand_2019, address = {Paris}, title = {Quand la police a le goût de ­­l’archive : {Réflexions} sur les archives de la police de {Paris} au xviiie siècle}, url = {https://classiques-garnier.com/pratiques-d-archives-a-l-epoque-moderne-europe-mondes-coloniaux.html}, booktitle = {Pratiques d’archives à l’époque moderne: {Europe}, mondes coloniaux}, publisher = {Garnier}, author = {Denis, Vincent}, editor = {Donato, Maria Pia and Saada, Anne}, year = {2019}, pages = {183--203}, } @article{mallet_les_2019, title = {Les déro­ga­tions géné­ra­les : mesu­res à étendre ou mesu­res excep­tion­nel­les ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Les déro­ga­tions géné­ra­les sont un outil de trans­pa­rence démo­cra­ti­que. Mises en avant par les poli­ti­ques, les his­to­riens et les dif­fé­rents rap­ports sur la com­mu­ni­ca­tion des archi­ves, elles sont pré­sen­tées comme un levier indis­pen­sa­ble, qu’il est néces­saire de déve­lop­per. Pourtant, elles sont très peu uti­li­sées ; seuls vingt arrê­tés ont été pro­mul­gués entre 1979 et 2018 (date de rédac­tion de l’arti­cle). Parmi ces quel­ques textes, les deux tiers envi­ron ouvrent des fonds rela­tifs à la Seconde Guerre mon­diale. Il est en effet dif­fi­cile d’iden­ti­fier de grands ensem­bles de docu­ments dont l’ouver­ture ne serait pas sus­cep­ti­ble de porter une atteinte exces­sive aux inté­rêts pro­té­gés par la loi, condi­tion indis­pen­sa­ble du Code du patri­moine à toute ouver­ture par déro­ga­tion, qu’elle soit géné­rale ou indi­vi­duelle. Au final, elles sont pro­ba­ble­ment appe­lées à rester excep­tion­nel­les, ce qui est loin d’être néga­tif. En effet, cela signi­fie que seuls quel­ques fonds sont suf­fi­sam­ment deman­dés pour faire l’objet d’une telle pro­cé­dure, et que le besoin de cette pro­cé­dure excep­tion­nelle reste limité. Cela ne signi­fie pas pour autant qu’aucune piste ne soit envi­sa­gée actuel­le­ment pour l’ouver­ture de nou­veaux fonds : ainsi, le pré­si­dent de la République a annoncé l’ouver­ture par déro­ga­tion géné­rale des archi­ves rela­ti­ves aux dis­pa­rus de la guerre d’Algérie.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Mallet, Jeanne}, year = {2019}, } @article{lechevallier_guerres_2019, title = {Guerres mon­dia­les, guer­res colo­nia­les : des archi­ves pour quoi faire ?}, url = {https://www.archivistes.org/Archives-et-transparence-une-ambition-citoyenne}, abstract = {Si les années 1990 ont vu dans d’ancien­nes dic­ta­tu­res l’émergence des archi­ves comme outils des pro­ces­sus de jus­tice tran­si­tion­nelle, l’accès donné en France aux archi­ves des conflits contem­po­rains est long­temps demeuré dif­fi­cile. Le « retour du refoulé » autour du régime de Vichy, dans les années 1970, a enclen­ché un mou­ve­ment d’ouver­ture qui n’a trouvé son abou­tis­se­ment qu’en 2015. La demande du corps social, tant de la part des his­to­riens que de celle des vic­ti­mes, appa­raît comme le prin­ci­pal moteur de l’ouver­ture de ces archi­ves. Celles de la guerre d’Algérie posent des ques­tions simi­lai­res, aux­quel­les les répon­ses sont encore incom­plè­tes.}, number = {255}, journal = {La Gazette des archives}, author = {Lechevallier, Éric}, year = {2019}, note = {Number: 255}, }