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Patrimoine documentaire en péril: enquête pilote - UNESCO Bibliothèque Numérique
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Cette étude mondiale s’inscrit dans la stratégie plus large de l’UNESCO en faveur de la sauvegarde du patrimoine documentaire de l’humanité. En 1992, l’UNESCO a créé le Programme Mémoire du monde afin de contribuer à la préservation du patrimoine documentaire, d’en garantir l’accessibilité à tous et de sensibiliser le public à l’importance qu’il revêt. L’Organisation s’efforce de faciliter la préservation du patrimoine au moyen de projets d’assistance directe, de conseils techniques et d’une aide à la formation et au renforcement des capacités. Elle s’attache en outre à mettre en place des partenariats à l’appui de projets de préservation appropriés et menés en temps opportun.
En 2015, la Conférence générale de l’UNESCO a adopté la Recommandation concernant la préservation et l’accessibilité du patrimoine documentaire, y compris le patrimoine numérique, qui définit cinq axes d’action majeurs en faveur du patrimoine documentaire : identification, conservation, accès, mesures politiques et coopération. En d’autres termes, les trois objectifs du programme (identifier le patrimoine documentaire, en faciliter la conservation et en garantir l’accès) ne pourront être atteints qu’à condition de créer un environnement propice en élaborant des politiques solides et en améliorant la coopération nationale et internationale.
En 2018, l’UNESCO a lancé, avec le soutien du Fonds-en-dépôt japonais (JFIT), un projet intitulé « Préservation du patrimoine documentaire par l’élaboration de politiques et le renforcement des capacités » dont l’objectif consiste à examiner et à améliorer les politiques et stratégies de conservation globales mises en oeuvre par les institutions de mémoire en y intégrant les notions de gestion et de réduction des risques de catastrophe. Il est notamment prévu d’organiser une série de forums mondiaux sur le patrimoine documentaire ainsi que des ateliers de renforcement des capacités et des consultations régionales.
Élément pivot du projet financé par le JFIT, l’enquête mondiale sur la réduction des risques de catastrophe éclaire toutes les activités mises en oeuvre. En effet, l’ensemble du projet sera guidé par les conclusions de l’enquête, qui pourront servir de base à l’élaboration ou, dans certains cas, à l’actualisation, des plans d’action sur la gestion des situations d’urgence et des catastrophes aux niveaux institutionnel, national et régional.
Cette enquête a été réalisée par Yolia Tortolero Cervantes, archiviste, titulaire d’un doctorat en histoire, ancienne Directrice des archives historiques des Archives nationales du Mexique, ancienne Vice-Présidente du MOWLAC2, membre correspondante du Sous-Comité sur l’éducation et la recherche du Programme Mémoire du monde (SCEaR), et actuellement professeure à l’Université andine Simon Bolivar.
Cette étude mondiale s’inscrit dans la stratégie plus large de l’UNESCO en faveur de la sauvegarde du patrimoine documentaire de l’humanité. En 1992, l’UNESCO a créé le Programme Mémoire du monde afin de contribuer à la préservation du patrimoine documentaire, d’en garantir l’accessibilité à tous et de sensibiliser le public à l’importance qu’il revêt. L’Organisation s’efforce de faciliter la préservation du patrimoine au moyen de projets d’assistance directe, de conseils techniques et d’une aide à la formation et au renforcement des capacités. Elle s’attache en outre à mettre en place des partenariats à l’appui de projets de préservation appropriés et menés en temps opportun.
En 2015, la Conférence générale de l’UNESCO a adopté la Recommandation concernant la préservation et l’accessibilité du patrimoine documentaire, y compris le patrimoine numérique, qui définit cinq axes d’action majeurs en faveur du patrimoine documentaire : identification, conservation, accès, mesures politiques et coopération. En d’autres termes, les trois objectifs du programme (identifier le patrimoine documentaire, en faciliter la conservation et en garantir l’accès) ne pourront être atteints qu’à condition de créer un environnement propice en élaborant des politiques solides et en améliorant la coopération nationale et internationale.
En 2018, l’UNESCO a lancé, avec le soutien du Fonds-en-dépôt japonais (JFIT), un projet intitulé « Préservation du patrimoine documentaire par l’élaboration de politiques et le renforcement des capacités » dont l’objectif consiste à examiner et à améliorer les politiques et stratégies de conservation globales mises en oeuvre par les institutions de mémoire en y intégrant les notions de gestion et de réduction des risques de catastrophe. Il est notamment prévu d’organiser une série de forums mondiaux sur le patrimoine documentaire ainsi que des ateliers de renforcement des capacités et des consultations régionales.
Élément pivot du projet financé par le JFIT, l’enquête mondiale sur la réduction des risques de catastrophe éclaire toutes les activités mises en oeuvre. En effet, l’ensemble du projet sera guidé par les conclusions de l’enquête, qui pourront servir de base à l’élaboration ou, dans certains cas, à l’actualisation, des plans d’action sur la gestion des situations d’urgence et des catastrophes aux niveaux institutionnel, national et régional.
Cette enquête a été réalisée par Yolia Tortolero Cervantes, archiviste, titulaire d’un doctorat en histoire, ancienne Directrice des archives historiques des Archives nationales du Mexique, ancienne Vice-Présidente du MOWLAC2, membre correspondante du Sous-Comité sur l’éducation et la recherche du Programme Mémoire du monde (SCEaR), et actuellement professeure à l’Université andine Simon Bolivar.